22-07-2022, 01:46 PM
M-A réfléchi deux minutes et se rend auprès de Luc. Il lui fait part de ce que j’ai envisagé de faire. Luc semble approuver et sans attendre va rejoindre nos quatre camarades encore tremblants. Il explique la méthode qui sera utilisée pour les réchauffer, soit la mienne. Il précise qu’il y va de leur santé et qu’il faut passer outre les appréhensions éventuelles. Ils se regardent et je vois, dans les secondes qui suivent, qu’ils sont d’accord. Greg et Chris, sachant de quoi il retourne, sont les premiers à choisir le partenaire qui va faire office de « chauffage ». Chris va vers Gaby et Greg vers M-A. Raphaël et Philippe se regardent et enfin Raph vient vers moi et Philippe vers Ben. Nous prenons nos sacs de couchage que nous plaçons ouverture à ouverture ensuite deux couvertures sont placées par-dessus. Nos amis restent nus et nous nous dénudons à notre tour. C’est parti pour un réchauffement des corps purement technique, je dirai même « thermique ». Alex et Luc restent près de nous veillant à ce que ne nous manquions de rien.
Je suis couché à côté de Raphaël. Je me colle à lui et je sens directement qu’il a encore très froid. Je passe mes mains dans son dos pour le réchauffer. Les couvertures viennent bien entendu à point nommé, car elle jouent un rôle pour garder la chaleur émise par les deux corps. Bien qu’ayant froid le corps de Raph a une certaine température qui ne peut que monter. Il se réchauffe aussi lui-même en passant ses mains sur son torse et ses cuisses.
Les autres procèdent sensiblement de la même manière, je sais que Ben va bien s’y prendre mais aussi Gaby. Il sait ce que c’est car il s’est lui aussi retrouvé à la place de la « victime » du coup de froid lorsque nous étions en montagne. Concernant M-A, je ne m’inquiète pas pour lui, il a très bien compris l’intérêt de cette méthode. On entend que quelques chuchotements. Moi-même je demande à mon compagnon d’infortune comment il se sent, si je ne lui fait pas trop mal en lui frottant le corps, … etc.
Cela fait déjà plus d’une heure que nous réchauffons nos quatre camarades. Par moment je sens que j’ai froid à mon tour, je demande alors à Raph de me réchauffer quelques instants le dos et les épaules. Il fait ça juste comme il faut. Il a lui aussi compris l’importance de faire confiance à son partenaire et de laisser la chaleur s’échanger entre les deux corps par ce contact peau à peau.
Par deux fois déjà Raphaël me secoue car je commence à m’endormir. C’est aussi un effet de cette pratique, c’est que la fatigue commence à prendre le dessus, sans compter que nous avons marché dans le froid et la neige. Je reprends alors les massages réchauffant pour le bien de Raph.
Il est tard, je ne sais pas quelle heure il peut bien être. Alex vient près de moi et me signale que Gaby et Chris se sont endormis. Je lui dis que c’est bon signe. Je demande à Luc de venir près de moi. Je lui demande de prendre contact au lever du jour avec le corps de garde et de demander le passage du médecin militaire pour être sûr et certain que nos amis n’aient pas de séquelle après ce coup de froid. Luc me dit que c’est une excellente idée et qu’il faut être rassuré quant à leur état de santé.
Je sens que Raph s’endort. Je poursuis doucement le massage au niveau de son dos et de ses épaules. Puis je me sens moi aussi sombrer dans les bras de Morphée. Le dernière chose que je ressens c’est la couverture qui est bien repositionnée au-dessus des deux sacs de couchage. C’est l’œuvre de Luc ou d’Alex.
J’ouvre les yeux, je vois que le jour va se lever, il commence à faire un peu plus clair à l’extérieur. La lumière se réverbère sur la neige ce qui accentue l’impression ressentie de la clarté qui pointe le bout de son nez. Je sens quelque chose de dur contre de ma cuisse. Je me rends compte que c’est Raphaël qui est collé à moi et que son sexe est bandé. Je n’ose pas bouger et je laisse mon camarade encore dormir un moment. La « gaule du matin » ça arrive quasiment à tous les gars. Puis il ne faut pas oublier que les garçons bandent plusieurs fois par nuit même sans qu’ils ne s’en rendent compte.
Je vois alors que les paupières de Raphaël s’ouvrent. Il me regarde et se souvient de ce qui s’est passé. Je me rends compte qu’il s’aperçoit qu’il bande et que son pénis est collé à ma cuisse. Il se recule le visage rosi par cette sensation. Je lui glisse à l’oreille que ce n’est pas grave, que c’est normal. Il me dit qu’il est désolé. Je lui souris ce qui a pour effet de le détendre.
Je regarde le lit près du mien, c’est celui qui est utilisé par Gaby et Chris. Nous deux amis sont eux aussi réveillés, les mouvements sous les couvertures ne laissent aucun doute sur leurs activités. Ils sont occupés à se masturber mutuellement, du moins c’est ce que laisse supposer ce que je vois. Raphaël remarque la même chose que moi. Voyant ça, « popol » prend vigueur, je commence à bander. Je jette alors un coup d’œil vers le lit qu’occupe Ben. Il me regarde de même que Philippe. Ils savent ce qui se passe en face de leur lit. Ben semble désolé de ne pas être dans le même lit que le mien.
Je regarde plus loin dans la chambre et je me rends compte que Luc est déjà parti car ses affaires sont bien repliées sur le lit qu’il occupait. Alex est dans son sac de couchage et regarde Chris et Gaby se donner du plaisir mutuellement. Je suis certain qu’il a sa main posée sur son pénis et qu’il le caresse doucement.
Mon regard revient vers le lit où Ben est couché. Il me fait un clin d’œil. Je sors mon bras de la couverture et je mime le mouvement d’une masturbation. Ben fait signe voulant dire « oui ». Il tourne la tête vers Philippe et d’un coup d’œil ils savent ce qu’ils vont faire. Je vois des mouvements explicites sous les couchages. Je ne sais pas s’ils se branlent mutuellement ou alors chacun la sienne.
Je regarde Raphaël qui me sourit. Je mets ma main sur mon sexe et je commence à me caresser. Raph fait comme moi et se masturbe de son côté. Nous nous regardons en souriant. Mon regard est alors attiré par le lit où se trouvent Greg et M-A. Je vois qu’eux aussi se donnent du plaisir.
A un moment donné, Raph me demande tout bas :
Rap : « Je peux …
Moi : (Comprenant qu’il veut me prendre la bite en main) Si tu veux, c’est OK pour moi.
Rap : Merci ! »
Raphaël dépose sa main sur mon sexe et commence à me masturber. À mon tour je prends celui le sien et lui procure des caresses appuyées. Inutile de dire que Raph éjacule assez vite tellement il est excité par ce qui vient de se produire. Il a cessé de me branler, il a été stoppé par sa jouissance. Je poursuis alors ma branlette pour ensuite jouir à mon tour.
Nous sommes tous souriants. Alex dit :
Ale : « Alors là, vous êtes vraiment des cochons.
Gre : Oui, mais il est bon de se faire du bien de temps en temps !
M-A : De toute manière c’est resté assez soft.
Gab : Nous ne comptions pas aller plus loin tu sais M-A.
M-A : J’espère bien !
Nous nous sommes tous mis à rire.
M-A : Bien entendu ça reste entre nous. Ce qui s’est passé à Elsenborn, reste à Elsenborn !
Moi : Bien entendu, c’est un moment tabou, rien que pour nous !
Tous : Motus et bouches cousues ! »
Les quatre amis qui avaient été mouillés semblent bien remis. Philippe tousse un peu, mais il est quand même en forme. Nous nous levons pour enfiler directement des vêtements pour ne pas prendre froid. Je passe un pull supplémentaire à Raphaël. Je m’occupe avec M-A de faire du café et chauffer de l’eau pour du thé. Les autres commencent à ranger la chambre. Le chauffage d’appoint fonctionne depuis hier soir et portant il ne fait pas si chaud. C’est normal sachant qu’il fallait laisser de l’air passer pour éviter un empoisonnent au monoxyde de carbone !
A un moment on entend du bruit dans le couloir. Puis on frappe à la porte de la chambre. C’est un sergent qui entre. Il nous explique que le chauffage a été remis en route il y a un quart d’heure mais qu’il faut du temps pour qu’il puisse délivrer la chaleur voulue. Les vannes des autres chambres ont été fermées pour pouvoir alimenter celle où nous nous trouvons ainsi que la salle de douche qui est au bout du couloir, soit une salle de plus petite dimension que celle qui nous avait été attribuée et finalement plus facile à chauffer.
Deux minutes plus tard Luc revient, il est accompagné d’un militaire d’une cinquantaine d’années. A son uniforme on peut distinguer l’insigne médical, soit le « caducée ». C’est le médecin du camp. Il souhaite voir nos camarades qui ont souffert de la chute dans le trou d’eau. Il va débuter l’auscultation dans la chambre même étant donné que c’est la seule pièce chauffée. M-A dit au médecin qu’il peut procéder aux examens médicaux même si nous restons ensemble dans la pièce. Il répond qu’il sait comment nos amis ont été réchauffés en soulignant que c’est une excellente méthode bien connue à travers le monde et principalement dans les régions plus froides de la planète.
Le médecin se met dans un coin pour faire son office. Ceux qui ne sont pas concernés s’occupent de dresser la table pour le petit déjeuner. Luc a d’ailleurs rapporté les pistolets (petits pains rondes) et les petits pains au chocolat, le tout ayant été commandés la veille. Tout est prêts pour nous sustenter.
Le docteur termine l’auscultation de nos amis. Il n’y a heureusement rien de grave, seulement une toux pour Philippe due à un refroidissement. Il a reçu un sirop à prendre trois fois par jour. Luc propose au docteur de prendre une tasse de café avec nous, chose qu’il accepte bien volontiers.
Je suis couché à côté de Raphaël. Je me colle à lui et je sens directement qu’il a encore très froid. Je passe mes mains dans son dos pour le réchauffer. Les couvertures viennent bien entendu à point nommé, car elle jouent un rôle pour garder la chaleur émise par les deux corps. Bien qu’ayant froid le corps de Raph a une certaine température qui ne peut que monter. Il se réchauffe aussi lui-même en passant ses mains sur son torse et ses cuisses.
Les autres procèdent sensiblement de la même manière, je sais que Ben va bien s’y prendre mais aussi Gaby. Il sait ce que c’est car il s’est lui aussi retrouvé à la place de la « victime » du coup de froid lorsque nous étions en montagne. Concernant M-A, je ne m’inquiète pas pour lui, il a très bien compris l’intérêt de cette méthode. On entend que quelques chuchotements. Moi-même je demande à mon compagnon d’infortune comment il se sent, si je ne lui fait pas trop mal en lui frottant le corps, … etc.
Cela fait déjà plus d’une heure que nous réchauffons nos quatre camarades. Par moment je sens que j’ai froid à mon tour, je demande alors à Raph de me réchauffer quelques instants le dos et les épaules. Il fait ça juste comme il faut. Il a lui aussi compris l’importance de faire confiance à son partenaire et de laisser la chaleur s’échanger entre les deux corps par ce contact peau à peau.
Par deux fois déjà Raphaël me secoue car je commence à m’endormir. C’est aussi un effet de cette pratique, c’est que la fatigue commence à prendre le dessus, sans compter que nous avons marché dans le froid et la neige. Je reprends alors les massages réchauffant pour le bien de Raph.
Il est tard, je ne sais pas quelle heure il peut bien être. Alex vient près de moi et me signale que Gaby et Chris se sont endormis. Je lui dis que c’est bon signe. Je demande à Luc de venir près de moi. Je lui demande de prendre contact au lever du jour avec le corps de garde et de demander le passage du médecin militaire pour être sûr et certain que nos amis n’aient pas de séquelle après ce coup de froid. Luc me dit que c’est une excellente idée et qu’il faut être rassuré quant à leur état de santé.
Je sens que Raph s’endort. Je poursuis doucement le massage au niveau de son dos et de ses épaules. Puis je me sens moi aussi sombrer dans les bras de Morphée. Le dernière chose que je ressens c’est la couverture qui est bien repositionnée au-dessus des deux sacs de couchage. C’est l’œuvre de Luc ou d’Alex.
J’ouvre les yeux, je vois que le jour va se lever, il commence à faire un peu plus clair à l’extérieur. La lumière se réverbère sur la neige ce qui accentue l’impression ressentie de la clarté qui pointe le bout de son nez. Je sens quelque chose de dur contre de ma cuisse. Je me rends compte que c’est Raphaël qui est collé à moi et que son sexe est bandé. Je n’ose pas bouger et je laisse mon camarade encore dormir un moment. La « gaule du matin » ça arrive quasiment à tous les gars. Puis il ne faut pas oublier que les garçons bandent plusieurs fois par nuit même sans qu’ils ne s’en rendent compte.
Je vois alors que les paupières de Raphaël s’ouvrent. Il me regarde et se souvient de ce qui s’est passé. Je me rends compte qu’il s’aperçoit qu’il bande et que son pénis est collé à ma cuisse. Il se recule le visage rosi par cette sensation. Je lui glisse à l’oreille que ce n’est pas grave, que c’est normal. Il me dit qu’il est désolé. Je lui souris ce qui a pour effet de le détendre.
Je regarde le lit près du mien, c’est celui qui est utilisé par Gaby et Chris. Nous deux amis sont eux aussi réveillés, les mouvements sous les couvertures ne laissent aucun doute sur leurs activités. Ils sont occupés à se masturber mutuellement, du moins c’est ce que laisse supposer ce que je vois. Raphaël remarque la même chose que moi. Voyant ça, « popol » prend vigueur, je commence à bander. Je jette alors un coup d’œil vers le lit qu’occupe Ben. Il me regarde de même que Philippe. Ils savent ce qui se passe en face de leur lit. Ben semble désolé de ne pas être dans le même lit que le mien.
Je regarde plus loin dans la chambre et je me rends compte que Luc est déjà parti car ses affaires sont bien repliées sur le lit qu’il occupait. Alex est dans son sac de couchage et regarde Chris et Gaby se donner du plaisir mutuellement. Je suis certain qu’il a sa main posée sur son pénis et qu’il le caresse doucement.
Mon regard revient vers le lit où Ben est couché. Il me fait un clin d’œil. Je sors mon bras de la couverture et je mime le mouvement d’une masturbation. Ben fait signe voulant dire « oui ». Il tourne la tête vers Philippe et d’un coup d’œil ils savent ce qu’ils vont faire. Je vois des mouvements explicites sous les couchages. Je ne sais pas s’ils se branlent mutuellement ou alors chacun la sienne.
Je regarde Raphaël qui me sourit. Je mets ma main sur mon sexe et je commence à me caresser. Raph fait comme moi et se masturbe de son côté. Nous nous regardons en souriant. Mon regard est alors attiré par le lit où se trouvent Greg et M-A. Je vois qu’eux aussi se donnent du plaisir.
A un moment donné, Raph me demande tout bas :
Rap : « Je peux …
Moi : (Comprenant qu’il veut me prendre la bite en main) Si tu veux, c’est OK pour moi.
Rap : Merci ! »
Raphaël dépose sa main sur mon sexe et commence à me masturber. À mon tour je prends celui le sien et lui procure des caresses appuyées. Inutile de dire que Raph éjacule assez vite tellement il est excité par ce qui vient de se produire. Il a cessé de me branler, il a été stoppé par sa jouissance. Je poursuis alors ma branlette pour ensuite jouir à mon tour.
Nous sommes tous souriants. Alex dit :
Ale : « Alors là, vous êtes vraiment des cochons.
Gre : Oui, mais il est bon de se faire du bien de temps en temps !
M-A : De toute manière c’est resté assez soft.
Gab : Nous ne comptions pas aller plus loin tu sais M-A.
M-A : J’espère bien !
Nous nous sommes tous mis à rire.
M-A : Bien entendu ça reste entre nous. Ce qui s’est passé à Elsenborn, reste à Elsenborn !
Moi : Bien entendu, c’est un moment tabou, rien que pour nous !
Tous : Motus et bouches cousues ! »
Les quatre amis qui avaient été mouillés semblent bien remis. Philippe tousse un peu, mais il est quand même en forme. Nous nous levons pour enfiler directement des vêtements pour ne pas prendre froid. Je passe un pull supplémentaire à Raphaël. Je m’occupe avec M-A de faire du café et chauffer de l’eau pour du thé. Les autres commencent à ranger la chambre. Le chauffage d’appoint fonctionne depuis hier soir et portant il ne fait pas si chaud. C’est normal sachant qu’il fallait laisser de l’air passer pour éviter un empoisonnent au monoxyde de carbone !
A un moment on entend du bruit dans le couloir. Puis on frappe à la porte de la chambre. C’est un sergent qui entre. Il nous explique que le chauffage a été remis en route il y a un quart d’heure mais qu’il faut du temps pour qu’il puisse délivrer la chaleur voulue. Les vannes des autres chambres ont été fermées pour pouvoir alimenter celle où nous nous trouvons ainsi que la salle de douche qui est au bout du couloir, soit une salle de plus petite dimension que celle qui nous avait été attribuée et finalement plus facile à chauffer.
Deux minutes plus tard Luc revient, il est accompagné d’un militaire d’une cinquantaine d’années. A son uniforme on peut distinguer l’insigne médical, soit le « caducée ». C’est le médecin du camp. Il souhaite voir nos camarades qui ont souffert de la chute dans le trou d’eau. Il va débuter l’auscultation dans la chambre même étant donné que c’est la seule pièce chauffée. M-A dit au médecin qu’il peut procéder aux examens médicaux même si nous restons ensemble dans la pièce. Il répond qu’il sait comment nos amis ont été réchauffés en soulignant que c’est une excellente méthode bien connue à travers le monde et principalement dans les régions plus froides de la planète.
Le médecin se met dans un coin pour faire son office. Ceux qui ne sont pas concernés s’occupent de dresser la table pour le petit déjeuner. Luc a d’ailleurs rapporté les pistolets (petits pains rondes) et les petits pains au chocolat, le tout ayant été commandés la veille. Tout est prêts pour nous sustenter.
Le docteur termine l’auscultation de nos amis. Il n’y a heureusement rien de grave, seulement une toux pour Philippe due à un refroidissement. Il a reçu un sirop à prendre trois fois par jour. Luc propose au docteur de prendre une tasse de café avec nous, chose qu’il accepte bien volontiers.