06-09-2022, 08:59 AM
Enfin nous voilà arrivés chez mon chéri. Je vais saluer Arlette et Yves, de même que Christine et Denis. Ben est toujours plongé dans sa réflexion. Nous nous installons tous au salon. Arlette voit bien que Ben est dans ses pensées. Elle lui demande :
Arl : « Mon cher Benoît, mon cher fils, tu es dans la lune, peux-tu me dire ce qui te tracasse ?
Ben : Oh, heu … désolé, c’est concernant la réunion, en fait il va y avoir trois jeunes handicapés d’une dizaine d’années qui participeront au camp avec la meute. Alors je me demande comment ça va se passer !
Arl : C’est ça qui te perturbe ! Pourtant tu connais deux jeunes moins valides de ton âge, qui ont été dans ta classe en primaire, et avec qui tu t’entendais bien !
Ben : Oui, je sais maman, mais dans un camp, je me demande bien comment les animateurs vont faire !
Arl : Tu te poses trop de questions. Si les trois jeunes moins valides sont invités au camp, c’est qu’ils ont l’accord de leurs parents et du corps médical que les suit !
Ben : Je crois que tu as raison maman, c’est parce que j’ai envie que tout se passe bien !
Moi : Je te comprends bien Ben, je suis certain que tout a été étudié par que cela se passe au mieux pour les trois enfants qui viendront !
Ben : Tu vois Phil, je suis vraiment partant pour ce genre de rencontre, la seule chose c’est que je veux que tout se passe bien car je pense que c’est important pour eux comme pour les autres louveteaux !
Yve : Je te reconnais bien là Benoît, tu es toujours attentif aux autres et c’est une excellente chose. Comme maman te l’a dit, tout a été étudié pour que cela se passe au mieux.
Ben : Merci papa. Bon, je vais retenir ce que vous m’avez dit, je pense que je m’inquiète pour pas grand-chose !
Arl : Très bien Benoît, c’est mieux comme ça.
Ben : Je suis désolé Phil, j’ai été fort taiseux après cette réunion !
Moi : Ne t’inquiète pas Ben, je te comprends très bien.
Yves propose que nous prenions l’apéro. C’est un peu comme à la maison, les garçons, soit Yves, Denis et nous deux, prenons chacun une bière trappiste d’Orval et les filles prennent un verre de vin blanc bien frais. Arlette apporte quelques biscuits tels des « tucs », chips et bretzels. Ben est déjà plus souriant, il a les yeux plus pétillants.
Nous allons partir demain matin pour nos camps respectifs. Papa a déposé cet après-midi mon sac à dos chez Arlette et Yves. C’est plus pratique de déjà l’avoir car j’avais promis à mon chéri de dormir dans sa chambre.
Le souper est très simple, c’est un macaroni – jambon – fromage ! Nous aimons bien ce plat, maman en fait aussi régulièrement. Les discussions vont bon-train et nous parlons du dernier trimestre d’étude. La fin de l’année scolaire approche à grand pas. Nous prenons une pomme en guise de dessert avant de nous installer devant la télévision. Nous regardons un western : « Le Bon, la Brute et le Truand ».
Le film terminé nous passons par la salle de bain pour prendre une petite douche avant d’aller dans la chambre de mon amour. Une fois nus sous la couette, nous nous embrassons. Puis nos mains se baladent sur nos corps. Nos bâtons d’amour se redressent et prennent de plus en plus de volume. Ben se rapproche de moi, il finit par coller son corps contre le mien, nos sexes sont eux aussi juxtaposés. Ben prend alors l’initiative d’enserrer dans ses doigts nos deux phallus et d’entamer une masturbation partagée. Je le laisse faire, je vois dans ses yeux cette lueur quelque peu coquine qui me fait comprendre qu’il s’occupe de tout jusqu’au bout, soit jusqu’à la libération de nos semences. J’aime aussi cette façon de nous donner l’un à l’autre, ça permet de varier les plaisirs. Je ferme les yeux en me laissant bercer par le mouvement d’aller et retour effectués le long de ma colonne de chair. Je sens bien que Ben contrôle les mouvements alternatifs, il varie l’intensité et la pression exercée sur nos pénis bandés. Je sens la chaleur envahir mon bas-ventre, c’est alors en même temps que nous déchargeons. Nos liqueurs se répandent sur les doigts de la main de Ben et sur nos ventres. Je lui donne alors des mouchoirs en papier pour essuyer le sperme sur nos corps.
Nous nous embrassons à pleine bouche laissant maintenant nos langues danser la carmagnole. Nos yeux pétillent de bonheur. Nous nous aimons d’un amour qui ne cesse de grandir. Ça va être le moment de dormir, nous devons être en forme pour le camp. Nous nous souhaitons une très bonne nuit en nous susurrant des « je t’aime » partagés.
C’est le jour « J », celui du départ pour les camps de Pâques.
Ben et la meute.
La meute part dans la région de Verviers, près de Heusy, dans un logement conçu pour une soixantaine de personnes. Le départ est fixé à neuf heures. Ben est déjà sur place devant le local depuis huit heures trente. C’est avec Raphaël que Ben se charge de mettre les sacs et les valises dans la saute de l’autocar. Philippe et Christophe ainsi que les autres animateurs se chargent des loups qui arrivent. Un grand rassemblement est sifflé et la meute est rangée par sizaines devant les animateurs. Les parents assistent au cris des différentes sizaines.
C’est à ce moment-là que Vincent, l’Akela présente les quatre jeunes qui seront présents durant tout le camp pour faire leur stage d’animateur. Puis c’est Michel qui passe à la présentation des trois jeunes garçons handicapés. L’un d’eux est en chaise-roulante, c’est Pierric, il a onze ans ; le second se déplace avec des béquilles, c’est Pierre-Jean, dit P-J, il a dix ans et enfin le troisième c’est Marc, il a onze ans et semble atteint d’un retard mental. Les trois jeunes sont souriants et semblent être heureux de partir quatre jours avec les louveteaux et les animateurs.
Le trajet s’effectue en car avec les trois jeunes handicapés. La chaise-roulante se plie est c’est donc trois animateurs qui montent Pierric dans le car où il prend place à l’avant à côté de Michel. Les deux autres jeunes se placent au milieu des autres loups. Ben voit avec émerveillement que les contacts sont très faciles avec eux. Les loups discutent, posent des questions et l’entente est déjà au beau fix.
Phil et la troupe.
Phil arrive au local des scouts à huit heures trente comme prévu. Déjà la plupart des scouts sont présents, les sacs sont en tas et prêts à être charge dans une grosse camionnette avec les tentes et tous le matériel nécessaire. Bruno, Ghislain et Jean-Pierre discutent avec les parents. Gaby et Alex arrive juste après moi. Je vois ensuite Gilbert et Irma, les parents de Jean-Philippe s’avancer vers nous. Irma me dit bonjour et me félicite de poursuivre en tant que jeune animateur. Jean-Philippe vient lui aussi me saluer. Il a changé, je ne l’ai plus vu depuis quatre mois et je trouve qu’il a grandi et a déjà une belle carrure. Il a treize ans, c’est devenu un bel ado. Il est moins timide me semble-t-il.
C’est Gilbert qui explique aux animateurs que je suis venu trois ou quatre fois avec Ben pour changer les idées à Jean-Philippe et lui permettre d’évoluer au point de vue contacts humains. Il est encore trop souvent mis de côté en classe car c’est un « intello » et que les élèves de sa classe rejettent. Puis le « sauvetage » lors de la journée de passage l’avait fort marqué. Les parents de l’ado ont alors demandé que je vienne de temps à autre chez eux avec Ben.
Bruno organise un rassemblement en présence des parents. Les patrouilles sont toutes complètes. C’est la présentation de notre petit groupe de trois néo-animateurs. Nous sommes applaudis tant par les scouts que par les parents.
Nous voilà presque prêts à partir. Direction la gare du Luxembourg pour prendre le train en direction d’Arlon. Nous montons dans le wagon qui est réservé pour les mouvements de jeunesse. En effet une compagnie de Guides monte dans le même wagon. Il y a assez de place pour tout le monde. Bruno discute avec l’animatrice principale des guides. J’entends qu’elles descendent à Arlon. Nous descendons avant, soit à Libramont.
Certaines filles commencent à chanter et quelques scouts s’y mettent aussi. Finalement nous chantons tous ensemble. Les chants sont souvent les mêmes d’une unité à l’autre, c’est donc facile d’emboîter le pas. Parfois nous découvrons un chant qui nous est inconnu, c’est l’occasion de l’apprendre et même d’avoir les références pour l’ajouter ultérieurement au chansonnier. Le temps passe plus vite en s’amusant et en chantant. Ça va être le moment de se préparer à descendre, le contrôleur vient de nous prévenir. Bruno demande à tout le monde fasse attention de ne rien laisser traîner comme papier et autres emballages de bonbons. Le compartiment doit être propre lorsque nous descendrons ajoute Bruno. En deux minutes tout est nickel.
C’est dans l’ordre et sans précipitation que nous quittons le train et la gare de Libramont. Nous devons prendre un bus pour nous rendre à Jenneville, lieu de notre camp. Nous devons patienter un bon quart d’heure devant la gare. C’est l’occasion pour Bruno d’expliquer où et comment le camp se déroulera.
Arl : « Mon cher Benoît, mon cher fils, tu es dans la lune, peux-tu me dire ce qui te tracasse ?
Ben : Oh, heu … désolé, c’est concernant la réunion, en fait il va y avoir trois jeunes handicapés d’une dizaine d’années qui participeront au camp avec la meute. Alors je me demande comment ça va se passer !
Arl : C’est ça qui te perturbe ! Pourtant tu connais deux jeunes moins valides de ton âge, qui ont été dans ta classe en primaire, et avec qui tu t’entendais bien !
Ben : Oui, je sais maman, mais dans un camp, je me demande bien comment les animateurs vont faire !
Arl : Tu te poses trop de questions. Si les trois jeunes moins valides sont invités au camp, c’est qu’ils ont l’accord de leurs parents et du corps médical que les suit !
Ben : Je crois que tu as raison maman, c’est parce que j’ai envie que tout se passe bien !
Moi : Je te comprends bien Ben, je suis certain que tout a été étudié par que cela se passe au mieux pour les trois enfants qui viendront !
Ben : Tu vois Phil, je suis vraiment partant pour ce genre de rencontre, la seule chose c’est que je veux que tout se passe bien car je pense que c’est important pour eux comme pour les autres louveteaux !
Yve : Je te reconnais bien là Benoît, tu es toujours attentif aux autres et c’est une excellente chose. Comme maman te l’a dit, tout a été étudié pour que cela se passe au mieux.
Ben : Merci papa. Bon, je vais retenir ce que vous m’avez dit, je pense que je m’inquiète pour pas grand-chose !
Arl : Très bien Benoît, c’est mieux comme ça.
Ben : Je suis désolé Phil, j’ai été fort taiseux après cette réunion !
Moi : Ne t’inquiète pas Ben, je te comprends très bien.
Yves propose que nous prenions l’apéro. C’est un peu comme à la maison, les garçons, soit Yves, Denis et nous deux, prenons chacun une bière trappiste d’Orval et les filles prennent un verre de vin blanc bien frais. Arlette apporte quelques biscuits tels des « tucs », chips et bretzels. Ben est déjà plus souriant, il a les yeux plus pétillants.
Nous allons partir demain matin pour nos camps respectifs. Papa a déposé cet après-midi mon sac à dos chez Arlette et Yves. C’est plus pratique de déjà l’avoir car j’avais promis à mon chéri de dormir dans sa chambre.
Le souper est très simple, c’est un macaroni – jambon – fromage ! Nous aimons bien ce plat, maman en fait aussi régulièrement. Les discussions vont bon-train et nous parlons du dernier trimestre d’étude. La fin de l’année scolaire approche à grand pas. Nous prenons une pomme en guise de dessert avant de nous installer devant la télévision. Nous regardons un western : « Le Bon, la Brute et le Truand ».
Le film terminé nous passons par la salle de bain pour prendre une petite douche avant d’aller dans la chambre de mon amour. Une fois nus sous la couette, nous nous embrassons. Puis nos mains se baladent sur nos corps. Nos bâtons d’amour se redressent et prennent de plus en plus de volume. Ben se rapproche de moi, il finit par coller son corps contre le mien, nos sexes sont eux aussi juxtaposés. Ben prend alors l’initiative d’enserrer dans ses doigts nos deux phallus et d’entamer une masturbation partagée. Je le laisse faire, je vois dans ses yeux cette lueur quelque peu coquine qui me fait comprendre qu’il s’occupe de tout jusqu’au bout, soit jusqu’à la libération de nos semences. J’aime aussi cette façon de nous donner l’un à l’autre, ça permet de varier les plaisirs. Je ferme les yeux en me laissant bercer par le mouvement d’aller et retour effectués le long de ma colonne de chair. Je sens bien que Ben contrôle les mouvements alternatifs, il varie l’intensité et la pression exercée sur nos pénis bandés. Je sens la chaleur envahir mon bas-ventre, c’est alors en même temps que nous déchargeons. Nos liqueurs se répandent sur les doigts de la main de Ben et sur nos ventres. Je lui donne alors des mouchoirs en papier pour essuyer le sperme sur nos corps.
Nous nous embrassons à pleine bouche laissant maintenant nos langues danser la carmagnole. Nos yeux pétillent de bonheur. Nous nous aimons d’un amour qui ne cesse de grandir. Ça va être le moment de dormir, nous devons être en forme pour le camp. Nous nous souhaitons une très bonne nuit en nous susurrant des « je t’aime » partagés.
C’est le jour « J », celui du départ pour les camps de Pâques.
Ben et la meute.
La meute part dans la région de Verviers, près de Heusy, dans un logement conçu pour une soixantaine de personnes. Le départ est fixé à neuf heures. Ben est déjà sur place devant le local depuis huit heures trente. C’est avec Raphaël que Ben se charge de mettre les sacs et les valises dans la saute de l’autocar. Philippe et Christophe ainsi que les autres animateurs se chargent des loups qui arrivent. Un grand rassemblement est sifflé et la meute est rangée par sizaines devant les animateurs. Les parents assistent au cris des différentes sizaines.
C’est à ce moment-là que Vincent, l’Akela présente les quatre jeunes qui seront présents durant tout le camp pour faire leur stage d’animateur. Puis c’est Michel qui passe à la présentation des trois jeunes garçons handicapés. L’un d’eux est en chaise-roulante, c’est Pierric, il a onze ans ; le second se déplace avec des béquilles, c’est Pierre-Jean, dit P-J, il a dix ans et enfin le troisième c’est Marc, il a onze ans et semble atteint d’un retard mental. Les trois jeunes sont souriants et semblent être heureux de partir quatre jours avec les louveteaux et les animateurs.
Le trajet s’effectue en car avec les trois jeunes handicapés. La chaise-roulante se plie est c’est donc trois animateurs qui montent Pierric dans le car où il prend place à l’avant à côté de Michel. Les deux autres jeunes se placent au milieu des autres loups. Ben voit avec émerveillement que les contacts sont très faciles avec eux. Les loups discutent, posent des questions et l’entente est déjà au beau fix.
Phil et la troupe.
Phil arrive au local des scouts à huit heures trente comme prévu. Déjà la plupart des scouts sont présents, les sacs sont en tas et prêts à être charge dans une grosse camionnette avec les tentes et tous le matériel nécessaire. Bruno, Ghislain et Jean-Pierre discutent avec les parents. Gaby et Alex arrive juste après moi. Je vois ensuite Gilbert et Irma, les parents de Jean-Philippe s’avancer vers nous. Irma me dit bonjour et me félicite de poursuivre en tant que jeune animateur. Jean-Philippe vient lui aussi me saluer. Il a changé, je ne l’ai plus vu depuis quatre mois et je trouve qu’il a grandi et a déjà une belle carrure. Il a treize ans, c’est devenu un bel ado. Il est moins timide me semble-t-il.
C’est Gilbert qui explique aux animateurs que je suis venu trois ou quatre fois avec Ben pour changer les idées à Jean-Philippe et lui permettre d’évoluer au point de vue contacts humains. Il est encore trop souvent mis de côté en classe car c’est un « intello » et que les élèves de sa classe rejettent. Puis le « sauvetage » lors de la journée de passage l’avait fort marqué. Les parents de l’ado ont alors demandé que je vienne de temps à autre chez eux avec Ben.
Bruno organise un rassemblement en présence des parents. Les patrouilles sont toutes complètes. C’est la présentation de notre petit groupe de trois néo-animateurs. Nous sommes applaudis tant par les scouts que par les parents.
Nous voilà presque prêts à partir. Direction la gare du Luxembourg pour prendre le train en direction d’Arlon. Nous montons dans le wagon qui est réservé pour les mouvements de jeunesse. En effet une compagnie de Guides monte dans le même wagon. Il y a assez de place pour tout le monde. Bruno discute avec l’animatrice principale des guides. J’entends qu’elles descendent à Arlon. Nous descendons avant, soit à Libramont.
Certaines filles commencent à chanter et quelques scouts s’y mettent aussi. Finalement nous chantons tous ensemble. Les chants sont souvent les mêmes d’une unité à l’autre, c’est donc facile d’emboîter le pas. Parfois nous découvrons un chant qui nous est inconnu, c’est l’occasion de l’apprendre et même d’avoir les références pour l’ajouter ultérieurement au chansonnier. Le temps passe plus vite en s’amusant et en chantant. Ça va être le moment de se préparer à descendre, le contrôleur vient de nous prévenir. Bruno demande à tout le monde fasse attention de ne rien laisser traîner comme papier et autres emballages de bonbons. Le compartiment doit être propre lorsque nous descendrons ajoute Bruno. En deux minutes tout est nickel.
C’est dans l’ordre et sans précipitation que nous quittons le train et la gare de Libramont. Nous devons prendre un bus pour nous rendre à Jenneville, lieu de notre camp. Nous devons patienter un bon quart d’heure devant la gare. C’est l’occasion pour Bruno d’expliquer où et comment le camp se déroulera.