22-07-2022, 09:56 PM
Avertissement : en relisant cet épisode, je me suis aperçu que je commence à radoter et que ce sont toujours les mêmes fantasmes qui reviennent. J’ai écrit plus de 900 mots pour une scène qui n’apporte aucun développement à l’intrigue d’ailleurs inexistante, ce pourrait être un auto-pastiche de Lange128. Vous êtes prévenu·e·s. J’espère que ces radotages vous feront quand même sourire et provoqueront peut-être d’autres réactions si vous partagez l’un ou l’autre de mes fantasmes.
J’ai eu la même impression en commençant un récit pour « À chacun son histoire », je me suis aperçu que c’était presque le même qu’un autre plus ancien, transposé dans un autre lieu et à une autre époque.
Cet avertissement était en fait inutile, je vous propose mes histoires depuis si longtemps que les personnes qui ne les aiment pas ont arrêté de les lire depuis des années.
Chapitre 14 - Voyage en Allemagne (9)
Lundi 5 octobre 1964, Heidelberg
Frédéric se demanda en quoi ce serait important que son zizi fût propre pour la soirée, même s’il s’était douté que le bizutage annoncé aurait un rapport avec le sexe. Les étudiants avaient l’habitude des expériences du professeur où il fallait laisser sa pudeur au vestiaire en même temps que ses habits. Il hésita quand mème au moment d’enlever son slip.
— Frau Müller a dit qu’on pouvait sortir à poil de la chambre, fit Koen, tant qu’on n’est pas une fille et qu’on a une queue entre les jambes.
— Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris. Je n’aimerais pas être gêné si nous croisons quelqu’un.
Ils laissèrent donc leurs slips et descendirent à l’étage inférieur. La porte de la salle de bain était entrouverte et la lumière était allumée. Frédéric frappa, on lui dit d’entrer. Deux étudiants venaient de sortir de la baignoire et se séchaient avec des serviettes. Koen remarqua immédiatement que leurs pénis étaient légèrement gonflés, mais ce pouvait être le résultat de la friction du tissu. L’un était presque entièrement décalotté et son heureux propriétaire dit :
— Bonjour, vous devez être les Suisses.
— Un seul Suisse, moi je suis Néerlandais, mon prénom est Koen et voici mon ami Frédéric.
— Vous vous accordez bien, fit l’autre étudiant, plat pays et slip bleu qui évoque la mer ; montagnes et slip blanc qui évoque les neiges éternelles. Je m’appelle Ewen.
— Et moi Sören. Nous partageons la même chambre.
Koen n’osa pas leur demander s’ils étaient homosexuels et s’ils avaient des relations intimes, Frédéric finirait par se fâcher.
— Vous ne pouviez pas être des Allemands, continua Sören.
— Pourquoi ? demanda Frédéric.
— Parce que les Allemands sont adeptes du naturisme.
— Je n’étais pas sûr d’avoir bien compris et j’avais peur de croiser la logeuse.
— Elle ? fit Ewen en riant. Elle prétend que tous les garçons ont la même chose entre les jambes alors qu’elle n’arrête pas de nous mater.
— Il paraît même… ajouta Sören, je vous le dis, mais ça reste entre nous, je n’ai jamais vérifié cette information. Il paraît même qu’elle fait des rabais aux garçons qui passent dans sa chambre.
— Tu n’aurais pas dû leur raconter cela, ce ne sont que ragots.
— Tu devrais essayer de la draguer, dit Frédéric à Koen, pour découvrir si c’est vrai.
— Non, répondit le Néerlandais, elle n’entre pas dans le cadre de mes études.
— Trop âgée ? demanda Sören.
— J’étudie autre chose.
— Il est comme Frau Müller, dit Frédéric, il s’intéresse seulement à ce que les garçons ont entre les jambes.
— Je comprends pourquoi il nous a matés en entrant, dit Ewen en riant.
— J’espère que cela ne vous a pas dérangés, dit Koen, c’était dans un but scientifique.
— Pas du tout, nous aimons aussi mater les filles à la piscine en été, et pas pour la science, pour leurs seins. Nous savons que nous avons de magnifiques bites qui peuvent plaire à tous les genres et orientations.
— Vous n’êtes donc pas homosexuels ?
— Non, nous ne le sommes pas, mais prétendre que nous ne nous sommes jamais branlés ensemble serait un mensonge.
— C’est tout à fait normal, dit Koen, je pense que vous connaissez l’échelle de Kinsey.
— Oui, oui, on la connaît.
— C’est son dada, fit Frédéric, convaincre les hétérosexuels qu’ils peuvent lui montrer leurs bites sans passer pour des pédés.
Koen et Frédéric enlevèrent leurs slips. Sören leur dit :
— Mettez-les dans la corbeille, Frau Müller les lave tous les jours, sauf le week-end.
— Comment va-t-elle les reconnaître ? s’inquiéta Koen.
— Les nôtres ont une étiquette avec nos noms, elle saura que c’est les vôtres.
— Les nôtres ont aussi un numéro, dit Frédéric.
— On vous laisse, dit Ewen, bonne branlette sous la douche.
— Nous n’avons pas le droit, dit Koen.
— Des cobayes pour le professeur Latte ? On se réjouit d’assister au spectacle demain. Je pense que vous êtes aussi invités ce soir, nettoyez-vous bien le zizi.
Les deux étudiants allemands sortirent.
— Ils sont sympathiques, dit Koen, dommage qu’ils ne soient pas gays, j’aurais bien aimé mesurer leurs bites bandées.
— Personne n’est parfait.
Koen et Frédéric prirent leur douche dans la baignoire, prenant soin de se laver minutieusement les organes génitaux et le sillon interfessier. Ils se séchèrent et ressortirent de la salle de bain, nus. Ils croisèrent évidemment la logeuse qui examina attentivement leur entrejambe.
— Tout va bien ? demanda-t-elle. Tout est en ordre dans votre chambre ?
— Tout est parfait, répondit Frédéric.
— Je vois que vous avez rapidement pris les habitudes des autres étudiants.
À ce moment-là, les jumeaux descendirent l’escalier, entièrement nus puisqu’ils étaient allemands.
— Incroyable, fit Frau Müller, vos corps sont parfaitement identiques, même les… Je me demande comment fait votre mère pour vous distinguer.
— Même elle ne peut plus, répondit Sacha.
— À propos, dit Koen, je me demande s’il ne reste pas une cicatrice à l’endroit où le grain de beauté a été enlevé, on devrait la voir en éclairant l’endroit avec une lampe de poche.
— Tu regarderas un autre jour, fit Frédéric, sinon nous serons en retard pour la soirée.
— Si je puis me permettre, demanda la logeuse, ce grain de beauté était où ?
— Ici, fit Vania en se décalottant.
— Ou ici, fit Sacha en imitant son frère.
— Je suis vraiment confuse, dit Frau Müller, je suis trop curieuse.
— Pas de souci, nous avons l’habitude d’être considérés comme des curiosités de foire.
— Et nous voulons devenir comédiens. On aime bien jouer ce rôle.
— Puisqu’on nous le demande souvent, je peux même vous révéler qu’ils ont la même longueur en érection.
— Je confirme, dit Koen.
La logeuse regretta qu’ils ne fussent que de passage, elle aurait vérifié elle-même avec grand plaisir ce détail intime de leur anatomie.
J’ai eu la même impression en commençant un récit pour « À chacun son histoire », je me suis aperçu que c’était presque le même qu’un autre plus ancien, transposé dans un autre lieu et à une autre époque.
Cet avertissement était en fait inutile, je vous propose mes histoires depuis si longtemps que les personnes qui ne les aiment pas ont arrêté de les lire depuis des années.
Chapitre 14 - Voyage en Allemagne (9)
Lundi 5 octobre 1964, Heidelberg
Frédéric se demanda en quoi ce serait important que son zizi fût propre pour la soirée, même s’il s’était douté que le bizutage annoncé aurait un rapport avec le sexe. Les étudiants avaient l’habitude des expériences du professeur où il fallait laisser sa pudeur au vestiaire en même temps que ses habits. Il hésita quand mème au moment d’enlever son slip.
— Frau Müller a dit qu’on pouvait sortir à poil de la chambre, fit Koen, tant qu’on n’est pas une fille et qu’on a une queue entre les jambes.
— Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris. Je n’aimerais pas être gêné si nous croisons quelqu’un.
Ils laissèrent donc leurs slips et descendirent à l’étage inférieur. La porte de la salle de bain était entrouverte et la lumière était allumée. Frédéric frappa, on lui dit d’entrer. Deux étudiants venaient de sortir de la baignoire et se séchaient avec des serviettes. Koen remarqua immédiatement que leurs pénis étaient légèrement gonflés, mais ce pouvait être le résultat de la friction du tissu. L’un était presque entièrement décalotté et son heureux propriétaire dit :
— Bonjour, vous devez être les Suisses.
— Un seul Suisse, moi je suis Néerlandais, mon prénom est Koen et voici mon ami Frédéric.
— Vous vous accordez bien, fit l’autre étudiant, plat pays et slip bleu qui évoque la mer ; montagnes et slip blanc qui évoque les neiges éternelles. Je m’appelle Ewen.
— Et moi Sören. Nous partageons la même chambre.
Koen n’osa pas leur demander s’ils étaient homosexuels et s’ils avaient des relations intimes, Frédéric finirait par se fâcher.
— Vous ne pouviez pas être des Allemands, continua Sören.
— Pourquoi ? demanda Frédéric.
— Parce que les Allemands sont adeptes du naturisme.
— Je n’étais pas sûr d’avoir bien compris et j’avais peur de croiser la logeuse.
— Elle ? fit Ewen en riant. Elle prétend que tous les garçons ont la même chose entre les jambes alors qu’elle n’arrête pas de nous mater.
— Il paraît même… ajouta Sören, je vous le dis, mais ça reste entre nous, je n’ai jamais vérifié cette information. Il paraît même qu’elle fait des rabais aux garçons qui passent dans sa chambre.
— Tu n’aurais pas dû leur raconter cela, ce ne sont que ragots.
— Tu devrais essayer de la draguer, dit Frédéric à Koen, pour découvrir si c’est vrai.
— Non, répondit le Néerlandais, elle n’entre pas dans le cadre de mes études.
— Trop âgée ? demanda Sören.
— J’étudie autre chose.
— Il est comme Frau Müller, dit Frédéric, il s’intéresse seulement à ce que les garçons ont entre les jambes.
— Je comprends pourquoi il nous a matés en entrant, dit Ewen en riant.
— J’espère que cela ne vous a pas dérangés, dit Koen, c’était dans un but scientifique.
— Pas du tout, nous aimons aussi mater les filles à la piscine en été, et pas pour la science, pour leurs seins. Nous savons que nous avons de magnifiques bites qui peuvent plaire à tous les genres et orientations.
— Vous n’êtes donc pas homosexuels ?
— Non, nous ne le sommes pas, mais prétendre que nous ne nous sommes jamais branlés ensemble serait un mensonge.
— C’est tout à fait normal, dit Koen, je pense que vous connaissez l’échelle de Kinsey.
— Oui, oui, on la connaît.
— C’est son dada, fit Frédéric, convaincre les hétérosexuels qu’ils peuvent lui montrer leurs bites sans passer pour des pédés.
Koen et Frédéric enlevèrent leurs slips. Sören leur dit :
— Mettez-les dans la corbeille, Frau Müller les lave tous les jours, sauf le week-end.
— Comment va-t-elle les reconnaître ? s’inquiéta Koen.
— Les nôtres ont une étiquette avec nos noms, elle saura que c’est les vôtres.
— Les nôtres ont aussi un numéro, dit Frédéric.
— On vous laisse, dit Ewen, bonne branlette sous la douche.
— Nous n’avons pas le droit, dit Koen.
— Des cobayes pour le professeur Latte ? On se réjouit d’assister au spectacle demain. Je pense que vous êtes aussi invités ce soir, nettoyez-vous bien le zizi.
Les deux étudiants allemands sortirent.
— Ils sont sympathiques, dit Koen, dommage qu’ils ne soient pas gays, j’aurais bien aimé mesurer leurs bites bandées.
— Personne n’est parfait.
Koen et Frédéric prirent leur douche dans la baignoire, prenant soin de se laver minutieusement les organes génitaux et le sillon interfessier. Ils se séchèrent et ressortirent de la salle de bain, nus. Ils croisèrent évidemment la logeuse qui examina attentivement leur entrejambe.
— Tout va bien ? demanda-t-elle. Tout est en ordre dans votre chambre ?
— Tout est parfait, répondit Frédéric.
— Je vois que vous avez rapidement pris les habitudes des autres étudiants.
À ce moment-là, les jumeaux descendirent l’escalier, entièrement nus puisqu’ils étaient allemands.
— Incroyable, fit Frau Müller, vos corps sont parfaitement identiques, même les… Je me demande comment fait votre mère pour vous distinguer.
— Même elle ne peut plus, répondit Sacha.
— À propos, dit Koen, je me demande s’il ne reste pas une cicatrice à l’endroit où le grain de beauté a été enlevé, on devrait la voir en éclairant l’endroit avec une lampe de poche.
— Tu regarderas un autre jour, fit Frédéric, sinon nous serons en retard pour la soirée.
— Si je puis me permettre, demanda la logeuse, ce grain de beauté était où ?
— Ici, fit Vania en se décalottant.
— Ou ici, fit Sacha en imitant son frère.
— Je suis vraiment confuse, dit Frau Müller, je suis trop curieuse.
— Pas de souci, nous avons l’habitude d’être considérés comme des curiosités de foire.
— Et nous voulons devenir comédiens. On aime bien jouer ce rôle.
— Puisqu’on nous le demande souvent, je peux même vous révéler qu’ils ont la même longueur en érection.
— Je confirme, dit Koen.
La logeuse regretta qu’ils ne fussent que de passage, elle aurait vérifié elle-même avec grand plaisir ce détail intime de leur anatomie.
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