20-10-2022, 12:03 PM
Je me dirige vers la voiture de maman. Alors que je suis à une dizaine de mètres, je vois arriver Ben. Il patientait dans la voiture de sa mère. Je laisse mon sac sur le sol et je me dirige vers mon chéri ; il fait de même en se ruant dans ma direction. J’ai l’impression d’être comme dans un film où l’image passe au ralenti. Puis nous sautons dans les bras l’un de l’autre. Nous nous serrons très fort, je sais que j’ai manqué à Ben et que lui aussi m’a manqué. Nous restons un petit moment comme ça. Puis nous nous regardons dans les yeux avant de nous embrasser.
Nous entendons alors une voix que nous connaissons, c’est celle de Jean-Philippe qui dit : « vous voyez, ils s’aiment ! » en s’adressant à ses parents. Nous cessons immédiatement notre baiser.
Irma, la maman de Jean-Philippe nous dit alors :
Irm : « Désolé pour la réflexion de Jean-Philippe !
Moi : Pas de soucis pour nous.
Irm : Je trouve aussi que vous allez très bien ensemble.
Ben et moi : Merci.
Irm : Mon fils m’a raconté ce qu’il a vécu lors du camp et il ne tarit pas d’éloges. Il m’a dit que tu l’avais très bien soutenu Phil.
Moi : Merci, mais c’est mon rôle d’être attentif aux plus jeunes.
Irm : Je te remercie pour ton dévouement et pour les petites attentions à l’égard de Jean-Phi. Bonne fin de vacances.
Moi : Merci, à vous de même.
Ben : Bonne soirée.
J-Ph : Bonne soirée à vous deux !
Ben et moi : Merci, bonne fin de vacances Jean-Phi.
Ben me regarde et me demande ce qui s’est passé. Je lui réponds que j’en parlerai en famille. Il me pose la question de savoir s’il peut venir à la maison. Je suis ravi et je le prends par la main. Je ramasse mon sac et je rejoins maman qui attend devant l’auto. Elle a assisté à toutes la scène. Je m’approche d’elle et je lui fais un câlin et je lui donne un bisous sur la joue. Ben vient à son tour pour faire la bise.
Mam : Bien entendu Ben tu viens avec nous à la maison !
Ben : Merci Jacqueline, j’allais te le demander.
Mam : Je sais que vous n’attendez que ça, de vous retrouver,
Moi : Merci maman. »
Nous montons dans la voiture, direction la maison.
Je suis dans le hall d’entrée et Jean se précipite pour me dire bonjour. Il est heureux de me revoir, il se demandait si mon séjour avec les scouts s’était bien passé : il est comme ça mon Jeannot. Je lui fait la bise. Je retrouve ensuite papa qui prépare l’apéro. Bien sûr Anne est là avec André, ainsi qu’Amandine. J’embrasse tout le monde. Je me suis à peine assis que déjà des questions fusent de part et d’autre. Je m’installe à côté de Ben. Je veux d’abord être à l’aise et j’attends que tous soient servis, ensuite nous trinquons à notre santé.
Je me dis qu’il est temps de leur raconter mon camp chez les scouts, je vois qu’ils sont sur des charbons ardents !
Je raconte alors tout ce qui s’est passé. Les changements d’endroits, les passages difficiles, la baignade « forcée » de Jean-Philippe suivie de la mienne. Je vois la tête de maman qui change quand je raconte l’épisode du passage au-dessus de l’Ourthe avec le pont de singe. J’explique aussi mon trajet de surveillance en suivant la patrouille des Éléphants. Bref je narre tous les épisodes de ce camp itinérant. Bien entendu je ne parle pas de ce qui s’est passé sous la couette.
Il est temps de souper. Maman a prévu un « steak – frites – salade » ! Quelle excellente idée ! Je remercie maman pour cette belle attention. Nous mangeons tout en bavardant. L’ambiance est très bonne et je suis si heureux de retrouver ma famille au grand complet. Nous restons ensuite ensemble devant la télévision pour regarder le film sur la première chaîne. J’aurai bien voulu être seul avec Ben, mais je me dois de rester avec les miens.
Une fois le film terminé, nous embrassons les membres de la famille et nous allons directement dans la salle de bain pour prendre notre douche. Nous nous lavons mutuellement et bien entendu nos appendices se réveillent. Inutile de dire que nous sommes en train de nous embrasser et de nous caresser. Nos mains se déplacent vers l’objet de notre désir à chacun, soit le pénis dressé de l’être aimé. Je me rapproche de mon Ben d’amour et j’enserre nos deux membres entre mes doigts pour entamer une masturbation « collé -serré ». Ben vient superposer aussi une main sur la mienne et nous nous donnons de concert un plaisir tant attendu. Il n’a pas fallu longtemps pour jouir, nos spermes se mélangent sur nos doigts et nos ventres. Nous nous embrassons à pleine bouche laissant nos langues se retrouver pour entrer dans une folle farandole.
Nous nous rinçons pour ensuite nous essuyer l’un l’autre. Nous regagnons notre chambre nus comme des vers. Une fois sous la couette nous échangeons un regard à la fois plein d’amour mais aussi de questionnement. Je prends la parole et je dis à mon chéri :
Moi : « Ben je dois te dire quelque chose, car je ne veux pas qu’il y ait des zones d’ombres entre nous.
Ben : Je t’écoute, mais je pense savoir ce que tu veux me dire !
Moi : Durant le camp alors que nous étions sous la tente, Ghislain et moi, nous nous sommes masturbés chacun de notre côté. Puis deux soir plus tard je me suis branlé en pensant à toi ! Je suis désolé ;
Ben : Tu n’as pas à t’excuser Phil. Moi aussi, lors du camp louveteau, je me suis laissé aller à la suite d’un désir émanant de … Raphaël. En fait nous étions dans la douche commune, nous avions tous les quatre la gaule et nous commencions chacun à nous astiquer lorsque Raph m’a saisi le pénis ! Je me suis dit que c’était seulement une branlette partagée et nous nous sommes fait jouir l’un l’autre !
Moi : Je ne t’en veux pas Ben. Faute avouée est à moitié pardonnée et je te pardonne entièrement.
Ben : Merci Phil, si tu savais comme j’étais mal pour ça.
Moi : Comme tu l’as dit, c’est une simple branlette partagée, il n’y a pas de quoi en faire tout un fromage.
Ben : Je peux te serrer dans mes bras, viens Phil, je t’aime.
Moi : Moi aussi je t’aime mon chéri. »
Nous nous enlaçons un moment en nous susurrant de petits mots doux à l’oreille. Ensuite nous nous embrassons longuement avant de nous lover dans les bras l’un de l’autre pour enfin nous endormir.
Nous entendons alors une voix que nous connaissons, c’est celle de Jean-Philippe qui dit : « vous voyez, ils s’aiment ! » en s’adressant à ses parents. Nous cessons immédiatement notre baiser.
Irma, la maman de Jean-Philippe nous dit alors :
Irm : « Désolé pour la réflexion de Jean-Philippe !
Moi : Pas de soucis pour nous.
Irm : Je trouve aussi que vous allez très bien ensemble.
Ben et moi : Merci.
Irm : Mon fils m’a raconté ce qu’il a vécu lors du camp et il ne tarit pas d’éloges. Il m’a dit que tu l’avais très bien soutenu Phil.
Moi : Merci, mais c’est mon rôle d’être attentif aux plus jeunes.
Irm : Je te remercie pour ton dévouement et pour les petites attentions à l’égard de Jean-Phi. Bonne fin de vacances.
Moi : Merci, à vous de même.
Ben : Bonne soirée.
J-Ph : Bonne soirée à vous deux !
Ben et moi : Merci, bonne fin de vacances Jean-Phi.
Ben me regarde et me demande ce qui s’est passé. Je lui réponds que j’en parlerai en famille. Il me pose la question de savoir s’il peut venir à la maison. Je suis ravi et je le prends par la main. Je ramasse mon sac et je rejoins maman qui attend devant l’auto. Elle a assisté à toutes la scène. Je m’approche d’elle et je lui fais un câlin et je lui donne un bisous sur la joue. Ben vient à son tour pour faire la bise.
Mam : Bien entendu Ben tu viens avec nous à la maison !
Ben : Merci Jacqueline, j’allais te le demander.
Mam : Je sais que vous n’attendez que ça, de vous retrouver,
Moi : Merci maman. »
Nous montons dans la voiture, direction la maison.
Je suis dans le hall d’entrée et Jean se précipite pour me dire bonjour. Il est heureux de me revoir, il se demandait si mon séjour avec les scouts s’était bien passé : il est comme ça mon Jeannot. Je lui fait la bise. Je retrouve ensuite papa qui prépare l’apéro. Bien sûr Anne est là avec André, ainsi qu’Amandine. J’embrasse tout le monde. Je me suis à peine assis que déjà des questions fusent de part et d’autre. Je m’installe à côté de Ben. Je veux d’abord être à l’aise et j’attends que tous soient servis, ensuite nous trinquons à notre santé.
Je me dis qu’il est temps de leur raconter mon camp chez les scouts, je vois qu’ils sont sur des charbons ardents !
Je raconte alors tout ce qui s’est passé. Les changements d’endroits, les passages difficiles, la baignade « forcée » de Jean-Philippe suivie de la mienne. Je vois la tête de maman qui change quand je raconte l’épisode du passage au-dessus de l’Ourthe avec le pont de singe. J’explique aussi mon trajet de surveillance en suivant la patrouille des Éléphants. Bref je narre tous les épisodes de ce camp itinérant. Bien entendu je ne parle pas de ce qui s’est passé sous la couette.
Il est temps de souper. Maman a prévu un « steak – frites – salade » ! Quelle excellente idée ! Je remercie maman pour cette belle attention. Nous mangeons tout en bavardant. L’ambiance est très bonne et je suis si heureux de retrouver ma famille au grand complet. Nous restons ensuite ensemble devant la télévision pour regarder le film sur la première chaîne. J’aurai bien voulu être seul avec Ben, mais je me dois de rester avec les miens.
Une fois le film terminé, nous embrassons les membres de la famille et nous allons directement dans la salle de bain pour prendre notre douche. Nous nous lavons mutuellement et bien entendu nos appendices se réveillent. Inutile de dire que nous sommes en train de nous embrasser et de nous caresser. Nos mains se déplacent vers l’objet de notre désir à chacun, soit le pénis dressé de l’être aimé. Je me rapproche de mon Ben d’amour et j’enserre nos deux membres entre mes doigts pour entamer une masturbation « collé -serré ». Ben vient superposer aussi une main sur la mienne et nous nous donnons de concert un plaisir tant attendu. Il n’a pas fallu longtemps pour jouir, nos spermes se mélangent sur nos doigts et nos ventres. Nous nous embrassons à pleine bouche laissant nos langues se retrouver pour entrer dans une folle farandole.
Nous nous rinçons pour ensuite nous essuyer l’un l’autre. Nous regagnons notre chambre nus comme des vers. Une fois sous la couette nous échangeons un regard à la fois plein d’amour mais aussi de questionnement. Je prends la parole et je dis à mon chéri :
Moi : « Ben je dois te dire quelque chose, car je ne veux pas qu’il y ait des zones d’ombres entre nous.
Ben : Je t’écoute, mais je pense savoir ce que tu veux me dire !
Moi : Durant le camp alors que nous étions sous la tente, Ghislain et moi, nous nous sommes masturbés chacun de notre côté. Puis deux soir plus tard je me suis branlé en pensant à toi ! Je suis désolé ;
Ben : Tu n’as pas à t’excuser Phil. Moi aussi, lors du camp louveteau, je me suis laissé aller à la suite d’un désir émanant de … Raphaël. En fait nous étions dans la douche commune, nous avions tous les quatre la gaule et nous commencions chacun à nous astiquer lorsque Raph m’a saisi le pénis ! Je me suis dit que c’était seulement une branlette partagée et nous nous sommes fait jouir l’un l’autre !
Moi : Je ne t’en veux pas Ben. Faute avouée est à moitié pardonnée et je te pardonne entièrement.
Ben : Merci Phil, si tu savais comme j’étais mal pour ça.
Moi : Comme tu l’as dit, c’est une simple branlette partagée, il n’y a pas de quoi en faire tout un fromage.
Ben : Je peux te serrer dans mes bras, viens Phil, je t’aime.
Moi : Moi aussi je t’aime mon chéri. »
Nous nous enlaçons un moment en nous susurrant de petits mots doux à l’oreille. Ensuite nous nous embrassons longuement avant de nous lover dans les bras l’un de l’autre pour enfin nous endormir.