15-08-2022, 06:49 PM
C'est Tim, pour gagner du temps et ne pas faire la queue à la salle de bain, qui proposa qu'on aille se laver aux vestiaires du club de tennis.
Hé oui, n’ouvrez pas de grands yeux, il y avait un terrain de tennis et des vestiaires au village.
Le don d'un original anglais à la commune !
Son père étant notre maire , Tim passa chez lui prendre les clefs ainsi que ses affaires de toilette et nous on passa à la maison récupérer les nôtres et on s’y retrouva à cinq - Tim, Pierrick, Antho, Liam et moi.
Pierrick était un peu mal à l'aise de se mettre nu mais ça passa vite. Et c'est Tim qui en prit plein la tête pour sa toison, sa bite et son cul – hyper – poilus.
– Mais même pas dans vos rêves les plus hard vous y touchez à mes poils ! Je les aime ! Alors non ! Pas question de les couper !
– Même si Marie te le demande ?
– Hey! Marie les aime aussi et elle non plus n'est pas rasée ! Je ne veux pas qu'elle y touche à ses poils de minou.
– Si tu aimes les poils, regarde comme les jambes de Pierrick sont poilues ! Tu devrais kiffer ça !
– Mais n'importe quoi ! Les jambes, oui, elle se les rase et Pierrick n’est pas mon genre, désolé !
J'en avais profité pour jeter un – solide – coup d’œil sur la queue de Pierrick… et sur ses fesses, bien sûr. Liam m'avait vu faire et il me fit les gros yeux.
Mais il n'y avait rien à redire dessus, c’était juste… pour comparer. Bon c'est vrai que c'était mon frangin et moi qui avions la plus grosse au repos.
Ça faisait un an qu'on ne s'était plus vu nu mais je pense que maintenant la mienne était légèrement plus longue et plus large.
On se rhabillait quand la porte s'entrouvrit et on entendit crier :
– On peut entrer ? Vous êtes visibles ?
C'est mon frangin qui répondit pour nous.
– Si vous n'avais pas peur de mecs à moitié nus vous pouvez entrer.
Les filles entrèrent. Et Audrey prit la parole :
– Les gars, il y a un changement de programme. Comme vous le savez les meubles et la cuisine qu’on a récupéré sont prévus pour la nouvelle maison.
Le père a décrété que demain on irait chez nous monter la cuisine ainsi que déposer tous les meubles pour les chambres, ça videra la remorque et sa voiture.
– Et pour le reste de la maison, enfin, le contenu de la remise, il y'a encore un sacré boulot!
– Le père a dit qu'on le ferait lundi et que si ça n'était pas fini, Bé, Tim et Liam finiraient dans la semaine vu qu'ils sont en vacances. La mère nous préparera tout ce qu'il faut pour manger à midi.
Mon père avait décidé, on n'avait plus qu'à obéir ! On rentra tous ensemble et on invita Tim et Marie à manger avec nous. Lors du repas, on mit au point le plan de bataille pour le lendemain.
Le matin, les hommes partiraient à six heures et les femmes nous rejoindraient dans la matinée. Ma sœur nous dit comment elle voulait qu'on la monte et après le repas on discuta un peu et on monta se coucher.
On était allongés nus dans le lit et je caressais Liam qui me repoussait gentiment.
– Bé ! Il y a ton frère et ta sœur dans les chambres à côté ! Tiens-toi tranquille !
– Mais Liam ! J'ai envie, moi, et toi aussi si j'en crois ta queue raide.
– Oui mais ils vont nous entendre !
– Et alors, qu'est-ce que ça peut faire !
– Ça me gêne !
Venant de la chambre de ma sœur, on entendit un gémissement étouffé.
– Tu vois ! Enfin, tu as entendu ? Eux ils ne se privent pas !
– Oui, mais quand même !
Et, en écho, venant de la chambre de mon frangin, il y avait un grincement régulier qui nous fit rire.
– Son lit a toujours grincé et c'est comme ça que je savais quand il se branlait !
Liam se tourna vers moi et commença à m'embrasser langoureusement. Je répondis à son baiser et de fil en aiguille on se retrouva en 69.
Liam retira sa queue de ma bouche et me présenta ses fesses. Je lui bouffais le cul un grand moment avant de le prendre.
Ça gémissait dans toutes les chambres et dans celle de mon frère le lit grinçait en continu !
Je prenais Liam en missionnaire le regardant droit dans les yeux.
Ses yeux verts devenaient plus foncés et je savais que sa jouissance était proche. La mienne n'allait pas tarder non plus.
– Vas y, un peu plus fort et un peu plus vite. Je sens que ça vient… Oui comme ça, oui continue, oui Bé… je jouis!
Sa jouissance entraîna la mienne. On se remettait en douceur de la petite mort quand on entendit que mon frère et ma sœur remettaient ça ! Et autant Liam que moi, de les entendre faire, ça nous excita… et on recommença.
Heureusement qu'on avait mis nos téléphones parce que quand on descendit mon père et ma mère étaient déjà en bas et le café était prêt. On dit bonjour, ma mère nous répondit et mon père marmonna simplement :
– Ah quand même, vous vous levez !
– Pa, là tu pousses, c'est cinq heures dix. Tu as dit qu'on partait à six, on a le temps.
On se servit le café et on mangea. À cinq heures trente mon père se leva de sa chaise et monta frapper aux portes des chambres de mon frère et de ma sœur. La porte d'entrée s'ouvrit et c'est un Tim endormi qui se pointa.
– Salut tout le monde. Heureusement que Marie m'a secoué, j'ai failli m’oublier ! Je peux avoir un café ?
– Mais oui Tim, je te sers. Toujours sans sucre ?
– Toujours oui, merci Agnès. T'es une vraie mère pour moi. Alain n'est pas là ?
– Il est monté réveiller les retardataires !
– Putain, ça va chier pour eux !
De fait, mon père redescendait suivi d'Antho et de Pierrick. Et il leur passait une brasse.
– … c'est bien beau de faire des galipettes le soir, mais il faut aussi savoir se lever le matin !
– Mais Pa, on allait arriver ! On se levait quand tu as frappé à la porte.
Il ne répondit pas. Nous, on fit comme si on n'avait rien entendu. Le petit déjeuner se passa dans le silence. Mon père se leva et partit chercher des outils au garage qu'il allait charger dans le fourgon.
C'est Tim qui rompit le silence avant qu’il sorte.
– Alain, mon père m'a donné tout un tas de chevilles pour le placo, je les ai posé devant la porte. Il m'a aussi donné des pinces pour les serrer.
– J'en ai pris aussi mais on ne sait jamais.
La pince ! Merde j'allais l’oublier ! Bon les garçons, je commence à filer. Ne roulez pas comme des fous.
On ne le rattrapa que trois quarts d'heure plus tard. On le doubla et il nous suivit. Vingt minutes après, on se garait devant une coquette maison dans un lotissement… coquet.
Pierrick ouvrit et nous fit visiter leur maison. Il y avait quatre chambres, dont: une chambre parentale avec sa propre salle de bain et un petit dressing, deux autres chambres assez grandes séparées par la salle de bain et la dernière plus petite pouvait servir de chambre d'amis ou de bureau. Jusqu'à présent mon père n'avait rien dit.
– Vous serez bien là ! Le quartier à l'air tranquille et calme.
– Oui et il y a une école et pas mal de commerces à dix minutes à pied.
– Ouvre le garage, on va y mettre tout ce dont on n'a pas besoin tout de suite.
Il était un peu plus de huit heures quand on finit de vider le fourgon et on avait déjà placé les meubles là où on allait les fixer. On eut la surprise de voir Audrey et Marie arriver.
– Vous êtes déjà là ? Comment ça se fait ?
– Bin, j'ai changé d’avis. Je voudrais aussi mettre la machine à laver dans la cuisine. Ça sera plus simple. Et j’étais impatiente de vous voir à l’œuvre!
– Elle mesure combien ta machine à laver ?
– Je sais pas moi la taille normale je crois.
– Bé, tu prends le fourgon et avec Tim, Liam et Pierrick vous allez jusque chez lui et vous ramenez la machine à laver et le lave-vaisselle, comme ça on sera fixé.
– Heu! Pa, j'ai pas le permis tu te souviens ?
– Ha merde c'est vrai. Pierrick, tu n'auras qu'à conduire.
Le temps de faire l'aller-retour – une grosse demie heure – on présentait les meubles et ma sœur cautionna. On commença à fixer les meubles du bas, on dut démonter le dessus de la machine à laver et du lave-vaisselle pour que tout soit de niveau et on posait les meubles du haut quand ma mère, Léa et mon neveu arrivèrent.
Les femmes firent le tour de la maison et allèrent dans le jardin. Ça sonnait à la porte.
Ma sœur alla ouvrir, un homme et son fils se présentèrent comme étant les voisins et venaient voir si on avait besoin d'un coup de main. Ma sœur se tourna vers mon père qui les remercia en disant qu'on avait bientôt fini.
Ça sonna une nouvelle fois et c'est l'autre voisin et une jeune fille qui se présentèrent. Celui-ci surprit agréablement les nouveaux proprios.
– Je suis menuisier et j'ai vu que vous aviez une cuisine en formica. Si ça vous intéresse j'ai un plan de travail et les crédences, assortis à votre cuisine. C'est un de mes clients qui me l'avait commandé et il s'est désisté, alors si ça vous intéresse je vous les fait prix coûtant, factures à l’appui.
Ma sœur et son homme acceptèrent, l'homme partit avec Pierrick et Tim récupérer le tout à son entrepôt - qui devait être proche puisqu'une demie heure plus tard ils étaient de retour.
Il avait même apporté un évier et tout ce qu'il fallait pour l’installer et raccorder.
Midi quarante, la cuisine était montée. Il ne restait plus qu'à installer la plaque de cuisson et le four que ma sœur irait acheter.
On proposa aux voisins de partager le repas avec nous mais ils refusèrent. On mangea rapidement et on aida les femmes à tout nettoyer.
Puis, suivant les ordres de ma sœur, on monta les lits et les armoires là où elle nous le disait.
– Dommage qu'on n'ait pas le four et la plaque de cuisson, sinon ta cuisine était finie. Mais c’est dimanche et tout est fermé.
– Mais non Pa, je crois que But est ouvert. Si on allait y faire un tour, voir si quelque chose me plaît. Vous venez les filles ?
Une heure plus tard Pierrick recevait un SMS lui demandant de venir au magasin afin de récupérer le four et la plaque de cuisson.
(en parlant SMS: dans la journée Marie en avait reçu un de ses parents et elle et Tim iraient déjà passer la fin de la semaine chez eux… Le loustic était beaucoup moins joyeux, tout d’un coup!)
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Hé oui, n’ouvrez pas de grands yeux, il y avait un terrain de tennis et des vestiaires au village.
Le don d'un original anglais à la commune !
Son père étant notre maire , Tim passa chez lui prendre les clefs ainsi que ses affaires de toilette et nous on passa à la maison récupérer les nôtres et on s’y retrouva à cinq - Tim, Pierrick, Antho, Liam et moi.
Pierrick était un peu mal à l'aise de se mettre nu mais ça passa vite. Et c'est Tim qui en prit plein la tête pour sa toison, sa bite et son cul – hyper – poilus.
– Mais même pas dans vos rêves les plus hard vous y touchez à mes poils ! Je les aime ! Alors non ! Pas question de les couper !
– Même si Marie te le demande ?
– Hey! Marie les aime aussi et elle non plus n'est pas rasée ! Je ne veux pas qu'elle y touche à ses poils de minou.
– Si tu aimes les poils, regarde comme les jambes de Pierrick sont poilues ! Tu devrais kiffer ça !
– Mais n'importe quoi ! Les jambes, oui, elle se les rase et Pierrick n’est pas mon genre, désolé !
J'en avais profité pour jeter un – solide – coup d’œil sur la queue de Pierrick… et sur ses fesses, bien sûr. Liam m'avait vu faire et il me fit les gros yeux.
Mais il n'y avait rien à redire dessus, c’était juste… pour comparer. Bon c'est vrai que c'était mon frangin et moi qui avions la plus grosse au repos.
Ça faisait un an qu'on ne s'était plus vu nu mais je pense que maintenant la mienne était légèrement plus longue et plus large.
On se rhabillait quand la porte s'entrouvrit et on entendit crier :
– On peut entrer ? Vous êtes visibles ?
C'est mon frangin qui répondit pour nous.
– Si vous n'avais pas peur de mecs à moitié nus vous pouvez entrer.
Les filles entrèrent. Et Audrey prit la parole :
– Les gars, il y a un changement de programme. Comme vous le savez les meubles et la cuisine qu’on a récupéré sont prévus pour la nouvelle maison.
Le père a décrété que demain on irait chez nous monter la cuisine ainsi que déposer tous les meubles pour les chambres, ça videra la remorque et sa voiture.
– Et pour le reste de la maison, enfin, le contenu de la remise, il y'a encore un sacré boulot!
– Le père a dit qu'on le ferait lundi et que si ça n'était pas fini, Bé, Tim et Liam finiraient dans la semaine vu qu'ils sont en vacances. La mère nous préparera tout ce qu'il faut pour manger à midi.
Mon père avait décidé, on n'avait plus qu'à obéir ! On rentra tous ensemble et on invita Tim et Marie à manger avec nous. Lors du repas, on mit au point le plan de bataille pour le lendemain.
Le matin, les hommes partiraient à six heures et les femmes nous rejoindraient dans la matinée. Ma sœur nous dit comment elle voulait qu'on la monte et après le repas on discuta un peu et on monta se coucher.
On était allongés nus dans le lit et je caressais Liam qui me repoussait gentiment.
– Bé ! Il y a ton frère et ta sœur dans les chambres à côté ! Tiens-toi tranquille !
– Mais Liam ! J'ai envie, moi, et toi aussi si j'en crois ta queue raide.
– Oui mais ils vont nous entendre !
– Et alors, qu'est-ce que ça peut faire !
– Ça me gêne !
Venant de la chambre de ma sœur, on entendit un gémissement étouffé.
– Tu vois ! Enfin, tu as entendu ? Eux ils ne se privent pas !
– Oui, mais quand même !
Et, en écho, venant de la chambre de mon frangin, il y avait un grincement régulier qui nous fit rire.
– Son lit a toujours grincé et c'est comme ça que je savais quand il se branlait !
Liam se tourna vers moi et commença à m'embrasser langoureusement. Je répondis à son baiser et de fil en aiguille on se retrouva en 69.
Liam retira sa queue de ma bouche et me présenta ses fesses. Je lui bouffais le cul un grand moment avant de le prendre.
Ça gémissait dans toutes les chambres et dans celle de mon frère le lit grinçait en continu !
Je prenais Liam en missionnaire le regardant droit dans les yeux.
Ses yeux verts devenaient plus foncés et je savais que sa jouissance était proche. La mienne n'allait pas tarder non plus.
– Vas y, un peu plus fort et un peu plus vite. Je sens que ça vient… Oui comme ça, oui continue, oui Bé… je jouis!
Sa jouissance entraîna la mienne. On se remettait en douceur de la petite mort quand on entendit que mon frère et ma sœur remettaient ça ! Et autant Liam que moi, de les entendre faire, ça nous excita… et on recommença.
Heureusement qu'on avait mis nos téléphones parce que quand on descendit mon père et ma mère étaient déjà en bas et le café était prêt. On dit bonjour, ma mère nous répondit et mon père marmonna simplement :
– Ah quand même, vous vous levez !
– Pa, là tu pousses, c'est cinq heures dix. Tu as dit qu'on partait à six, on a le temps.
On se servit le café et on mangea. À cinq heures trente mon père se leva de sa chaise et monta frapper aux portes des chambres de mon frère et de ma sœur. La porte d'entrée s'ouvrit et c'est un Tim endormi qui se pointa.
– Salut tout le monde. Heureusement que Marie m'a secoué, j'ai failli m’oublier ! Je peux avoir un café ?
– Mais oui Tim, je te sers. Toujours sans sucre ?
– Toujours oui, merci Agnès. T'es une vraie mère pour moi. Alain n'est pas là ?
– Il est monté réveiller les retardataires !
– Putain, ça va chier pour eux !
De fait, mon père redescendait suivi d'Antho et de Pierrick. Et il leur passait une brasse.
– … c'est bien beau de faire des galipettes le soir, mais il faut aussi savoir se lever le matin !
– Mais Pa, on allait arriver ! On se levait quand tu as frappé à la porte.
Il ne répondit pas. Nous, on fit comme si on n'avait rien entendu. Le petit déjeuner se passa dans le silence. Mon père se leva et partit chercher des outils au garage qu'il allait charger dans le fourgon.
C'est Tim qui rompit le silence avant qu’il sorte.
– Alain, mon père m'a donné tout un tas de chevilles pour le placo, je les ai posé devant la porte. Il m'a aussi donné des pinces pour les serrer.
– J'en ai pris aussi mais on ne sait jamais.
La pince ! Merde j'allais l’oublier ! Bon les garçons, je commence à filer. Ne roulez pas comme des fous.
On ne le rattrapa que trois quarts d'heure plus tard. On le doubla et il nous suivit. Vingt minutes après, on se garait devant une coquette maison dans un lotissement… coquet.
Pierrick ouvrit et nous fit visiter leur maison. Il y avait quatre chambres, dont: une chambre parentale avec sa propre salle de bain et un petit dressing, deux autres chambres assez grandes séparées par la salle de bain et la dernière plus petite pouvait servir de chambre d'amis ou de bureau. Jusqu'à présent mon père n'avait rien dit.
– Vous serez bien là ! Le quartier à l'air tranquille et calme.
– Oui et il y a une école et pas mal de commerces à dix minutes à pied.
– Ouvre le garage, on va y mettre tout ce dont on n'a pas besoin tout de suite.
Il était un peu plus de huit heures quand on finit de vider le fourgon et on avait déjà placé les meubles là où on allait les fixer. On eut la surprise de voir Audrey et Marie arriver.
– Vous êtes déjà là ? Comment ça se fait ?
– Bin, j'ai changé d’avis. Je voudrais aussi mettre la machine à laver dans la cuisine. Ça sera plus simple. Et j’étais impatiente de vous voir à l’œuvre!
– Elle mesure combien ta machine à laver ?
– Je sais pas moi la taille normale je crois.
– Bé, tu prends le fourgon et avec Tim, Liam et Pierrick vous allez jusque chez lui et vous ramenez la machine à laver et le lave-vaisselle, comme ça on sera fixé.
– Heu! Pa, j'ai pas le permis tu te souviens ?
– Ha merde c'est vrai. Pierrick, tu n'auras qu'à conduire.
Le temps de faire l'aller-retour – une grosse demie heure – on présentait les meubles et ma sœur cautionna. On commença à fixer les meubles du bas, on dut démonter le dessus de la machine à laver et du lave-vaisselle pour que tout soit de niveau et on posait les meubles du haut quand ma mère, Léa et mon neveu arrivèrent.
Les femmes firent le tour de la maison et allèrent dans le jardin. Ça sonnait à la porte.
Ma sœur alla ouvrir, un homme et son fils se présentèrent comme étant les voisins et venaient voir si on avait besoin d'un coup de main. Ma sœur se tourna vers mon père qui les remercia en disant qu'on avait bientôt fini.
Ça sonna une nouvelle fois et c'est l'autre voisin et une jeune fille qui se présentèrent. Celui-ci surprit agréablement les nouveaux proprios.
– Je suis menuisier et j'ai vu que vous aviez une cuisine en formica. Si ça vous intéresse j'ai un plan de travail et les crédences, assortis à votre cuisine. C'est un de mes clients qui me l'avait commandé et il s'est désisté, alors si ça vous intéresse je vous les fait prix coûtant, factures à l’appui.
Ma sœur et son homme acceptèrent, l'homme partit avec Pierrick et Tim récupérer le tout à son entrepôt - qui devait être proche puisqu'une demie heure plus tard ils étaient de retour.
Il avait même apporté un évier et tout ce qu'il fallait pour l’installer et raccorder.
Midi quarante, la cuisine était montée. Il ne restait plus qu'à installer la plaque de cuisson et le four que ma sœur irait acheter.
On proposa aux voisins de partager le repas avec nous mais ils refusèrent. On mangea rapidement et on aida les femmes à tout nettoyer.
Puis, suivant les ordres de ma sœur, on monta les lits et les armoires là où elle nous le disait.
– Dommage qu'on n'ait pas le four et la plaque de cuisson, sinon ta cuisine était finie. Mais c’est dimanche et tout est fermé.
– Mais non Pa, je crois que But est ouvert. Si on allait y faire un tour, voir si quelque chose me plaît. Vous venez les filles ?
Une heure plus tard Pierrick recevait un SMS lui demandant de venir au magasin afin de récupérer le four et la plaque de cuisson.
(en parlant SMS: dans la journée Marie en avait reçu un de ses parents et elle et Tim iraient déjà passer la fin de la semaine chez eux… Le loustic était beaucoup moins joyeux, tout d’un coup!)
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