CHAPITRE IX (Suite)
La chaleur peine à s’évacuer. On prend place sur la terrasse. Alice vient se blottir à mes côtés tandis que le bouchon du champagne explose dans le ciel.
- A nos quinze premiers jours de bonheur absolu mon chéri. S’écrit-elle heureuse.
- Et à tout le bonheur qui nous attend encore ma puce.
- Oui, j’espère... J’ai reçu ma convocation ce matin. Ce n’est pas la semaine prochaine mais celle d’après. Je serais probablement hospitalisée trois ou quatre jours à Villejuif près de Paris. Ça ne dure pas très longtemps mais d’expérience, je supporte mal. Après, lorsque j’irais mieux, je passerais quelques jours chez mes parents. Ils me l’ont demandé. Si tout va bien, je serais absente une semaine. Tu penseras à « Voie Lactée » ?
- Évidemment ma chérie. Chose promise chose due. J’en profiterai pour faire plus ample connaissance. Je suis sûr qu’elle a quelques petits secrets croustillants à me raconter. Tu préviendras aussi ton coach pour éviter qu’elle se pose des questions. Je ne suis pas certain qu’elle se rappelle de moi.
- C’est déjà fait et elle m’a dit qu’elle t’a trouvé plutôt mignon, posé et très attentionné.
- Elle ne m’a pas spécialement marquée. Elle s’appelle comment ?
- Julie. Tu verras, c’est une chic fille. Elle est très gentille, mais il ne faut pas s’en approcher de trop près.
- Demain soir tu fais quoi ? J’ai une invitation piscine avec mes collaborateurs. Ça te dit de m’accompagner ?
- Demain Pascal, je reprends le travail. Je suis de l’après-midi. Je vais terminer mon service vers vingt-deux heures. Et puis la piscine dans mon état…
- Ah ! Mince. Pour la piscine, j’y ai pensé mais on est pas obligé de se baigner et je ne voulais pas trop m’attarder, juste passer, te présenter, prendre un verre. C’est une bande de joyeux lurons. Personne ne se prend la tête et on évite soigneusement de parler boulot.
- Il ne faut pas que ça t’empêche d’y aller, si tu en as envie.
- Oui je sais ma chérie. Mais j’aurais préféré que tu sois là toi aussi. Bon tant pis. Je te rejoindrai après où vice et versa si tu rentres après moi.
- Une dernière coupe et hop, dans les dunes.
- Je vais être pompette Pascal et je te rappelle que je ronfle quand j’ai bu.
- Toi pompette, ça doit être rigolo. Je demande à voir.
- Embrasse-moi mon cœur et on y va.
La chaleur peine à s’évacuer. On prend place sur la terrasse. Alice vient se blottir à mes côtés tandis que le bouchon du champagne explose dans le ciel.
- A nos quinze premiers jours de bonheur absolu mon chéri. S’écrit-elle heureuse.
- Et à tout le bonheur qui nous attend encore ma puce.
- Oui, j’espère... J’ai reçu ma convocation ce matin. Ce n’est pas la semaine prochaine mais celle d’après. Je serais probablement hospitalisée trois ou quatre jours à Villejuif près de Paris. Ça ne dure pas très longtemps mais d’expérience, je supporte mal. Après, lorsque j’irais mieux, je passerais quelques jours chez mes parents. Ils me l’ont demandé. Si tout va bien, je serais absente une semaine. Tu penseras à « Voie Lactée » ?
- Évidemment ma chérie. Chose promise chose due. J’en profiterai pour faire plus ample connaissance. Je suis sûr qu’elle a quelques petits secrets croustillants à me raconter. Tu préviendras aussi ton coach pour éviter qu’elle se pose des questions. Je ne suis pas certain qu’elle se rappelle de moi.
- C’est déjà fait et elle m’a dit qu’elle t’a trouvé plutôt mignon, posé et très attentionné.
- Elle ne m’a pas spécialement marquée. Elle s’appelle comment ?
- Julie. Tu verras, c’est une chic fille. Elle est très gentille, mais il ne faut pas s’en approcher de trop près.
- Demain soir tu fais quoi ? J’ai une invitation piscine avec mes collaborateurs. Ça te dit de m’accompagner ?
- Demain Pascal, je reprends le travail. Je suis de l’après-midi. Je vais terminer mon service vers vingt-deux heures. Et puis la piscine dans mon état…
- Ah ! Mince. Pour la piscine, j’y ai pensé mais on est pas obligé de se baigner et je ne voulais pas trop m’attarder, juste passer, te présenter, prendre un verre. C’est une bande de joyeux lurons. Personne ne se prend la tête et on évite soigneusement de parler boulot.
- Il ne faut pas que ça t’empêche d’y aller, si tu en as envie.
- Oui je sais ma chérie. Mais j’aurais préféré que tu sois là toi aussi. Bon tant pis. Je te rejoindrai après où vice et versa si tu rentres après moi.
- Une dernière coupe et hop, dans les dunes.
- Je vais être pompette Pascal et je te rappelle que je ronfle quand j’ai bu.
- Toi pompette, ça doit être rigolo. Je demande à voir.
- Embrasse-moi mon cœur et on y va.
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