02-09-2022, 09:31 AM
Ben salue maman et Jean, puis il monte avec moi dans ma chambre. A peine la porte fermée je le prends dans mes bras et je lui roule une de ses méga pelle. Nous nous affalons sur le lit et nous poursuivons notre baiser humide, nos langues se sont retrouvées pour leur plus grand plaisir. Je retire le pull de mon chéri en même temps que son tee-shirt, il est torse-nu et je peux donc entamer mes caresses sur les fins petits poils blonds qui tapissent son sternum. De son côté il défait ma chemise, ce qui prend plus de temps, il y a six boutons à ouvrir puis il y a aussi le marcel. Nous sommes maintenant tous les deux occupés à nous caresser en nous embrassant. Je quitte la bouche délicieuse de mon chéri pour titiller ses mamelons avec la langue. Ils grossissent déjà et je vois que son torse change, la chair de poule apparait. Je poursuis mes caresses vers le bas de son ventre. Ma main arrive à hauteur de la boucle de sa ceinture, je la défais et ouvre ta tirette de son jeans. Ben me pousse avec ses mains et il s’occupe lui aussi de me lécher les mamelons et à caresser le bas ventre : la boucle de ma ceinture est vite défaite et il tire sur mon pantalon qui se retrouve sur mes chevilles. Je reprends l’initiative et je baisse son jeans en même temps que son slip. Le pénis de Ben est déjà dressé vers le ciel. C’est à son tour de me baisser le slip. Il laisse alors mon sexe bandé sortir de sa prison de tissus. Nous ôtons nos vêtements arrêtés aux chevilles pour être libre de nos mouvements.
Ma bouche s’attarde alors au niveau de ce phallus qui n’attend qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Déjà le gland à moitié apparent est humide. Ma langue vient lécher ce bouton rose pour ensuite aller de haut en bas vers les deux petites pommes d’amour de mon amant. Par une rotation Ben fait un savant demi-tour pour se placer de façon à avoir mon pénis à portée de bouche. Je sens sa langue titiller mon gland et s’attarder au niveau du méat. Ma main vient s’occuper de ses deux orphelines alors que mes lèvres décalottent convenablement le gland. Je sais que Ben va lui aussi me donner du plaisir, je sens déjà des papillons dans mon bas ventre. J’avale la barre de chair et je la fais coulisser entre mes lèvres. Je sens que mon zizi est entré dans la cavité buccale de mon chéri. Il débute d’ailleurs des mouvements alternatifs qui m’arrachent déjà des râles de bonheur. Je poursuis ma fellation et j’entends aussi que Ben râle de plaisir. Nous nous suçons mutuellement en essayant de nous procurer un maximum de sensations, c’est à l’être aimé que nous pensons. Puis, presque en même temps que nous jouissons, nous laissons notre semence s’étaler au font de la gorge de notre amoureux.
Nous nous relevons pour nous embrasser, partageant nos élixirs de vie. Nous sommes dans notre monde, dans notre bulle où nous profitons de dernières caresses qui nous apportent une sensation de calme après la tempête, une sensation de plénitude. Nous terminons notre baiser de partager et restons côte à côte, le temps de récupérer.
Nous nous endormons finalement bars dans les bras l’un de l’autre. J’ai des images de ce garçon à la tête blonde qui partage mon lit et avec lequel je suis heureux, je l’aime et je sais qu’il m’aime. Je me revois avec ce blondinet, beau comme un champ de blé sous un soleil d’été, nous baigner dans la mer bleue le long d’une belle et grande plage de sable fin ! Je rêve de mon Ben, de mon Ben d’amour qui partage maintenant mon existence…. On frappe à la porte : comme réponse j’émets un râle incompréhensif. J’entends la porte s’ouvrir….
J’ouvre les yeux et je vois Jean qui entre, il nous voit nus, couchés sur le lit, et fait demi-tour. Je l’appelle, il tourne la tête vers moi. Nous avons l’habitude de nous voir nus, mais bon, c’est vrai qu’au réveil, il n’est pas facile de masquer son état, en effet tant Ben que moi avons notre érection matinale. Je dis à mon frère que nous allons nous lever. Jean sort et referme la porte.
Je caresse la tête de mon blondinet en lui disant qu’il est temps de se lever. Il ouvre les yeux et plante son regard dans le mien. Ses yeux bleu-océan me font toujours le même effet, c’est la vision de l’amour qu’il me porte, c’est un sentiment de douceur et de plénitude qui s’en dégage, c’est finalement un tout indescriptible. Nous savons, rien qu’au regard de l’autre, si ça va bien ou moins bien. Ce matin, c’est douceur et bonheur, point de tumulte dans nos regards. Pas besoin de parler pour dire que nous nous aimons, nous le savons à travers nos regards.
Un passage à la douche nous fait le plus grand bien. Une fois habillés nous rejoignons la salle à manger pour un bon petit-déjeuner. C’est l’occasion de savoir ce que la famille compte faire durant la journée. Comme il est annoncé du soleil pour l’après-midi, nous comptons nous balader en Forêt de Soignes. Jean ne sait pas s’il ne va pas aller voir un film au cinéma avec Amandine. Ben lui répond que s’il y a du soleil c’est l’occasion de prendre un grand bol d’air et ne pas rester dans l’obscurité d’une salle de cinéma. À cette réponse maman dit que c’est une très bonne chose que de prendre l’air. Bref Jean ne change pas d’idée. À mon avis, il souhaite rester seul avec sa dulcinée.
Alors que nous rangeons la table, le téléphone sonne. C’est Luc, le chef d’unité scoute qui demande si c’est possible que je passe au local scout vers seize heures pour préparer le camp de Pâques avec les animateurs. Je suis bien entendu partant. Puis Luc me demande si Ben est présent à la maison. La réponse est affirmative et j’appelle donc mon chéri.
Ben discute avec Luc cinq bonnes minutes. Il raccroche et me dit qu’il a aussi rendez-vous vers seize heures trente avec les animateurs louveteaux. Il ajoute qu’il va y avoir un peu de changement et qu’il en saura plus lors de cette réunion de préparation.
Comme convenu, il est treize heures trente et nous nous baladons en Forêt de Soignes. Il fait très bon, il y a environ 17 degrés, pas de vent et nous entendons les oiseaux chanter et s’en donner à cœur joie. Nous rentrons pour quinze heures quinze, juste le temps de se rafraîchir pour nous rendre au local des scouts et à celui des loups.
Je rejoins le local des scouts éclaireurs où je suis attendu par Bruno, Jean-Pierre et Ghislain ; Gaby et Alex sont déjà arrivés. C’est maintenant le moment de voir avec les animateurs ce qui est prévu pour ce mini camp. Tout est passé au crible, qu’il s’agisse du logement, des activités, de l’intendance, … etc.
Ben lui se trouve avec les animateurs de la meute avec Raphaël, Philippe et Christophe. L’Akela c’est Vincent, il est secondé par Pierre-Yves (Kaa), Jean-Michel (Baloo) et Michel (Bagheera). (Noms sortis du « Livre de la Jungle » de Rudyard Kipling)
Lors de cette réunion de préparation, l’accent est mis sur l’ouverture aux autres et principalement aux moins valides. Il y aura donc trois jeunes de dix ans qui participeront à ce mini camp avec les autres louveteaux « valides ». C’est une expérience qui a déjà été tentée il y a quatre ans selon les renseignements en possession de Vincent, expérience qui s’est très bien passée. Il est à noter que Michel suit actuellement une formation d’accompagnement de jeunes ayant un handicap léger à moyen. Il sera là pour conseiller tant les autres animateurs que les loups plus âgés.
Ma réunion se termine à dix-neuf heures, tout est en ordre et l’équipe d’animation est prête. Je patiente un moment en attendant Ben. Justement Jean-Pierre attend lui aussi pour reprendre Christophe. C’est l’occasion de poser une ou deux questions concernant l’état d’esprit des scouts concernant l’homosexualité et bien entendu l’homophobie. Jean-Pierre me dit que rien n’a changé, qu’il n’y a pas de souci au point de vue homophobie et qu’à sa connaissance il n’y a pas de scout gay pour le moment dans la troupe, mais il ne peut pas être affirmatif à cent pour cent !
Ça me rassure car il n’est pas évident de se retrouver avec des jeunes qui pourraient s’en prendre à Gaby ou à moi. La question ne se pose pas pour les louveteaux, les enfants sont trop jeunes. Jean-Pierre ajoute que de toute manière les animateurs sont au courant et personne n’en parlera. Il poursuit en disant qu’il sait très bien ce que c’est, ayant son frère Christophe qui est homo.
Voilà, j’entends les autres arriver, leur réunion est terminée pour eux aussi. Ben me rejoint et salue J-P, Christophe le suit. Nous discutons deux minutes et puis nous quittons les lieux. Ben réfléchit encore, je vois que ça trotte dans sa tête. Je lui demande si ça va, il me dit que oui. Bref nous allons chez ses parents pour loger. Nous n’échangeons pas beaucoup de parole lors de ce trajet : il me signale simplement qu’il m’en dira plus ce soir.
Ma bouche s’attarde alors au niveau de ce phallus qui n’attend qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Déjà le gland à moitié apparent est humide. Ma langue vient lécher ce bouton rose pour ensuite aller de haut en bas vers les deux petites pommes d’amour de mon amant. Par une rotation Ben fait un savant demi-tour pour se placer de façon à avoir mon pénis à portée de bouche. Je sens sa langue titiller mon gland et s’attarder au niveau du méat. Ma main vient s’occuper de ses deux orphelines alors que mes lèvres décalottent convenablement le gland. Je sais que Ben va lui aussi me donner du plaisir, je sens déjà des papillons dans mon bas ventre. J’avale la barre de chair et je la fais coulisser entre mes lèvres. Je sens que mon zizi est entré dans la cavité buccale de mon chéri. Il débute d’ailleurs des mouvements alternatifs qui m’arrachent déjà des râles de bonheur. Je poursuis ma fellation et j’entends aussi que Ben râle de plaisir. Nous nous suçons mutuellement en essayant de nous procurer un maximum de sensations, c’est à l’être aimé que nous pensons. Puis, presque en même temps que nous jouissons, nous laissons notre semence s’étaler au font de la gorge de notre amoureux.
Nous nous relevons pour nous embrasser, partageant nos élixirs de vie. Nous sommes dans notre monde, dans notre bulle où nous profitons de dernières caresses qui nous apportent une sensation de calme après la tempête, une sensation de plénitude. Nous terminons notre baiser de partager et restons côte à côte, le temps de récupérer.
Nous nous endormons finalement bars dans les bras l’un de l’autre. J’ai des images de ce garçon à la tête blonde qui partage mon lit et avec lequel je suis heureux, je l’aime et je sais qu’il m’aime. Je me revois avec ce blondinet, beau comme un champ de blé sous un soleil d’été, nous baigner dans la mer bleue le long d’une belle et grande plage de sable fin ! Je rêve de mon Ben, de mon Ben d’amour qui partage maintenant mon existence…. On frappe à la porte : comme réponse j’émets un râle incompréhensif. J’entends la porte s’ouvrir….
J’ouvre les yeux et je vois Jean qui entre, il nous voit nus, couchés sur le lit, et fait demi-tour. Je l’appelle, il tourne la tête vers moi. Nous avons l’habitude de nous voir nus, mais bon, c’est vrai qu’au réveil, il n’est pas facile de masquer son état, en effet tant Ben que moi avons notre érection matinale. Je dis à mon frère que nous allons nous lever. Jean sort et referme la porte.
Je caresse la tête de mon blondinet en lui disant qu’il est temps de se lever. Il ouvre les yeux et plante son regard dans le mien. Ses yeux bleu-océan me font toujours le même effet, c’est la vision de l’amour qu’il me porte, c’est un sentiment de douceur et de plénitude qui s’en dégage, c’est finalement un tout indescriptible. Nous savons, rien qu’au regard de l’autre, si ça va bien ou moins bien. Ce matin, c’est douceur et bonheur, point de tumulte dans nos regards. Pas besoin de parler pour dire que nous nous aimons, nous le savons à travers nos regards.
Un passage à la douche nous fait le plus grand bien. Une fois habillés nous rejoignons la salle à manger pour un bon petit-déjeuner. C’est l’occasion de savoir ce que la famille compte faire durant la journée. Comme il est annoncé du soleil pour l’après-midi, nous comptons nous balader en Forêt de Soignes. Jean ne sait pas s’il ne va pas aller voir un film au cinéma avec Amandine. Ben lui répond que s’il y a du soleil c’est l’occasion de prendre un grand bol d’air et ne pas rester dans l’obscurité d’une salle de cinéma. À cette réponse maman dit que c’est une très bonne chose que de prendre l’air. Bref Jean ne change pas d’idée. À mon avis, il souhaite rester seul avec sa dulcinée.
Alors que nous rangeons la table, le téléphone sonne. C’est Luc, le chef d’unité scoute qui demande si c’est possible que je passe au local scout vers seize heures pour préparer le camp de Pâques avec les animateurs. Je suis bien entendu partant. Puis Luc me demande si Ben est présent à la maison. La réponse est affirmative et j’appelle donc mon chéri.
Ben discute avec Luc cinq bonnes minutes. Il raccroche et me dit qu’il a aussi rendez-vous vers seize heures trente avec les animateurs louveteaux. Il ajoute qu’il va y avoir un peu de changement et qu’il en saura plus lors de cette réunion de préparation.
Comme convenu, il est treize heures trente et nous nous baladons en Forêt de Soignes. Il fait très bon, il y a environ 17 degrés, pas de vent et nous entendons les oiseaux chanter et s’en donner à cœur joie. Nous rentrons pour quinze heures quinze, juste le temps de se rafraîchir pour nous rendre au local des scouts et à celui des loups.
Je rejoins le local des scouts éclaireurs où je suis attendu par Bruno, Jean-Pierre et Ghislain ; Gaby et Alex sont déjà arrivés. C’est maintenant le moment de voir avec les animateurs ce qui est prévu pour ce mini camp. Tout est passé au crible, qu’il s’agisse du logement, des activités, de l’intendance, … etc.
Ben lui se trouve avec les animateurs de la meute avec Raphaël, Philippe et Christophe. L’Akela c’est Vincent, il est secondé par Pierre-Yves (Kaa), Jean-Michel (Baloo) et Michel (Bagheera). (Noms sortis du « Livre de la Jungle » de Rudyard Kipling)
Lors de cette réunion de préparation, l’accent est mis sur l’ouverture aux autres et principalement aux moins valides. Il y aura donc trois jeunes de dix ans qui participeront à ce mini camp avec les autres louveteaux « valides ». C’est une expérience qui a déjà été tentée il y a quatre ans selon les renseignements en possession de Vincent, expérience qui s’est très bien passée. Il est à noter que Michel suit actuellement une formation d’accompagnement de jeunes ayant un handicap léger à moyen. Il sera là pour conseiller tant les autres animateurs que les loups plus âgés.
Ma réunion se termine à dix-neuf heures, tout est en ordre et l’équipe d’animation est prête. Je patiente un moment en attendant Ben. Justement Jean-Pierre attend lui aussi pour reprendre Christophe. C’est l’occasion de poser une ou deux questions concernant l’état d’esprit des scouts concernant l’homosexualité et bien entendu l’homophobie. Jean-Pierre me dit que rien n’a changé, qu’il n’y a pas de souci au point de vue homophobie et qu’à sa connaissance il n’y a pas de scout gay pour le moment dans la troupe, mais il ne peut pas être affirmatif à cent pour cent !
Ça me rassure car il n’est pas évident de se retrouver avec des jeunes qui pourraient s’en prendre à Gaby ou à moi. La question ne se pose pas pour les louveteaux, les enfants sont trop jeunes. Jean-Pierre ajoute que de toute manière les animateurs sont au courant et personne n’en parlera. Il poursuit en disant qu’il sait très bien ce que c’est, ayant son frère Christophe qui est homo.
Voilà, j’entends les autres arriver, leur réunion est terminée pour eux aussi. Ben me rejoint et salue J-P, Christophe le suit. Nous discutons deux minutes et puis nous quittons les lieux. Ben réfléchit encore, je vois que ça trotte dans sa tête. Je lui demande si ça va, il me dit que oui. Bref nous allons chez ses parents pour loger. Nous n’échangeons pas beaucoup de parole lors de ce trajet : il me signale simplement qu’il m’en dira plus ce soir.