09-08-2022, 11:35 AM
Papa se décide d’aller voir Mamy et Papy. Il me demande si je veux l’accompagner. Je le remercie mais je préfère que ma sœur ou Jean s’y rende. Je ne veux pas laisser Marie et Ben en plan. Entendant ma réponse, Marie dit qu’elle aimerait voir maman. Je vois alors que Ben est sur le point de dire aussi qu’il est d’accord d’y aller avec moi. Je demande alors à papa de nous déposer devant l’hôpital. Je prends Marie et Ben dans mes bras et je leur dis « un grand merci ».
Nous arrivons à l’hosto avec le véhicule de remplacement du garage. Papa nous laisse en descendre et nous signale qu’il viendra nous reprendre après sa visite chez mes grands-parents. Nous entrons dans le grand hall d’accueil. Je me rends compte qu’il y a assez bien de monde, c’est d’ailleurs l’heure des visites. Nous prenons l’ascenseur et arrivons dans le couloir et ensuite devant la porte de la chambre. Je frappe et entre. Je vois deux personnes de dos qui sont occupées à discuter avec maman. Je reconnais les voix de Véronique et de Joseph, les parents d’André et d’Henri.
Marie elle aussi est surprise de les voir. Nous nous avançons auprès du lit. Je vais vers maman pour l’embrasser. Ses yeux s’éclairent à ma vue. Puis c’est Ben, suivi de Marie, ils viennent saluer maman en lui donnant un bisou. Je salue évidemment Véronique et Joseph, je les remercie de leur présence auprès de maman. Véronique me fait un câlin. Elle sait que je suis assez émotif. Elle fait la bise à Ben après lui avoir fait un câlin et la même chose avec Marie.
Véronique et Joseph veulent nous laisser en famille, mais maman demande qu’ils restent encore un peu. Nous bavardons alors tous les six. Maman semble aller mieux. Marie et Ben discutent entre eux, je pense qu’ils parlent de moi, je sais que c’est en bien. De mon côté je bavarde avec Véronique qui me dit qu’André lui a expliqué la conversation qu’il avait eue avec moi la veille. Elle m’encourage à faire de mon mieux pour que la famille et mon papa puissent passer le cap. Elle ajoute que je peux l’appeler si je rencontre le moindre souci. Elle ne veut pas s’imposer auprès d’Anne, ma sœur, l’amie de son fils aîné ! Décidément Véronique est attentive à ne pas brusquer les gens, mais bien à leur laisser le loisir d’accepter ses conseils ou pas.
J’ai une pensée pour Henri. Je sais qu’il aurait fait comme Ben, qu’il serait lui aussi venu avec moi pour rendre visite à maman. Il va être temps pour les beaux-parents d’Anne de quitter la chambre. Maman les remercie pour leur visite.
Marie et maman parlent de l’accident et des conséquences qu’il implique. Puis nous évoquons à nouveau ensemble le séjour dans les Hautes Fagnes. Marie écoute ce que Ben et moi racontons, car elle n’est pas au courant des aventures que nous avons vécues.
Papa entre alors dans la chambre. Je remarque qu’il a les traits tirés. Je me demande comment s’est déroulée la visite chez mamy et papy, mais plus précisément l’annonce de l’accident et de l’hospitalisation de maman. Papa explique alors à maman :
Pap : « Ma chère Jacqueline, je suis allé voir tes parents et je les ai mis au courant de ce qui s’est passé. J’ai préféré le faire de vive voix à la demande de Phil !
Mam : Tu as bien fait. C’est mieux pour eux, car par téléphone ils n’auraient pas pu prendre pleinement conscience de ce qui s’est passé.
Pap : Très juste et Phil avait raison, ils ont été nettement mieux informés et rassurés.
Mam : Comment ont-ils pris la chose ?
Pap : Ta maman a été un peu secouée, mais ça a été lorsque j’ai dit que tu es toujours restée consciente et que tu pouvais rentrer à la maison dans la quinzaine.
Mam : Heureusement car je ne sais pas comment ils auraient réagi si tu avais seulement téléphoné.
Pap : Ils veulent venir te voir, je leur ai proposé de les prendre après-demain.
Mam : Très bien. Merci chéri. Au fait, comment ça va à la maison ?
Moi : Ça va maman, nous nous occupons de gérer et nous savons ce que nous devons faire !
Mam : Je n’en doute pas.
Pap : Tu sais Phil a déjà fait deux machines à laver.
Mam : Super Phil. Tu es l’homme de la situation.
Moi : Merci maman, mais il n’y a rien de compliqué, tu m’avais déjà montré comment faire !
Mam : Il n’empêche, tu fais ce que tu peux et c’est déjà bien comme ça.
Mar : Eh bien si je m’attendais à ce que Phil fasse la lessive ! »
Eclats de rire général. Ben lui aussi semble étonné de savoir que je participe à certains travaux ménagers. Nous sommes contents de voir maman rire elle aussi, malgré ce qu’elle vit. Il va être temps de rentrer et c’est le moment de dire au revoir à maman. Je lui fais un câlin sans trop la serrer ensuite je lui donne un gros bisou sur la joue. Marie et Ben lui font la bise. Papa lui donne un bisou sur la bouche en la prenant dans ses bars. Maman semble apaisée et contente d’avoir eu de la visite. Elle sait qu’elle aura toujours du monde auprès d’elle.
Nous rentons à la maison. Dehors il fait froid, il commence à geler. Papa décide d’allumer le feu ouvert pour passer la soirée. Ben et moi préparons le souper, c’est très simple, c’est pain avec charcuterie et fromage. La table est dressée et la victuaille est présentée sur deux plats, le pain dans la corbeille à pain comme il se doit. Papa nous demande de mettre également deux carafes d’eau.
Le repas se passe très calmement, pas beaucoup de conversation étant donné les circonstances. Maman est à l’hôpital et nous pensons à elle. Je serai content quand elle sera de retour à la maison nous pouvant certes pas faire grand-chose, mais elle sera auprès de nous et elle aura donc de la compagnie.
Après être resté un moment près du feu, je propose à Ben de monter dans la chambre et d’écouter de la musique. Papa nous dit qu’il va lire un livre au calme dans le salon, Anne se propose de faire un puzzle avec Jean sur la table de la salle à manger.
Ben me propose d’écouter « 4 Way Street » de Corby, Stills, Nash & Young. Excellente idée, cet album est sorti en 1970. C’est donc couché sur mon lit que nous écoutons ce très beau vinyle. Pour la suite je choisis d’écouter du Pink Floyd, « Atom Heart Mother ». C’est l’occasion de se plonger dans cet univers si particulier. Le disque se termine et je m’aperçois que Ben s’est endormi. Je le réveille doucement car il va être temps de se préparer pour la nuit, soit passer par la douche et se laver les dents.
Mon chéri sort donc de sa léthargie et comprend qu’il s’est assoupi. Nous nous dévêtons pour passer à la salle d’eau. C’est à deux que nous prenons notre douche. Alors que nous nous brossons les dents, on frappe à la porte, c’est Jean. Nous l’invitons à entrer. Il est nu et se dirige vers la douche. Nous nous souhaitons une bonne nuit et revenons dans ma chambre.
Nous nous glissons sous les couvertures, nus comme des vers. C’est vrai que c’est ma tenue préférée depuis quelque temps déjà. Ben lui aussi a opté pour cette tenue ô combien séante et sans fioriture ! J’avance ma tête vers celle de Ben. Je lui donne baiser sur les lèvres. Puis je m’installe convenable contre lui, ma tête dans le creux entre son cou et son épaule. Les cheveux blonds de mon chéri recouvrent en partie mon visage. J’aime bien me blottir ainsi. Ben m’enserre le buste avec son bras et de sa main il parcourt ma poitrine en la caressant avec volupté !
Inutile de dire que mon anatomie se réveille sous l’effet des caresses prodiguées par l’autre main de mon amoureux. Bien entendu je laisse alors ma main prendre position sur le pubis de mon chéri. Je sais que nous allons nous prodiguer des caresses de plus en plus appuyées et que nous allons nous faire jouir l’un l’autre.
Nos mains « chercheuses » trouvent l’objet de leurs désirs. Mes doigts se posent sur la colonne de chair de mon Ben d’amour. Ils se resserrent pour envelopper cet appendice dressé. Mon pouce vient caresser le gland déjà humide de mon chéri qui déjà râle de plaisir. De son côté il s’applique à me donner lui aussi des sensations appuyées en s’attardant avec son pouce sur le méat de mon gland. Bien entendu ça me procure des frissons. Nous poursuivons en prodiguant des mouvements de va et vient sur nos verges dures et gorgées de sang. Les mouvements sont alternés, soit lents et ensuite plus vifs, sans aller trop vite non plus. Des râles se font entendre de part et d’autre du lit. Sachant que je vais arriver au point de non-retour, Ben arrête les mouvements et vient serrer mon pénis sous le gland. Je sens alors que l’effet préparatoire à l’éjaculation s’est estompé. Ben reprend un peu plus tard ses mouvements alternatifs et refait la même chose pour interrompre le processus. Une nouvelle fois il reprend son travail au niveau de mon boute-joie et je sais qu’il va me laisser prendre tout mon plaisir sans le retarder à nouveau. Effectivement je sens bien que mon ventre papillonne, que mon corps tout entier commence à se crisper. J’arrête de branler Ben car je me concentre sur ma jouissance. Puis je sens que c’est parti, une vague inouïe me submerge, j’éjacule comme jamais, les sensations ressenties sont décuplées et je projette ma semence qui atterrit d’abord sur mes cheveux, ensuite sur mon visage et celui de Ben et sur mon torse pour terminer. Je suis las, je m’écroule tel un cheval fourbu.
Je suis conscient que Ben attend lui aussi de pouvoir jouir. Je reprends alors les mouvements masturbatoires le long de sa tige d’amour. Je tente moi aussi de faire la même chose, soit de ralentir la montée de l’orgasme et par deux fois je serre sa verge sous le gland. Je sais que je vais procurer à mon chéri un orgasme comme je viens de connaître. Je m’applique donc à ce que Ben arrive à ressentir un maximum de sensations, de fait, je sens que sa sève va monter et se déverser sur nos deux corps. Il se cabre et dans un râle profond il éjacule, le premier jet frappe la tête du lit, les suivants viennent s’écraser sur nos visages et nos corps.
Comme moi, Ben se laisse aller, à bout de force, en reprenant sa respiration, couché à côté de moi. Nous nous regardons et nous nous embrassons avec quelques filets de sperme sur les lèvres. C’est la première fois que je jouis si fort. Je me demande qui a donné cette astuce à mon chéri pour ainsi décupler la jouissance.
Je lui donne deux mouchoirs en papier pour qu’il efface les traces sur son corps et de mon côté je fais de même. Nous nous regardons les yeux pétillants et remplis d’étoiles. Nos bouches se retrouvent pour un baiser profond, laissant nos langues danser cette sarabande tant et tant de fois exécutée !
Nous arrivons à l’hosto avec le véhicule de remplacement du garage. Papa nous laisse en descendre et nous signale qu’il viendra nous reprendre après sa visite chez mes grands-parents. Nous entrons dans le grand hall d’accueil. Je me rends compte qu’il y a assez bien de monde, c’est d’ailleurs l’heure des visites. Nous prenons l’ascenseur et arrivons dans le couloir et ensuite devant la porte de la chambre. Je frappe et entre. Je vois deux personnes de dos qui sont occupées à discuter avec maman. Je reconnais les voix de Véronique et de Joseph, les parents d’André et d’Henri.
Marie elle aussi est surprise de les voir. Nous nous avançons auprès du lit. Je vais vers maman pour l’embrasser. Ses yeux s’éclairent à ma vue. Puis c’est Ben, suivi de Marie, ils viennent saluer maman en lui donnant un bisou. Je salue évidemment Véronique et Joseph, je les remercie de leur présence auprès de maman. Véronique me fait un câlin. Elle sait que je suis assez émotif. Elle fait la bise à Ben après lui avoir fait un câlin et la même chose avec Marie.
Véronique et Joseph veulent nous laisser en famille, mais maman demande qu’ils restent encore un peu. Nous bavardons alors tous les six. Maman semble aller mieux. Marie et Ben discutent entre eux, je pense qu’ils parlent de moi, je sais que c’est en bien. De mon côté je bavarde avec Véronique qui me dit qu’André lui a expliqué la conversation qu’il avait eue avec moi la veille. Elle m’encourage à faire de mon mieux pour que la famille et mon papa puissent passer le cap. Elle ajoute que je peux l’appeler si je rencontre le moindre souci. Elle ne veut pas s’imposer auprès d’Anne, ma sœur, l’amie de son fils aîné ! Décidément Véronique est attentive à ne pas brusquer les gens, mais bien à leur laisser le loisir d’accepter ses conseils ou pas.
J’ai une pensée pour Henri. Je sais qu’il aurait fait comme Ben, qu’il serait lui aussi venu avec moi pour rendre visite à maman. Il va être temps pour les beaux-parents d’Anne de quitter la chambre. Maman les remercie pour leur visite.
Marie et maman parlent de l’accident et des conséquences qu’il implique. Puis nous évoquons à nouveau ensemble le séjour dans les Hautes Fagnes. Marie écoute ce que Ben et moi racontons, car elle n’est pas au courant des aventures que nous avons vécues.
Papa entre alors dans la chambre. Je remarque qu’il a les traits tirés. Je me demande comment s’est déroulée la visite chez mamy et papy, mais plus précisément l’annonce de l’accident et de l’hospitalisation de maman. Papa explique alors à maman :
Pap : « Ma chère Jacqueline, je suis allé voir tes parents et je les ai mis au courant de ce qui s’est passé. J’ai préféré le faire de vive voix à la demande de Phil !
Mam : Tu as bien fait. C’est mieux pour eux, car par téléphone ils n’auraient pas pu prendre pleinement conscience de ce qui s’est passé.
Pap : Très juste et Phil avait raison, ils ont été nettement mieux informés et rassurés.
Mam : Comment ont-ils pris la chose ?
Pap : Ta maman a été un peu secouée, mais ça a été lorsque j’ai dit que tu es toujours restée consciente et que tu pouvais rentrer à la maison dans la quinzaine.
Mam : Heureusement car je ne sais pas comment ils auraient réagi si tu avais seulement téléphoné.
Pap : Ils veulent venir te voir, je leur ai proposé de les prendre après-demain.
Mam : Très bien. Merci chéri. Au fait, comment ça va à la maison ?
Moi : Ça va maman, nous nous occupons de gérer et nous savons ce que nous devons faire !
Mam : Je n’en doute pas.
Pap : Tu sais Phil a déjà fait deux machines à laver.
Mam : Super Phil. Tu es l’homme de la situation.
Moi : Merci maman, mais il n’y a rien de compliqué, tu m’avais déjà montré comment faire !
Mam : Il n’empêche, tu fais ce que tu peux et c’est déjà bien comme ça.
Mar : Eh bien si je m’attendais à ce que Phil fasse la lessive ! »
Eclats de rire général. Ben lui aussi semble étonné de savoir que je participe à certains travaux ménagers. Nous sommes contents de voir maman rire elle aussi, malgré ce qu’elle vit. Il va être temps de rentrer et c’est le moment de dire au revoir à maman. Je lui fais un câlin sans trop la serrer ensuite je lui donne un gros bisou sur la joue. Marie et Ben lui font la bise. Papa lui donne un bisou sur la bouche en la prenant dans ses bars. Maman semble apaisée et contente d’avoir eu de la visite. Elle sait qu’elle aura toujours du monde auprès d’elle.
Nous rentons à la maison. Dehors il fait froid, il commence à geler. Papa décide d’allumer le feu ouvert pour passer la soirée. Ben et moi préparons le souper, c’est très simple, c’est pain avec charcuterie et fromage. La table est dressée et la victuaille est présentée sur deux plats, le pain dans la corbeille à pain comme il se doit. Papa nous demande de mettre également deux carafes d’eau.
Le repas se passe très calmement, pas beaucoup de conversation étant donné les circonstances. Maman est à l’hôpital et nous pensons à elle. Je serai content quand elle sera de retour à la maison nous pouvant certes pas faire grand-chose, mais elle sera auprès de nous et elle aura donc de la compagnie.
Après être resté un moment près du feu, je propose à Ben de monter dans la chambre et d’écouter de la musique. Papa nous dit qu’il va lire un livre au calme dans le salon, Anne se propose de faire un puzzle avec Jean sur la table de la salle à manger.
Ben me propose d’écouter « 4 Way Street » de Corby, Stills, Nash & Young. Excellente idée, cet album est sorti en 1970. C’est donc couché sur mon lit que nous écoutons ce très beau vinyle. Pour la suite je choisis d’écouter du Pink Floyd, « Atom Heart Mother ». C’est l’occasion de se plonger dans cet univers si particulier. Le disque se termine et je m’aperçois que Ben s’est endormi. Je le réveille doucement car il va être temps de se préparer pour la nuit, soit passer par la douche et se laver les dents.
Mon chéri sort donc de sa léthargie et comprend qu’il s’est assoupi. Nous nous dévêtons pour passer à la salle d’eau. C’est à deux que nous prenons notre douche. Alors que nous nous brossons les dents, on frappe à la porte, c’est Jean. Nous l’invitons à entrer. Il est nu et se dirige vers la douche. Nous nous souhaitons une bonne nuit et revenons dans ma chambre.
Nous nous glissons sous les couvertures, nus comme des vers. C’est vrai que c’est ma tenue préférée depuis quelque temps déjà. Ben lui aussi a opté pour cette tenue ô combien séante et sans fioriture ! J’avance ma tête vers celle de Ben. Je lui donne baiser sur les lèvres. Puis je m’installe convenable contre lui, ma tête dans le creux entre son cou et son épaule. Les cheveux blonds de mon chéri recouvrent en partie mon visage. J’aime bien me blottir ainsi. Ben m’enserre le buste avec son bras et de sa main il parcourt ma poitrine en la caressant avec volupté !
Inutile de dire que mon anatomie se réveille sous l’effet des caresses prodiguées par l’autre main de mon amoureux. Bien entendu je laisse alors ma main prendre position sur le pubis de mon chéri. Je sais que nous allons nous prodiguer des caresses de plus en plus appuyées et que nous allons nous faire jouir l’un l’autre.
Nos mains « chercheuses » trouvent l’objet de leurs désirs. Mes doigts se posent sur la colonne de chair de mon Ben d’amour. Ils se resserrent pour envelopper cet appendice dressé. Mon pouce vient caresser le gland déjà humide de mon chéri qui déjà râle de plaisir. De son côté il s’applique à me donner lui aussi des sensations appuyées en s’attardant avec son pouce sur le méat de mon gland. Bien entendu ça me procure des frissons. Nous poursuivons en prodiguant des mouvements de va et vient sur nos verges dures et gorgées de sang. Les mouvements sont alternés, soit lents et ensuite plus vifs, sans aller trop vite non plus. Des râles se font entendre de part et d’autre du lit. Sachant que je vais arriver au point de non-retour, Ben arrête les mouvements et vient serrer mon pénis sous le gland. Je sens alors que l’effet préparatoire à l’éjaculation s’est estompé. Ben reprend un peu plus tard ses mouvements alternatifs et refait la même chose pour interrompre le processus. Une nouvelle fois il reprend son travail au niveau de mon boute-joie et je sais qu’il va me laisser prendre tout mon plaisir sans le retarder à nouveau. Effectivement je sens bien que mon ventre papillonne, que mon corps tout entier commence à se crisper. J’arrête de branler Ben car je me concentre sur ma jouissance. Puis je sens que c’est parti, une vague inouïe me submerge, j’éjacule comme jamais, les sensations ressenties sont décuplées et je projette ma semence qui atterrit d’abord sur mes cheveux, ensuite sur mon visage et celui de Ben et sur mon torse pour terminer. Je suis las, je m’écroule tel un cheval fourbu.
Je suis conscient que Ben attend lui aussi de pouvoir jouir. Je reprends alors les mouvements masturbatoires le long de sa tige d’amour. Je tente moi aussi de faire la même chose, soit de ralentir la montée de l’orgasme et par deux fois je serre sa verge sous le gland. Je sais que je vais procurer à mon chéri un orgasme comme je viens de connaître. Je m’applique donc à ce que Ben arrive à ressentir un maximum de sensations, de fait, je sens que sa sève va monter et se déverser sur nos deux corps. Il se cabre et dans un râle profond il éjacule, le premier jet frappe la tête du lit, les suivants viennent s’écraser sur nos visages et nos corps.
Comme moi, Ben se laisse aller, à bout de force, en reprenant sa respiration, couché à côté de moi. Nous nous regardons et nous nous embrassons avec quelques filets de sperme sur les lèvres. C’est la première fois que je jouis si fort. Je me demande qui a donné cette astuce à mon chéri pour ainsi décupler la jouissance.
Je lui donne deux mouchoirs en papier pour qu’il efface les traces sur son corps et de mon côté je fais de même. Nous nous regardons les yeux pétillants et remplis d’étoiles. Nos bouches se retrouvent pour un baiser profond, laissant nos langues danser cette sarabande tant et tant de fois exécutée !