23-09-2022, 11:34 AM
Je ne trouve pas le sommeil. Je pense à Ben mon chéri. Je me demande ce qu’il fait en ce moment, si le camp louveteau se passe bien, s’il s’est bien intégré dans le staff des animateurs ? Bref je pense à mon Ben d’amour. Je le revois « nu » alors que nous étions ensemble dans mon lit ou même le sien. Il ne faut pas attendre longtemps pour que mon pénis se gorge de sang et prenne de l’ampleur.
Je dépose ma main dessus et lascivement je me caresse. Alex et Gaby dorment, j’entends leurs respirations régulières. Je ne sais pas si Ghislain lui aussi dort. Je poursuis ma masturbation en l’arrêtant de temps en temps pour écouter si tout est toujours calme dans les environs. À un moment j’entends des bruits de frottements caractéristiques d’une pratique masturbatoire. Le bruit provient du côté de Ghislain. Pas de doute, il se masturbe lui aussi, tout comme moi.
Je reprends ma masturbation en accélérant le rythme tout comme mon voisin. Je sens bien que dans les minutes qui viennent je vais lâcher la purée. J’ai ma respiration qui s’accélère tout comme celle de Ghislain. Je ne m’inquiète pas outre mesure, tout compte fait il est plus âgé que moi, mais de deux ans seulement, ça lui fait dix-neuf ans.
Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps. À côté de moi, dans son lit de camp, mon compagnon de branlette est en train d’éjaculer. En entendant ça, je joui dans les quinze secondes qui suivent. Le temps de laisser retomber la tension et d’essuyer les traces, pas un mot n’est prononcé. Nous savons l’un et l’autre que nous nous sommes donnés du plaisir en solo.
Ghi : (A voix basse) : « Ça fait du bien, j’attendais ce moment depuis ce matin !
Moi : Je sais ce que c’est, il faut faire baisser la pression !
Ghi : Je te demande de ne rien dire aux autres, je préfère qu’ils ne sachent rien !
Moi : Tu peux compter sur moi. Hem … je suppose que de ton côté tu ne diras rien non plus ?
Ghi : Oui tu peux compter sur moi. Bonne nuit Phil.
Moi : Bonne nuit Ghislain.
Ghi : Merci, tu sais tu peux m’appeler « Gigi » !
Moi : Parfait Gigi. »
Dans les minutes qui suivent je rejoins le pays des rêves en pensant à mon chéri. Je suis très heureux de connaître l’ambiance d’un camp de l’autre côté de la barrière. Je rêve donc des camps que j’ai vécus intensément durant mon adolescence, soit au début de mes premiers émois.
C’est vers trois heures trente que nous sommes réveillés par Bruno. C’est effectivement l’heure à laquelle nous devons nous tenir prêts pour le départ vers le nouvel endroit de camp. Les patrouilles sont donc réveillées et le départ est annoncé à quatre heures quinze au plus tard. Les scouts se rendent compte que le camp itinérant a bien débuté !
Effectivement les patrouilles sont prêtes à l’heure dite pour suivre les indications données sur un roadbook. Une carte militaire est également jointe. Les chefs de patrouille étudient le tout et au bout d’un certain temps c’est le départ. Les quatre patrouilles s’ébranlent avec tout le matériel, à savoir les tentes, les ustensiles de cuisine et une partie de la nourriture pour un à deux jours.
L’ensemble des animateurs voit les scouts quitter le camp initial dans la nuit noire, avec des lampes torches et les documents de « voyage ». Je suis chargé de suivre la patrouille des Éléphants à distances en vue de vérifier si tout se passe bien. C’est en sorte une sécurité pour éviter les accidents.
Je suis donc les six scouts qui marchent dans l’obscurité et seulement éclairés avec leurs lampes torches. Après un quart d’heure de marche Fabrice, le CP, demande aux scouts ne n’utiliser qu’une lampe à l’avant pour voir où ils vont et une de réserve à l’arrière, au cas où un véhicule surgirait. Je ne cache pas que suis content de voir qu’il pense et réfléchit comme un chef de patrouille et pour la sécurité du groupe qu’il mène.
Je peux voir que Jean-Philippe est souvent consulté par ceux qui tiennent la carte tour à tour. Il semble que ce jeune scout ait trouvé sa place au sein de sa patrouille. Je dois faire attention de mon côté de ne pas me faire surprendre, ce qui serait un moindre mal, mais de ne pas me prendre à mon tour, ce qui serait peut-être dommageable. J’ai moi aussi une carte et une lampe torche qui permet de diffuser l’éclairage en fonction de la demande, soit très peu pour lire une carte ou alors plus fort pour suivre le chemin dans l’obscurité totale.
Les scouts progressent bien. Je suis certains qu’ils sont tous motivés de faire cet exercice d’orientation de nuit avec tout le matériel. Je suis aussi étonné de voir que tout a été préparé et prévu pour que les scouts soient d’une part autonomes, mais aussi soutenus en cas de soucis.
Au camp louveteau.
C’est le matin et les animateurs se préparent à réveiller les loups. Ben et Michel se chargent de Pierric. Il a passé une très bonne nuit. Il a le sourire aux lèvres, comme chaque matin, on sent qu’il est content d’être là, choyé par les animateurs et apprécié des autres jeunes.
Le petit déjeuner se déroule sans problème et les activités de la matinée se déroulent à l’intérieur car il fait particulièrement froid ce matin, il y a même un peu de gelée au sol. C’est alors le moment de poursuivre l’atelier « expression corporelle ». Pierric est toujours aussi emballé par cette formation. Il découvre si l’on veut, le mime et le fait de ne rien dire, ce qui implique qu’il faille mettre tout dans l’expression tant du corps que du visage. Il y a aussi l’interaction entre tous les membres du morceau joué, ce qui ajoute à la compréhension du message qu’ils tentent de faire passer.
Kaa (Pierre-Yves) est super admiratif devant les sept jeunes qui se démènent pour présenter quelque chose de cohérent. Chacun a une place particulière dans cette « pièce ». C’est un tout et ils font partie de ce tout ! Le fait que Pierric soit en chaise roulante ne gêne en rien le bon déroulement du jeu d’acteur. Il est à sa place. Tous se sentent portés les uns par les autres. Ben sent très bien que quelque chose de beau est en train de se tisser entre les sept loups.
Les autres louveteaux font du bricolage avec du papier. Ils confectionnent des petits bonshommes en papier mâché. D’autres s’occupent de dessiner sur de grandes feuilles de papier une sorte de décors pour la grande veillée de fin de camp. Bref ils sont tous appliqués, on pourrait parfois entendre les mouches voler.
Après le repas de midi et une petite sieste, c’est la sortie au grand air, le soleil est revenu et il fait déjà plus chaud sous ses rayons. La sortie est en fait une promenade dans les environs. Les loups de la sizaine de Pierric se chargent de le pousser à tour de rôle. Chacun y met du sien pour le plus grand plaisir de l’enfant.
L’ambiance est au beau fixe et tout se passe pour le mieux. Le souper et la veillée du soir se passent sans souci, mis à part une petite altercation entre deux loups concernant un changement de place lors de la veillée. Akéla tranche et sépare les deux enfants leur laissant le temps de réfléchir avant de se serrer la main en guise de calumet de la paix.
La mise au lit des louveteaux se fait dans un bon climat, des rires se font entendre preuve d’une bonne cohésion dans le groupe. Pierric est apprêté pour la nuit. Il est toujours souriant et à la fois très affable car il a toujours quelque chose à dire ou une remarque à formuler. Il est très ouvert malgré son handicap.
C’est le debriefing habituel lors duquel tout est passé en revue. Pas grand-chose à dire, si ce n’est qu’il faut faire un grand jeu avec les loups le lendemain, car le temps passe vite et qu’il ne reste en fin de compte qu’une seule grande journée.
C’est maintenant le moment pour les animateurs d’aller se coucher. Avant ça, c’est le passage à la douche. Ben, Christophe, Raphaël et Jean-Michel sont dans la salle d’eau. Ils se mettent nus et vont chacun sous un pommeau de douche. Ben fait attention car il a peur de commencer à bander. Il est souvent face au mur pour se savonner. Raph regarde Ben et n’ose rien tenter. C’est Christophe qui ne sait pas où se mettre. Son pénis est gonflé et pointe vers le plafond. Jean-Michel s’en amuse, il faut dire qu’il a une semi-érection. C’est alors le fou-rire qui met tout le monde d’accord. Ben se retourne et n’a donc pas peur de ce qui peut arriver.
Jean-Michel bande carrément, il se caresse alors lascivement le sexe. Il n’en faut pas plus pour que les trois autres gars se retrouvent avec la queue bandée. Jean-Michel leur dit alors de ne pas s’en faire et qu’ils peuvent se branler pour libérer toute la tension. Les quatre garçons se masturbent en solo tout en regardant les autres se donner du plaisir. Ils jouissent les uns après les autres et c’est le jet d’eau chaude qui lave leurs sécrétions.
Une fois bien séchés, ils retournent en chambre pour se mettre au lit et passer une très bonne nuit dans les bras de Morphée. Il est évident que Ben pense qu’il devra tout au moins dire ce qui s’est passé à son chéri. Personne dans les quatre jeunes ne dira ce qui s’est passé sous les douches ! Ce n’est finalement qu’une branlette en groupe comme il en existe dans tous les clubs de sport ou centres de vacances.
Je dépose ma main dessus et lascivement je me caresse. Alex et Gaby dorment, j’entends leurs respirations régulières. Je ne sais pas si Ghislain lui aussi dort. Je poursuis ma masturbation en l’arrêtant de temps en temps pour écouter si tout est toujours calme dans les environs. À un moment j’entends des bruits de frottements caractéristiques d’une pratique masturbatoire. Le bruit provient du côté de Ghislain. Pas de doute, il se masturbe lui aussi, tout comme moi.
Je reprends ma masturbation en accélérant le rythme tout comme mon voisin. Je sens bien que dans les minutes qui viennent je vais lâcher la purée. J’ai ma respiration qui s’accélère tout comme celle de Ghislain. Je ne m’inquiète pas outre mesure, tout compte fait il est plus âgé que moi, mais de deux ans seulement, ça lui fait dix-neuf ans.
Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps. À côté de moi, dans son lit de camp, mon compagnon de branlette est en train d’éjaculer. En entendant ça, je joui dans les quinze secondes qui suivent. Le temps de laisser retomber la tension et d’essuyer les traces, pas un mot n’est prononcé. Nous savons l’un et l’autre que nous nous sommes donnés du plaisir en solo.
Ghi : (A voix basse) : « Ça fait du bien, j’attendais ce moment depuis ce matin !
Moi : Je sais ce que c’est, il faut faire baisser la pression !
Ghi : Je te demande de ne rien dire aux autres, je préfère qu’ils ne sachent rien !
Moi : Tu peux compter sur moi. Hem … je suppose que de ton côté tu ne diras rien non plus ?
Ghi : Oui tu peux compter sur moi. Bonne nuit Phil.
Moi : Bonne nuit Ghislain.
Ghi : Merci, tu sais tu peux m’appeler « Gigi » !
Moi : Parfait Gigi. »
Dans les minutes qui suivent je rejoins le pays des rêves en pensant à mon chéri. Je suis très heureux de connaître l’ambiance d’un camp de l’autre côté de la barrière. Je rêve donc des camps que j’ai vécus intensément durant mon adolescence, soit au début de mes premiers émois.
C’est vers trois heures trente que nous sommes réveillés par Bruno. C’est effectivement l’heure à laquelle nous devons nous tenir prêts pour le départ vers le nouvel endroit de camp. Les patrouilles sont donc réveillées et le départ est annoncé à quatre heures quinze au plus tard. Les scouts se rendent compte que le camp itinérant a bien débuté !
Effectivement les patrouilles sont prêtes à l’heure dite pour suivre les indications données sur un roadbook. Une carte militaire est également jointe. Les chefs de patrouille étudient le tout et au bout d’un certain temps c’est le départ. Les quatre patrouilles s’ébranlent avec tout le matériel, à savoir les tentes, les ustensiles de cuisine et une partie de la nourriture pour un à deux jours.
L’ensemble des animateurs voit les scouts quitter le camp initial dans la nuit noire, avec des lampes torches et les documents de « voyage ». Je suis chargé de suivre la patrouille des Éléphants à distances en vue de vérifier si tout se passe bien. C’est en sorte une sécurité pour éviter les accidents.
Je suis donc les six scouts qui marchent dans l’obscurité et seulement éclairés avec leurs lampes torches. Après un quart d’heure de marche Fabrice, le CP, demande aux scouts ne n’utiliser qu’une lampe à l’avant pour voir où ils vont et une de réserve à l’arrière, au cas où un véhicule surgirait. Je ne cache pas que suis content de voir qu’il pense et réfléchit comme un chef de patrouille et pour la sécurité du groupe qu’il mène.
Je peux voir que Jean-Philippe est souvent consulté par ceux qui tiennent la carte tour à tour. Il semble que ce jeune scout ait trouvé sa place au sein de sa patrouille. Je dois faire attention de mon côté de ne pas me faire surprendre, ce qui serait un moindre mal, mais de ne pas me prendre à mon tour, ce qui serait peut-être dommageable. J’ai moi aussi une carte et une lampe torche qui permet de diffuser l’éclairage en fonction de la demande, soit très peu pour lire une carte ou alors plus fort pour suivre le chemin dans l’obscurité totale.
Les scouts progressent bien. Je suis certains qu’ils sont tous motivés de faire cet exercice d’orientation de nuit avec tout le matériel. Je suis aussi étonné de voir que tout a été préparé et prévu pour que les scouts soient d’une part autonomes, mais aussi soutenus en cas de soucis.
Au camp louveteau.
C’est le matin et les animateurs se préparent à réveiller les loups. Ben et Michel se chargent de Pierric. Il a passé une très bonne nuit. Il a le sourire aux lèvres, comme chaque matin, on sent qu’il est content d’être là, choyé par les animateurs et apprécié des autres jeunes.
Le petit déjeuner se déroule sans problème et les activités de la matinée se déroulent à l’intérieur car il fait particulièrement froid ce matin, il y a même un peu de gelée au sol. C’est alors le moment de poursuivre l’atelier « expression corporelle ». Pierric est toujours aussi emballé par cette formation. Il découvre si l’on veut, le mime et le fait de ne rien dire, ce qui implique qu’il faille mettre tout dans l’expression tant du corps que du visage. Il y a aussi l’interaction entre tous les membres du morceau joué, ce qui ajoute à la compréhension du message qu’ils tentent de faire passer.
Kaa (Pierre-Yves) est super admiratif devant les sept jeunes qui se démènent pour présenter quelque chose de cohérent. Chacun a une place particulière dans cette « pièce ». C’est un tout et ils font partie de ce tout ! Le fait que Pierric soit en chaise roulante ne gêne en rien le bon déroulement du jeu d’acteur. Il est à sa place. Tous se sentent portés les uns par les autres. Ben sent très bien que quelque chose de beau est en train de se tisser entre les sept loups.
Les autres louveteaux font du bricolage avec du papier. Ils confectionnent des petits bonshommes en papier mâché. D’autres s’occupent de dessiner sur de grandes feuilles de papier une sorte de décors pour la grande veillée de fin de camp. Bref ils sont tous appliqués, on pourrait parfois entendre les mouches voler.
Après le repas de midi et une petite sieste, c’est la sortie au grand air, le soleil est revenu et il fait déjà plus chaud sous ses rayons. La sortie est en fait une promenade dans les environs. Les loups de la sizaine de Pierric se chargent de le pousser à tour de rôle. Chacun y met du sien pour le plus grand plaisir de l’enfant.
L’ambiance est au beau fixe et tout se passe pour le mieux. Le souper et la veillée du soir se passent sans souci, mis à part une petite altercation entre deux loups concernant un changement de place lors de la veillée. Akéla tranche et sépare les deux enfants leur laissant le temps de réfléchir avant de se serrer la main en guise de calumet de la paix.
La mise au lit des louveteaux se fait dans un bon climat, des rires se font entendre preuve d’une bonne cohésion dans le groupe. Pierric est apprêté pour la nuit. Il est toujours souriant et à la fois très affable car il a toujours quelque chose à dire ou une remarque à formuler. Il est très ouvert malgré son handicap.
C’est le debriefing habituel lors duquel tout est passé en revue. Pas grand-chose à dire, si ce n’est qu’il faut faire un grand jeu avec les loups le lendemain, car le temps passe vite et qu’il ne reste en fin de compte qu’une seule grande journée.
C’est maintenant le moment pour les animateurs d’aller se coucher. Avant ça, c’est le passage à la douche. Ben, Christophe, Raphaël et Jean-Michel sont dans la salle d’eau. Ils se mettent nus et vont chacun sous un pommeau de douche. Ben fait attention car il a peur de commencer à bander. Il est souvent face au mur pour se savonner. Raph regarde Ben et n’ose rien tenter. C’est Christophe qui ne sait pas où se mettre. Son pénis est gonflé et pointe vers le plafond. Jean-Michel s’en amuse, il faut dire qu’il a une semi-érection. C’est alors le fou-rire qui met tout le monde d’accord. Ben se retourne et n’a donc pas peur de ce qui peut arriver.
Jean-Michel bande carrément, il se caresse alors lascivement le sexe. Il n’en faut pas plus pour que les trois autres gars se retrouvent avec la queue bandée. Jean-Michel leur dit alors de ne pas s’en faire et qu’ils peuvent se branler pour libérer toute la tension. Les quatre garçons se masturbent en solo tout en regardant les autres se donner du plaisir. Ils jouissent les uns après les autres et c’est le jet d’eau chaude qui lave leurs sécrétions.
Une fois bien séchés, ils retournent en chambre pour se mettre au lit et passer une très bonne nuit dans les bras de Morphée. Il est évident que Ben pense qu’il devra tout au moins dire ce qui s’est passé à son chéri. Personne dans les quatre jeunes ne dira ce qui s’est passé sous les douches ! Ce n’est finalement qu’une branlette en groupe comme il en existe dans tous les clubs de sport ou centres de vacances.