13-09-2022, 04:24 AM
Puis on alla dans un magasin où cette fois il louaient des robes de soirée. Les filles mirent deux fois plus de temps que nous pour choisir et elles n'écoutaient même pas ce qu'on leur disait.
En plus elles avaient apporté leurs chaussures parce qu'il fallait que la robe aille avec !
Finalement Gaële opta pour une robe noir fuseau, sexy, très décolletée dans le dos, qui laissait voir le tatouage qu'elle avait juste au-dessus des fesses, elle semblait être nue en dessous et à en voir la protubérance dans le pantalon de Tony, cette robe ne le laissait pas indifférent !
Méli, elle, avait choisi une robe plus sage. Noire aussi, qui moulait bien ses formes et le décolleté – plus conventionnel - était sur le devant. C'est vrai qu'elle lui allait bien aussi.
On croyait en avoir fini avec les fringues mais c'était mal connaître les filles. On fit encore quelques boutiques pour trouver les accessoires qui allaient avec !
Et enfin on rentra.
Et bien sûr, quand on fut à la maison, il fallut les renfiler pour montrer à quoi on ressemblait aux parents de Liam. Ils nous détaillèrent de la tête aux pieds. Heureusement que dans mes bagages, j’avais prévu mes chaussures de ville noires. Et le verdict tomba :
– Bon, les filles c'est le top, un peu surchargé en accessoires, ça va encore mais pas plus, surtout. Pour le maquillage faudra faire léger. C'est une soirée mondaine, classe, pas bling-bling.
Les garçons par contre, vous faites serveurs comme ça ! Si les filles en ont trop, vous, vous manquez d’accessoires. On va remédier à ça.
Déjà Bébé, je te félicite pour ton choix, tu dénotes des autres et ce gilet sous ta veste te fait une silhouette et un corps de rêve !
Si j'étais célibataire, ça serait toi mon objectif de la soirée.
Je dois avoir des boutons de manchette quelque part. Il va falloir que je vous en trouve une paire chacun. Et quelque chose pour mettre au revers de vos vestes.
– Mam, tu ne vas quand même pas nous mettre un pin's ou une broche ! Déjà les boutons de manchette c'est limite !
– Anthony Smith, tu feras ce que ta mère te dit ! C'est pour ton bien et surtout pour que je ne l'entende pas se lamenter de votre look déplorable toute la soirée !
– Mais Pa, enfin ! Déjà le smoking c'est limite alors si en plus il faut mettre des trucs de ouf on va avoir l'air de guignols !
Gaële s'approcha de Tony comme une chatte et prenant une voix mielleuse lui dit :
– Tu ne veux pas être mon prince charmant, Tony ? C’est pourtant toi qui en profiteras après, si tu te fais tout beau!
– Heuu! Bon, c'est ok, j’abdique. Si toi aussi tu t'y mets.
La mère de Liam partit quelques instants et revint avec une boite à bijoux. Elle fouilla dedans et nous tendit une paire de boutons de manchette à chacun. Je me souvins que j'avais emmené une des montres dans ma trousse de toilette, avec ma tenue ce devrait être nickel. Je partis la chercher.
– Tu vas où, Bé ?
– Je reviens, je crois que j'ai un accessoire dans mon sac qui pourrait faire l’affaire.
J'allais jusqu'à la chambre, je trouvais la montre, la remontais, la mis à l'heure et la glissais dans la poche droite de mon gilet. C'était celle que Louis XVIII avait offerte à son gigolo. Celle qui n'avait pas de chaîne et dont Liam m'avait offert comment il avait appelé ça déjà ? La baronne ? La duchesse ? Je ne me souvenais plus.
Quand je revins tout le monde me regarda, Jeanne s'approcha de moi et me demanda :
– Je peux la voir ?
– Oui bien sûr.
Elle l’observa, l’ouvrit, sembla réfléchir, retourna à la boite à bijoux et me tendit une autre paire de boutons de manchette.
– Comme ça, ils seront assortis à ta montre. Et toi tu seras juste parfait !
– J'en préfère personnellement une autre mais c'est celle-là que j'ai mise dans mes affaires pour vous la montrer. C’est une jolie pièce d’horlogerie et historique.
– Elle est splendide, tu veux dire et la châtelaine est une vraie œuvre d’art.
– C'est Liam qui m'en a fait cadeau, il dit que ça allait avec.
– Il a tout à fait raison. Au fait Liam, tu ne m'as pas encore montré tes dernières trouvailles, j'ai hâte de les voir.
– Je vais te chercher ça. Tu viens m'aider Bé ?
On retourna à la chambre, on en profita pour se re-rechanger et c'est les bras plein de boites qu'on revint au salon. On posa le tout sur la table basse et tout le monde vint voir nos trouvailles.
Sa mère commença par le coffret Boulle.
– Il est juste magnifique et tu ne l'as pas payé cher !
– Qu'est-ce que tu dirais si je t’annonce que Bé a acheté le même et en bon état, pour 50 euros ?
– Tu plaisantes, Liam ?
– Non pas du tout et sous le fond, il y avait les montres en prime. La seule différence entre eux c'est les clefs pour les ouvrir et déverrouiller le double fond. Elles sont inversées.
– L'histoire est curieuse, trouver deux coffrets Boulle identiques, c'est un miracle. Bon je vais le faire restaurer et je verrais après ce que j'en fais. Et toi Bé, si un jour tu veux te débarrasser du tien, tu me le fais refuser avant de le proposer à quiconque.
Puis elle passa ensuite à l'argenterie et à la boite de châtelaines. Elle commentait chaque objet.
– Liam tu as fait de très belles trouvailles. Tu es vendeur ?
– On fait comme d’hab, Mam ? Tu vends et on partage les bénéfices ?
– D’accord. On fait comme ça. Au fait, je n'ai pas pensé à vous le dire mais nous avons loué une limousine pour aller à la soirée. Départ prévu pour vingt heures.
l'inspection et la discussion étant finies, Liam me prit par la main et me tira vers sa chambre. Je me doutais bien de ce qu'il voulait. Et j'étais tout à fait d'accord avec ce programme.
On commençait à s'embrasser quand mon téléphone sonna. L'écran affichait ''Joé''. J'allais le reposer quand Liam me dit :
– Tu ne lui réponds pas ?
– On a des choses bien plus importantes à faire, en ce moment, non ?
Et en même temps que je lui disais ça, je lui quittais son tee-shirt et mordillais son sein droit qui pointa aussitôt.
– Oui, tu as raison. Mmmmmmmmmm, j'adore quand tu me bouffes les seins comme ça, ça me fait trop des frissons de plaisir.
Il me mit nu et lui aussi me grignota les seins. Puis il remonta le long de mon torse, m'embrassa dans le cou, me mordilla les oreilles, et finalement m'embrassa longuement.
J'en profitais pour lui caresser les fesses d'abord par-dessus son jogging puis je passais ma main entre sa ceinture et sa peau pour sentir la chaleur de son corps. Je fis assez vite tomber son jogging sous lequel il était nu.
On s'allongea sur le lit, on se caressa tout en s'embrassant un grand moment puis on se mit tête bêche pour un 69 qui ne dura pas. Bien vite Liam me donna ses fesses en pâture et j'accédais à sa demande.
Je vous laisse deviner la suite et une bonne heure plus tard, alors qu'on se séchait après une douche réparatrice mon téléphone sonna. C'était encore Joé.
– Salut Bé, je te dérange pas ? Je ne me suis pas trompé d’heure ? C'est bien sept heures, chez toi ?
– Ben non, pas vraiment. Il est seize heures en ce moment.
– Mais tu es où ? C'est la même heure qu’ici.
– C'est un peu normal, je suis à Los Angeles, chez Liam.
– Ça tombe bien, je voulais te parler de plein de choses. On peut se voir quand ?
– Pour aujourd'hui c'est trop tard… à moins que! Vous faites quoi, ce soir ?
– On a prévu de sortir en boite. On va au Star.
– Cool ça tombe bien, on y va aussi. On se retrouve là-bas vers onze heures, ça ira ?
– Ok, on se verra là-bas et on pourra discuter.
– C’est parfait, j'ai plein de choses pour toi en plus.
– C'est quoi ?
– Trop long à te dire et à t'expliquer maintenant. Liam m’attend.
– Ok, à ce soir beau gosse.
On raccrocha en même temps.
– Bé, je t'attends pour quoi ?
Je me tournais vers lui et il vit mon sexe raide. Lui en avait une mi molle qui durcit vite. On se remit au lit et on refit l’amour. Et on s'endormit juste après. C'est Tony qui frappant à la porte nous réveilla. Il entrebâilla la porte.
– Je peux rentrer ?
– Oui c'est bon on est visible.
– On vous attend pour manger, il est déjà dix-neuf heures. Grouillez-vous, allez, debout!
– Ok, on arrive.
Avec Liam on se leva et on sortit du lit. On était tous deux bien raide. Tony nous avait souvent vu nus, parfois en mode mi-molle, mais jamais en totale érection.
– Ah oui, quand même ! Liam, j'ai la même que toi ou presque, mais Bé, wow, ça doit bien te démonter Liam.
– Même pas, Bé fait ça tout en douceur et ça me fait un bien fou. Tu devrais essayer Tony.
– J'ai cru que vous étiez un couple fermé et tu me proposes de jouer avec ton mec ?
– Ça, même pas en rêve Tony, mais si tu veux, il t'en fera un moulage.
– Non, non, c'est bon, je ferai sans. Merci!
– Bon, on peut s'habiller tranquille ?
Il sortit et on les rejoignis à la salle à manger. On se fit chambrer sur notre retard et notre mine fatiguée, mais rien de bien méchant. On traîna un peu en mangeant et finalement il fallut se dépêcher pour se préparer.
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En plus elles avaient apporté leurs chaussures parce qu'il fallait que la robe aille avec !
Finalement Gaële opta pour une robe noir fuseau, sexy, très décolletée dans le dos, qui laissait voir le tatouage qu'elle avait juste au-dessus des fesses, elle semblait être nue en dessous et à en voir la protubérance dans le pantalon de Tony, cette robe ne le laissait pas indifférent !
Méli, elle, avait choisi une robe plus sage. Noire aussi, qui moulait bien ses formes et le décolleté – plus conventionnel - était sur le devant. C'est vrai qu'elle lui allait bien aussi.
On croyait en avoir fini avec les fringues mais c'était mal connaître les filles. On fit encore quelques boutiques pour trouver les accessoires qui allaient avec !
Et enfin on rentra.
Et bien sûr, quand on fut à la maison, il fallut les renfiler pour montrer à quoi on ressemblait aux parents de Liam. Ils nous détaillèrent de la tête aux pieds. Heureusement que dans mes bagages, j’avais prévu mes chaussures de ville noires. Et le verdict tomba :
– Bon, les filles c'est le top, un peu surchargé en accessoires, ça va encore mais pas plus, surtout. Pour le maquillage faudra faire léger. C'est une soirée mondaine, classe, pas bling-bling.
Les garçons par contre, vous faites serveurs comme ça ! Si les filles en ont trop, vous, vous manquez d’accessoires. On va remédier à ça.
Déjà Bébé, je te félicite pour ton choix, tu dénotes des autres et ce gilet sous ta veste te fait une silhouette et un corps de rêve !
Si j'étais célibataire, ça serait toi mon objectif de la soirée.
Je dois avoir des boutons de manchette quelque part. Il va falloir que je vous en trouve une paire chacun. Et quelque chose pour mettre au revers de vos vestes.
– Mam, tu ne vas quand même pas nous mettre un pin's ou une broche ! Déjà les boutons de manchette c'est limite !
– Anthony Smith, tu feras ce que ta mère te dit ! C'est pour ton bien et surtout pour que je ne l'entende pas se lamenter de votre look déplorable toute la soirée !
– Mais Pa, enfin ! Déjà le smoking c'est limite alors si en plus il faut mettre des trucs de ouf on va avoir l'air de guignols !
Gaële s'approcha de Tony comme une chatte et prenant une voix mielleuse lui dit :
– Tu ne veux pas être mon prince charmant, Tony ? C’est pourtant toi qui en profiteras après, si tu te fais tout beau!
– Heuu! Bon, c'est ok, j’abdique. Si toi aussi tu t'y mets.
La mère de Liam partit quelques instants et revint avec une boite à bijoux. Elle fouilla dedans et nous tendit une paire de boutons de manchette à chacun. Je me souvins que j'avais emmené une des montres dans ma trousse de toilette, avec ma tenue ce devrait être nickel. Je partis la chercher.
– Tu vas où, Bé ?
– Je reviens, je crois que j'ai un accessoire dans mon sac qui pourrait faire l’affaire.
J'allais jusqu'à la chambre, je trouvais la montre, la remontais, la mis à l'heure et la glissais dans la poche droite de mon gilet. C'était celle que Louis XVIII avait offerte à son gigolo. Celle qui n'avait pas de chaîne et dont Liam m'avait offert comment il avait appelé ça déjà ? La baronne ? La duchesse ? Je ne me souvenais plus.
Quand je revins tout le monde me regarda, Jeanne s'approcha de moi et me demanda :
– Je peux la voir ?
– Oui bien sûr.
Elle l’observa, l’ouvrit, sembla réfléchir, retourna à la boite à bijoux et me tendit une autre paire de boutons de manchette.
– Comme ça, ils seront assortis à ta montre. Et toi tu seras juste parfait !
– J'en préfère personnellement une autre mais c'est celle-là que j'ai mise dans mes affaires pour vous la montrer. C’est une jolie pièce d’horlogerie et historique.
– Elle est splendide, tu veux dire et la châtelaine est une vraie œuvre d’art.
– C'est Liam qui m'en a fait cadeau, il dit que ça allait avec.
– Il a tout à fait raison. Au fait Liam, tu ne m'as pas encore montré tes dernières trouvailles, j'ai hâte de les voir.
– Je vais te chercher ça. Tu viens m'aider Bé ?
On retourna à la chambre, on en profita pour se re-rechanger et c'est les bras plein de boites qu'on revint au salon. On posa le tout sur la table basse et tout le monde vint voir nos trouvailles.
Sa mère commença par le coffret Boulle.
– Il est juste magnifique et tu ne l'as pas payé cher !
– Qu'est-ce que tu dirais si je t’annonce que Bé a acheté le même et en bon état, pour 50 euros ?
– Tu plaisantes, Liam ?
– Non pas du tout et sous le fond, il y avait les montres en prime. La seule différence entre eux c'est les clefs pour les ouvrir et déverrouiller le double fond. Elles sont inversées.
– L'histoire est curieuse, trouver deux coffrets Boulle identiques, c'est un miracle. Bon je vais le faire restaurer et je verrais après ce que j'en fais. Et toi Bé, si un jour tu veux te débarrasser du tien, tu me le fais refuser avant de le proposer à quiconque.
Puis elle passa ensuite à l'argenterie et à la boite de châtelaines. Elle commentait chaque objet.
– Liam tu as fait de très belles trouvailles. Tu es vendeur ?
– On fait comme d’hab, Mam ? Tu vends et on partage les bénéfices ?
– D’accord. On fait comme ça. Au fait, je n'ai pas pensé à vous le dire mais nous avons loué une limousine pour aller à la soirée. Départ prévu pour vingt heures.
l'inspection et la discussion étant finies, Liam me prit par la main et me tira vers sa chambre. Je me doutais bien de ce qu'il voulait. Et j'étais tout à fait d'accord avec ce programme.
On commençait à s'embrasser quand mon téléphone sonna. L'écran affichait ''Joé''. J'allais le reposer quand Liam me dit :
– Tu ne lui réponds pas ?
– On a des choses bien plus importantes à faire, en ce moment, non ?
Et en même temps que je lui disais ça, je lui quittais son tee-shirt et mordillais son sein droit qui pointa aussitôt.
– Oui, tu as raison. Mmmmmmmmmm, j'adore quand tu me bouffes les seins comme ça, ça me fait trop des frissons de plaisir.
Il me mit nu et lui aussi me grignota les seins. Puis il remonta le long de mon torse, m'embrassa dans le cou, me mordilla les oreilles, et finalement m'embrassa longuement.
J'en profitais pour lui caresser les fesses d'abord par-dessus son jogging puis je passais ma main entre sa ceinture et sa peau pour sentir la chaleur de son corps. Je fis assez vite tomber son jogging sous lequel il était nu.
On s'allongea sur le lit, on se caressa tout en s'embrassant un grand moment puis on se mit tête bêche pour un 69 qui ne dura pas. Bien vite Liam me donna ses fesses en pâture et j'accédais à sa demande.
Je vous laisse deviner la suite et une bonne heure plus tard, alors qu'on se séchait après une douche réparatrice mon téléphone sonna. C'était encore Joé.
– Salut Bé, je te dérange pas ? Je ne me suis pas trompé d’heure ? C'est bien sept heures, chez toi ?
– Ben non, pas vraiment. Il est seize heures en ce moment.
– Mais tu es où ? C'est la même heure qu’ici.
– C'est un peu normal, je suis à Los Angeles, chez Liam.
– Ça tombe bien, je voulais te parler de plein de choses. On peut se voir quand ?
– Pour aujourd'hui c'est trop tard… à moins que! Vous faites quoi, ce soir ?
– On a prévu de sortir en boite. On va au Star.
– Cool ça tombe bien, on y va aussi. On se retrouve là-bas vers onze heures, ça ira ?
– Ok, on se verra là-bas et on pourra discuter.
– C’est parfait, j'ai plein de choses pour toi en plus.
– C'est quoi ?
– Trop long à te dire et à t'expliquer maintenant. Liam m’attend.
– Ok, à ce soir beau gosse.
On raccrocha en même temps.
– Bé, je t'attends pour quoi ?
Je me tournais vers lui et il vit mon sexe raide. Lui en avait une mi molle qui durcit vite. On se remit au lit et on refit l’amour. Et on s'endormit juste après. C'est Tony qui frappant à la porte nous réveilla. Il entrebâilla la porte.
– Je peux rentrer ?
– Oui c'est bon on est visible.
– On vous attend pour manger, il est déjà dix-neuf heures. Grouillez-vous, allez, debout!
– Ok, on arrive.
Avec Liam on se leva et on sortit du lit. On était tous deux bien raide. Tony nous avait souvent vu nus, parfois en mode mi-molle, mais jamais en totale érection.
– Ah oui, quand même ! Liam, j'ai la même que toi ou presque, mais Bé, wow, ça doit bien te démonter Liam.
– Même pas, Bé fait ça tout en douceur et ça me fait un bien fou. Tu devrais essayer Tony.
– J'ai cru que vous étiez un couple fermé et tu me proposes de jouer avec ton mec ?
– Ça, même pas en rêve Tony, mais si tu veux, il t'en fera un moulage.
– Non, non, c'est bon, je ferai sans. Merci!
– Bon, on peut s'habiller tranquille ?
Il sortit et on les rejoignis à la salle à manger. On se fit chambrer sur notre retard et notre mine fatiguée, mais rien de bien méchant. On traîna un peu en mangeant et finalement il fallut se dépêcher pour se préparer.
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