28-09-2022, 10:59 AM
– Merde! Tu vois ça Liam, on dirait le frère des nôtres.
Liam s'approcha et l'observa de près. Jean arriva à ce moment-là.
– C'est un coffret Boulle authentique, il a un double fond mais avec Pierre nous n'avons jamais pu l’ouvrir. On aurait pu le forcer mais on trouvait dommage de l’endommager. En général ces modèles allaient par paire.
– Oui, je sais Jean, mais là, je suis étonné, fort surpris, même.
– Ah bon, et je peux savoir pourquoi ?
– Bé, tu veux bien aller chercher le tien ?
J'y allais et on les posa sur le bureau. Jean et Liam les observèrent à la loupe. Et le jugement tomba :
– Ils sont identiques, c'est un miracle d'avoir la paire !
– Et si je vous disais qu'en fait ce n'est pas une paire mais un triplet ?
– Pardon ?
Liam sortit son téléphone et lui montra les photos de nos deux coffrets. Il n'en revenait pas.
– Pierre est bien plus féru que moi sur le sujet mais hélas il n'est pas disponible pour le moment. Vous croyez que vos clefs pourraient actionner la serrure et déverrouiller le double fond ?
– On va essayer.
Les clefs fonctionnaient comme avec celui de Liam et le double fond s'ouvrit sur tout un tas de manuscrits. Jean les retira précautionneusement et vérifia qu’il n’y avait rien d’autre, avant de les remettre en place.
– Si ça ne vous embête pas, je vais vous demander de garder le secret sur ça. On fera la surprise à Pierre quand il rentrera.
On promit tous de garder le secret. On finit de transférer les affaires de l'armoire et Jean et Hadrien se chargeraient de descendre les affaires de la chambre. Ils nous remercièrent de notre aide et partirent pour l’hôpital.
On alla faire une ballade en ville - où tout était fermé ou presque. Après deux heures à arpenter les rues, on revint à l’appart. Jean et Hadrien étaient encore absents.
Quand ils rentrèrent, ils vinrent nous donner des nouvelles de Pierre qui se remettait assez bien de son opération. Il devrait rester une dizaine de jours à l'hôpital et ensuite il irait passer un mois dans une maison de repos dans le sud de la Drome.
Jean avait décidé de louer un gîte à proximité, comme ça il pourrait aller le voir tous les jours.
Le lundi matin je me réveillais en pleine forme. Je m'étirais et je souris en voyant la tente que formait ma bite sous le drap. Liam, allongé à côté de moi, me donnait envie. Mais je ne voulais pas le réveiller comme ça, à la ''hussarde'', comme aurait dit mon grand-père.
Aussi je me levais et après un gros pipi mon érection passa. J'allais faire le café et pendant qu'il passait je m'habillais pour aller chercher des viennoiseries mais, alors que je m’approchais du portail, Jean le franchissait à l’inverse. Il me donna du pain et un gros sac de croissants.
– C'est pour vous remercier de votre aide hier. Juste pour marquer le coup.
– Ce n'était pas la peine.
– Oui, je sais que vous n'avez pas fait ça pour une récompense mais ça me fait plaisir.
– Merci, mais il y en a beaucoup trop !
– Vous êtes jeunes, çà passera bien. Sinon au frigo pour demain, ça se conserve impeccablement.
Hadrien repart après le repas de midi. Pierre va beaucoup mieux et il vous remercie pour ce que vous avez fait pour lui.
Après l'avoir remercié je rentrais à la maison. J'allais à la chambre et Liam n'était plus dans le lit. J'entendais l'eau couler dans la salle de bain. Je me mis nu et j'allais le rejoindre. Il tournait le dos à la porte et la vue de ses belles fesses me donna une érection instantanée. Je me collais à lui, ce qui lui fit pousser un cri de surprise.
Il se retourna et m’embrassa.
– On va prendre le petit déjeuner ? J'ai faim.
– Mais Liam, j'ai envie.
– Oui, moi aussi mais j'ai encore plus faim ! On retournera au lit après.
Ce coquin me dit ça avec un tel sourire que je ne pus qu’accepter.
Il nous restait du pain de la veille et j'avais envie de pain grillé. Liam m'en piqua quelques tranches. Mais il préférait me les chiper une fois que j'avais fait mes tartines. Évidemment, il le faisait d'une manière telle que je ne pouvais rien y dire.
Joris arriva à moitié réveillé. Il nous fit la bise, s'assit en face de moi et machinalement prit la tartine que je venais de faire et poser sur la table.
– Dites-moi, vous voulez me faire mourir de faim ce matin, c’est ça ?
– Mais, qu'est-ce qu'il a à râler comme ça, celui-là, de bon matin ?
C'est Rémi - encore moins réveillé que Joris - qui venait de faire son entrée. Il fit un bisou à son chéri, alla faire la bise à Liam et vint s'installer sur mes genoux. Il passa un bras autour de mon cou et me dit :
– Gentil Bé, tu veux bien m'en faire une aussi ?
– Puisque c'est si gentiment demandé, oui je vais te la faire.
– Avec beaucoup de confiture, s'il te plaît.
– Comme son altesse le désire.
Il mordit dedans, me fit un gros bisou collant sur la joue pour me remercier et s’assit à sa place. Je pus enfin manger à ma faim !
Tout ce qui rentre d'un côté doit ressortir de l'autre, j’abandonnais la vaisselle et le rangement aux autres … et sachant qu'avec Liam on devait aller se recoucher, je pris une douche ‘‘interne’’ après. Puis je retournais discuter un peu avec eux.
Chacun son tour s’éclipsa un moment et on décida de retourner ''dormir'' un chouia.
Liam se colla à moi et commença à me faire plein de petits bisous de partout. Je voulus les lui rendre mais il me demanda de me laisser faire.
Tout doucement il descendit vers mon entrejambe. Il commença à mordiller et à sucer ma queue raide à travers mon boxer. Puis il réussit à me l'enlever qu'avec les dents. Et il commença à me donner des coups de langue comme un chat qui lape son lait.
– Retourne toi Liam, j'ai faim aussi.
– Oui, mais à condition que tu ne touches pas mon sexe.
– Mais pourquoi ?
– Occupe-toi de mes fesses, Bé.
Et je me retrouvais avec son cul magnifique à portée de bouche. Je commençais par lui caresser le dos, ce magnifique dos en V qu'il avait, puis je me mis à pétrir ses fesses si fermes avant de les écarter et je m'occupais enfin de sa rondelle, si attirante, avec ma langue fureteuse.
Je savais qu'il adorait cette caresse et le pétrissage de ses fesses conjugué à l'action de ma langue fit qu'à un moment je sentis des gouttes de liquide séminal couler le long de mes abdos.
On gémissait en sourdine.
De temps en temps vicieusement je lui caressais le sexe. Ça ne faisait qu’accroître sa production de liquide séminal.
– Bé, prends-moi, j'en ai trop envie.
– Comment tu veux que je te prenne.
– Je vais m'allonger sur le ventre.
Il se leva, courut à la salle de bain et revint avec une serviette de toilette qu'il plia en deux et la posa au niveau de son sexe. Je m'allongeais sur lui et je commençais à le prendre en douceur.
Il avait beau donner des coups de fesses pour que j'accélère, je n'en fis rien. Et je lui fis longtemps, très longtemps même, l'amour dans cette position.
Il gémissait de plus en plus fort, me suppliait d'y aller plus fort, plus vite. Je restais insensible à ses demandes et gardais un rythme de métronome.
Sous moi je sentais son corps trembler de plus en plus. De temps en temps je le sentais se raidir et tout d'un coup :
– Oh my god ! Oh my god ! I cummmm !
Sous moi, son corps se raidit puis je sentis les secousses chaque fois qu'un jet s'échappait de son méat. Il serra tellement ses sphincters autour de mon sexe que ça me fit jouir aussi.
Je m'écroulais sur lui.
On mit longtemps avant de se déplacer tellement on était bien comme ça. Mais il me fallut bouger et Liam se leva aussi. Il avait le ventre couvert de son propre sperme sans compter le mien qui était en train de ressortir …
On alla prendre une douche réparatrice. J'enfilais un pantalon de jogging, un tee-shirt et je descendis . Rémi et Joris n'avaient pas eu le temps de monter à l'étage pour s’aimer. Il étaient sur le canapé et Joris prenait Rémi d’un bon rythme. Je voyais ses couilles rebondir sur le fessier où œuvrait son chibre. Liam arriva et je lui montrais la scène.
Vus les gémissements de ces zigotos, leur jouissance était proche. Aussi on remonta discrètement. On y retourna un peu plus tard, le temps de nous faire un bon 69 parce que de voir nos amis faire l'amour nous avait excité. Ils n'étaient plus là, à notre retour.
On regarda ce qu'il y avait dans le frigo. On prépara une salade et comme il y avait des frites au four et des steaks, le repas de midi était tout trouvé.
Un petit quart d'heure après, Joris et Rémi descendirent.
– Bé, avec Joris j’ai fait un pari.
– Un pari sur quoi ?
– Attend, je te montre.
On était tous penché sur l'écran de son téléphone quand la vidéo se lança. C'était un numéro de cirque. Sur la scène, deux acrobates en boxer doré font leur prestation. Un gars musclé - mon gabarit - servait de porteur à un gars du format de Joris. Le gars lui grimpait droit sur les épaules, le porteur tendait les bras. Puis le gars montait l'équilibre et redescendait en passant une jambe tendue de chaque côté de la tête du porteur en faisant l’équerre.
– Et c'est quoi le pari ?
– Bin, Joris dit que tu peux le faire et moi, non.
– On n'a qu'à essayer. Déjà si en ayant les bras tendus avec Joris dessus j'arrive à tenir. Après on verra.
– D’accord! Assieds-toi par terre.
– Pourquoi, m’assoir par terre ?
– Comme ça si tu me lâches je me ferai moins mal au cul en tombant.
– T'es con toi !
Après plusieurs tentatives on y arriva enfin. Bon Joris resta moins longtemps dans la position que sur la vidéo mais on y arriva. À force d’essais on s'était mis torse nu, vu la chaleur donnée par l’exercice et pour les tout derniers, Joris n'était plus qu'en boxer bleu foncé, son pantalon lui collait par la transpiration et empêchait ses mouvements.
– Tu devrais faire pareil, Bé et quitter ton jogging. Comme ça, je vous filme à l’identique que les performers!
– Sauf que sous le jogging je suis nu.
Liam baissa le haut de mon pantalon jusqu’aux couilles et dit simplement :
– Je confirme, rien dessous !
Je suis remonté enfiler un boxer – bleu foncé, pour être raccord – et la petite vidéo fut mise en boite.
On fit le repas tous ensemble et alors qu'on buvait le café ça sonnait à la porte. j’allais ouvrir et je fis entrer Jean, accompagné d’Hadrien.
– Je viens vous avertir que je m'en vais. Ce matin les docteurs ont décidé d'envoyer Pierre sur Lyon pour lui faire des examens plus poussés. Je remonte donc avec Hadrien. Je voulais vous demander si vous vouliez bien réexpédier notre courrier à son adresse ?
– Sans problème et si besoin d’autres choses, n’hésitez pas à nous demander.
On discuta encore un instant et ils partirent.
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Liam s'approcha et l'observa de près. Jean arriva à ce moment-là.
– C'est un coffret Boulle authentique, il a un double fond mais avec Pierre nous n'avons jamais pu l’ouvrir. On aurait pu le forcer mais on trouvait dommage de l’endommager. En général ces modèles allaient par paire.
– Oui, je sais Jean, mais là, je suis étonné, fort surpris, même.
– Ah bon, et je peux savoir pourquoi ?
– Bé, tu veux bien aller chercher le tien ?
J'y allais et on les posa sur le bureau. Jean et Liam les observèrent à la loupe. Et le jugement tomba :
– Ils sont identiques, c'est un miracle d'avoir la paire !
– Et si je vous disais qu'en fait ce n'est pas une paire mais un triplet ?
– Pardon ?
Liam sortit son téléphone et lui montra les photos de nos deux coffrets. Il n'en revenait pas.
– Pierre est bien plus féru que moi sur le sujet mais hélas il n'est pas disponible pour le moment. Vous croyez que vos clefs pourraient actionner la serrure et déverrouiller le double fond ?
– On va essayer.
Les clefs fonctionnaient comme avec celui de Liam et le double fond s'ouvrit sur tout un tas de manuscrits. Jean les retira précautionneusement et vérifia qu’il n’y avait rien d’autre, avant de les remettre en place.
– Si ça ne vous embête pas, je vais vous demander de garder le secret sur ça. On fera la surprise à Pierre quand il rentrera.
On promit tous de garder le secret. On finit de transférer les affaires de l'armoire et Jean et Hadrien se chargeraient de descendre les affaires de la chambre. Ils nous remercièrent de notre aide et partirent pour l’hôpital.
On alla faire une ballade en ville - où tout était fermé ou presque. Après deux heures à arpenter les rues, on revint à l’appart. Jean et Hadrien étaient encore absents.
Quand ils rentrèrent, ils vinrent nous donner des nouvelles de Pierre qui se remettait assez bien de son opération. Il devrait rester une dizaine de jours à l'hôpital et ensuite il irait passer un mois dans une maison de repos dans le sud de la Drome.
Jean avait décidé de louer un gîte à proximité, comme ça il pourrait aller le voir tous les jours.
Le lundi matin je me réveillais en pleine forme. Je m'étirais et je souris en voyant la tente que formait ma bite sous le drap. Liam, allongé à côté de moi, me donnait envie. Mais je ne voulais pas le réveiller comme ça, à la ''hussarde'', comme aurait dit mon grand-père.
Aussi je me levais et après un gros pipi mon érection passa. J'allais faire le café et pendant qu'il passait je m'habillais pour aller chercher des viennoiseries mais, alors que je m’approchais du portail, Jean le franchissait à l’inverse. Il me donna du pain et un gros sac de croissants.
– C'est pour vous remercier de votre aide hier. Juste pour marquer le coup.
– Ce n'était pas la peine.
– Oui, je sais que vous n'avez pas fait ça pour une récompense mais ça me fait plaisir.
– Merci, mais il y en a beaucoup trop !
– Vous êtes jeunes, çà passera bien. Sinon au frigo pour demain, ça se conserve impeccablement.
Hadrien repart après le repas de midi. Pierre va beaucoup mieux et il vous remercie pour ce que vous avez fait pour lui.
Après l'avoir remercié je rentrais à la maison. J'allais à la chambre et Liam n'était plus dans le lit. J'entendais l'eau couler dans la salle de bain. Je me mis nu et j'allais le rejoindre. Il tournait le dos à la porte et la vue de ses belles fesses me donna une érection instantanée. Je me collais à lui, ce qui lui fit pousser un cri de surprise.
Il se retourna et m’embrassa.
– On va prendre le petit déjeuner ? J'ai faim.
– Mais Liam, j'ai envie.
– Oui, moi aussi mais j'ai encore plus faim ! On retournera au lit après.
Ce coquin me dit ça avec un tel sourire que je ne pus qu’accepter.
Il nous restait du pain de la veille et j'avais envie de pain grillé. Liam m'en piqua quelques tranches. Mais il préférait me les chiper une fois que j'avais fait mes tartines. Évidemment, il le faisait d'une manière telle que je ne pouvais rien y dire.
Joris arriva à moitié réveillé. Il nous fit la bise, s'assit en face de moi et machinalement prit la tartine que je venais de faire et poser sur la table.
– Dites-moi, vous voulez me faire mourir de faim ce matin, c’est ça ?
– Mais, qu'est-ce qu'il a à râler comme ça, celui-là, de bon matin ?
C'est Rémi - encore moins réveillé que Joris - qui venait de faire son entrée. Il fit un bisou à son chéri, alla faire la bise à Liam et vint s'installer sur mes genoux. Il passa un bras autour de mon cou et me dit :
– Gentil Bé, tu veux bien m'en faire une aussi ?
– Puisque c'est si gentiment demandé, oui je vais te la faire.
– Avec beaucoup de confiture, s'il te plaît.
– Comme son altesse le désire.
Il mordit dedans, me fit un gros bisou collant sur la joue pour me remercier et s’assit à sa place. Je pus enfin manger à ma faim !
Tout ce qui rentre d'un côté doit ressortir de l'autre, j’abandonnais la vaisselle et le rangement aux autres … et sachant qu'avec Liam on devait aller se recoucher, je pris une douche ‘‘interne’’ après. Puis je retournais discuter un peu avec eux.
Chacun son tour s’éclipsa un moment et on décida de retourner ''dormir'' un chouia.
Liam se colla à moi et commença à me faire plein de petits bisous de partout. Je voulus les lui rendre mais il me demanda de me laisser faire.
Tout doucement il descendit vers mon entrejambe. Il commença à mordiller et à sucer ma queue raide à travers mon boxer. Puis il réussit à me l'enlever qu'avec les dents. Et il commença à me donner des coups de langue comme un chat qui lape son lait.
– Retourne toi Liam, j'ai faim aussi.
– Oui, mais à condition que tu ne touches pas mon sexe.
– Mais pourquoi ?
– Occupe-toi de mes fesses, Bé.
Et je me retrouvais avec son cul magnifique à portée de bouche. Je commençais par lui caresser le dos, ce magnifique dos en V qu'il avait, puis je me mis à pétrir ses fesses si fermes avant de les écarter et je m'occupais enfin de sa rondelle, si attirante, avec ma langue fureteuse.
Je savais qu'il adorait cette caresse et le pétrissage de ses fesses conjugué à l'action de ma langue fit qu'à un moment je sentis des gouttes de liquide séminal couler le long de mes abdos.
On gémissait en sourdine.
De temps en temps vicieusement je lui caressais le sexe. Ça ne faisait qu’accroître sa production de liquide séminal.
– Bé, prends-moi, j'en ai trop envie.
– Comment tu veux que je te prenne.
– Je vais m'allonger sur le ventre.
Il se leva, courut à la salle de bain et revint avec une serviette de toilette qu'il plia en deux et la posa au niveau de son sexe. Je m'allongeais sur lui et je commençais à le prendre en douceur.
Il avait beau donner des coups de fesses pour que j'accélère, je n'en fis rien. Et je lui fis longtemps, très longtemps même, l'amour dans cette position.
Il gémissait de plus en plus fort, me suppliait d'y aller plus fort, plus vite. Je restais insensible à ses demandes et gardais un rythme de métronome.
Sous moi je sentais son corps trembler de plus en plus. De temps en temps je le sentais se raidir et tout d'un coup :
– Oh my god ! Oh my god ! I cummmm !
Sous moi, son corps se raidit puis je sentis les secousses chaque fois qu'un jet s'échappait de son méat. Il serra tellement ses sphincters autour de mon sexe que ça me fit jouir aussi.
Je m'écroulais sur lui.
On mit longtemps avant de se déplacer tellement on était bien comme ça. Mais il me fallut bouger et Liam se leva aussi. Il avait le ventre couvert de son propre sperme sans compter le mien qui était en train de ressortir …
On alla prendre une douche réparatrice. J'enfilais un pantalon de jogging, un tee-shirt et je descendis . Rémi et Joris n'avaient pas eu le temps de monter à l'étage pour s’aimer. Il étaient sur le canapé et Joris prenait Rémi d’un bon rythme. Je voyais ses couilles rebondir sur le fessier où œuvrait son chibre. Liam arriva et je lui montrais la scène.
Vus les gémissements de ces zigotos, leur jouissance était proche. Aussi on remonta discrètement. On y retourna un peu plus tard, le temps de nous faire un bon 69 parce que de voir nos amis faire l'amour nous avait excité. Ils n'étaient plus là, à notre retour.
On regarda ce qu'il y avait dans le frigo. On prépara une salade et comme il y avait des frites au four et des steaks, le repas de midi était tout trouvé.
Un petit quart d'heure après, Joris et Rémi descendirent.
– Bé, avec Joris j’ai fait un pari.
– Un pari sur quoi ?
– Attend, je te montre.
On était tous penché sur l'écran de son téléphone quand la vidéo se lança. C'était un numéro de cirque. Sur la scène, deux acrobates en boxer doré font leur prestation. Un gars musclé - mon gabarit - servait de porteur à un gars du format de Joris. Le gars lui grimpait droit sur les épaules, le porteur tendait les bras. Puis le gars montait l'équilibre et redescendait en passant une jambe tendue de chaque côté de la tête du porteur en faisant l’équerre.
– Et c'est quoi le pari ?
– Bin, Joris dit que tu peux le faire et moi, non.
– On n'a qu'à essayer. Déjà si en ayant les bras tendus avec Joris dessus j'arrive à tenir. Après on verra.
– D’accord! Assieds-toi par terre.
– Pourquoi, m’assoir par terre ?
– Comme ça si tu me lâches je me ferai moins mal au cul en tombant.
– T'es con toi !
Après plusieurs tentatives on y arriva enfin. Bon Joris resta moins longtemps dans la position que sur la vidéo mais on y arriva. À force d’essais on s'était mis torse nu, vu la chaleur donnée par l’exercice et pour les tout derniers, Joris n'était plus qu'en boxer bleu foncé, son pantalon lui collait par la transpiration et empêchait ses mouvements.
– Tu devrais faire pareil, Bé et quitter ton jogging. Comme ça, je vous filme à l’identique que les performers!
– Sauf que sous le jogging je suis nu.
Liam baissa le haut de mon pantalon jusqu’aux couilles et dit simplement :
– Je confirme, rien dessous !
Je suis remonté enfiler un boxer – bleu foncé, pour être raccord – et la petite vidéo fut mise en boite.
On fit le repas tous ensemble et alors qu'on buvait le café ça sonnait à la porte. j’allais ouvrir et je fis entrer Jean, accompagné d’Hadrien.
– Je viens vous avertir que je m'en vais. Ce matin les docteurs ont décidé d'envoyer Pierre sur Lyon pour lui faire des examens plus poussés. Je remonte donc avec Hadrien. Je voulais vous demander si vous vouliez bien réexpédier notre courrier à son adresse ?
– Sans problème et si besoin d’autres choses, n’hésitez pas à nous demander.
On discuta encore un instant et ils partirent.
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