À la suite de mon appel à reprendre mes personnages, j’ai eu une bonne surprise puisque j’ai reçu un texte, je ne pensais pas que quelqu’un le ferait. Je remercie chaleureusement son auteur qui désire garder l’anonymat.
Je vais le publier comme fanfiction, c’est-à-dire un récit qui reprend les personnages et le contexte du roman, sans toutefois respecter absolument l’intrigue. Il y en a par exemple d’innombrables qui racontent la vie sexuelle d’Harry Potter, gay ou hétéro suivant les goûts de l’auteur. Je préfère garder le style d’écriture et les idées de l'auteur intactes, plutôt que de faire des corrections pour que cela cadre exactement avec mon récit.
Ils se rendirent tous les quatre dans la chambre de Dieter et Lothar, mais sa grande fenêtre était orientée plein sud, et, avec la canicule qui sévissait à Heidelberg ce jour-là, la température était insupportable.
– Allons plutôt dans le jardin, j’ai repéré un petit bosquet bien protégé où vous pourrez vous ébattre en toute tranquillité. Il y fera meilleur qu’ici.
Ils se rendirent sur place, et ils purent effectivement constater que la température était plus agréable, une petite brise rafraichissait l’atmosphère. Quelques transats disposés sur l’herbe promettaient une couche assez confortable. L’endroit était tranquille et dissimulé aux yeux des clients de l’hôtel, ce qui permettait à se livrer à des activités intimes sans être dérangés. Frédéric indiqua qu’il ferait le guet et qu’il les protégerait des indésirables.
Dieter et Lothar avaient l’air perplexes, ne sachant pas trop comment procéder. Koen intervint d’une façon assurée :
— Il nous faut d’abord faire une simple vérification. Avez-vous réellement, tous les deux, envie de faire ce test de votre homosexualité ? Si j’ai bien compris, vous n’avez jamais essayé auparavant, il vaut mieux éviter un impair.
Lothar était un grand blond, avec des cheveux raides et longs jusqu’à l’épaule, une moustache fournie et une carrure athlétique. Il regarda Dieter, un petit brun qui faisait une tête de moins que lui, et dit :
— Dieter me plait beaucoup, j’ai très envie d’essayer avec lui.
— Je sens bien que, si quelqu’un peut me convertir à l’homosexualité, c’est bien Lothar. Il est beau comme un dieu, confirma Dieter.
Un souffle d’air rafraichit un peu l’atmosphère.
— Très bien, conclut Koen, je constate que vous êtes dans le bon état d’esprit. Il va falloir vous mettre d’accord sur le type d’activité que vous souhaitez pratiquer : une relation soft ou une relation complète ?
— Pouvez-vous préciser ce que vous entendez par là ?
— Une relation soft se limite à la masturbation et la fellation, répondit Koen.
— La branlette et la pipe ? intervint Lothar. Je ne suis pas homosexuel, mais j’ai déjà fait tout ça avec les scouts, j’aimerais bien tenter la chose véritable.
— Je suis également d’accord, dit Dieter.
— Très bien, approuva Koen, bravo pour votre enthousiasme.
Quelques nuages apparaissaient dans le ciel, voilant quelque peu le soleil.
— Vous avez de la chance, la température devient plus clémente, vous allez pouvoir procéder à cet essai dans de bonnes conditions, approuva Koen. Maintenant, je pense qu’il va falloir vous mettre nus pour être plus à l’aise.
Dieter et Lothar ôtèrent tous les deux leurs vêtements. Lothar bandait déjà, il avait une belle queue, large, longue et bien raide. Il regardait Dieter avec un air dont on ne savait pas très bien s’il était une marque de tendresse ou de désir farouche. Dieter se sentit-il flatté d’être ainsi désiré ? En tout cas, son pénis se redressa rapidement, et, s’il était moins imposant que celui de Lothar, son organe n’en était pas moins charmant.
On entendit quelques grondements de tonnerre dans le lointain.
Les deux candidats homosexuels se rapprochèrent l’un de l’autre, ils s’enlacèrent, timidement d’abord, puis, prenant confiance en eux-mêmes, se roulèrent une pelle magistrale. Leurs bouches semblaient faites l’une pour l’autre. Leur baiser dura longtemps, Koen était en admiration, Frédéric les observait avec un peu plus de recul, tout à sa mission de garant de leur tranquillité.
— Je crois qu’ils sont bien partis, il me semble qu’on peut les laisser continuer tous seuls.
— Comme ça, sans préparation ?
En fait, tout à la découverte de leurs corps, Dieter et Lothar n’entendaient rien de ce qui se passait autour d’eux. Chacun saisit la bite de l’autre et commença de la caresser doucement. Des nuages noirs apparurent dans le ciel.
Dieter se coucha alors sur un transat, et les caresses de Lothar se firent plus précises. Koen sortit alors un pot de lubrifiant et expliqua par gestes la façon de s’en servir. Lothar acquiesça, et il commença d’enduire l’anus de Dieter et sa propre bite.
De grosses gouttes de pluie commencèrent à tomber, l’orage n’était plus très loin, les éclairs succédaient aux éclairs.
— Vous voulez continuer ? Interrogea Koen.
Les deux protagonistes semblaient bien partis, ils ne l’entendirent même pas et continuèrent comme si de rien n’était.
Koen et Frédéric coururent se réfugier à l’abri dans la réception de l’hôtel. Dehors, l’orage se déchainait, de plus en plus fort, et puis la foudre tomba à proximité, il s’écoula moins d’une seconde entre l’éclair et le bruit du tonnerre.
— C’était un véritable orgasme ! s’exclama Frédéric.
— Attends, je vais voir, dit Koen.
Et il s’élança vers le bosquet sous la pluie battante. Il revint quelques minutes plus tard, tout trempé.
— Je crois que c’était bien ça, en tout cas ils ont l’air d’être dans une torpeur post-orgasmique, et heureux tous les deux, dans les bras l’un de l’autre, malgré la pluie.
— En tout cas, le test est concluant, ils sont vraiment homosexuels tous les deux.
— Bienvenue au club !
— Je ne sais pas trop s’il faut s’en réjouir pour eux, la vie d’homosexuel est parsemée d’embûches et ses joies ne sont souvent qu’éphémères.
— Tu crois qu’ils s’aiment vraiment ? ça les aiderait sûrement à s’adapter à leur nouvelle vie, jusqu’à présent ils se croyaient hétéros.
— L’avenir nous le dira.
Dieter et Lothar arrivèrent à la réception de l’hôtel, main dans la main. Ils n’étaient vêtus que d’un slip détrempé par la pluie, et montèrent vite dans leur chambre sous le regard réprobateur du réceptionniste. Tout le monde alla faire un brin de toilette pour se préparer pour le dîner.
Je vais le publier comme fanfiction, c’est-à-dire un récit qui reprend les personnages et le contexte du roman, sans toutefois respecter absolument l’intrigue. Il y en a par exemple d’innombrables qui racontent la vie sexuelle d’Harry Potter, gay ou hétéro suivant les goûts de l’auteur. Je préfère garder le style d’écriture et les idées de l'auteur intactes, plutôt que de faire des corrections pour que cela cadre exactement avec mon récit.
Ils se rendirent tous les quatre dans la chambre de Dieter et Lothar, mais sa grande fenêtre était orientée plein sud, et, avec la canicule qui sévissait à Heidelberg ce jour-là, la température était insupportable.
– Allons plutôt dans le jardin, j’ai repéré un petit bosquet bien protégé où vous pourrez vous ébattre en toute tranquillité. Il y fera meilleur qu’ici.
Ils se rendirent sur place, et ils purent effectivement constater que la température était plus agréable, une petite brise rafraichissait l’atmosphère. Quelques transats disposés sur l’herbe promettaient une couche assez confortable. L’endroit était tranquille et dissimulé aux yeux des clients de l’hôtel, ce qui permettait à se livrer à des activités intimes sans être dérangés. Frédéric indiqua qu’il ferait le guet et qu’il les protégerait des indésirables.
Dieter et Lothar avaient l’air perplexes, ne sachant pas trop comment procéder. Koen intervint d’une façon assurée :
— Il nous faut d’abord faire une simple vérification. Avez-vous réellement, tous les deux, envie de faire ce test de votre homosexualité ? Si j’ai bien compris, vous n’avez jamais essayé auparavant, il vaut mieux éviter un impair.
Lothar était un grand blond, avec des cheveux raides et longs jusqu’à l’épaule, une moustache fournie et une carrure athlétique. Il regarda Dieter, un petit brun qui faisait une tête de moins que lui, et dit :
— Dieter me plait beaucoup, j’ai très envie d’essayer avec lui.
— Je sens bien que, si quelqu’un peut me convertir à l’homosexualité, c’est bien Lothar. Il est beau comme un dieu, confirma Dieter.
Un souffle d’air rafraichit un peu l’atmosphère.
— Très bien, conclut Koen, je constate que vous êtes dans le bon état d’esprit. Il va falloir vous mettre d’accord sur le type d’activité que vous souhaitez pratiquer : une relation soft ou une relation complète ?
— Pouvez-vous préciser ce que vous entendez par là ?
— Une relation soft se limite à la masturbation et la fellation, répondit Koen.
— La branlette et la pipe ? intervint Lothar. Je ne suis pas homosexuel, mais j’ai déjà fait tout ça avec les scouts, j’aimerais bien tenter la chose véritable.
— Je suis également d’accord, dit Dieter.
— Très bien, approuva Koen, bravo pour votre enthousiasme.
Quelques nuages apparaissaient dans le ciel, voilant quelque peu le soleil.
— Vous avez de la chance, la température devient plus clémente, vous allez pouvoir procéder à cet essai dans de bonnes conditions, approuva Koen. Maintenant, je pense qu’il va falloir vous mettre nus pour être plus à l’aise.
Dieter et Lothar ôtèrent tous les deux leurs vêtements. Lothar bandait déjà, il avait une belle queue, large, longue et bien raide. Il regardait Dieter avec un air dont on ne savait pas très bien s’il était une marque de tendresse ou de désir farouche. Dieter se sentit-il flatté d’être ainsi désiré ? En tout cas, son pénis se redressa rapidement, et, s’il était moins imposant que celui de Lothar, son organe n’en était pas moins charmant.
On entendit quelques grondements de tonnerre dans le lointain.
Les deux candidats homosexuels se rapprochèrent l’un de l’autre, ils s’enlacèrent, timidement d’abord, puis, prenant confiance en eux-mêmes, se roulèrent une pelle magistrale. Leurs bouches semblaient faites l’une pour l’autre. Leur baiser dura longtemps, Koen était en admiration, Frédéric les observait avec un peu plus de recul, tout à sa mission de garant de leur tranquillité.
— Je crois qu’ils sont bien partis, il me semble qu’on peut les laisser continuer tous seuls.
— Comme ça, sans préparation ?
En fait, tout à la découverte de leurs corps, Dieter et Lothar n’entendaient rien de ce qui se passait autour d’eux. Chacun saisit la bite de l’autre et commença de la caresser doucement. Des nuages noirs apparurent dans le ciel.
Dieter se coucha alors sur un transat, et les caresses de Lothar se firent plus précises. Koen sortit alors un pot de lubrifiant et expliqua par gestes la façon de s’en servir. Lothar acquiesça, et il commença d’enduire l’anus de Dieter et sa propre bite.
De grosses gouttes de pluie commencèrent à tomber, l’orage n’était plus très loin, les éclairs succédaient aux éclairs.
— Vous voulez continuer ? Interrogea Koen.
Les deux protagonistes semblaient bien partis, ils ne l’entendirent même pas et continuèrent comme si de rien n’était.
Koen et Frédéric coururent se réfugier à l’abri dans la réception de l’hôtel. Dehors, l’orage se déchainait, de plus en plus fort, et puis la foudre tomba à proximité, il s’écoula moins d’une seconde entre l’éclair et le bruit du tonnerre.
— C’était un véritable orgasme ! s’exclama Frédéric.
— Attends, je vais voir, dit Koen.
Et il s’élança vers le bosquet sous la pluie battante. Il revint quelques minutes plus tard, tout trempé.
— Je crois que c’était bien ça, en tout cas ils ont l’air d’être dans une torpeur post-orgasmique, et heureux tous les deux, dans les bras l’un de l’autre, malgré la pluie.
— En tout cas, le test est concluant, ils sont vraiment homosexuels tous les deux.
— Bienvenue au club !
— Je ne sais pas trop s’il faut s’en réjouir pour eux, la vie d’homosexuel est parsemée d’embûches et ses joies ne sont souvent qu’éphémères.
— Tu crois qu’ils s’aiment vraiment ? ça les aiderait sûrement à s’adapter à leur nouvelle vie, jusqu’à présent ils se croyaient hétéros.
— L’avenir nous le dira.
Dieter et Lothar arrivèrent à la réception de l’hôtel, main dans la main. Ils n’étaient vêtus que d’un slip détrempé par la pluie, et montèrent vite dans leur chambre sous le regard réprobateur du réceptionniste. Tout le monde alla faire un brin de toilette pour se préparer pour le dîner.
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