26-08-2022, 11:48 AM
Le repas est simple et facile pour le nombre que nous sommes. Nous des toasts hawaïens comme entrée, ensuite comme plat de résistance c’est du poulet à l’indienne qui est proposé avec du riz complet. Je sais qu’il y a aussi le plateau de fromage et je suis certain que le dessert reste dans la tradition : « un cœur de nouvel an ».
Effectivement c’est un cœur de Nouvel An qui est servi comme dessert et vu l’heure qu’il est, c’est aussi le goûter. Yves sort des bouteilles de liqueur pour accompagner le café. C’est à ce moment-là que Luc va chercher sa guitare. Je vois mes grands-parents qui affichent déjà sur leurs visages un large sourire qui montre leur envie de nous entendre chanter. Puis Marc-Antoine lui a six ou sept carnets de chants qu’il a pris avant de venir. Arlette et Yves sont eux aussi charmés par cette initiative.
Nous chantons quelques chants du répertoire scout. Puis Papa demande s’il est possible de chanter pour Maman, par téléphone. Yves apporte l’appareil dans le living et le pose près de mon père. Le chant proposé est celui de Bourvil « La Tendresse ». Inutile de dire que Maman apprécie d’entendre cette chanson. Elle a l’occasion d’avoir un petit mot de la part de chacun d’entre nous. A sa voix je sens bien qu’elle est très émue et je suis certain qu’elle pleure mais de bonheur et de joie de nous avons entendu chanter pour elle, en son honneur.
La « veillée » scoute se poursuit après ce très bel appel téléphonique. Nous reprenons les classiques. Chacun propose l’un ou l’autre chant qui lui tient à cœur. Je dois dire que ce jour de l’an est vraiment particulier. Le temps passe vite quand on partage un moment tel que celui que nous vivons. Il est près de dix-neuf heures.
On sonne à la porte et c’est Yves qui va voir qui c’est. En fait ce sont les parents de mes amis scouts qui viennent pour passer un moment avec nous. Je reconnais la maman de Gaby, Danielle, qui est avec Léon, le frère de Gaby ; puis le papa de Raphaël, celui de Philippe et la maman d’Alex. Yves fait de la place autour de la table et propose un morceau de gâteau avec du café et un petit verre de liqueur. Tous acceptent et participent à cette veillée. Marc-Antoine et Luc sont contents, ils avaient mis cette invitation sur pieds également et toujours à la demande de mon chéri, mon Ben d’amour.
C’est incroyable, il est vingt et une heures, c’est le moment où nous allons nous quitter. Comme c’est la tradition nous entonnons le « Cantique des Patrouilles ». C’est une nouvelle fois un moment fort pour nous mais aussi, pour les parents et amis réunis.
C’est le départ, nos compagnons d’équipe s’en vont un par un. Ben et moi nous les remercions pour tout le bonheur apporté. Gaby et Christophe nous font la bise et retournent avec Danielle et Léon chez eux. Ils vont rester ensemble, ça me fait plaisir de voir qu’ils s’aiment. C’est alors au tour de Marc-Antoine et de Luc à s’en retourner. Je les remercie vivement pour ce qu’ils ont fait avant notre arrivée. Nous nous faisons un câlin. Les deux animateurs sont contents de nous voir heureux. Ils saluent nos parents.
Une fois les invités partis, nous rangeons le living malgré le fait qu’Arlette souhaite le faire demain matin. Nous sommes assez nombreux pour que tout soit remis en place pour vingt-deux heures trente. Papa, ma sœur et André, Jean et Amandine nous disent au revoir. Pour ma part je reste loger avec Ben.
Nous montons à la salle de bain et prenons une bonne douche avant de regagner la chambre. Une fois couché, je regarde mon ange blond dans les yeux et je lui dis :
Moi : « Oh Ben, merci pour tout, merci d’avoir apporté du bonheur à ma famille ! Tu ne t’imagines pas comme nous avons été tous touchés !
Ben : Je ne me voyais pas vous laisser, non, te laisser passer ce moment de fête dans la tristesse.
Moi : Comment puis-je te remercier, puis il y avait tous nos amis de l’équipe, je n’en reviens pas.
Ben : Embrasse-moi ! »
Nos lèvres se rapprochent et se frôlent. Elles se donnent de petits bisous de plus en plus appuyés puis enfin elles s’ouvrent pour notre plus grand bonheur et celui de nos langues qui partent dans une danse frénétique….
Ben quitte ma bouche pour s’occuper de mon mat de cocagne qui est bien dressé vers le ciel. Sa langue vient se poser sur mon gland et elle s’occupe de lui par des petites léchouilles qui ont pour effet de durcir encore l’objet qu’il convoite. Puis il le laisse entrer dans sa bouche et avec ses lèves il exerce quelques pressions qui accompagnent les mouvements de va et vient. Inutile de dire que je ressens un certain bonheur m’envahir. Puis dès que Ben quitte mon entre jambe, c’est pour s’emparer du tube de gel, je comprends, il m’a chauffé pour que je m’occupe de sa grotte d’amour.
Je place une noisette de gel sur un doigt et je m’occupe de la rondelle de mon chéri, il a déjà pris la position idéale pour que nous nous aimions. Déjà je sens bien qu’il est tout entier concentré sur les sensations ressenties. Puis ayant assez dilaté ce passage vers l’objet de mes désirs, j’enduis mon phallus de gel pour ainsi me présenter à l’entrée de cet antre qui n’attend qu’une chose, c’est que je vienne la visiter. Mon gland est posé sur cet orifice préparé et doucement il entre dans ce conduit serré. Je pénètre mon amant pour mon plus grand bonheur et le sien aussi. Je débute alors des mouvements d’aller et retour dans cet étui bien chaud. Je lime donc mon Ben d’amour et après quelques minutes je sens que je vais arriver à ce point particulier, le point de non-retour. Mon ventre est de plus en plus chaud et ma respiration s’accélère. Puis, dans un râle de bonheur je joui dans la caverne de Ben. Lui aussi râle de bonheur ayant ressenti tout l’amour que je lui porte. C’est fatigué que je me retire de ce fourreau pour m’étaler sur le lit à côté de mon ange blond.
Nous nous embrassons à pleine bouche en laissant nos langues se tournoyer l’une et l’autre autour d’elles. Je reprends doucement mes esprits. Puis Ben me demande de me positionner pour qu’il puisse à son tour me préparer le fondement pour une visite dans ma grotte d’amour. Je sens déjà le doigt et le gel tourner autour de ma rondelle. Cette sensation est très agréable. Ben s’y prend bien et déjà je sens qu’il arrive à placer deux doigts dans l’ouverture qui s’offre à eux. Je me sens apaisé, aucun stress ne vient troubler mon état d’extase qui résulte aussi de ma jouissance avec Ben.
Je me rends compte que Ben se prépare lui aussi et il vient se positionner derrière moi. Puis il me demande de changer de position, de me mettre sur le dos et de placer mes jambes de part et d’autre de son cou. Je peux donc voir le visage angélique de mon amoureux qui s’apprête à m’aimer. Voilà, je sens que son membre bandé me pénètre doucement, avec délicatesse et avançant doucement dans mon antre. Puis je ferme les yeux, heureux d’être aimé par le garçon que j’aime et qui m’aime. Ben me lutine en variant l’intensité de ses mouvements d’aller et retour. Je ressens le plaisir une nouvelle fois m’envahir. Ben lui aussi se concentre sur ses mouvements pour que nous ressentions de belles sensations partagées. Puis j’ouvre les yeux, je vois mon chéri qui a les siens mi-clos. Je remarque qu’il commence à grimacer, c’est signe qu’il va arriver au sommet de la montée du plaisir. Il ralenti la cadence ! De mon côté de prends mon sexe bandé et je me masturbe. Ben râle de plus en plus fort, je sais qu’il va décharger dans les secondes qui viennent, de mon côté j’accélère ma branlette et au même moment je sens que Ben macule ma grotte de sa semence alors que je joui sur mes abdominaux. Ben se retire et s’affale sur le lit. Nous sommes couchés l’un à côté de l’autre. Plus rien ne peut nous déranger, nous sommes sur notre petit nuage, hors du temps, dans notre bulle.
Je ne sais pas combien de temps nous restons ainsi, mais c’est heureux et rempli de bonheur que nous nous regardons enfin. Nous ouvrons la bouche en même temps pour nous dire : « Je t’aime » !
Effectivement c’est un cœur de Nouvel An qui est servi comme dessert et vu l’heure qu’il est, c’est aussi le goûter. Yves sort des bouteilles de liqueur pour accompagner le café. C’est à ce moment-là que Luc va chercher sa guitare. Je vois mes grands-parents qui affichent déjà sur leurs visages un large sourire qui montre leur envie de nous entendre chanter. Puis Marc-Antoine lui a six ou sept carnets de chants qu’il a pris avant de venir. Arlette et Yves sont eux aussi charmés par cette initiative.
Nous chantons quelques chants du répertoire scout. Puis Papa demande s’il est possible de chanter pour Maman, par téléphone. Yves apporte l’appareil dans le living et le pose près de mon père. Le chant proposé est celui de Bourvil « La Tendresse ». Inutile de dire que Maman apprécie d’entendre cette chanson. Elle a l’occasion d’avoir un petit mot de la part de chacun d’entre nous. A sa voix je sens bien qu’elle est très émue et je suis certain qu’elle pleure mais de bonheur et de joie de nous avons entendu chanter pour elle, en son honneur.
La « veillée » scoute se poursuit après ce très bel appel téléphonique. Nous reprenons les classiques. Chacun propose l’un ou l’autre chant qui lui tient à cœur. Je dois dire que ce jour de l’an est vraiment particulier. Le temps passe vite quand on partage un moment tel que celui que nous vivons. Il est près de dix-neuf heures.
On sonne à la porte et c’est Yves qui va voir qui c’est. En fait ce sont les parents de mes amis scouts qui viennent pour passer un moment avec nous. Je reconnais la maman de Gaby, Danielle, qui est avec Léon, le frère de Gaby ; puis le papa de Raphaël, celui de Philippe et la maman d’Alex. Yves fait de la place autour de la table et propose un morceau de gâteau avec du café et un petit verre de liqueur. Tous acceptent et participent à cette veillée. Marc-Antoine et Luc sont contents, ils avaient mis cette invitation sur pieds également et toujours à la demande de mon chéri, mon Ben d’amour.
C’est incroyable, il est vingt et une heures, c’est le moment où nous allons nous quitter. Comme c’est la tradition nous entonnons le « Cantique des Patrouilles ». C’est une nouvelle fois un moment fort pour nous mais aussi, pour les parents et amis réunis.
C’est le départ, nos compagnons d’équipe s’en vont un par un. Ben et moi nous les remercions pour tout le bonheur apporté. Gaby et Christophe nous font la bise et retournent avec Danielle et Léon chez eux. Ils vont rester ensemble, ça me fait plaisir de voir qu’ils s’aiment. C’est alors au tour de Marc-Antoine et de Luc à s’en retourner. Je les remercie vivement pour ce qu’ils ont fait avant notre arrivée. Nous nous faisons un câlin. Les deux animateurs sont contents de nous voir heureux. Ils saluent nos parents.
Une fois les invités partis, nous rangeons le living malgré le fait qu’Arlette souhaite le faire demain matin. Nous sommes assez nombreux pour que tout soit remis en place pour vingt-deux heures trente. Papa, ma sœur et André, Jean et Amandine nous disent au revoir. Pour ma part je reste loger avec Ben.
Nous montons à la salle de bain et prenons une bonne douche avant de regagner la chambre. Une fois couché, je regarde mon ange blond dans les yeux et je lui dis :
Moi : « Oh Ben, merci pour tout, merci d’avoir apporté du bonheur à ma famille ! Tu ne t’imagines pas comme nous avons été tous touchés !
Ben : Je ne me voyais pas vous laisser, non, te laisser passer ce moment de fête dans la tristesse.
Moi : Comment puis-je te remercier, puis il y avait tous nos amis de l’équipe, je n’en reviens pas.
Ben : Embrasse-moi ! »
Nos lèvres se rapprochent et se frôlent. Elles se donnent de petits bisous de plus en plus appuyés puis enfin elles s’ouvrent pour notre plus grand bonheur et celui de nos langues qui partent dans une danse frénétique….
Ben quitte ma bouche pour s’occuper de mon mat de cocagne qui est bien dressé vers le ciel. Sa langue vient se poser sur mon gland et elle s’occupe de lui par des petites léchouilles qui ont pour effet de durcir encore l’objet qu’il convoite. Puis il le laisse entrer dans sa bouche et avec ses lèves il exerce quelques pressions qui accompagnent les mouvements de va et vient. Inutile de dire que je ressens un certain bonheur m’envahir. Puis dès que Ben quitte mon entre jambe, c’est pour s’emparer du tube de gel, je comprends, il m’a chauffé pour que je m’occupe de sa grotte d’amour.
Je place une noisette de gel sur un doigt et je m’occupe de la rondelle de mon chéri, il a déjà pris la position idéale pour que nous nous aimions. Déjà je sens bien qu’il est tout entier concentré sur les sensations ressenties. Puis ayant assez dilaté ce passage vers l’objet de mes désirs, j’enduis mon phallus de gel pour ainsi me présenter à l’entrée de cet antre qui n’attend qu’une chose, c’est que je vienne la visiter. Mon gland est posé sur cet orifice préparé et doucement il entre dans ce conduit serré. Je pénètre mon amant pour mon plus grand bonheur et le sien aussi. Je débute alors des mouvements d’aller et retour dans cet étui bien chaud. Je lime donc mon Ben d’amour et après quelques minutes je sens que je vais arriver à ce point particulier, le point de non-retour. Mon ventre est de plus en plus chaud et ma respiration s’accélère. Puis, dans un râle de bonheur je joui dans la caverne de Ben. Lui aussi râle de bonheur ayant ressenti tout l’amour que je lui porte. C’est fatigué que je me retire de ce fourreau pour m’étaler sur le lit à côté de mon ange blond.
Nous nous embrassons à pleine bouche en laissant nos langues se tournoyer l’une et l’autre autour d’elles. Je reprends doucement mes esprits. Puis Ben me demande de me positionner pour qu’il puisse à son tour me préparer le fondement pour une visite dans ma grotte d’amour. Je sens déjà le doigt et le gel tourner autour de ma rondelle. Cette sensation est très agréable. Ben s’y prend bien et déjà je sens qu’il arrive à placer deux doigts dans l’ouverture qui s’offre à eux. Je me sens apaisé, aucun stress ne vient troubler mon état d’extase qui résulte aussi de ma jouissance avec Ben.
Je me rends compte que Ben se prépare lui aussi et il vient se positionner derrière moi. Puis il me demande de changer de position, de me mettre sur le dos et de placer mes jambes de part et d’autre de son cou. Je peux donc voir le visage angélique de mon amoureux qui s’apprête à m’aimer. Voilà, je sens que son membre bandé me pénètre doucement, avec délicatesse et avançant doucement dans mon antre. Puis je ferme les yeux, heureux d’être aimé par le garçon que j’aime et qui m’aime. Ben me lutine en variant l’intensité de ses mouvements d’aller et retour. Je ressens le plaisir une nouvelle fois m’envahir. Ben lui aussi se concentre sur ses mouvements pour que nous ressentions de belles sensations partagées. Puis j’ouvre les yeux, je vois mon chéri qui a les siens mi-clos. Je remarque qu’il commence à grimacer, c’est signe qu’il va arriver au sommet de la montée du plaisir. Il ralenti la cadence ! De mon côté de prends mon sexe bandé et je me masturbe. Ben râle de plus en plus fort, je sais qu’il va décharger dans les secondes qui viennent, de mon côté j’accélère ma branlette et au même moment je sens que Ben macule ma grotte de sa semence alors que je joui sur mes abdominaux. Ben se retire et s’affale sur le lit. Nous sommes couchés l’un à côté de l’autre. Plus rien ne peut nous déranger, nous sommes sur notre petit nuage, hors du temps, dans notre bulle.
Je ne sais pas combien de temps nous restons ainsi, mais c’est heureux et rempli de bonheur que nous nous regardons enfin. Nous ouvrons la bouche en même temps pour nous dire : « Je t’aime » !