08-08-2022, 04:45 PM
Il nous fallut deux bonnes heures pour remonter aux Fourches et Tim en profita pour titiller Liam au sujet de ‘notre cambrousse’ et ses habitants. Intérieurement je me marrais. Car ce n'était pas mieux du côté de Marie. Elle aussi venait pour la première fois passer la semaine chez Tim. Puis en y réfléchissant, ce que je trouvais le plus amusant, c'est que Tim irait passer TOUTE la deuxième semaine chez Marie. Bon c'est vrai que depuis que Marie avait remis les choses au point avec sa mère ça semblait aller beaucoup mieux… pour le moment!
Revenons aux miens de parents, en fait il sont relativement cool. Leurs travers annoncés par le comique étant à diviser par mille.
La seule chose qu'ils imposaient chez moi c'est l’horaire des repas, c'était midi et vingt heures ! (sauf rares exceptions)
Pour le reste on était libre de faire ce que l'on voulait tant que les travaux que l'on avait à faire étaient finis.
Je dis à Liam où stopper et on déchargea les affaires de Tim et de Marie.
– On se voit plus tard ma couille. On s'envoie un message.
Tim prit la main de Marie et rentra chez lui. On partit chez mes parents qui habitaient quelques centaines de mètres plus loin, dans une ferme à l'écart du village.
Je fis garer Liam devant la maison et on entra. Il faut savoir que, comme la plupart des bâtisses du cru, la porte donne directement dans la cuisine. J'entrais et ça sentait bon la bouffe. Mes parents y discutaient. Liam avait déjà vu mes parents en photo ou quand je le leur avais présenté rapidement lors d'un Skype avec Tim, durant mon escapade américaine, mais, là, d'être en face d’eux, il était dans ses petits souliers.
J'allais embrasser mes parents et je leur dis :
– Maman, papa, je vous présente Liam.
– Entre mon garçon, on ne va pas te manger.
Il s'approcha de ma mère et lui tendit la main. Elle fit celle qui ne la voyait pas et elle lui fit la bise. Puis il s'approcha de mon père qui lui serra la main.
– Sois le bienvenu chez nous, Liam. Nous sommes enchantés de te connaître enfin. Allez poser vos sacs dans ta chambre et on pourra manger.
– Oui, on vous attendait pour souper. J'ai fait léger pour ce soir. Demain matin, ton frère et ta sœur arrivent et passent le long week-end férié ici.
– On se dépêche.
C'est vrai qu'il n'était pas loin de vingt heures vingt-cinq et le dérangement des habitudes, faisaient gronder l’estomac paternel.
On finissait de manger quand mon téléphone vibra. J'allais le prendre quand le regard de mon père m'en dissuada.
On aida ma mère à débarrasser la table, mon père nous souhaita bonne nuit et partit se coucher.
J'en profitais pour sortir mon téléphone, c'était un SMS de Tim qui me disait que Marie avait survécu au choc et qu'on se verrait demain.
Autant mon père était un homme de peu de mots que ma mère était une véritable pipelette. Elle voulait tout savoir de Liam et de sa famille, de ses études, de ce qu'il comptait faire plus tard …
– Maman, on est là toute les vacances, alors garde en un peu pour les autres jours.
– Tu vois comment il me traite Liam ! Il est jaloux que je m'intéresse à toi !
– Mais non, c'est pas ça Maman, c'est que Liam est fatigué et qu'on voudrait aller se coucher.
– Ah ! Mais il fallait le dire, sauvez-vous. Bonne nuit les jeunes, à demain.
On monta dans ma chambre et après avoir sorti nos affaires de toilette on alla prendre notre douche ensemble et on se mît au lit.
– Je sais de qui tu tires ton côté taciturne maintenant que j'ai rencontré ton père. Il n'est pas très bavard. Par contre ta mère, elle, c'est tout le contraire.
– Non, mais dis donc, toi ! Je ne te permets pas de critiquer ma famille !
On se fit quelques câlins et on s'endormit, nus et enlacés. Juste avant de m'endormir je pensais que j'allais l'avoir deux semaines pour moi tout seul !
…
À mon habitude, je me levais à l’aurore, j'enfilais un boxer et un tee-shirt et je descendis à la cuisine. Mes parents étaient réveillés et ma mère avait déjà commencé la préparation du repas, à même pas sept heures du matin.
Je dis bonjour et je me servis un grand bol de café. Et ce n'est qu'après le deuxième qu'on commença à discuter.
– Alors Bé, comment ça se passe à Valence ?
– Bien, les cours sont faciles et avec Joris on forme un bon binôme. On est plutôt doués. Avec Tim on va aussi au karaté et on s'est inscrit dans une auto-école. On devrait passer le code avant les vacances de Noël et le permis avant les grandes vacances.
– Tu comptes faire quoi cet été ?
– Je ne sais pas, on n'a pas encore décidé avec Liam. Il voudrait rentrer aux Etats-Unis pour voir sa famille et ses amis. Il aimerait que je l’accompagne.
– Tu sais Bé, l'an dernier on a fait un gros sacrifice pour te payer le voyage, cette année nous ne pourrons pas le faire.
– Oui, je sais mais il me reste encore de l'argent que vous m'aviez donné et de celui que j'ai gagné là-bas. En plus je sais que Jeanne, la mère de Liam, nous a ouvert un compte où on a de l'argent mais je ne sais pas combien exactement.
– Tu veux dire que la mère de Liam vous verse une pension ?
– Non, pas du tout. Tu te souviens qu'elle nous a offert une voiture à chacun parce qu'on l'avait aidé.
– Oui, tu nous en avais parlé. Mais quel rapport ?
– Bin, on loue les voitures et ça nous rapporte de l'argent qui tombe régulièrement et c'est cet argent qu'elle verse sur ce compte.
– Ah d’accord!
Et ton prince charmant, il n'arrive pas à se lever ?
– Papa ! On est en vacances et c'est le week-end ! Laisse le se reposer ! Et je ne sais même pas s'il va oser descendre tout seul.
– Me dis pas qu’il a peur du noir ?
– Mais non, c'est de la faute de Tim.
– Il a quoi à voir dans cette histoire le Titou ?
– Disons qu'il t'a présenté comme quelqu'un de bourru, de colérique, d'autoritaire puissance dix… c'est pour ça que hier soir Liam était dans ses petits souliers.
– Et toi, bien sûr, tu n'as rien dit ?
– Bin non, c’était trop comique !
– D'ailleurs il est où l’artiste ? C'est sept heures passées et il n'est toujours pas là ?
– Il est venu avec sa copine pour la présenter à ses parents. Alors je pense qu'il doit être calé contre elle, bien au chaud dans le lit.
– Au fait Bé, je vais avoir besoin de toi une journée ou deux pour m’aider. Je profiterai que ton frère et ton beau-frère soient là aussi.
– Oui, pas de souci, c'est pour faire quoi ?
– Tu vois la maison à l'entrée du village ? Celle qui est fermée depuis des années. Elle appartenait à un homme dont le fils s'était engagé avec les allemands et qui n'est jamais revenu de Russie.
– Ah oui, je me souviens. Et alors, faudra faire quoi avec cette baraque ?
– Il va falloir la vider de la cave au grenier, remise comprise. Elle est vendue mais les acheteurs la veulent ‘à nu’, avant d’en prendre possession.
– Et on fait quoi de ce qu'il y a dedans ?
– On brûlera tout ce qui brûle et le reste on ira le jeter à la déchetterie mardi. Il faut qu'elle soit vide d'ici la fin de la semaine. Il y a des travaux de prévus, c’est un deal avec l’entrepreneur qui est l’un de nos clients .
(Depuis des années, mon père et mon oncle – son frère – avaient une entreprise de travaux privés, publiques et vente de matériaux de constructions. Et ça marchait plutôt bien pour eux.)
– Ok, pas de souci ; on commence quand ?
– Quand les bras seront là. Je ne pense pas qu'ils vont tarder. J'ai demandé à ton frère et à ta sœur d'arriver de bonne heure. Et si Liam nous aide, ça sera encore mieux.
– Oui, il le fera. Je monte le réveiller.
Je remontais dans ma chambre et j'ouvris la porte doucement. Liam dormait encore. Je me mis nu et me glissais dans le lit. Je m'enfonçais sous les couvertures et je trouvais ce que je cherchais c'est à dire son sexe turgescent.
Il me fallut quelques coups de langue bien placés et quelques allers retours sur son sexe pour réveiller Liam. Il s'étira et se laissa faire un petit moment. Puis en se contorsionnant pour pas que son sexe sorte de ma bouche, il vint me rendre la politesse.
On essaya de faire durer mais l'envie de jouir était trop forte et chacun reçut sa ration de protéines humaine qu'il avala.
– Bonjour Bé. Quelle heure est-il ?
– Bientôt huit heures et on a du boulot qui nous attend.
Je lui résumais rapidement la conversation que j'avais eu avec mon père et je le vis partir vers la salle de bain.
Je l'entendis pisser puis se laver les dents.
– Tu devrais venir te laver les dents Bé. Ton haleine pourrait trahir ton dernier repas !
– Pfff! T'es con toi !
Revenons aux miens de parents, en fait il sont relativement cool. Leurs travers annoncés par le comique étant à diviser par mille.
La seule chose qu'ils imposaient chez moi c'est l’horaire des repas, c'était midi et vingt heures ! (sauf rares exceptions)
Pour le reste on était libre de faire ce que l'on voulait tant que les travaux que l'on avait à faire étaient finis.
Je dis à Liam où stopper et on déchargea les affaires de Tim et de Marie.
– On se voit plus tard ma couille. On s'envoie un message.
Tim prit la main de Marie et rentra chez lui. On partit chez mes parents qui habitaient quelques centaines de mètres plus loin, dans une ferme à l'écart du village.
Je fis garer Liam devant la maison et on entra. Il faut savoir que, comme la plupart des bâtisses du cru, la porte donne directement dans la cuisine. J'entrais et ça sentait bon la bouffe. Mes parents y discutaient. Liam avait déjà vu mes parents en photo ou quand je le leur avais présenté rapidement lors d'un Skype avec Tim, durant mon escapade américaine, mais, là, d'être en face d’eux, il était dans ses petits souliers.
J'allais embrasser mes parents et je leur dis :
– Maman, papa, je vous présente Liam.
– Entre mon garçon, on ne va pas te manger.
Il s'approcha de ma mère et lui tendit la main. Elle fit celle qui ne la voyait pas et elle lui fit la bise. Puis il s'approcha de mon père qui lui serra la main.
– Sois le bienvenu chez nous, Liam. Nous sommes enchantés de te connaître enfin. Allez poser vos sacs dans ta chambre et on pourra manger.
– Oui, on vous attendait pour souper. J'ai fait léger pour ce soir. Demain matin, ton frère et ta sœur arrivent et passent le long week-end férié ici.
– On se dépêche.
C'est vrai qu'il n'était pas loin de vingt heures vingt-cinq et le dérangement des habitudes, faisaient gronder l’estomac paternel.
On finissait de manger quand mon téléphone vibra. J'allais le prendre quand le regard de mon père m'en dissuada.
On aida ma mère à débarrasser la table, mon père nous souhaita bonne nuit et partit se coucher.
J'en profitais pour sortir mon téléphone, c'était un SMS de Tim qui me disait que Marie avait survécu au choc et qu'on se verrait demain.
Autant mon père était un homme de peu de mots que ma mère était une véritable pipelette. Elle voulait tout savoir de Liam et de sa famille, de ses études, de ce qu'il comptait faire plus tard …
– Maman, on est là toute les vacances, alors garde en un peu pour les autres jours.
– Tu vois comment il me traite Liam ! Il est jaloux que je m'intéresse à toi !
– Mais non, c'est pas ça Maman, c'est que Liam est fatigué et qu'on voudrait aller se coucher.
– Ah ! Mais il fallait le dire, sauvez-vous. Bonne nuit les jeunes, à demain.
On monta dans ma chambre et après avoir sorti nos affaires de toilette on alla prendre notre douche ensemble et on se mît au lit.
– Je sais de qui tu tires ton côté taciturne maintenant que j'ai rencontré ton père. Il n'est pas très bavard. Par contre ta mère, elle, c'est tout le contraire.
– Non, mais dis donc, toi ! Je ne te permets pas de critiquer ma famille !
On se fit quelques câlins et on s'endormit, nus et enlacés. Juste avant de m'endormir je pensais que j'allais l'avoir deux semaines pour moi tout seul !
…
À mon habitude, je me levais à l’aurore, j'enfilais un boxer et un tee-shirt et je descendis à la cuisine. Mes parents étaient réveillés et ma mère avait déjà commencé la préparation du repas, à même pas sept heures du matin.
Je dis bonjour et je me servis un grand bol de café. Et ce n'est qu'après le deuxième qu'on commença à discuter.
– Alors Bé, comment ça se passe à Valence ?
– Bien, les cours sont faciles et avec Joris on forme un bon binôme. On est plutôt doués. Avec Tim on va aussi au karaté et on s'est inscrit dans une auto-école. On devrait passer le code avant les vacances de Noël et le permis avant les grandes vacances.
– Tu comptes faire quoi cet été ?
– Je ne sais pas, on n'a pas encore décidé avec Liam. Il voudrait rentrer aux Etats-Unis pour voir sa famille et ses amis. Il aimerait que je l’accompagne.
– Tu sais Bé, l'an dernier on a fait un gros sacrifice pour te payer le voyage, cette année nous ne pourrons pas le faire.
– Oui, je sais mais il me reste encore de l'argent que vous m'aviez donné et de celui que j'ai gagné là-bas. En plus je sais que Jeanne, la mère de Liam, nous a ouvert un compte où on a de l'argent mais je ne sais pas combien exactement.
– Tu veux dire que la mère de Liam vous verse une pension ?
– Non, pas du tout. Tu te souviens qu'elle nous a offert une voiture à chacun parce qu'on l'avait aidé.
– Oui, tu nous en avais parlé. Mais quel rapport ?
– Bin, on loue les voitures et ça nous rapporte de l'argent qui tombe régulièrement et c'est cet argent qu'elle verse sur ce compte.
– Ah d’accord!
Et ton prince charmant, il n'arrive pas à se lever ?
– Papa ! On est en vacances et c'est le week-end ! Laisse le se reposer ! Et je ne sais même pas s'il va oser descendre tout seul.
– Me dis pas qu’il a peur du noir ?
– Mais non, c'est de la faute de Tim.
– Il a quoi à voir dans cette histoire le Titou ?
– Disons qu'il t'a présenté comme quelqu'un de bourru, de colérique, d'autoritaire puissance dix… c'est pour ça que hier soir Liam était dans ses petits souliers.
– Et toi, bien sûr, tu n'as rien dit ?
– Bin non, c’était trop comique !
– D'ailleurs il est où l’artiste ? C'est sept heures passées et il n'est toujours pas là ?
– Il est venu avec sa copine pour la présenter à ses parents. Alors je pense qu'il doit être calé contre elle, bien au chaud dans le lit.
– Au fait Bé, je vais avoir besoin de toi une journée ou deux pour m’aider. Je profiterai que ton frère et ton beau-frère soient là aussi.
– Oui, pas de souci, c'est pour faire quoi ?
– Tu vois la maison à l'entrée du village ? Celle qui est fermée depuis des années. Elle appartenait à un homme dont le fils s'était engagé avec les allemands et qui n'est jamais revenu de Russie.
– Ah oui, je me souviens. Et alors, faudra faire quoi avec cette baraque ?
– Il va falloir la vider de la cave au grenier, remise comprise. Elle est vendue mais les acheteurs la veulent ‘à nu’, avant d’en prendre possession.
– Et on fait quoi de ce qu'il y a dedans ?
– On brûlera tout ce qui brûle et le reste on ira le jeter à la déchetterie mardi. Il faut qu'elle soit vide d'ici la fin de la semaine. Il y a des travaux de prévus, c’est un deal avec l’entrepreneur qui est l’un de nos clients .
(Depuis des années, mon père et mon oncle – son frère – avaient une entreprise de travaux privés, publiques et vente de matériaux de constructions. Et ça marchait plutôt bien pour eux.)
– Ok, pas de souci ; on commence quand ?
– Quand les bras seront là. Je ne pense pas qu'ils vont tarder. J'ai demandé à ton frère et à ta sœur d'arriver de bonne heure. Et si Liam nous aide, ça sera encore mieux.
– Oui, il le fera. Je monte le réveiller.
Je remontais dans ma chambre et j'ouvris la porte doucement. Liam dormait encore. Je me mis nu et me glissais dans le lit. Je m'enfonçais sous les couvertures et je trouvais ce que je cherchais c'est à dire son sexe turgescent.
Il me fallut quelques coups de langue bien placés et quelques allers retours sur son sexe pour réveiller Liam. Il s'étira et se laissa faire un petit moment. Puis en se contorsionnant pour pas que son sexe sorte de ma bouche, il vint me rendre la politesse.
On essaya de faire durer mais l'envie de jouir était trop forte et chacun reçut sa ration de protéines humaine qu'il avala.
– Bonjour Bé. Quelle heure est-il ?
– Bientôt huit heures et on a du boulot qui nous attend.
Je lui résumais rapidement la conversation que j'avais eu avec mon père et je le vis partir vers la salle de bain.
Je l'entendis pisser puis se laver les dents.
– Tu devrais venir te laver les dents Bé. Ton haleine pourrait trahir ton dernier repas !
– Pfff! T'es con toi !