20-09-2022, 11:03 AM
Une fois les loups endormis, un petit conseil des animateurs a lieu dans la salle de détente jouxtant la salle à manger. C’est une salle que nous n’avions pas encore vue, la porte y donnant accès est dissimulée derrière un grand panneau d’affichage. Il y a deux petits meubles de rangement, une table, quatre chaises et deux divans deux places. Ça tombe bien, nous sommes huit !
Vincent commence à faire le tour de l’assemblée et demande à chacun de faire part à tous de ce qu’il a apprécié ou pas. C’est aussi le moment de préciser certaines choses et même de faire des suggestions.
C’est alors au tour de Ben d’exposer son point de vue : il a aimé le grand jeu, l’activité de l’après-midi, en l’occurrence l’expression corporelle. Puis il demande : « Si vous avez des choses à me dire à tout point de vue, je suis là pour les entendre. »
Vincent dit qu’il est enchanté de voir combien Ben est impliqué auprès des jeunes moins valides ainsi que pour certains autres loups. Puis c’est Michel qui prend la parole en disant qu’il est lui aussi agréablement surpris par le dévouement de Ben, surtout au niveau de l’aide apportée à Pierric. Il ajoute que c’est un soulagement de pouvoir s’en occuper à plusieurs, car seul, ce n'est pas évident.
Pierre-Yves lui aussi est enchanté de l’aide apportée à l’atelier « d’expression corporelle » ; même avec Pierric, c’est une découverte de la possibilité qu’ont les enfants de s’exprimer autrement.
Ben remercie ceux qui ont parlé. Il ajoute qu’il pense réorienter ses études après la rhéto. Il ne veut plus faire du droit mais bien devenir animateur spécialisé pour jeunes handicapés. Tous applaudissent Ben, car ils se rendent compte du potentiel qui n’attend qu’à se développer chez lui.
Les autres animateurs racontent leurs attentes, soulignant aussi deux ou trois points auxquels il faut être attentifs. Cette petite réunion se termine. Il est temps d’aller se doucher et d’aller dormir, il est déjà presque vingt-trois heures.
Ben et Raphaël se rendent dans la salle d’eau pour prendre une bonne douche. Les douches sont communes et c’est dans le plus simple appareil qu’ils se lavent. Ben se met du gel sur le corps et se savonne, Raph lui aussi fait de même et s’enduit de gel. Il demande à Ben s’il veut bien laver son dos. Ben accepte et lave le dos de son compagnon. Une fois que c’est fini, Raph propose de faire de même pour le dos de Ben. Raph sait s’y prendre et s’occupe de son ami Ben.
Une fois terminé, Ben reste le dos tourné à Raph, pour la bonne et simple raison : il bande ! Raph s’en aperçoit et demande :
Rap : « C’est moi qui t’ai mis dans cet état ?
Ben : Un peu, c’est ton savonnage appliqué de mon dos !
Rap : Désolé, n’aies crainte, tu peux te tourner tu sais.
Ben : OK, mais ne te fous pas de moi.
Rap : Non Ben, je suis … heu dans le même état que toi !
Ben se retourne et montre alors son pénis tendu et découvre celui de Raphaël qui est bandé au maximum. Ben et Raph éclatent de rire. Puis sans rien dire chacun prend son sexe en main et débute des mouvements de masturbation, au début assez lascifs puis de plus en plus appuyés. Raph se rapproche de Ben et s’empare de la queue de celui-ci. Ben a un mouvement de recul, mais comprend qu’il ne s’agit que d’une branlette partagée. Ben prend alors le zizi de Raph et commence à le masturber. Les deux amis se regardent sans rien dire et calquent leurs mouvements pour être synchrones. Après cinq minutes de va et vient, les deux compères éjaculent presque en même temps. Les sécrétions sont nettoyées par l’eau qui n’a cessé de couler.
Ils se sèchent avec leurs draps de bain en silence. Ils enfilent leur slip et avant de quitter la salle d’eau, Raph dit :
Rap : Je propose que ça reste entre nous. Au fait merci, ça m’a rappelé les deux ou trois fois au camp pionnier en Suisse dans la tente avec l’un ou l’autre scout.
Ben : Pas de souci Raph, ça reste un secret pour toi et moi !
Rap : Merci Ben, j’espère que je ne t’ai choqué !
Ben : Non, pas du tout, tant que ce n’est une branlette !
Rap : Je ne comptais pas aller plus loin de toute façon.
Ben : Merci Raph, au moins je suis soulagé, car ça devenait difficile.
Rap : Pour moi également, normalement je me fais du bien presque tous les jours !
Ben : Je ne dis rien de plus, tu te doutes qu’avec Phil nous varions les plaisirs.
Rap : Je m’en doute ! »
Les deux ados reviennent à la chambre et se couchent, les deux autres dorment déjà ! Ben et Raphaël se souhaitent une bonne nuit, apaisés et soulagés de s’être donné un plaisir partagé. Il ne faut pas trois minutes pour que Raph et Ben s’endorment eux aussi et rejoignent le pays des rêves.
Au camp éclaireurs.
Nous arrivons au camp et je vois que Jean-Philippe est pris en charge par Bruno. Je me change sans attendre dans ma tente et je rejoins notre infortuné scout. Bruno tente de le réchauffer. Je demande à Jean-Philippe de bien vouloir retirer son slip mouillé et de bien se sécher. Je le laisse changer de slip. Fabrice et Yvan entre eux aussi dans la tente, ils retirent leurs vêtements mouillés. Ils sont nus et se sèchent avec leur drap de bain. Jean-Philippe n’ose pas trop regarder les deux scouts aînés de sa patrouille, je vois quand même qu’il zieute de temps en temps en leur direction. Bref je détourne son attention et le frictionne avec un drap de bain bien sec.
Bruno de son côté allume le feu de camp pour que les scouts puissent se réchauffer. Nous nous retrouvons autour du feu, sa chaleur est bienfaisante et très appréciée. Les autres patrouilles sont toutes de retour et les conversations vont bon train au sujet de la chute dans l’Ourthe de Jean-Philippe et on entend aussi parler de l’intervention pour le récupérer. Patrick et Roger s’activent de leur côté à la préparation du souper. En attendant du thé chaud est prêt, toujours en vue de se réchauffer le rescapés.
Un scout par patrouille est désigné pour donner un coup de main aux deux intendants pour la préparation du repas. D’autres scouts sont à la recherche de bois pour le feu dans le sous-bois qui jouxte le terrain de camp.
Jean-Philippe semble s’être bien réchauffé, il dit ne plus avoir froid. Il porte un gros pull en laine ainsi que sa veste, il est donc bien emmitouflé. La troupe est rassemblée pour le souper. Chacun a sa gamelle et ses couverts et chaque patrouille passe devant les intendants pour être servie. C’est un repas assez simple : une potée aux carottes avec des lardons fumés, de la saucisse de campagne et le tout suivi d’un yaourt et d’une pomme. Les jeunes mangent de bon appétit et ce repas semble être apprécié par tous.
Les scouts sont bien drillés, ils savent se répartir les tâches, un scout par patrouille est désigné pour faire la vaisselle avec Roger et Patrick. Une fois faite, le feu de camp peut débuter. Les chansonniers sont prêts, la guitare aussi. Avant de commencer ce moment de partage en chansons, Bruno prend la parole :
Bru : « Juste un petit mot sur ce qui s’est passé lors de la traversée de la rivière. Un de vos camarades est tombé dans l’eau, chose qui peut arriver. Le courant était assez fort et c’est grâce à la réaction très rapide de Fabrice, Yvan et Phil que Jean-Philippe a été récupéré et c’est aussi sans compter sur la réaction de Patrick et Roger.
J-Ph : Je voudrais remercier tous ceux qui m’ont sauvé. Merci les gars ! »
Des applaudissements ponctuent ce quelques mots. Il n’y a pas grand-chose à ajouter. Chacun des scouts sait bien qu’il faut toujours se tenir prêt, ils l’ont vécu comme une réalité. Ils se rendent tous compte que c’est l’application de la devise scoute : « Toujours prêt » !
La veillée débute par quelques chants rythmés pour se clôturer par des chants plus calmes, propices à le réflexion et à l’apaisement. Les scouts sont fatigués et il est temps qu’ils puissent aller dormir. Chaque patrouille rejoint sa tente et dans le quart d’heure qui suit, tout est calme, ils dorment presque tous !
Les animateurs se rendent aussi sous leurs tentes. Je prends ma place entre Alex et Ghislain. Nous nous mettons en pyjama, c’est l’occasion de voir Ghislain nu. Son pénis est d’une belle taille avec un long prépuce, les deux valseuses sont recouvertes de poils blonds, l’ensemble est d’un bel effet. Nous nous couchons chacun dans notre sac de couchage en nous souhaitant une bonne nuit.
Vincent commence à faire le tour de l’assemblée et demande à chacun de faire part à tous de ce qu’il a apprécié ou pas. C’est aussi le moment de préciser certaines choses et même de faire des suggestions.
C’est alors au tour de Ben d’exposer son point de vue : il a aimé le grand jeu, l’activité de l’après-midi, en l’occurrence l’expression corporelle. Puis il demande : « Si vous avez des choses à me dire à tout point de vue, je suis là pour les entendre. »
Vincent dit qu’il est enchanté de voir combien Ben est impliqué auprès des jeunes moins valides ainsi que pour certains autres loups. Puis c’est Michel qui prend la parole en disant qu’il est lui aussi agréablement surpris par le dévouement de Ben, surtout au niveau de l’aide apportée à Pierric. Il ajoute que c’est un soulagement de pouvoir s’en occuper à plusieurs, car seul, ce n'est pas évident.
Pierre-Yves lui aussi est enchanté de l’aide apportée à l’atelier « d’expression corporelle » ; même avec Pierric, c’est une découverte de la possibilité qu’ont les enfants de s’exprimer autrement.
Ben remercie ceux qui ont parlé. Il ajoute qu’il pense réorienter ses études après la rhéto. Il ne veut plus faire du droit mais bien devenir animateur spécialisé pour jeunes handicapés. Tous applaudissent Ben, car ils se rendent compte du potentiel qui n’attend qu’à se développer chez lui.
Les autres animateurs racontent leurs attentes, soulignant aussi deux ou trois points auxquels il faut être attentifs. Cette petite réunion se termine. Il est temps d’aller se doucher et d’aller dormir, il est déjà presque vingt-trois heures.
Ben et Raphaël se rendent dans la salle d’eau pour prendre une bonne douche. Les douches sont communes et c’est dans le plus simple appareil qu’ils se lavent. Ben se met du gel sur le corps et se savonne, Raph lui aussi fait de même et s’enduit de gel. Il demande à Ben s’il veut bien laver son dos. Ben accepte et lave le dos de son compagnon. Une fois que c’est fini, Raph propose de faire de même pour le dos de Ben. Raph sait s’y prendre et s’occupe de son ami Ben.
Une fois terminé, Ben reste le dos tourné à Raph, pour la bonne et simple raison : il bande ! Raph s’en aperçoit et demande :
Rap : « C’est moi qui t’ai mis dans cet état ?
Ben : Un peu, c’est ton savonnage appliqué de mon dos !
Rap : Désolé, n’aies crainte, tu peux te tourner tu sais.
Ben : OK, mais ne te fous pas de moi.
Rap : Non Ben, je suis … heu dans le même état que toi !
Ben se retourne et montre alors son pénis tendu et découvre celui de Raphaël qui est bandé au maximum. Ben et Raph éclatent de rire. Puis sans rien dire chacun prend son sexe en main et débute des mouvements de masturbation, au début assez lascifs puis de plus en plus appuyés. Raph se rapproche de Ben et s’empare de la queue de celui-ci. Ben a un mouvement de recul, mais comprend qu’il ne s’agit que d’une branlette partagée. Ben prend alors le zizi de Raph et commence à le masturber. Les deux amis se regardent sans rien dire et calquent leurs mouvements pour être synchrones. Après cinq minutes de va et vient, les deux compères éjaculent presque en même temps. Les sécrétions sont nettoyées par l’eau qui n’a cessé de couler.
Ils se sèchent avec leurs draps de bain en silence. Ils enfilent leur slip et avant de quitter la salle d’eau, Raph dit :
Rap : Je propose que ça reste entre nous. Au fait merci, ça m’a rappelé les deux ou trois fois au camp pionnier en Suisse dans la tente avec l’un ou l’autre scout.
Ben : Pas de souci Raph, ça reste un secret pour toi et moi !
Rap : Merci Ben, j’espère que je ne t’ai choqué !
Ben : Non, pas du tout, tant que ce n’est une branlette !
Rap : Je ne comptais pas aller plus loin de toute façon.
Ben : Merci Raph, au moins je suis soulagé, car ça devenait difficile.
Rap : Pour moi également, normalement je me fais du bien presque tous les jours !
Ben : Je ne dis rien de plus, tu te doutes qu’avec Phil nous varions les plaisirs.
Rap : Je m’en doute ! »
Les deux ados reviennent à la chambre et se couchent, les deux autres dorment déjà ! Ben et Raphaël se souhaitent une bonne nuit, apaisés et soulagés de s’être donné un plaisir partagé. Il ne faut pas trois minutes pour que Raph et Ben s’endorment eux aussi et rejoignent le pays des rêves.
Au camp éclaireurs.
Nous arrivons au camp et je vois que Jean-Philippe est pris en charge par Bruno. Je me change sans attendre dans ma tente et je rejoins notre infortuné scout. Bruno tente de le réchauffer. Je demande à Jean-Philippe de bien vouloir retirer son slip mouillé et de bien se sécher. Je le laisse changer de slip. Fabrice et Yvan entre eux aussi dans la tente, ils retirent leurs vêtements mouillés. Ils sont nus et se sèchent avec leur drap de bain. Jean-Philippe n’ose pas trop regarder les deux scouts aînés de sa patrouille, je vois quand même qu’il zieute de temps en temps en leur direction. Bref je détourne son attention et le frictionne avec un drap de bain bien sec.
Bruno de son côté allume le feu de camp pour que les scouts puissent se réchauffer. Nous nous retrouvons autour du feu, sa chaleur est bienfaisante et très appréciée. Les autres patrouilles sont toutes de retour et les conversations vont bon train au sujet de la chute dans l’Ourthe de Jean-Philippe et on entend aussi parler de l’intervention pour le récupérer. Patrick et Roger s’activent de leur côté à la préparation du souper. En attendant du thé chaud est prêt, toujours en vue de se réchauffer le rescapés.
Un scout par patrouille est désigné pour donner un coup de main aux deux intendants pour la préparation du repas. D’autres scouts sont à la recherche de bois pour le feu dans le sous-bois qui jouxte le terrain de camp.
Jean-Philippe semble s’être bien réchauffé, il dit ne plus avoir froid. Il porte un gros pull en laine ainsi que sa veste, il est donc bien emmitouflé. La troupe est rassemblée pour le souper. Chacun a sa gamelle et ses couverts et chaque patrouille passe devant les intendants pour être servie. C’est un repas assez simple : une potée aux carottes avec des lardons fumés, de la saucisse de campagne et le tout suivi d’un yaourt et d’une pomme. Les jeunes mangent de bon appétit et ce repas semble être apprécié par tous.
Les scouts sont bien drillés, ils savent se répartir les tâches, un scout par patrouille est désigné pour faire la vaisselle avec Roger et Patrick. Une fois faite, le feu de camp peut débuter. Les chansonniers sont prêts, la guitare aussi. Avant de commencer ce moment de partage en chansons, Bruno prend la parole :
Bru : « Juste un petit mot sur ce qui s’est passé lors de la traversée de la rivière. Un de vos camarades est tombé dans l’eau, chose qui peut arriver. Le courant était assez fort et c’est grâce à la réaction très rapide de Fabrice, Yvan et Phil que Jean-Philippe a été récupéré et c’est aussi sans compter sur la réaction de Patrick et Roger.
J-Ph : Je voudrais remercier tous ceux qui m’ont sauvé. Merci les gars ! »
Des applaudissements ponctuent ce quelques mots. Il n’y a pas grand-chose à ajouter. Chacun des scouts sait bien qu’il faut toujours se tenir prêt, ils l’ont vécu comme une réalité. Ils se rendent tous compte que c’est l’application de la devise scoute : « Toujours prêt » !
La veillée débute par quelques chants rythmés pour se clôturer par des chants plus calmes, propices à le réflexion et à l’apaisement. Les scouts sont fatigués et il est temps qu’ils puissent aller dormir. Chaque patrouille rejoint sa tente et dans le quart d’heure qui suit, tout est calme, ils dorment presque tous !
Les animateurs se rendent aussi sous leurs tentes. Je prends ma place entre Alex et Ghislain. Nous nous mettons en pyjama, c’est l’occasion de voir Ghislain nu. Son pénis est d’une belle taille avec un long prépuce, les deux valseuses sont recouvertes de poils blonds, l’ensemble est d’un bel effet. Nous nous couchons chacun dans notre sac de couchage en nous souhaitant une bonne nuit.