15-07-2022, 09:39 PM
- Pa, tu as oublié de tourner, on a raté l’embranchement !
- Non, j'ai oublié de te dire qu’on a rendez-vous chez les gens qui vont vous louer l’appartement. C'est Tim qui a organisé ça pour qu'on n'ait pas à redescendre exprès pour. C'est les propriétaires qui veulent vous rencontrer avant de prendre leur décision.
Mon père avait sorti un plan et il me demanda de le guider. On était sur la bonne voie, on longeait le parc qu'on contourna. Voilà, on y était ! On alla jusqu'au fond de l'impasse et Tim, son père, et une fille avec une dame qui devait être sa mère, nous attendaient.
Putain ! Il avait fait fort le Tim, sa copine c'était de la bombe ! Marie était assez grande et elle avait tout ce qu'il fallait là où il faut !
Je fis la bise à Tim et à Marie ainsi qu'au père de Tim. Et j'allais pour serrer la main de la mère de Marie quand cette ci me dit :
- Je suis Sylvie, la maman de Marie, tu peux me dire tu et me faire la bise.
On sonna et deux vieux messieurs dans les 70 ans vinrent nous ouvrir. Tim me donna un coup de coude discrètement. Je lui fis les gros yeux !
Ils nous firent entrer dans le parc - qui avait l'air immense - et on alla jusqu'à la maison.
On s'attendait à un manoir ou quelque chose du genre mais pas du tout ! Il s'agissait d'une maison ultra moderne, un gros cube où on entra dans un hall impressionnant.
- Au rez-de-chaussée, vous avez un studio loué à un étudiant qui est déjà là et à l'étage, il y a notre appartement, et celui que nous louons. Si vous voulez bien nous suivre nous allons vous le faire visiter.
Ils ouvrirent la porte et wow ! Juste en face de la porte un escalier montait à l’étage et sur la droite un immense espace ouvert salon, salle à manger, cuisine. Des baies vitrées de partout. Le tout meublé avec gout et moderne. Et un balcon en L de deux mètres de large.
On grimpa à l'étage et là, deux belles chambres, très grandes, séparées par un couloir avec chacune sa salle de bain et ses toilettes ! Une grande baie vitrée donnait sur une terrasse de vingt mètres carrés où les propriétaires avaient installé un barbecue, des transats, et un salon de jardin.
Chaque chambre avait aussi deux bureaux, un grand placard, presque un dressing, un lit king size et deux chevets.
La visite finie, ils nous conduisirent chez eux et le contraste était flagrant ! Eux aimaient l'ancien ! Liam serait heureux ici. Que des meubles de luxe et des bibelots de partout !
Là c'est plus aux parents qu'ils s’adressèrent, caution, garanties ...
Je regardais la photo qui était sur la cheminée à côté de moi. C'était deux mecs et derrière eux le Golden Gate Bridge ! Avec Liam on en avait fait une du style et presque au même endroit.
- C'est Jean et moi, il y a des lustres quand on était jeunes. On est allé aux USA pour fêter la fin de nos études avant de commencer notre vie active. Vous connaissez ?
- Oui, j'y étais encore tout à l’heure, enfin hier. Désolé, je suis un peu perdu avec le décalage horaire. Et ça n'a pas changé du tout. J'ai presque fait la même.
- Je peux la voir ?
Je sortis mon téléphone et je cherchais et je la lui montrais. Il la regarda longuement et dit :
- En effet, ça n'a pas beaucoup changé. Un ami à vous ?
- Non, c'est mon petit ami. Il viendra me voir les weekends, enfin si vous nous louez l’appartement. Il est américain mais suit des études à la fac de Lyon.
- Pierre, as-tu quelque chose à ajouter ?
- Pour le parc, vous pouvez y aller autant que vous voulez et la piscine c'est le petit plus auquel vous avez droit aussi quand la saison le permet. Au fond du parc, il y a aussi un jardin potager où Jean et moi faisons pousser nos légumes et il reste une belle parcelle que notre âge nous a fait abandonner, donc si vous vous sentez une âme de jardinier vous pourrez vous occuper de toute la surface nécessaire. Je crois que j'ai tout dit. Comme vous êtes les dernières personnes que nous avions sélectionnées, si vous nous accordez un moment, nous pourrons vous donner notre réponse tout de suite.
On redescendit et on attendit dans le parc derrière. Les parents étaient tout aussi anxieux que nous. Et une demie heure après, Pierre et Jean sortirent. Leur visage n'exprimait rien.
- On peut signer le bail si vous êtes toujours intéressés.
On sauta de joie et on retourna chez les propriétaires pour les formalités administratives.
Ils nous donnèrent une clef à chacun, un passe qui ouvrait le portillon ou le portail d’entrée, la porte du hall, celle de l'appartement et celle de notre chambre. Ils nous donnèrent aussi le code de l’alarme.
On se serra la main et on partit, Marie avec sa mère, le père de Tim tout seul car bien sûr Tim monta avec moi derrière mon père.
Quand on arriva aux Fourches, mon père sortit et interpella le père de Tim et lui dit :
- Et on dit que les femmes sont bavardes ! Ils n'ont pas arrêté de parler une seconde, pendant tout le trajet ! On garde Tim à manger et à coucher, ils en ont encore pour des heures, si c'est pas des jours !
- Tu m'étonnes, un mois et demi sans se voir ! Ils en ont pour presque autant à tout se raconter… Quand tu en as marre d'eux tu nous les envoies !
- Bé, Tim, prenez les affaires dans le coffre et on va manger, j'ai faim et ta mère ne doit plus tenir en place !
La table était mise pour quatre. J'allais embrasser ma mère qui m'engueula !
- C'est comme ça que tu donnes des nouvelles toi ! Tous les quatre ou cinq jours un misérable message !
- Mais ! Tu voulais quoi ? Que je t'en envoie un tous les jours ?
- Oui, c'est ça ! Tu l'as bien fait avec Tim ! Enfin pas tous les jours, peut-être mais plus souvent qu’à ta mère !
- Chérie, laisse-le un peu tranquille ! Il avait autre chose à faire !
On mangea vite fait et après avoir débarrassé la table, avec Tim on monta à l'étage, on prit la douche ensemble et on s'allongea sur le lit, tout ça en continuant nos bavardages. Bien installé, on se remit à discuter, mais cette fois de choses de garçons !
Tim me raconta ses exploits sexuels avec Marie, moi je lui racontais les miens avec Liam, enfin on faisait ça à tour de rôle, si bien qu'on bandait comme des cerfs tous les deux et on se branla, chacun la sienne, bien sûr !
On finit par s’endormir. Et c'est Tim, me secouant, qui me réveilla.
- Bé, c'est presque huit heures ! Il faut qu'on se lève !
Mes parents étaient partis travailler et ne rentreraient que ce soir. Après un bon petit déjeuner on retourna dans ma chambre. Je branchais mon ordi et j'y transférais toutes les photos faites pendant mon séjour. Puis je commençais à les trier. Sur l’une d’elle on voyait Liam, nu et en érection.
- Putain Bé ! tu prends ça dans le cul ! Tu dois couiner grave !
- Bin même pas, et si je couine c'est de plaisir. Tu devrais essayer une fois ! Et jouisseur comme tu es, je suis sûr que tu apprécieras !
- Je suis pas un gros PD comme toi, moi ! Ho, putain ! c'est qui cette meuf ?
- Méli, la sœur ainée de Liam, elle est maquée avec mon cousin !
On monta un diaporama que je pourrais passer à la famille, pour expliquer mon voyage. On mangea un bout puis on alla se baigner nus à la rivière.
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- Non, j'ai oublié de te dire qu’on a rendez-vous chez les gens qui vont vous louer l’appartement. C'est Tim qui a organisé ça pour qu'on n'ait pas à redescendre exprès pour. C'est les propriétaires qui veulent vous rencontrer avant de prendre leur décision.
Mon père avait sorti un plan et il me demanda de le guider. On était sur la bonne voie, on longeait le parc qu'on contourna. Voilà, on y était ! On alla jusqu'au fond de l'impasse et Tim, son père, et une fille avec une dame qui devait être sa mère, nous attendaient.
Putain ! Il avait fait fort le Tim, sa copine c'était de la bombe ! Marie était assez grande et elle avait tout ce qu'il fallait là où il faut !
Je fis la bise à Tim et à Marie ainsi qu'au père de Tim. Et j'allais pour serrer la main de la mère de Marie quand cette ci me dit :
- Je suis Sylvie, la maman de Marie, tu peux me dire tu et me faire la bise.
On sonna et deux vieux messieurs dans les 70 ans vinrent nous ouvrir. Tim me donna un coup de coude discrètement. Je lui fis les gros yeux !
Ils nous firent entrer dans le parc - qui avait l'air immense - et on alla jusqu'à la maison.
On s'attendait à un manoir ou quelque chose du genre mais pas du tout ! Il s'agissait d'une maison ultra moderne, un gros cube où on entra dans un hall impressionnant.
- Au rez-de-chaussée, vous avez un studio loué à un étudiant qui est déjà là et à l'étage, il y a notre appartement, et celui que nous louons. Si vous voulez bien nous suivre nous allons vous le faire visiter.
Ils ouvrirent la porte et wow ! Juste en face de la porte un escalier montait à l’étage et sur la droite un immense espace ouvert salon, salle à manger, cuisine. Des baies vitrées de partout. Le tout meublé avec gout et moderne. Et un balcon en L de deux mètres de large.
On grimpa à l'étage et là, deux belles chambres, très grandes, séparées par un couloir avec chacune sa salle de bain et ses toilettes ! Une grande baie vitrée donnait sur une terrasse de vingt mètres carrés où les propriétaires avaient installé un barbecue, des transats, et un salon de jardin.
Chaque chambre avait aussi deux bureaux, un grand placard, presque un dressing, un lit king size et deux chevets.
La visite finie, ils nous conduisirent chez eux et le contraste était flagrant ! Eux aimaient l'ancien ! Liam serait heureux ici. Que des meubles de luxe et des bibelots de partout !
Là c'est plus aux parents qu'ils s’adressèrent, caution, garanties ...
Je regardais la photo qui était sur la cheminée à côté de moi. C'était deux mecs et derrière eux le Golden Gate Bridge ! Avec Liam on en avait fait une du style et presque au même endroit.
- C'est Jean et moi, il y a des lustres quand on était jeunes. On est allé aux USA pour fêter la fin de nos études avant de commencer notre vie active. Vous connaissez ?
- Oui, j'y étais encore tout à l’heure, enfin hier. Désolé, je suis un peu perdu avec le décalage horaire. Et ça n'a pas changé du tout. J'ai presque fait la même.
- Je peux la voir ?
Je sortis mon téléphone et je cherchais et je la lui montrais. Il la regarda longuement et dit :
- En effet, ça n'a pas beaucoup changé. Un ami à vous ?
- Non, c'est mon petit ami. Il viendra me voir les weekends, enfin si vous nous louez l’appartement. Il est américain mais suit des études à la fac de Lyon.
- Pierre, as-tu quelque chose à ajouter ?
- Pour le parc, vous pouvez y aller autant que vous voulez et la piscine c'est le petit plus auquel vous avez droit aussi quand la saison le permet. Au fond du parc, il y a aussi un jardin potager où Jean et moi faisons pousser nos légumes et il reste une belle parcelle que notre âge nous a fait abandonner, donc si vous vous sentez une âme de jardinier vous pourrez vous occuper de toute la surface nécessaire. Je crois que j'ai tout dit. Comme vous êtes les dernières personnes que nous avions sélectionnées, si vous nous accordez un moment, nous pourrons vous donner notre réponse tout de suite.
On redescendit et on attendit dans le parc derrière. Les parents étaient tout aussi anxieux que nous. Et une demie heure après, Pierre et Jean sortirent. Leur visage n'exprimait rien.
- On peut signer le bail si vous êtes toujours intéressés.
On sauta de joie et on retourna chez les propriétaires pour les formalités administratives.
Ils nous donnèrent une clef à chacun, un passe qui ouvrait le portillon ou le portail d’entrée, la porte du hall, celle de l'appartement et celle de notre chambre. Ils nous donnèrent aussi le code de l’alarme.
On se serra la main et on partit, Marie avec sa mère, le père de Tim tout seul car bien sûr Tim monta avec moi derrière mon père.
Quand on arriva aux Fourches, mon père sortit et interpella le père de Tim et lui dit :
- Et on dit que les femmes sont bavardes ! Ils n'ont pas arrêté de parler une seconde, pendant tout le trajet ! On garde Tim à manger et à coucher, ils en ont encore pour des heures, si c'est pas des jours !
- Tu m'étonnes, un mois et demi sans se voir ! Ils en ont pour presque autant à tout se raconter… Quand tu en as marre d'eux tu nous les envoies !
- Bé, Tim, prenez les affaires dans le coffre et on va manger, j'ai faim et ta mère ne doit plus tenir en place !
La table était mise pour quatre. J'allais embrasser ma mère qui m'engueula !
- C'est comme ça que tu donnes des nouvelles toi ! Tous les quatre ou cinq jours un misérable message !
- Mais ! Tu voulais quoi ? Que je t'en envoie un tous les jours ?
- Oui, c'est ça ! Tu l'as bien fait avec Tim ! Enfin pas tous les jours, peut-être mais plus souvent qu’à ta mère !
- Chérie, laisse-le un peu tranquille ! Il avait autre chose à faire !
On mangea vite fait et après avoir débarrassé la table, avec Tim on monta à l'étage, on prit la douche ensemble et on s'allongea sur le lit, tout ça en continuant nos bavardages. Bien installé, on se remit à discuter, mais cette fois de choses de garçons !
Tim me raconta ses exploits sexuels avec Marie, moi je lui racontais les miens avec Liam, enfin on faisait ça à tour de rôle, si bien qu'on bandait comme des cerfs tous les deux et on se branla, chacun la sienne, bien sûr !
On finit par s’endormir. Et c'est Tim, me secouant, qui me réveilla.
- Bé, c'est presque huit heures ! Il faut qu'on se lève !
Mes parents étaient partis travailler et ne rentreraient que ce soir. Après un bon petit déjeuner on retourna dans ma chambre. Je branchais mon ordi et j'y transférais toutes les photos faites pendant mon séjour. Puis je commençais à les trier. Sur l’une d’elle on voyait Liam, nu et en érection.
- Putain Bé ! tu prends ça dans le cul ! Tu dois couiner grave !
- Bin même pas, et si je couine c'est de plaisir. Tu devrais essayer une fois ! Et jouisseur comme tu es, je suis sûr que tu apprécieras !
- Je suis pas un gros PD comme toi, moi ! Ho, putain ! c'est qui cette meuf ?
- Méli, la sœur ainée de Liam, elle est maquée avec mon cousin !
On monta un diaporama que je pourrais passer à la famille, pour expliquer mon voyage. On mangea un bout puis on alla se baigner nus à la rivière.
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