CHAPITRE IX (Fin de chapitre)
Alice a tout préparé. Sac à dos, lampe torche, couverture s’il venait à rafraîchir, jumelles, carte du ciel. Ses yeux couleur noisette brillent. Le champagne n’y est certes pas étranger mais c’est l‘excitation qui prédomine.
Les dunes, c’est juste en face de chez nous. Il suffit de traverser l’avenue puis la pinède peu touffue et on y est. Néanmoins, il faudra s’éloigner un peu plus. A cet endroit, elles sont protégées afin de préserver la flore et notamment les oyats. Ces plantes ont une capacité à retenir le sable avec leurs racines et contribuent à ralentir l’érosion des plages.
Alice me prend la main.
- Viens, on va passer par là. Je connais bien. J’y viens souvent me promener.
Les chemins sont étroits. On se déplace le plus souvent en file indienne. Pour autant ma main reste précieusement accrochée à la sienne. Et si par inadvertance, elle venait à se disjoindre l'espace d'un instant, c’est pour mieux se retrouver. Alice a pris la tête des opérations. Je me laisse entraîner par ce petit bout de femme extraordinaire, volontaire, décidée et enthousiaste. De temps en temps, elle se retourne vers moi pour me gratifier d’un sourire majestueux. Elle est heureuse et je le vois. Rien que pour son sourire, je ferai avec elle le tour du monde, plusieurs fois même, s’il le fallait. Il y a tant de chaleur, de délicatesse, de bonheur et surtout tant d’espoir. Son regard me rend tout chose. Je ne suis plus moi-même. Je suis elle et elle est moi. Je ne pense plus moi. Je pense nous et maintenant plus que tout, je pense elle.
J’ai conscience que ce bonheur puisse n’être qu’éphémère, fragilisé par un avenir incertain et plutôt que de vouloir le protéger à tout prix au risque de l’étouffer ou de le perdre, je préfère le vivre intensément à chaque instant avec elle. Pour elle.
- Nous sommes arrivés mon chéri.
Elle se jette dans mes bras.
- Je suis contente. Je suis vraiment heureuse. Viens on va préparer le campement.
Je la regarde s’activer. Le plaid est jeté par terre sur le sable mou dans un creux de la dune. Les jumelles sont de sortie. La carte du ciel est dépliée. La lampe torche aide à s’y retrouver dans la nuit qui est tombée.
- Allonge toi à côté de moi, sur le dos et regarde comme c'est magnifique Pascal.
Alice me prend la main. Le contact fusionnel est établi. IL n’y a plus rien à dire. Il n’y a plus rien à faire qu’à écouter cette main si douce qui me cause en silence.
- Ça fait très longtemps que j’ai rêvé de vivre ce moment, contempler le ciel avec celui que j’aime et toi tu débarques dans ma vie et tu m’offres presque tout ce que dont je n’ai jamais eu. Le côté fascinant, c’est que chez toi, tout est naturel. J’adore.
Alice me dessine dans le ciel des formes qui deviennent évidentes une fois tracées. On prend la carte et on se projette ensuite dans la nuit. On cherche la planète Vénus et une fois trouvée, on la regarde aux jumelles chacun notre tour. L’idée de poser mes yeux là où quelques instants plus tôt elle a posé les siens me remplit de sérénité. Je suis fier de ma petite sauvageonne qui se transforme maintenant en institutrice patiente et appliquée. J’aime tout dans cette jeune femme que j’ai osé trouver il fut un temps ordinaire. Je ne comprends même pas comment j’ai pu ne serait-ce qu’un instant imaginer pareil sacrilège, probablement un peu trop haut perché dans ma virilité masculine. J’aime le contact de ce corps exceptionnel. J’admire sa voix chétive de petite fille sage, je contemple son aisance, sa façon de vivre, la joie timide qu’elle manifeste parfois avec en fond d’écran une tristesse déconcertante.
Alice m’emmène voyager dans l’immensité stellaire. Elle me dessine la voie lactée, localise la planète Mars, les étoiles Aldébaran, Bételgeuse, la constellation des pléiades. Elle est sérieuse, très sérieuse et parfois j’ai l’impression qu’elle se transpose seule dans cet univers qui lui est si familier. Je la récupère le temps d’un sourire et elle repart rassurée de ma présence.
- Tiens regarde, une étoile filante. On dit qu’il faut faire un vœu. C’est des conneries mais ce soir avec toi j’ai envie d’y croire.
- Et, c’est quoi ton vœux ma chérie ?
- C’est un secret. Je te le confierais que s’il se réalise.
- Tu ne prends pas beaucoup de risque lui dis-je en riant.
Alice me regarde. Ses yeux pétillent.
- Viens Pascal. J’ai envie de te surprendre.
- Houlà, il va falloir t’accrocher ma puce.
- On va se baigner ?
- Tu es folle. Il est deux heures du matin.
- Yes gagné. Trop facile avec toi. Allez viens. J’en rêve depuis des lustres.
J’abdique devant la détermination sans faille d’Alice. Je retire mes vêtements. Elle fait de même. Dans l’obscurité de la lune, nos corps nus, face à face se contemplent et se désirent déjà. On dévale la dune, la plage de sable fin, le sable tassé par la marée précédente. On discerne maintenant le reflet des vagues qui s’échouent fatiguées sur la plage. Il n’y a pas un souffle. La mer est d’un calme olympien.
Alice vient se serrer contre moi. J’adore. Ses lèvres sont offertes, son corps est offert, son sexe est offert.
- Je t’aime Pascal. J’ai envie de faire l’amour. J'ai très envie.
Impossible de résister à un appel aussi direct, aussi sensuel et mon sexe a très bien compris. Je suis nu sur une plage déserte avec une femme que j'aime, ravissante, tout aussi nue que moi et … je bande comme un fou.
- Prends moi, là de suite. J’ai envie de sentir ton sexe dans mon sexe. Tout à l'heure dans la douche, c’était trop bon. J’avais oublié que c’était si bon. Vite, viens. J’ai trop envie.
Sans aucun autre préliminaire, Alice saisi mon sexe, le dirige vers le sien et un gant de velours vient prendre possession de mon gland, de ma verge toute entière. Alice s’empale doucement sur mon sexe distendu et c’est délicieux. Elle râle de plaisir. Je vois ses yeux brillants qui se perdent dans l’infinie parfois ouverts et merveilleux, parfois fermés et langoureux.
- Ma chérie !!! Ce n’est pas ce qu’il y a de plus pratique comme position. On peut changer ?
- Oui tu as raison. Là je te sens à peine. Tu peux mieux faire ? me dit-elle moqueuse.
- Coquine. Oui tourne.
- Comme ça ?
- Oui comme ça.
Alice me présente ses fesses cambrées sans aucune pudeur. Elles sont magnifiques sous la clarté de la lune. Ma verge pénètre son sexe avec une facilité déconcertante. Elle glisse sans aucune résistance jusqu’au fond de son corps, arrêtée par mon pubis en buté sur ses fesses.
- Tu la sens mieux comme ça ?
- Waouh trop bon. Vas-y, continue mon amour.
Mes mains sur ses hanches, nos corps cherchent à synchroniser la pénétration. Après quelques essayages infructueux, l’harmonie s’invite dans l’accouplement. Les mouvements se font lents, pour prendre le temps de savourer chaque seconde, de vivre chaque choc corporel comme un plaisir décuplé.
- Plus vite mon chéri. Oui comme ça.
Les fesses d’Alice viennent s’écraser de plus en plus vite tout contre mon pubis. J’adore ces petites fesses. Elles sont magnifiques. J’aime entendre les bruits de l’amour qui intensifie le plaisir des sens, le petit claquement des fesses, la succion des organes qui s’accouplent et se désaccouplent. J’aime sentir les effluves corporelles et sexuelles qui se mélangent sublimement.
- Oh oui. Encore.
Alice est insatiable, gourmande en amour et c’est un régal. Une vague plus téméraire que les autres, vient nous lécher les pieds. J’accélère le mouvement. Alice tout aussi merveilleuse m’accompagne. Elle gémit de plus en plus fort. Elle râle de bonheur devant sa jouissance. Alice se tourne vers moi et m’embrasse amoureusement. Une seconde vague encore plus téméraire que la première envahit nos pieds.
- La marée monte. On va se baigner ?
L’eau est froide. On ne reste pas très longtemps juste suffisamment pour calmer nos corps encore brûlants d’amour.
De retour à notre campement sauvage, Nous nous enroulons tous les deux dans la couverture. Mes mains traînent à la recherche de je ne sais quoi sur ce corps offert, abandonné à ma dextérité. Ma tête se cale dans le cou de ma bien aimée. Je respire son odeur. Je goutte ses cheveux humides avec un plaisir indescriptible. J’embrasse son oreille, ses lèvres et nous nous endormons radieux et comblés.
Alice a tout préparé. Sac à dos, lampe torche, couverture s’il venait à rafraîchir, jumelles, carte du ciel. Ses yeux couleur noisette brillent. Le champagne n’y est certes pas étranger mais c’est l‘excitation qui prédomine.
Les dunes, c’est juste en face de chez nous. Il suffit de traverser l’avenue puis la pinède peu touffue et on y est. Néanmoins, il faudra s’éloigner un peu plus. A cet endroit, elles sont protégées afin de préserver la flore et notamment les oyats. Ces plantes ont une capacité à retenir le sable avec leurs racines et contribuent à ralentir l’érosion des plages.
Alice me prend la main.
- Viens, on va passer par là. Je connais bien. J’y viens souvent me promener.
Les chemins sont étroits. On se déplace le plus souvent en file indienne. Pour autant ma main reste précieusement accrochée à la sienne. Et si par inadvertance, elle venait à se disjoindre l'espace d'un instant, c’est pour mieux se retrouver. Alice a pris la tête des opérations. Je me laisse entraîner par ce petit bout de femme extraordinaire, volontaire, décidée et enthousiaste. De temps en temps, elle se retourne vers moi pour me gratifier d’un sourire majestueux. Elle est heureuse et je le vois. Rien que pour son sourire, je ferai avec elle le tour du monde, plusieurs fois même, s’il le fallait. Il y a tant de chaleur, de délicatesse, de bonheur et surtout tant d’espoir. Son regard me rend tout chose. Je ne suis plus moi-même. Je suis elle et elle est moi. Je ne pense plus moi. Je pense nous et maintenant plus que tout, je pense elle.
J’ai conscience que ce bonheur puisse n’être qu’éphémère, fragilisé par un avenir incertain et plutôt que de vouloir le protéger à tout prix au risque de l’étouffer ou de le perdre, je préfère le vivre intensément à chaque instant avec elle. Pour elle.
- Nous sommes arrivés mon chéri.
Elle se jette dans mes bras.
- Je suis contente. Je suis vraiment heureuse. Viens on va préparer le campement.
Je la regarde s’activer. Le plaid est jeté par terre sur le sable mou dans un creux de la dune. Les jumelles sont de sortie. La carte du ciel est dépliée. La lampe torche aide à s’y retrouver dans la nuit qui est tombée.
- Allonge toi à côté de moi, sur le dos et regarde comme c'est magnifique Pascal.
Alice me prend la main. Le contact fusionnel est établi. IL n’y a plus rien à dire. Il n’y a plus rien à faire qu’à écouter cette main si douce qui me cause en silence.
- Ça fait très longtemps que j’ai rêvé de vivre ce moment, contempler le ciel avec celui que j’aime et toi tu débarques dans ma vie et tu m’offres presque tout ce que dont je n’ai jamais eu. Le côté fascinant, c’est que chez toi, tout est naturel. J’adore.
Alice me dessine dans le ciel des formes qui deviennent évidentes une fois tracées. On prend la carte et on se projette ensuite dans la nuit. On cherche la planète Vénus et une fois trouvée, on la regarde aux jumelles chacun notre tour. L’idée de poser mes yeux là où quelques instants plus tôt elle a posé les siens me remplit de sérénité. Je suis fier de ma petite sauvageonne qui se transforme maintenant en institutrice patiente et appliquée. J’aime tout dans cette jeune femme que j’ai osé trouver il fut un temps ordinaire. Je ne comprends même pas comment j’ai pu ne serait-ce qu’un instant imaginer pareil sacrilège, probablement un peu trop haut perché dans ma virilité masculine. J’aime le contact de ce corps exceptionnel. J’admire sa voix chétive de petite fille sage, je contemple son aisance, sa façon de vivre, la joie timide qu’elle manifeste parfois avec en fond d’écran une tristesse déconcertante.
Alice m’emmène voyager dans l’immensité stellaire. Elle me dessine la voie lactée, localise la planète Mars, les étoiles Aldébaran, Bételgeuse, la constellation des pléiades. Elle est sérieuse, très sérieuse et parfois j’ai l’impression qu’elle se transpose seule dans cet univers qui lui est si familier. Je la récupère le temps d’un sourire et elle repart rassurée de ma présence.
- Tiens regarde, une étoile filante. On dit qu’il faut faire un vœu. C’est des conneries mais ce soir avec toi j’ai envie d’y croire.
- Et, c’est quoi ton vœux ma chérie ?
- C’est un secret. Je te le confierais que s’il se réalise.
- Tu ne prends pas beaucoup de risque lui dis-je en riant.
Alice me regarde. Ses yeux pétillent.
- Viens Pascal. J’ai envie de te surprendre.
- Houlà, il va falloir t’accrocher ma puce.
- On va se baigner ?
- Tu es folle. Il est deux heures du matin.
- Yes gagné. Trop facile avec toi. Allez viens. J’en rêve depuis des lustres.
J’abdique devant la détermination sans faille d’Alice. Je retire mes vêtements. Elle fait de même. Dans l’obscurité de la lune, nos corps nus, face à face se contemplent et se désirent déjà. On dévale la dune, la plage de sable fin, le sable tassé par la marée précédente. On discerne maintenant le reflet des vagues qui s’échouent fatiguées sur la plage. Il n’y a pas un souffle. La mer est d’un calme olympien.
Alice vient se serrer contre moi. J’adore. Ses lèvres sont offertes, son corps est offert, son sexe est offert.
- Je t’aime Pascal. J’ai envie de faire l’amour. J'ai très envie.
Impossible de résister à un appel aussi direct, aussi sensuel et mon sexe a très bien compris. Je suis nu sur une plage déserte avec une femme que j'aime, ravissante, tout aussi nue que moi et … je bande comme un fou.
- Prends moi, là de suite. J’ai envie de sentir ton sexe dans mon sexe. Tout à l'heure dans la douche, c’était trop bon. J’avais oublié que c’était si bon. Vite, viens. J’ai trop envie.
Sans aucun autre préliminaire, Alice saisi mon sexe, le dirige vers le sien et un gant de velours vient prendre possession de mon gland, de ma verge toute entière. Alice s’empale doucement sur mon sexe distendu et c’est délicieux. Elle râle de plaisir. Je vois ses yeux brillants qui se perdent dans l’infinie parfois ouverts et merveilleux, parfois fermés et langoureux.
- Ma chérie !!! Ce n’est pas ce qu’il y a de plus pratique comme position. On peut changer ?
- Oui tu as raison. Là je te sens à peine. Tu peux mieux faire ? me dit-elle moqueuse.
- Coquine. Oui tourne.
- Comme ça ?
- Oui comme ça.
Alice me présente ses fesses cambrées sans aucune pudeur. Elles sont magnifiques sous la clarté de la lune. Ma verge pénètre son sexe avec une facilité déconcertante. Elle glisse sans aucune résistance jusqu’au fond de son corps, arrêtée par mon pubis en buté sur ses fesses.
- Tu la sens mieux comme ça ?
- Waouh trop bon. Vas-y, continue mon amour.
Mes mains sur ses hanches, nos corps cherchent à synchroniser la pénétration. Après quelques essayages infructueux, l’harmonie s’invite dans l’accouplement. Les mouvements se font lents, pour prendre le temps de savourer chaque seconde, de vivre chaque choc corporel comme un plaisir décuplé.
- Plus vite mon chéri. Oui comme ça.
Les fesses d’Alice viennent s’écraser de plus en plus vite tout contre mon pubis. J’adore ces petites fesses. Elles sont magnifiques. J’aime entendre les bruits de l’amour qui intensifie le plaisir des sens, le petit claquement des fesses, la succion des organes qui s’accouplent et se désaccouplent. J’aime sentir les effluves corporelles et sexuelles qui se mélangent sublimement.
- Oh oui. Encore.
Alice est insatiable, gourmande en amour et c’est un régal. Une vague plus téméraire que les autres, vient nous lécher les pieds. J’accélère le mouvement. Alice tout aussi merveilleuse m’accompagne. Elle gémit de plus en plus fort. Elle râle de bonheur devant sa jouissance. Alice se tourne vers moi et m’embrasse amoureusement. Une seconde vague encore plus téméraire que la première envahit nos pieds.
- La marée monte. On va se baigner ?
L’eau est froide. On ne reste pas très longtemps juste suffisamment pour calmer nos corps encore brûlants d’amour.
De retour à notre campement sauvage, Nous nous enroulons tous les deux dans la couverture. Mes mains traînent à la recherche de je ne sais quoi sur ce corps offert, abandonné à ma dextérité. Ma tête se cale dans le cou de ma bien aimée. Je respire son odeur. Je goutte ses cheveux humides avec un plaisir indescriptible. J’embrasse son oreille, ses lèvres et nous nous endormons radieux et comblés.
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