22-07-2022, 09:08 PM
Joris nous fit entrer. Il ouvrit le rideau électrique de la baie vitrée qui donnait sur le jardin et nous dit de nous asseoir sur le divan, pendant qu'il faisait son lit, il le releva et celui-ci s'encastra dans le mur.
Tim se leva et alla devant le lit/armoire et dit:
- jour.
Puis il fit descendre le lit et dit:
- Nuit.
Il nous refit ça plusieurs fois.
- Rhoo! Les visiteurs! Mais vous n'avez aucune culture, les mecs !
- Ha ! Ouais, moyen ta blague ! Bon, le café Tim, tu veux quoi ? Long, court ?
- Un bol, sans sucre pas trop fort, pareil pour Bé.
On était un peu serrés mais ça ne nous dérangea pas pour manger les deux sacs de viennoiserie. Puis on aida Joris à débarrasser et on lui dit qu’on remontait vider nos sacs et cartons.
- Je me douche et je monte vous aider à ranger convenablement. Parce que je suis sûr que vous êtes bordéliques tous les deux !
- On est bordéliques, nous ! Tu vas voir ça !
On lui sauta dessus et on se mit à lui faire des chatouilles !
- Au secours ! Stop ! Non pas ça !
Après cinq minutes de punition, on le laissa à bout de souffle et on monta à la cuisine. On commença par sortir toute la bouffe des cartons, que l'on posa sur la table. Ma mère avait prévu gros et celle de Tim avait prévu tout autant. Ça ne tenait pas tout sur la table. Sans compter qu'on avait déjà rempli le frigo de produits frais !
- Bon, on range comment ?
Joris frappa et vint nous rejoindre.
- Je vous avais dit que vous étiez bordéliques ! Ouvrez les placards, regardez la hauteur des étagères, si elles conviennent, puis vous mettez les féculents ensemble, les conserves ensembles… Bon, laissez-moi faire !
Vous me passerez au fur et à mesure.
Il rangea tout puis on monta à l'étage pour nos affaires. J'entrais dans ma chambre où Tim et Joris me suivirent. Je commençais à déballer mes sacs et Joris y mit son grain de sel.
- Mais Bé ! Arrête de tout mettre sur les étagères en bourrant comme ça ! Tu as une penderie avec des cintres. Alors tu t'en sers !
Je fis ce qu'il me dit. Je sortais en dernier mes sous-vêtements pour les mettre dans les tiroirs, quand il me dit :
- Tu les sors d'où ? Ils sont grave beaux et pas courants.
Au fond de mon sac à dos j'avais un des catalogues, je le lui tendis. Il le feuilleta et dit :
- Le mec du catalogue, on dirait toi. Il a la même musculature et l'autre est bien gaulé aussi.
- L'autre c'est Liam et là c'est bien moi, pas une ressemblance.
- T'es sérieux ?
- Oui, toujours ! A la maison j'ai même une affiche, la même que pour la couverture.
Il fallut que je lui raconte en détail comment ça s'était passé, y compris la pause branlette. Ce qui les fit rire.
- Tu fais comment pour internet ?
- Pierre et Jean m'ont donné le code du wifi. C'est PIERREJEAN en majuscule. Au fait, ils m'ont dit de vous dire que vous pouvez vous servir de la buanderie, ils l’ont oublié. Elles est prévue pour tous.
Puis on alla aider Tim à ranger ses affaires et bien sûr, là aussi, Joris y mit son grain de sel.
- Mais, Joris, pourquoi tu me fais serrer mes affaires comme ça ?
- Tu vas avoir une fille avec toi ! Et je ne suis même pas sûr qu'il lui reste assez de place ! Tu t'arrangeras avec elle.
- Oui, bon après elle va pas tout déménager ici non plus ! Pourvu qu'elle apporte des sous-vêtements sexy, ça me suffit !
- Heu, dans ton lycée agricole ça risque d'être chaud si elle y va comme ça !
- Ha, non, juste ici chez nous !
- Oui et toi tu te baladeras à poil ?
- Non en boxer !
- Oui mais c'est pas sexy ! Bé, tu as bien un jockstrap à lui prêter pour qu'il soit sexy ?
- Oh oui, Joris sur ce coup là, tu es génial ! Je vais aller en chercher un.
Je revins quelques secondes après et je tendis le jockstrap à Tim.
- C'est quoi ça ?
- Un jockstrap, Tim.
- Mais si tu mets ça, on te voit tout le cul ! C'est un truc de PD ça !
- Non crétin, aux USA presque tous les sportifs professionnels en mettent. ça soutient bien le service trois pièces et ça te gène moins qu'un boxer.
Tim, intrigué, le tournait dans tous les sens. Puis il fit une chose qui nous surprit Joris et moi. Il quitta son short et son boxer puis l’enfila.
Il mit les élastiques en place, souleva son teeshirt et se regarda dans le miroir de la penderie.
- Ouais pas mal ! c'est un truc de PD ! Mais ça met en valeur mon beau petit cul et ça me fait un paquet de ouf !
- Pour une fois que tu as une grosse queue ! Enfin, ça donne ‘l'impression’ que tu as une grosse queue !
- Tu dirais pas ça Joris si tu l'avais dans la bouche ou dans le cul ! Dommage pour toi… je sois pas gay !
- Ho mais pas besoin d'être gay pour se faire sucer et enculer un mec.
- Oui sauf que pour moi tu n'as pas assez de poitrine et ta micro bite est encore trop développée pour ressembler à un clito !
C’est pas tout ça. Vous avez pas faim vous ?
On avait faim bien sûr, alors on fit un repas des plus ‘équilibré’. Jambon cru maison, petit salé roulé maison, saucisson maison, pâté maison et fromage… du village.
- Wow les mecs ! Vous sortez ça d'où ? C'est trop bon !
- Bin chaque année on fait le cochon. Mes parents et ceux de Bé le font ensemble et ça nous fait l’année. Bon les cochons y'en a trois. ça fait du boulot mais c'est de l'artisanal et du bon.
…
- On va à la piscine ?
On y alla et on se baigna à poil, même si on avait maintenant nos maillots de bain dans nos armoires.
- Tim, elle arrive quand Marie ?
- Dimanche soir. Elle a un repas de famille à midi.
- Je trouve que sa mère est chiante et elle fouine de partout, j’ai même cru qu’elle irait dans ma chambre !
- Je m'en suis rendu compte aussi, Bé. Et Marie est un peu pareille que sa mère. Je le lui ai déjà fait remarquer. On s'est pas engueulé, mais presque !Au fait Joris, les proprios sont comment ?
- Ça va, ils sont pas chiants, ni envahissants. Pierre est un peu plus jovial et coquin que Jean qui est réservé et un peu bourru. Par contre, ils reçoivent du monde souvent, c'est souvent des couples de messieurs âgés comme eux mais parfois il y a des petits jeunes comme nous.
- Ça fait combien de temps que tu es là, pour savoir tout ça ?
- Depuis fin juin, j'ai passé l'été ici. Mes parents voyagent beaucoup en saison pour leur boulot et je n'ai pas voulu les suivre cette année.
- Purée, ils font quoi comme boulot tes parents ?
- Ils sont forains et ils ont une attraction, une chenille pour être plus précis. Si ça vous dit fin septembre ils seront pas loin d’ici, on pourra aller les voir.
- Et on pourra faire de la chenille gratis ?
- Mais bien sûr, Bé ! À condition que je sois entre vous, pas sur l’extérieur !
- Et pourquoi ça ?
- Bin, si je suis au bord quand ça tourne et que Bé est à côté de moi, il va m'écrabouiller !
- Toi tu me cherches ! Tu vas finir par me trouver !
Il se leva et vint se mettre droit devant moi, un petit coq les mains sur les hanches.
- T'es tout, là, où tu en as laissé dans ta chambre ! Si c'est le cas, vas vite le chercher, parce que, si tu continues de te moquer de moi, tu vas recevoir ta raclée.
Tim était écroulé.
- C'est bon Joris, je te fous la paix, je ne voudrais pas que tu fasses mal à tes mimines en essayant de me frapper.
Il se tourna vers Tim et lui dit :
- T'as vu, le grand il se dégonfle ! C'est que de l'air ce tas de muscles !
Il s'était approché et, rapidement, je me levais, le saisis par le poignet, je le pris sous les bras et le jetais haut et loin dans la piscine, il hurla tout du long. Puis je plongeais à mon tour et ressortis sous son nez, lui disant «Juste de l’air, mes muscles?». il rit mais ne me répondit pas. Tim vint nous rejoindre. On fit un concours de plongeons. Joris gagna. C'est vrai que grâce à la gym il nous en fit deux ou trois spectaculaires, manquant même de s'assommer sur la margelle!
On passa le dimanche à zoner et j’étais déjà couché quand Marie arriva. Elle, Tim et sa mère, firent plusieurs voyages pour charrier ses affaires, sa mère ne traina pas.
Je restais couché, moi. Après tout ce n'était pas ma copine !
…
ça y est, on était lundi matin ! Il fallait se lever et aller en cours ! On commençait tous à neuf heures mais Tim et Marie avaient une heure de trajet et étaient déjà partis, contrairement à nous qui n'en avions que pour une vingtaine de minutes.
On franchit la porte, on devait être une centaine, à neuf heures précise on entra dans l’amphi.
On nous expliqua le fonctionnement des cours, entre les cours théoriques, les TD et les TP ça paraissait chargé, par chance je me retrouvais dans le même groupe que Joris.
A midi on alla manger avec les autres au resto U et l'après-midi les premiers cours commencèrent.
Joris et moi, on avait un bac S alors la première leçon sur la cellule fut : Fingers in the nose !
Dix-sept heures, on quittait les lieux et on rentra directement. Une demie heure après nous, Tim et Marie rentraient.
Le temps de nous raconter notre première journée, le moment de passer à table était là. Joris resta manger avec nous. (En fait il mangera avec nous quasi tous les jours, pendant les trois ans.)
Lui et Marie étaient bien plus doués que Tim ou moi en cuisine, aussi on était de corvée de vaisselle, je la lavais, Tim essuyait et la rangeait.
ça y est ! C’est vendredi ! On a enfin fini la semaine qui a été rude. et tout à l'heure Liam arrive !
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Tim se leva et alla devant le lit/armoire et dit:
- jour.
Puis il fit descendre le lit et dit:
- Nuit.
Il nous refit ça plusieurs fois.
- Rhoo! Les visiteurs! Mais vous n'avez aucune culture, les mecs !
- Ha ! Ouais, moyen ta blague ! Bon, le café Tim, tu veux quoi ? Long, court ?
- Un bol, sans sucre pas trop fort, pareil pour Bé.
On était un peu serrés mais ça ne nous dérangea pas pour manger les deux sacs de viennoiserie. Puis on aida Joris à débarrasser et on lui dit qu’on remontait vider nos sacs et cartons.
- Je me douche et je monte vous aider à ranger convenablement. Parce que je suis sûr que vous êtes bordéliques tous les deux !
- On est bordéliques, nous ! Tu vas voir ça !
On lui sauta dessus et on se mit à lui faire des chatouilles !
- Au secours ! Stop ! Non pas ça !
Après cinq minutes de punition, on le laissa à bout de souffle et on monta à la cuisine. On commença par sortir toute la bouffe des cartons, que l'on posa sur la table. Ma mère avait prévu gros et celle de Tim avait prévu tout autant. Ça ne tenait pas tout sur la table. Sans compter qu'on avait déjà rempli le frigo de produits frais !
- Bon, on range comment ?
Joris frappa et vint nous rejoindre.
- Je vous avais dit que vous étiez bordéliques ! Ouvrez les placards, regardez la hauteur des étagères, si elles conviennent, puis vous mettez les féculents ensemble, les conserves ensembles… Bon, laissez-moi faire !
Vous me passerez au fur et à mesure.
Il rangea tout puis on monta à l'étage pour nos affaires. J'entrais dans ma chambre où Tim et Joris me suivirent. Je commençais à déballer mes sacs et Joris y mit son grain de sel.
- Mais Bé ! Arrête de tout mettre sur les étagères en bourrant comme ça ! Tu as une penderie avec des cintres. Alors tu t'en sers !
Je fis ce qu'il me dit. Je sortais en dernier mes sous-vêtements pour les mettre dans les tiroirs, quand il me dit :
- Tu les sors d'où ? Ils sont grave beaux et pas courants.
Au fond de mon sac à dos j'avais un des catalogues, je le lui tendis. Il le feuilleta et dit :
- Le mec du catalogue, on dirait toi. Il a la même musculature et l'autre est bien gaulé aussi.
- L'autre c'est Liam et là c'est bien moi, pas une ressemblance.
- T'es sérieux ?
- Oui, toujours ! A la maison j'ai même une affiche, la même que pour la couverture.
Il fallut que je lui raconte en détail comment ça s'était passé, y compris la pause branlette. Ce qui les fit rire.
- Tu fais comment pour internet ?
- Pierre et Jean m'ont donné le code du wifi. C'est PIERREJEAN en majuscule. Au fait, ils m'ont dit de vous dire que vous pouvez vous servir de la buanderie, ils l’ont oublié. Elles est prévue pour tous.
Puis on alla aider Tim à ranger ses affaires et bien sûr, là aussi, Joris y mit son grain de sel.
- Mais, Joris, pourquoi tu me fais serrer mes affaires comme ça ?
- Tu vas avoir une fille avec toi ! Et je ne suis même pas sûr qu'il lui reste assez de place ! Tu t'arrangeras avec elle.
- Oui, bon après elle va pas tout déménager ici non plus ! Pourvu qu'elle apporte des sous-vêtements sexy, ça me suffit !
- Heu, dans ton lycée agricole ça risque d'être chaud si elle y va comme ça !
- Ha, non, juste ici chez nous !
- Oui et toi tu te baladeras à poil ?
- Non en boxer !
- Oui mais c'est pas sexy ! Bé, tu as bien un jockstrap à lui prêter pour qu'il soit sexy ?
- Oh oui, Joris sur ce coup là, tu es génial ! Je vais aller en chercher un.
Je revins quelques secondes après et je tendis le jockstrap à Tim.
- C'est quoi ça ?
- Un jockstrap, Tim.
- Mais si tu mets ça, on te voit tout le cul ! C'est un truc de PD ça !
- Non crétin, aux USA presque tous les sportifs professionnels en mettent. ça soutient bien le service trois pièces et ça te gène moins qu'un boxer.
Tim, intrigué, le tournait dans tous les sens. Puis il fit une chose qui nous surprit Joris et moi. Il quitta son short et son boxer puis l’enfila.
Il mit les élastiques en place, souleva son teeshirt et se regarda dans le miroir de la penderie.
- Ouais pas mal ! c'est un truc de PD ! Mais ça met en valeur mon beau petit cul et ça me fait un paquet de ouf !
- Pour une fois que tu as une grosse queue ! Enfin, ça donne ‘l'impression’ que tu as une grosse queue !
- Tu dirais pas ça Joris si tu l'avais dans la bouche ou dans le cul ! Dommage pour toi… je sois pas gay !
- Ho mais pas besoin d'être gay pour se faire sucer et enculer un mec.
- Oui sauf que pour moi tu n'as pas assez de poitrine et ta micro bite est encore trop développée pour ressembler à un clito !
C’est pas tout ça. Vous avez pas faim vous ?
On avait faim bien sûr, alors on fit un repas des plus ‘équilibré’. Jambon cru maison, petit salé roulé maison, saucisson maison, pâté maison et fromage… du village.
- Wow les mecs ! Vous sortez ça d'où ? C'est trop bon !
- Bin chaque année on fait le cochon. Mes parents et ceux de Bé le font ensemble et ça nous fait l’année. Bon les cochons y'en a trois. ça fait du boulot mais c'est de l'artisanal et du bon.
…
- On va à la piscine ?
On y alla et on se baigna à poil, même si on avait maintenant nos maillots de bain dans nos armoires.
- Tim, elle arrive quand Marie ?
- Dimanche soir. Elle a un repas de famille à midi.
- Je trouve que sa mère est chiante et elle fouine de partout, j’ai même cru qu’elle irait dans ma chambre !
- Je m'en suis rendu compte aussi, Bé. Et Marie est un peu pareille que sa mère. Je le lui ai déjà fait remarquer. On s'est pas engueulé, mais presque !Au fait Joris, les proprios sont comment ?
- Ça va, ils sont pas chiants, ni envahissants. Pierre est un peu plus jovial et coquin que Jean qui est réservé et un peu bourru. Par contre, ils reçoivent du monde souvent, c'est souvent des couples de messieurs âgés comme eux mais parfois il y a des petits jeunes comme nous.
- Ça fait combien de temps que tu es là, pour savoir tout ça ?
- Depuis fin juin, j'ai passé l'été ici. Mes parents voyagent beaucoup en saison pour leur boulot et je n'ai pas voulu les suivre cette année.
- Purée, ils font quoi comme boulot tes parents ?
- Ils sont forains et ils ont une attraction, une chenille pour être plus précis. Si ça vous dit fin septembre ils seront pas loin d’ici, on pourra aller les voir.
- Et on pourra faire de la chenille gratis ?
- Mais bien sûr, Bé ! À condition que je sois entre vous, pas sur l’extérieur !
- Et pourquoi ça ?
- Bin, si je suis au bord quand ça tourne et que Bé est à côté de moi, il va m'écrabouiller !
- Toi tu me cherches ! Tu vas finir par me trouver !
Il se leva et vint se mettre droit devant moi, un petit coq les mains sur les hanches.
- T'es tout, là, où tu en as laissé dans ta chambre ! Si c'est le cas, vas vite le chercher, parce que, si tu continues de te moquer de moi, tu vas recevoir ta raclée.
Tim était écroulé.
- C'est bon Joris, je te fous la paix, je ne voudrais pas que tu fasses mal à tes mimines en essayant de me frapper.
Il se tourna vers Tim et lui dit :
- T'as vu, le grand il se dégonfle ! C'est que de l'air ce tas de muscles !
Il s'était approché et, rapidement, je me levais, le saisis par le poignet, je le pris sous les bras et le jetais haut et loin dans la piscine, il hurla tout du long. Puis je plongeais à mon tour et ressortis sous son nez, lui disant «Juste de l’air, mes muscles?». il rit mais ne me répondit pas. Tim vint nous rejoindre. On fit un concours de plongeons. Joris gagna. C'est vrai que grâce à la gym il nous en fit deux ou trois spectaculaires, manquant même de s'assommer sur la margelle!
On passa le dimanche à zoner et j’étais déjà couché quand Marie arriva. Elle, Tim et sa mère, firent plusieurs voyages pour charrier ses affaires, sa mère ne traina pas.
Je restais couché, moi. Après tout ce n'était pas ma copine !
…
ça y est, on était lundi matin ! Il fallait se lever et aller en cours ! On commençait tous à neuf heures mais Tim et Marie avaient une heure de trajet et étaient déjà partis, contrairement à nous qui n'en avions que pour une vingtaine de minutes.
On franchit la porte, on devait être une centaine, à neuf heures précise on entra dans l’amphi.
On nous expliqua le fonctionnement des cours, entre les cours théoriques, les TD et les TP ça paraissait chargé, par chance je me retrouvais dans le même groupe que Joris.
A midi on alla manger avec les autres au resto U et l'après-midi les premiers cours commencèrent.
Joris et moi, on avait un bac S alors la première leçon sur la cellule fut : Fingers in the nose !
Dix-sept heures, on quittait les lieux et on rentra directement. Une demie heure après nous, Tim et Marie rentraient.
Le temps de nous raconter notre première journée, le moment de passer à table était là. Joris resta manger avec nous. (En fait il mangera avec nous quasi tous les jours, pendant les trois ans.)
Lui et Marie étaient bien plus doués que Tim ou moi en cuisine, aussi on était de corvée de vaisselle, je la lavais, Tim essuyait et la rangeait.
ça y est ! C’est vendredi ! On a enfin fini la semaine qui a été rude. et tout à l'heure Liam arrive !
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