19-08-2022, 10:26 AM
La famille de mon chéri a mis les petits plats dans les grands. Une grande table est dressée dans le living. Le salon a été enlevé pour avoir assez de place pour passer devant le buffet qui est dressé sur le dressoir et se servir de boissons sur la table du salon qui fait office de « bar ». Tout est fait pour que ce soit le plus convivial possible. Nous poursuivons l’apéritif avec du champagne, des trappistes, de la limonades ou des jus de fruits. De petits canapés sont disposés sur des plateaux disposés de-ci delà sur les meubles libérés de leurs bibelots, ainsi que des chips, dès de fromage, …etc.
Le repas est assez frugal, c’est un buffet froid ce qui est plus facile pour le nombre que nous sommes. Bien entendu il y a du vin à disposition. Je fais attention de ne pas abuser de la dive bouteille, Ben fait de même ! Nous sommes assis à table auprès de Marie et d’Isabelle.
Durant le repas nous discutons d’un tas de choses. J’en viens à demander à Ben comment il a eu l’idée d’inviter les connaissances de la famille.
Moi : « Ben, pourquoi as-tu pensés à inviter les personnes qui nous sont chères à ma famille et à nous ?
Ben : C’est quand j’ai vu ta maman alitée à l’hôpital pour une quinzaine de jours que j’ai eu l’idée de demander à maman si elle était d’accord de t’inviter avec ta famille.
Moi : C’est une très bonne idée que tu as eue !
Ben : Ne voulant pas être en petit groupe, j’ai pensé à nos amies Marie et Isabelle et aussi à ton oncle. Puis il était normal d’inviter André et Amandine qui sont les petits-amis de ta sœur et de ton frère.
Moi : Il y a même les parents d’André !
Ben : C’est André qui m’a demandé si maman était d’accord de les inviter aussi. Puis je sais que vous avez connus des moments très fort avec eux et Henri.
Moi : C’est merveilleux d’avoir fait ça Ben. Tu es un ange et ça me touche énormément !
Ben : Tu sais Phil, c’est parce que je t’aime.
Moi : Oh Ben, je t’aime aussi mon ange blond !
Nous nous serrons dans les bras. Marie à tout entendu de même qu’Isabelle. Elles sont aussi très touchées par cette grande marque d’amitié. Nous savons ce que c’est que d’aimer et de tout faire pour rendre heureux l’être aimé et son entourage !
Pour le dessert il s’agit d’un gâteau de nouvel an que nous avons apporté. Je vois qu’Arlette discute avec papa, il est déjà vingt-trois heures quarante. Il me semble qu’il serait mieux de manger le gâteau après minuit car nous allons être occupés à minuit, à nous souhaiter une « bonne année ». Effectivement c’est comme cela que nous allons procéder. Yves prépare les flûtes pour boire le champagne, Arlette vérifie les assiettes à dessert, Christine et Denis font un peu de place sur la table en rangeant déjà une partie de la vaisselle dans la cuisine. Yves fait signe à Ben, il sait que c’est pour chercher les bouteilles de champagne qui sont dans le réfrigérateur de la cave. Ben me demande de venir avec lui : c’est vrai que nous ne sommes pas trop de deux pour monter six bouteilles de ce breuvage festif !
Nous sommes tous debout, Yves fait le décompte : dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois deux, un, BONNE ANNEE !
Ben et moi nous nous embrassons sans retenue, Marie et Isabelle font de même ainsi que les autres couples. Puis je vais directement vers papa. Je le prends dans mes bras et je lui donne un gros bisou. Pas besoin de mot il sait combien je l’aime. Il sait que maman nous manque en ce moment précis. Finalement nous nous souhaitons l’un l’autre tous nos vœux de bonne année. Arlette vient nous prendre, Ben et moi, dans ses bras. Elle nous souhaite d’être heureux et d’aller de l’avant et de vivre notre bonheur à cent à l’heure. Ça m’a fait chaud au cœur.
Nous revenons à table pour enfin manger au dessert. Ce gâteau de nouvel an est délicieux. Il y en a assez pour tous nous resservir. Arlette a aussi fait du café pour ceux qui en désire. Les conversations ont repris, je discute avec l’oncle Pierre et Christine. Il raconte les réveillons qu’il passait avec maman quand ils étaient ados. Puis d’autres encore quand papa est arrivé dans la famille.
Une partie des invités quittent déjà la fête, il faut dire qu’il est déjà deux heures du matin. Ben met un disque en sourdine. Nous savons que nous allons bientôt aller nous coucher. Papa et Jean sont sur le départ, Amandine les accompagne. Anne rentre avec André et les parents de ce dernier. Une fois les invités partis, nous rangeons déjà une partie de la table pour faire de la place pour le petit-déjeuner. Nous montons alors pour aller au lit. Il n’a pas fallu longtemps pour nous retrouver dans les bras de Morphée.
On frappe à la porte de la chambre de Ben et j’entends vaguement que quelqu’un entre. J’ouvre les yeux et vois que Ben dort toujours, je tourne la tête et me rends compte que c’est Arlette qui vient nous réveiller. Elle se penche vers moi et me donne un bisou sur la joue, puis elle fait le tour du lit et fait de même avec Ben. Il ouvre les yeux et voit que c’est sa maman qui le réveille.
Arl : « Bonjour les garçons, bien dormi ?
Ben : Oui maman, très bien.
Moi : Moi aussi j’ai très bien dormi.
Arl : Ne traînez pas trop car nous allons déjeuner.
Ben et moi : OK ! »
Nous nous embrassons avant de nous lever. C’est nus et avec la semi-gaule du matin que nous allons dans la salle de bain. Nous allons directement sous la douche. L’eau commence à couler que je sens déjà un jet chaud sur mes fesses, c’est bien entendu Ben qui me fait pipi dessus. Je me retourne et je fais de même, nous arrosons nos attributs. Une fois notre miction terminée, nous prenons notre douche. Nos sexes ne restent pas tranquilles, ils se redressent. Je prends mon pénis en main et je commence des mouvements de bas en haut tout le long de celui-ci. Ben ne tarde pas à faire de même. Puis en un regard échangé, nous délaissons notre pénis pour empoigner celui de l’être aimé. Nous nous masturbons mutuellement, lascivement.
Nous n’avons pas entendu frapper à la porte de la salle d’eau. Sans réponse, Denis entre et nous voit occupés à nous donner du plaisir.
Den : « Alors les gars, on ne s’embête pas à ce que je vois !
Ben et moi nous cessons notre branlette mutuelle. Nous nous regardons ne sachant plus où nous mettre.
Ben : Désolé Denis, on ne t’a pas entendu arriver.
Den : Ce n’est pas grave, vous pouvez reprendre où vous en étiez !
Moi : Tu es sûr, c’est gênant !
Je vois que le sexe de Denis a pris de l’ampleur en une dizaine de secondes, il bande ferme maintenant. Il dit alors :
Den : Puis-je venir dans la douche avec vous, il y a bien de la place pour trois !
Ben et moi nous nous regardons interloqués. Ben fait alors signe à son beau-frère de nous rejoindre. Ni une ni deux Denis entre dans la grande douche italienne, nous sommes un peu plus serrés, mais nous avons encore assez de place pour nous mouvoir quelque peu !
Ben et moi nous reprenons notre masturbation mutuelle sous le regard de Denis qui semble apprécier le spectacle. Il s’occupe de son phallus et se masturbe. Ben et moi nous constatons que la barre de chair de Denis est plus grande et plus épaisse que les nôtres. Denis se bouge un peu et fini par prendre place entre Ben et moi. Il cesse sa branlette et pose ses mains sur nos protubérances pour nous masturber.
Je me dis : « quel cochon ce Denis, mais il a le doigté, il sait y faire » ! Je regarde Ben et je lui fais un clin d’œil, clin d’œil qu’il comprend immédiatement. Je prends alors ma main et la pose sur le phallus de Denis. Je commence alors des mouvements d’aller et retour. Ma main est rejointe par celle de Ben. Nous nous occupons ensemble de caresser et branler le bel engin qui s’offre à nous.
C’est l’atmosphère et l’ivresse du moment qui fait que nous jouissons tous les trois presque en même temps. Des râles de bonheur se font entendre dans la salle de bain. Heureusement que personne n’est entré lorsque nous nous sommes fait jouir.
Den : Merci les garçons. Que ça reste entre nous !
Ben : Pas de souci pour moi.
Moi : Pour moi non plus.
Den : Ça m’a rappelé quelques moments particuliers lorsque j’étais à l’internat.
Ben : Tu as été à l’internat ?
Den : Oui, j’y ai passé quelques bons moments et puis quand on est ado il n’y a que le plaisir qui compte. Cela n’empêche que j’aime les filles et que parfois avec un garçon, je ne dis pas non !
Nous regardons Denis sous un autre angle. Nous ne nous attendions pas à ce genre de comportement de sa part. Il sait que nous sommes gays, mais lui doit probablement être bisexuel ! En tout cas il cache bien son jeu ! Je me doute bien que Christine n’est pas au courant de l’autre facette de son « Jules ». Nous ne disons plus rien en nous essuyant.
Nous regagnons la chambre de Ben en laissant Denis finir de s’essuyer. Ben me dit qu’il est étonné de ce qui s’est passé et qu’il ne dira rien du tout. Pour ma part je serai muet comme une carpe. Nous nous habillons pour enfin rejoindre le reste de la famille de mon Ben d’amour pour ce premier repas de la journée.
Le repas est assez frugal, c’est un buffet froid ce qui est plus facile pour le nombre que nous sommes. Bien entendu il y a du vin à disposition. Je fais attention de ne pas abuser de la dive bouteille, Ben fait de même ! Nous sommes assis à table auprès de Marie et d’Isabelle.
Durant le repas nous discutons d’un tas de choses. J’en viens à demander à Ben comment il a eu l’idée d’inviter les connaissances de la famille.
Moi : « Ben, pourquoi as-tu pensés à inviter les personnes qui nous sont chères à ma famille et à nous ?
Ben : C’est quand j’ai vu ta maman alitée à l’hôpital pour une quinzaine de jours que j’ai eu l’idée de demander à maman si elle était d’accord de t’inviter avec ta famille.
Moi : C’est une très bonne idée que tu as eue !
Ben : Ne voulant pas être en petit groupe, j’ai pensé à nos amies Marie et Isabelle et aussi à ton oncle. Puis il était normal d’inviter André et Amandine qui sont les petits-amis de ta sœur et de ton frère.
Moi : Il y a même les parents d’André !
Ben : C’est André qui m’a demandé si maman était d’accord de les inviter aussi. Puis je sais que vous avez connus des moments très fort avec eux et Henri.
Moi : C’est merveilleux d’avoir fait ça Ben. Tu es un ange et ça me touche énormément !
Ben : Tu sais Phil, c’est parce que je t’aime.
Moi : Oh Ben, je t’aime aussi mon ange blond !
Nous nous serrons dans les bras. Marie à tout entendu de même qu’Isabelle. Elles sont aussi très touchées par cette grande marque d’amitié. Nous savons ce que c’est que d’aimer et de tout faire pour rendre heureux l’être aimé et son entourage !
Pour le dessert il s’agit d’un gâteau de nouvel an que nous avons apporté. Je vois qu’Arlette discute avec papa, il est déjà vingt-trois heures quarante. Il me semble qu’il serait mieux de manger le gâteau après minuit car nous allons être occupés à minuit, à nous souhaiter une « bonne année ». Effectivement c’est comme cela que nous allons procéder. Yves prépare les flûtes pour boire le champagne, Arlette vérifie les assiettes à dessert, Christine et Denis font un peu de place sur la table en rangeant déjà une partie de la vaisselle dans la cuisine. Yves fait signe à Ben, il sait que c’est pour chercher les bouteilles de champagne qui sont dans le réfrigérateur de la cave. Ben me demande de venir avec lui : c’est vrai que nous ne sommes pas trop de deux pour monter six bouteilles de ce breuvage festif !
Nous sommes tous debout, Yves fait le décompte : dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois deux, un, BONNE ANNEE !
Ben et moi nous nous embrassons sans retenue, Marie et Isabelle font de même ainsi que les autres couples. Puis je vais directement vers papa. Je le prends dans mes bras et je lui donne un gros bisou. Pas besoin de mot il sait combien je l’aime. Il sait que maman nous manque en ce moment précis. Finalement nous nous souhaitons l’un l’autre tous nos vœux de bonne année. Arlette vient nous prendre, Ben et moi, dans ses bras. Elle nous souhaite d’être heureux et d’aller de l’avant et de vivre notre bonheur à cent à l’heure. Ça m’a fait chaud au cœur.
Nous revenons à table pour enfin manger au dessert. Ce gâteau de nouvel an est délicieux. Il y en a assez pour tous nous resservir. Arlette a aussi fait du café pour ceux qui en désire. Les conversations ont repris, je discute avec l’oncle Pierre et Christine. Il raconte les réveillons qu’il passait avec maman quand ils étaient ados. Puis d’autres encore quand papa est arrivé dans la famille.
Une partie des invités quittent déjà la fête, il faut dire qu’il est déjà deux heures du matin. Ben met un disque en sourdine. Nous savons que nous allons bientôt aller nous coucher. Papa et Jean sont sur le départ, Amandine les accompagne. Anne rentre avec André et les parents de ce dernier. Une fois les invités partis, nous rangeons déjà une partie de la table pour faire de la place pour le petit-déjeuner. Nous montons alors pour aller au lit. Il n’a pas fallu longtemps pour nous retrouver dans les bras de Morphée.
On frappe à la porte de la chambre de Ben et j’entends vaguement que quelqu’un entre. J’ouvre les yeux et vois que Ben dort toujours, je tourne la tête et me rends compte que c’est Arlette qui vient nous réveiller. Elle se penche vers moi et me donne un bisou sur la joue, puis elle fait le tour du lit et fait de même avec Ben. Il ouvre les yeux et voit que c’est sa maman qui le réveille.
Arl : « Bonjour les garçons, bien dormi ?
Ben : Oui maman, très bien.
Moi : Moi aussi j’ai très bien dormi.
Arl : Ne traînez pas trop car nous allons déjeuner.
Ben et moi : OK ! »
Nous nous embrassons avant de nous lever. C’est nus et avec la semi-gaule du matin que nous allons dans la salle de bain. Nous allons directement sous la douche. L’eau commence à couler que je sens déjà un jet chaud sur mes fesses, c’est bien entendu Ben qui me fait pipi dessus. Je me retourne et je fais de même, nous arrosons nos attributs. Une fois notre miction terminée, nous prenons notre douche. Nos sexes ne restent pas tranquilles, ils se redressent. Je prends mon pénis en main et je commence des mouvements de bas en haut tout le long de celui-ci. Ben ne tarde pas à faire de même. Puis en un regard échangé, nous délaissons notre pénis pour empoigner celui de l’être aimé. Nous nous masturbons mutuellement, lascivement.
Nous n’avons pas entendu frapper à la porte de la salle d’eau. Sans réponse, Denis entre et nous voit occupés à nous donner du plaisir.
Den : « Alors les gars, on ne s’embête pas à ce que je vois !
Ben et moi nous cessons notre branlette mutuelle. Nous nous regardons ne sachant plus où nous mettre.
Ben : Désolé Denis, on ne t’a pas entendu arriver.
Den : Ce n’est pas grave, vous pouvez reprendre où vous en étiez !
Moi : Tu es sûr, c’est gênant !
Je vois que le sexe de Denis a pris de l’ampleur en une dizaine de secondes, il bande ferme maintenant. Il dit alors :
Den : Puis-je venir dans la douche avec vous, il y a bien de la place pour trois !
Ben et moi nous nous regardons interloqués. Ben fait alors signe à son beau-frère de nous rejoindre. Ni une ni deux Denis entre dans la grande douche italienne, nous sommes un peu plus serrés, mais nous avons encore assez de place pour nous mouvoir quelque peu !
Ben et moi nous reprenons notre masturbation mutuelle sous le regard de Denis qui semble apprécier le spectacle. Il s’occupe de son phallus et se masturbe. Ben et moi nous constatons que la barre de chair de Denis est plus grande et plus épaisse que les nôtres. Denis se bouge un peu et fini par prendre place entre Ben et moi. Il cesse sa branlette et pose ses mains sur nos protubérances pour nous masturber.
Je me dis : « quel cochon ce Denis, mais il a le doigté, il sait y faire » ! Je regarde Ben et je lui fais un clin d’œil, clin d’œil qu’il comprend immédiatement. Je prends alors ma main et la pose sur le phallus de Denis. Je commence alors des mouvements d’aller et retour. Ma main est rejointe par celle de Ben. Nous nous occupons ensemble de caresser et branler le bel engin qui s’offre à nous.
C’est l’atmosphère et l’ivresse du moment qui fait que nous jouissons tous les trois presque en même temps. Des râles de bonheur se font entendre dans la salle de bain. Heureusement que personne n’est entré lorsque nous nous sommes fait jouir.
Den : Merci les garçons. Que ça reste entre nous !
Ben : Pas de souci pour moi.
Moi : Pour moi non plus.
Den : Ça m’a rappelé quelques moments particuliers lorsque j’étais à l’internat.
Ben : Tu as été à l’internat ?
Den : Oui, j’y ai passé quelques bons moments et puis quand on est ado il n’y a que le plaisir qui compte. Cela n’empêche que j’aime les filles et que parfois avec un garçon, je ne dis pas non !
Nous regardons Denis sous un autre angle. Nous ne nous attendions pas à ce genre de comportement de sa part. Il sait que nous sommes gays, mais lui doit probablement être bisexuel ! En tout cas il cache bien son jeu ! Je me doute bien que Christine n’est pas au courant de l’autre facette de son « Jules ». Nous ne disons plus rien en nous essuyant.
Nous regagnons la chambre de Ben en laissant Denis finir de s’essuyer. Ben me dit qu’il est étonné de ce qui s’est passé et qu’il ne dira rien du tout. Pour ma part je serai muet comme une carpe. Nous nous habillons pour enfin rejoindre le reste de la famille de mon Ben d’amour pour ce premier repas de la journée.