Chapitre 15 - Fin des vacances d’automne (5)
Vendredi 9 octobre 1964, maison de Frédéric, Lausanne
— Tu es un petit cochon, dit Kenneth à son frère en riant, tu sais que maman a dit de ne jamais nous toucher le zizi, n’est-ce pas Bob que nos chérubins ne doivent jamais pratiquer la manustupration, c’est sale.
— Tu ne te branles jamais ?
— Non.
— Maman a aussi dit qu’on ne devait jamais mentir. J’ai entendu ton lit grincer dans la chambre d’hôtel hier soir. Tu faisais quoi ?
— La même chose que toi, je suppose.
— Je me demandais, continua Kenneth, si ta queue est plus longue que la mienne quand tu bandes.
— Évidemment, je suis l’aîné.
— Tu me la montres ?
— Bah, si ça peut te faire plaisir, je dois avouer que je me posais la même question. Tu commences.
Kenneth ne se le fit pas dire deux fois, il rejeta la couette, baissa culotte de pyjama et slip, son sexe bandé se plaqua contre son ventre.
— Zut, fit Jason, elle est plus longue que la mienne. Je ne vais pas te la montrer.
— Tu m’avais promis… Sinon, je dirai à maman que Jessica est ta petite amie et que tu couches avec.
— C’est du chantage. Et puis, comment tu le sais ?
— C’est son frère Justin qui me l’a dit, tu vas tondre le gazon toutes les semaines chez eux, comme par hasard quand elle est seule.
— OK, tu as gagné, je te la montre.
Jason dégagea aussi sa bite dressée, elle faisait un centimètre de moins que celle de son frère.
— Pas mal, dit celui-ci, tous les garçons n’en n’ont pas une aussi grosse. Il faut dire que la mienne est exceptionnelle.
— Vantard ! Tu connais Justin, le frère de Jessica ? C’est juste, elle m’a dit que tu l’aidais à faire ses devoirs, comme par hasard quand il est seul. Je me demande… Mon frère bande en pensant aux cousins, mon frère va trouver chaque semaine un de ses camarades. Tu ne serais pas gay ?
— Moi, gay ? fit Kenneth, tu sais ce que maman a dit, je n’ai rien contre les homosexuels, mais je préfère les garçons virils comme vous.
— La bite de Justin, elle mesure combien ?
— Tu es bien curieux pour un hétéro.
— C’est sa sœur qui se posait la question.
— Bof, un centimètre de plus que la mienne.
Les deux frères se regardèrent en riant. Kenneth ajouta :
— J’espère que vous vous protégez, Jessica et toi, je sais bien que maman veut beaucoup de petits-enfants, mais pas tout de suite.
— Ouais, je dépense tout l’argent que je gagne en tondant le gazon pour acheter des capotes. Au moins, toi, tu n’en as pas besoin.
— Nous en mettons aussi, je dépense tout l’argent que je gagne avec les cours particuliers pour les acheter. Tu sais, parfois, c’est moins propre que chez les filles.
— Elles ont aussi leurs…
— On pourrait les acheter ensemble, dit Kenneth, ils nous feraient peut-être un rabais de gros au drugstore. Pas un mot à maman.
— C’est promis, elle doit croire encore quelques temps que nous sommes des anges.
Le téléphone sonna, interrompant leur discussion.
Un quart d’heure plus tôt, les cousins étaient entrés dans la chambre de Frédéric.
— J’ai vu que vous aviez maintenant des téléphones dans les chambres, dit Daniel.
— Oui, mon père a fait installer un petit central, neuf lignes internes et deux lignes externes. On peut appeler directement l’extérieur en pressant le bouton rouge ou se parler d’une chambre à l’autre.
— Pratique, comme cela on peut discuter discrètement.
— Ce sont mes sœurs qui ont demandé pour appeler leurs fiancés, et mon père ne peut rien leur refuser.
— À toi non plus, il me semble.
— Koen m’a prêté son appareil à photos, on en fait quelques-unes avec le flash avant de se coucher ? Cela te fera un souvenir, la dernière photo de ta bite intacte, avant/après.
Ils se photographièrent tout d’abord avec leurs habits du dimanche, puis se dénudèrent progressivement pour des poses plus osées. Ils descendirent ensuite se laver les dents à l’étage inférieur sans remettre de sous-vêtement, cela les importait peu si Betty les voyait à poil, tant pis si tous les habitants de North Arlington, New Jersey, sauraient qu’ils avaient encore un prépuce. Ils passèrent devant la porte des Américains en sortant de la salle de bain.
— Ils ne dorment pas, tes invités, dit Daniel, ils ont l’air en pleine discussion.
— On n’écoute pas aux portes…
— Je ne me le permettrais pas. Et si on leur téléphonait ?
— Pourquoi ?
— Tu ne voulais pas aussi photographier leur bite pour Koen ?
— C’est vrai, appelle-les, tu parles mieux anglais que moi.
Daniel décrocha l’appareil qui se trouvait dans le couloir sur une console, il y avait une liste avec les numéros des chambres à côté. Les deux Américains hésitèrent avant de répondre.
— C’est sûrement notre mère, dit Kenneth, elle veut savoir pourquoi on babille au lieu de dormir.
— Elle ne doit pas connaître le numéro.
— Tu as raison, je réponds. Allô ?
— C’est Daniel. Je ne vous dérange pas ?
— Un peu, nous allions nous branler.
— Ça tombe bien, nous aussi. On peut vous rejoindre ? Pour les photos de la cicatrice.
Kenneth demanda à son frère, il acquiesça.
— Ne débandez pas, on arrive, fit Daniel avant de raccrocher.
— C’est pratique ces téléphones, dit Jason, on va en parler à maman, dans un mois nous aurons la même installation chez nous.
Frédéric remonta chercher l’appareil à photos, des mouchoirs en papier, des préservatifs et du lubrifiant, tandis que Daniel frappait à la porte. Jason se leva et l’entrouvrit, la culotte de pyjama et le slip sur les genoux, la bite encore légèrement turgescente. Les cousins entrèrent et tirèrent le loquet.
— Nous sommes vraiment désolés de vous avoir dérangés, fit Daniel, mais nous vous avons entendus discuter en passant devant votre porte.
— Rien de bien important, dit Jason, mon frère est gay et il a un petit ami qui n’est autre que le frère de ma copine.
— Et maman ne sait pas, dit Frédéric.
— Cela ne la regarde pas… pour le moment. Et on prend nos précautions. En revanche, je ne savais pas que mon frère avait une bite plus grosse que la mienne quand il bande, c’est une révélation.
— Et maman ne sait pas ça non plus.
— Je ne mettrais pas ma main au feu.
— C’est préférable, fit Daniel, tu dois l’utiliser pour te masturber.
— Oui, on bavardera plus tard.
— Ça ne te dérange pas de le faire avec des homosexuels ? demanda Frédéric.
— Pourquoi ? Ça te dérange de le faire avec un hétérosexuel ?
Vendredi 9 octobre 1964, maison de Frédéric, Lausanne
— Tu es un petit cochon, dit Kenneth à son frère en riant, tu sais que maman a dit de ne jamais nous toucher le zizi, n’est-ce pas Bob que nos chérubins ne doivent jamais pratiquer la manustupration, c’est sale.
— Tu ne te branles jamais ?
— Non.
— Maman a aussi dit qu’on ne devait jamais mentir. J’ai entendu ton lit grincer dans la chambre d’hôtel hier soir. Tu faisais quoi ?
— La même chose que toi, je suppose.
— Je me demandais, continua Kenneth, si ta queue est plus longue que la mienne quand tu bandes.
— Évidemment, je suis l’aîné.
— Tu me la montres ?
— Bah, si ça peut te faire plaisir, je dois avouer que je me posais la même question. Tu commences.
Kenneth ne se le fit pas dire deux fois, il rejeta la couette, baissa culotte de pyjama et slip, son sexe bandé se plaqua contre son ventre.
— Zut, fit Jason, elle est plus longue que la mienne. Je ne vais pas te la montrer.
— Tu m’avais promis… Sinon, je dirai à maman que Jessica est ta petite amie et que tu couches avec.
— C’est du chantage. Et puis, comment tu le sais ?
— C’est son frère Justin qui me l’a dit, tu vas tondre le gazon toutes les semaines chez eux, comme par hasard quand elle est seule.
— OK, tu as gagné, je te la montre.
Jason dégagea aussi sa bite dressée, elle faisait un centimètre de moins que celle de son frère.
— Pas mal, dit celui-ci, tous les garçons n’en n’ont pas une aussi grosse. Il faut dire que la mienne est exceptionnelle.
— Vantard ! Tu connais Justin, le frère de Jessica ? C’est juste, elle m’a dit que tu l’aidais à faire ses devoirs, comme par hasard quand il est seul. Je me demande… Mon frère bande en pensant aux cousins, mon frère va trouver chaque semaine un de ses camarades. Tu ne serais pas gay ?
— Moi, gay ? fit Kenneth, tu sais ce que maman a dit, je n’ai rien contre les homosexuels, mais je préfère les garçons virils comme vous.
— La bite de Justin, elle mesure combien ?
— Tu es bien curieux pour un hétéro.
— C’est sa sœur qui se posait la question.
— Bof, un centimètre de plus que la mienne.
Les deux frères se regardèrent en riant. Kenneth ajouta :
— J’espère que vous vous protégez, Jessica et toi, je sais bien que maman veut beaucoup de petits-enfants, mais pas tout de suite.
— Ouais, je dépense tout l’argent que je gagne en tondant le gazon pour acheter des capotes. Au moins, toi, tu n’en as pas besoin.
— Nous en mettons aussi, je dépense tout l’argent que je gagne avec les cours particuliers pour les acheter. Tu sais, parfois, c’est moins propre que chez les filles.
— Elles ont aussi leurs…
— On pourrait les acheter ensemble, dit Kenneth, ils nous feraient peut-être un rabais de gros au drugstore. Pas un mot à maman.
— C’est promis, elle doit croire encore quelques temps que nous sommes des anges.
Le téléphone sonna, interrompant leur discussion.
Un quart d’heure plus tôt, les cousins étaient entrés dans la chambre de Frédéric.
— J’ai vu que vous aviez maintenant des téléphones dans les chambres, dit Daniel.
— Oui, mon père a fait installer un petit central, neuf lignes internes et deux lignes externes. On peut appeler directement l’extérieur en pressant le bouton rouge ou se parler d’une chambre à l’autre.
— Pratique, comme cela on peut discuter discrètement.
— Ce sont mes sœurs qui ont demandé pour appeler leurs fiancés, et mon père ne peut rien leur refuser.
— À toi non plus, il me semble.
— Koen m’a prêté son appareil à photos, on en fait quelques-unes avec le flash avant de se coucher ? Cela te fera un souvenir, la dernière photo de ta bite intacte, avant/après.
Ils se photographièrent tout d’abord avec leurs habits du dimanche, puis se dénudèrent progressivement pour des poses plus osées. Ils descendirent ensuite se laver les dents à l’étage inférieur sans remettre de sous-vêtement, cela les importait peu si Betty les voyait à poil, tant pis si tous les habitants de North Arlington, New Jersey, sauraient qu’ils avaient encore un prépuce. Ils passèrent devant la porte des Américains en sortant de la salle de bain.
— Ils ne dorment pas, tes invités, dit Daniel, ils ont l’air en pleine discussion.
— On n’écoute pas aux portes…
— Je ne me le permettrais pas. Et si on leur téléphonait ?
— Pourquoi ?
— Tu ne voulais pas aussi photographier leur bite pour Koen ?
— C’est vrai, appelle-les, tu parles mieux anglais que moi.
Daniel décrocha l’appareil qui se trouvait dans le couloir sur une console, il y avait une liste avec les numéros des chambres à côté. Les deux Américains hésitèrent avant de répondre.
— C’est sûrement notre mère, dit Kenneth, elle veut savoir pourquoi on babille au lieu de dormir.
— Elle ne doit pas connaître le numéro.
— Tu as raison, je réponds. Allô ?
— C’est Daniel. Je ne vous dérange pas ?
— Un peu, nous allions nous branler.
— Ça tombe bien, nous aussi. On peut vous rejoindre ? Pour les photos de la cicatrice.
Kenneth demanda à son frère, il acquiesça.
— Ne débandez pas, on arrive, fit Daniel avant de raccrocher.
— C’est pratique ces téléphones, dit Jason, on va en parler à maman, dans un mois nous aurons la même installation chez nous.
Frédéric remonta chercher l’appareil à photos, des mouchoirs en papier, des préservatifs et du lubrifiant, tandis que Daniel frappait à la porte. Jason se leva et l’entrouvrit, la culotte de pyjama et le slip sur les genoux, la bite encore légèrement turgescente. Les cousins entrèrent et tirèrent le loquet.
— Nous sommes vraiment désolés de vous avoir dérangés, fit Daniel, mais nous vous avons entendus discuter en passant devant votre porte.
— Rien de bien important, dit Jason, mon frère est gay et il a un petit ami qui n’est autre que le frère de ma copine.
— Et maman ne sait pas, dit Frédéric.
— Cela ne la regarde pas… pour le moment. Et on prend nos précautions. En revanche, je ne savais pas que mon frère avait une bite plus grosse que la mienne quand il bande, c’est une révélation.
— Et maman ne sait pas ça non plus.
— Je ne mettrais pas ma main au feu.
— C’est préférable, fit Daniel, tu dois l’utiliser pour te masturber.
— Oui, on bavardera plus tard.
— Ça ne te dérange pas de le faire avec des homosexuels ? demanda Frédéric.
— Pourquoi ? Ça te dérange de le faire avec un hétérosexuel ?
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