19-10-2022, 11:51 AM
(Modification du message : 19-10-2022, 11:51 AM par Philou0033.)
Bonjour,
voilà je republie les suites qui ont disparu suite aux changements survenus au point de vue hébergement du site.
Je sens qu’on me secoue alors que je suis toujours endormi dans mon duvet. J’ouvre les yeux et je vois que c’est Fabrice qui me réveille. Les autres animateurs et les deux intendants dorment tous à poings fermés. Je me lève sans faire de bruit et je rejoins le CP de la patrouille des Éléphants qui m’attend près de la tente de sa patrouille. Je lui demande alors :
Moi : « Dis Fabrice, il y a quelque chose qui ne va pas dans ta patrouille.
Fab : Ce n’est pas facile à gérer, mais … heu … c’est Jean-Philippe, il s’est pissé sur lui dans son sac de couchage !
Moi : OK, tu as bien fait de m’avertir.
Fab : Les autres scouts sont réveillés et ils s’en sont aperçus.
Moi : Bon, je vais gérer ce petit problème. Je compte sur toi pour m’aider à dédramatiser la situation, surtout pour Jean-Philippe, mais il faut que les autres comprennent que ça peut arriver à n’importe qui !
Fab : OK, je vois ce que tu veux dire. Je vais faire tout ce qu’il faut pour que ça se passe au mieux.
Moi : Merci Fabrice.
J’entre dans la tente et je découvre Jean-Philippe en pleurs dans son duvet humide. Les autres scouts ne disent rien. Je vois que Yvan est penché vers Jean-Phi et qu’il tente de le consoler. Je me mets de l’autre côté pour parler avec l’enfant.
Moi : Salut Jean-Phi, ce n’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent.
J-Ph : Je suis désolé, je ne sais pas ce qui s’est passé ! (Des larmes coulent encore de yeux rouges de ce jeune scout !)
Moi : Tu sais Jean-Phi, on va arranger tout ça.
Yva : Ce n’est pas grave, ne t’en fait pas.
J-Ph : Vous allez vous foutre de moi, je vais être la risée de la troupe, je … (des nouvelles larmes viennent mouiller ses joues.)
Fabrice et Yvan se regardent, les autres scouts ne disent rien. Jean-Philippe n’ose pas regarder ses compagnons de patrouille.
Moi : Tu sais Jean-Phi, ça peut arriver à n’importe qui d’entre nous. Quand j’étais jeune scout, à ton âge d’ailleurs, j’ai moi aussi pisser dans mon sac de couchage. J’ai été humilié par tous les scouts de ma patrouille. J’en ai garder un très mauvais souvenir. Alors je vous demande à tous de ne pas vous moquer de votre ami Jean-Philippe, il ne mérite pas d’être mis au ban de la troupe. Alors promettez moi de respecter votre camarade et de garder ce qui s’est passé pour vous et de ne pas l’ébruiter. Ce qui s’est passé ici reste ici !
Fab : Merci Phil, je pense que nous avons tous compris que nous devons garder ça pour nous. Puis je sais ce que c’est, j’ai eu le même incident quand j’étais encore chez les louveteaux, alors je sais ce que c’est que d’être la risée des autres.
Yav : Pour ma part je ne dirai rien.
Les autres scouts : Nous non plus !
Moi : Super les gars. Restez solidaires, vous avez un très bon esprit de patrouille, gardez l’intact.
Allez Jean-Phi, je vais m’occuper de faire sécher ton sac de couchage et tes habits seront rincés. As-tu de quoi te changer ?
J-Ph : Oui, j’ai assez de vêtements.
Je m’occupe de prendre ce qui est laver et à sécher. Je laisse le jeune scout se laver au bord de la rivière. Je suis alors rejoint par Bruno. Il me fait signe de le suivre. Il a mis chauffer une casserole d’eau et préparé un bassin. Il me dit :
Bru : J’ai entendu ce que tu as dit dans la tente de Fabrice, tu as très bien fait. Pas besoin de d’ébruiter cet incident.
Moi : Merci Bruno, je suppose que tu as entendu que j’avais été dans le même cas que Jean-Phi !
Bru : Oui, mais cela montre que tu sais gérer, car tu l’as vécu !
Moi : Merci. Je m’occupe de son linge.
Bru : OK, en tout cas bravo Phil. »
Les autres patrouilles commencent à se réveiller. Il va être temps de songer à manger. Les intendants demandent un scout par patrouille pour aider à la préparation du repas. Pour les Éléphants, c’est Yvan qui se présente.
Le repas se déroule dans un bel esprit de partage. Je peux voir que Jean-Phi est bien entouré par les scouts de sa patrouille, il a même le sourire aux lèvres. Je suis très content de voir la réaction positive après cet incident, cela n’avait pas été le cas pour moi à l’époque où j’avais été confronté au pipi dans le duvet. Je sais donc que le fait d’expliquer posément aux jeunes ce qu’on attend d’eux, porte ses fruits !
Le camp se poursuit donc dans une très belle entente entre tous les scouts. Les éclaireurs de la patrouille des Éléphants n’ont pipé mot de ce qui s’était passé avec Jean-Philippe : quelle belle preuve d’ouverture d’esprit et de respect.
Des jeux ont été organisés dans le camp temporaire. Les scouts sont heureux de voir enfin un peu de soleil. La soirée se déroule comme d’habitude, soit une veillée durant laquelle chants et jeux de mots et jeux de mimes se mélangent.
Il va être temps d’aller dormir, je vais voir si tout va bien pour notre jeune scout, Jean-Phi. Il me signale que son sac de couchage n’est pas encore tout à fait sec. Je m’occupe alors de trouver un duvet pour lui. Je vais lui passer le mien pour la nuit ; pour ma part j’ai trois couvertures à ma disposition, soit celles des trois animateurs qui partagent la tente.
Je charge Fabrice et Yvan d’avoir un œil sur le « cul de pat ». Je remets mon duvet à Jean-Phi et je lui souhaite une bonne nuit en lui rappelant d’aller se soulager avant de se glisser dedans. Je vois des yeux remplis d’éclats qui me regardent, ils expriment toute la gratitude d’avoir de quoi dormir au chaud et au sec. Je souhaite la bonne nuit à toute patrouille des Éléphants.
Je poursuis ma ronde en allant voir si tout va bien dans les trois autres patrouilles. Chez les Tigres et les Ours, pas de souci. Les scouts sont semble-il content de leur camp. Je passe ensuite chez les Serpents et je demande si tout est « OK ». Le CP, Arthur me dit que Denis a un souci avec la fermeture de son duvet. Je me penche sur le problème. En fait c’est la couture qui a lâché sur plus de soixante centimètres, ce qui fait qu’elle ne ferme plus et laisse passer l’air froid.
Je demande à Denis de m’accompagner à ma tente. Heureusement, j’ai un nécessaire de couture et je me charge de faire la réparation. Nous sommes bien équipés, nous disposons d’une lampe type « camping-gaz » qui éclaire très bien. Denis se charge de bien aligner le bord de la tirette et le tissus par-dessus pendant que je recouds en amont. Il me faut plus de vingt minutes pour terminer.
J’essaye la fermeture de la tirette, elle ferme maintenant convenablement sans plus laisser passer l’air. Le visage et les yeux de Denis en disent long, il est hyper heureux de voir que son duvet est opérationnel. Il sait qu’il va passer une bonne nuit ! Le jeune scout vient me serrer dans ses bars en guise de remerciements.
Les autres animateurs n’en reviennent pas de voir que j’ai des « doigts de fée » et que je sais me servir d’un service à couture. Je leur explique qu’il m’était déjà arrivé d’être confronté à des soucis de déchirures ou autres dégâts à mes vêtements durant les camps et que depuis j’ai toujours une trousse de couture avec moi. Finalement nous nous retrouvons avec les intendants pour faire le débriefing de la journée.
Une décision a été prise, soit de ne pas réveiller les scouts en pleine nuit, mais vers six heures du matin. Il est évident qu’ils sont fatigués et qu’ils doivent avoir assez de repos pour entamer la prochaine étape itinérante du camp, soit rejoindre Warempage. Il faut aussi que nous soyons en forme, raison pour laquelle nous n’allons pas tarder à nous mettre au lit. Nous prenons une rasade de rhum, ce qui va nous réchauffer avant de trouver le sommeil.
Je suis sous les couvertures et je pense à mon chéri, à Ben. Je me demande ce qu’il fait. Peut-être est-il en train de se donner du plaisir. Mon sexe prend de l’ampleur. Je commence à me masturber. J’entends que mes voisins sont aussi en train de se donner un peu de plaisir solitaire. Personne ne parle, nous nous concentrons sur notre propre jouissance. On entend des « haaa - haaa » signe d’une délivrance tant attendue.
Au camp louveteau.
La veillée tant attendue va commencer. Tous les loups sont réunis dans la grande salle. Plusieurs rangées de sièges sont placées devant l’espace qui sert de scène. Les dessins placés sur le fond apportent une très belle touche de couleur et de gaité. Alors que les loups s’installent et prennent place sur les chaises, nous voyons l’Aumônier entrer dans la salle. C’est l’occasion pour les enfants de le saluer. L’abbé s’installe derrière la meute, à côté des intendants et des animateurs. Il est plus facile de voir depuis le fond si tout se passe bien dans les rangées.
Les loups sont assez survoltés, nous décidons de commencer par des chants calmes, ce qui va permettre de ramener un peu de tranquillité. Ça marche, les enfants sont moins énervés. Ils participent tous en chantant. Puis c’est le moment de faire l’un ou l’autre jeu de mime. Bref ils sont emballés par les jeux. Les chants alternent avec les petits jeux. Il est certain que quelques loups attendent de présenter leur spectacle d’expression corporelle, mais ils doivent patienter !
Il faut encore attendre un moment pour voir ce spectacle. Les sujets en papier mâchés sont un peu écartés, question de laisser assez de place pour la suite. Avant le début, Kaa (Pierre-Yves) explique en deux mots ce qui va suivre. Il demande que le silence soit respecté. Il ne reste plus qu’aux sept loups à se préparer. Je ne dois pas m’occuper de Pierric, ce sont les autres « acteurs » qui s’en chargent.
voilà je republie les suites qui ont disparu suite aux changements survenus au point de vue hébergement du site.
Je sens qu’on me secoue alors que je suis toujours endormi dans mon duvet. J’ouvre les yeux et je vois que c’est Fabrice qui me réveille. Les autres animateurs et les deux intendants dorment tous à poings fermés. Je me lève sans faire de bruit et je rejoins le CP de la patrouille des Éléphants qui m’attend près de la tente de sa patrouille. Je lui demande alors :
Moi : « Dis Fabrice, il y a quelque chose qui ne va pas dans ta patrouille.
Fab : Ce n’est pas facile à gérer, mais … heu … c’est Jean-Philippe, il s’est pissé sur lui dans son sac de couchage !
Moi : OK, tu as bien fait de m’avertir.
Fab : Les autres scouts sont réveillés et ils s’en sont aperçus.
Moi : Bon, je vais gérer ce petit problème. Je compte sur toi pour m’aider à dédramatiser la situation, surtout pour Jean-Philippe, mais il faut que les autres comprennent que ça peut arriver à n’importe qui !
Fab : OK, je vois ce que tu veux dire. Je vais faire tout ce qu’il faut pour que ça se passe au mieux.
Moi : Merci Fabrice.
J’entre dans la tente et je découvre Jean-Philippe en pleurs dans son duvet humide. Les autres scouts ne disent rien. Je vois que Yvan est penché vers Jean-Phi et qu’il tente de le consoler. Je me mets de l’autre côté pour parler avec l’enfant.
Moi : Salut Jean-Phi, ce n’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent.
J-Ph : Je suis désolé, je ne sais pas ce qui s’est passé ! (Des larmes coulent encore de yeux rouges de ce jeune scout !)
Moi : Tu sais Jean-Phi, on va arranger tout ça.
Yva : Ce n’est pas grave, ne t’en fait pas.
J-Ph : Vous allez vous foutre de moi, je vais être la risée de la troupe, je … (des nouvelles larmes viennent mouiller ses joues.)
Fabrice et Yvan se regardent, les autres scouts ne disent rien. Jean-Philippe n’ose pas regarder ses compagnons de patrouille.
Moi : Tu sais Jean-Phi, ça peut arriver à n’importe qui d’entre nous. Quand j’étais jeune scout, à ton âge d’ailleurs, j’ai moi aussi pisser dans mon sac de couchage. J’ai été humilié par tous les scouts de ma patrouille. J’en ai garder un très mauvais souvenir. Alors je vous demande à tous de ne pas vous moquer de votre ami Jean-Philippe, il ne mérite pas d’être mis au ban de la troupe. Alors promettez moi de respecter votre camarade et de garder ce qui s’est passé pour vous et de ne pas l’ébruiter. Ce qui s’est passé ici reste ici !
Fab : Merci Phil, je pense que nous avons tous compris que nous devons garder ça pour nous. Puis je sais ce que c’est, j’ai eu le même incident quand j’étais encore chez les louveteaux, alors je sais ce que c’est que d’être la risée des autres.
Yav : Pour ma part je ne dirai rien.
Les autres scouts : Nous non plus !
Moi : Super les gars. Restez solidaires, vous avez un très bon esprit de patrouille, gardez l’intact.
Allez Jean-Phi, je vais m’occuper de faire sécher ton sac de couchage et tes habits seront rincés. As-tu de quoi te changer ?
J-Ph : Oui, j’ai assez de vêtements.
Je m’occupe de prendre ce qui est laver et à sécher. Je laisse le jeune scout se laver au bord de la rivière. Je suis alors rejoint par Bruno. Il me fait signe de le suivre. Il a mis chauffer une casserole d’eau et préparé un bassin. Il me dit :
Bru : J’ai entendu ce que tu as dit dans la tente de Fabrice, tu as très bien fait. Pas besoin de d’ébruiter cet incident.
Moi : Merci Bruno, je suppose que tu as entendu que j’avais été dans le même cas que Jean-Phi !
Bru : Oui, mais cela montre que tu sais gérer, car tu l’as vécu !
Moi : Merci. Je m’occupe de son linge.
Bru : OK, en tout cas bravo Phil. »
Les autres patrouilles commencent à se réveiller. Il va être temps de songer à manger. Les intendants demandent un scout par patrouille pour aider à la préparation du repas. Pour les Éléphants, c’est Yvan qui se présente.
Le repas se déroule dans un bel esprit de partage. Je peux voir que Jean-Phi est bien entouré par les scouts de sa patrouille, il a même le sourire aux lèvres. Je suis très content de voir la réaction positive après cet incident, cela n’avait pas été le cas pour moi à l’époque où j’avais été confronté au pipi dans le duvet. Je sais donc que le fait d’expliquer posément aux jeunes ce qu’on attend d’eux, porte ses fruits !
Le camp se poursuit donc dans une très belle entente entre tous les scouts. Les éclaireurs de la patrouille des Éléphants n’ont pipé mot de ce qui s’était passé avec Jean-Philippe : quelle belle preuve d’ouverture d’esprit et de respect.
Des jeux ont été organisés dans le camp temporaire. Les scouts sont heureux de voir enfin un peu de soleil. La soirée se déroule comme d’habitude, soit une veillée durant laquelle chants et jeux de mots et jeux de mimes se mélangent.
Il va être temps d’aller dormir, je vais voir si tout va bien pour notre jeune scout, Jean-Phi. Il me signale que son sac de couchage n’est pas encore tout à fait sec. Je m’occupe alors de trouver un duvet pour lui. Je vais lui passer le mien pour la nuit ; pour ma part j’ai trois couvertures à ma disposition, soit celles des trois animateurs qui partagent la tente.
Je charge Fabrice et Yvan d’avoir un œil sur le « cul de pat ». Je remets mon duvet à Jean-Phi et je lui souhaite une bonne nuit en lui rappelant d’aller se soulager avant de se glisser dedans. Je vois des yeux remplis d’éclats qui me regardent, ils expriment toute la gratitude d’avoir de quoi dormir au chaud et au sec. Je souhaite la bonne nuit à toute patrouille des Éléphants.
Je poursuis ma ronde en allant voir si tout va bien dans les trois autres patrouilles. Chez les Tigres et les Ours, pas de souci. Les scouts sont semble-il content de leur camp. Je passe ensuite chez les Serpents et je demande si tout est « OK ». Le CP, Arthur me dit que Denis a un souci avec la fermeture de son duvet. Je me penche sur le problème. En fait c’est la couture qui a lâché sur plus de soixante centimètres, ce qui fait qu’elle ne ferme plus et laisse passer l’air froid.
Je demande à Denis de m’accompagner à ma tente. Heureusement, j’ai un nécessaire de couture et je me charge de faire la réparation. Nous sommes bien équipés, nous disposons d’une lampe type « camping-gaz » qui éclaire très bien. Denis se charge de bien aligner le bord de la tirette et le tissus par-dessus pendant que je recouds en amont. Il me faut plus de vingt minutes pour terminer.
J’essaye la fermeture de la tirette, elle ferme maintenant convenablement sans plus laisser passer l’air. Le visage et les yeux de Denis en disent long, il est hyper heureux de voir que son duvet est opérationnel. Il sait qu’il va passer une bonne nuit ! Le jeune scout vient me serrer dans ses bars en guise de remerciements.
Les autres animateurs n’en reviennent pas de voir que j’ai des « doigts de fée » et que je sais me servir d’un service à couture. Je leur explique qu’il m’était déjà arrivé d’être confronté à des soucis de déchirures ou autres dégâts à mes vêtements durant les camps et que depuis j’ai toujours une trousse de couture avec moi. Finalement nous nous retrouvons avec les intendants pour faire le débriefing de la journée.
Une décision a été prise, soit de ne pas réveiller les scouts en pleine nuit, mais vers six heures du matin. Il est évident qu’ils sont fatigués et qu’ils doivent avoir assez de repos pour entamer la prochaine étape itinérante du camp, soit rejoindre Warempage. Il faut aussi que nous soyons en forme, raison pour laquelle nous n’allons pas tarder à nous mettre au lit. Nous prenons une rasade de rhum, ce qui va nous réchauffer avant de trouver le sommeil.
Je suis sous les couvertures et je pense à mon chéri, à Ben. Je me demande ce qu’il fait. Peut-être est-il en train de se donner du plaisir. Mon sexe prend de l’ampleur. Je commence à me masturber. J’entends que mes voisins sont aussi en train de se donner un peu de plaisir solitaire. Personne ne parle, nous nous concentrons sur notre propre jouissance. On entend des « haaa - haaa » signe d’une délivrance tant attendue.
Au camp louveteau.
La veillée tant attendue va commencer. Tous les loups sont réunis dans la grande salle. Plusieurs rangées de sièges sont placées devant l’espace qui sert de scène. Les dessins placés sur le fond apportent une très belle touche de couleur et de gaité. Alors que les loups s’installent et prennent place sur les chaises, nous voyons l’Aumônier entrer dans la salle. C’est l’occasion pour les enfants de le saluer. L’abbé s’installe derrière la meute, à côté des intendants et des animateurs. Il est plus facile de voir depuis le fond si tout se passe bien dans les rangées.
Les loups sont assez survoltés, nous décidons de commencer par des chants calmes, ce qui va permettre de ramener un peu de tranquillité. Ça marche, les enfants sont moins énervés. Ils participent tous en chantant. Puis c’est le moment de faire l’un ou l’autre jeu de mime. Bref ils sont emballés par les jeux. Les chants alternent avec les petits jeux. Il est certain que quelques loups attendent de présenter leur spectacle d’expression corporelle, mais ils doivent patienter !
Il faut encore attendre un moment pour voir ce spectacle. Les sujets en papier mâchés sont un peu écartés, question de laisser assez de place pour la suite. Avant le début, Kaa (Pierre-Yves) explique en deux mots ce qui va suivre. Il demande que le silence soit respecté. Il ne reste plus qu’aux sept loups à se préparer. Je ne dois pas m’occuper de Pierric, ce sont les autres « acteurs » qui s’en chargent.