21-07-2020, 10:56 AM
Chapitre 2.
Retour à la réalité quotidienne.
La rentrée scolaire battait son plein et je n’avais plus vu Julien depuis quatre jours déjà. Je ne sais pas mais j’avais une drôle de sensation, je ressentais un manque, j’avais une boule au ventre, bref Julien me manquait ! Pourtant je ne le connaissais que depuis quelques jours seulement. Nous avions pourtant déjà connu « l’amour » ensemble. Était-ce trop tôt ?
Je me posais encore des questions pour savoir si j’étais bien homo et Julien lui de son côté était-il bien homo. A-t-il seulement voulu profiter de moi pour tenter une expérience, une expérience avec un mec, comme ça, juste pour savoir comment ça fait. J’étais très troublé. Devais-je le revoir, fallait-il que je lui demande s’il avait un peu de sentiment pour moi ou non, bref j’étais perdu !
Je retrouvais mes copains de classe. Nous nous étions retrouvés dans un coin de la cours, endroit où nous avions l’habitude de nous retrouver durant l’année scolaire précédente. Chacun racontait le déroulement de ses vacances. De mon côté j’avais expliqué le séjour avec mes parents dans les landes, ensuite le camp chez les scouts et un court séjour chez nous d’un ami Julien, sans en dire plus.
La sonnerie se faisait entendre, elle avait mis fin à nos discussions. Hop nous voilà en cours de math, pfff. Encore le même prof, fait chier !!!
La matinée se passait sans problème, dans une ambiance de rentrée, chacun reprenant son rythme scolaire, comme si les vacances étaient déjà loin.
A l’heure du déjeuner je me retrouvais à la cantine pour le repas en compagnie de mes potes Jacques, Jean et Joseph (les 3 J), avec qui j’avais passé de très bons moments durant l’année scolaire précédente. Nous parlions de tout et de rien et bien sûr de filles. Chacun avait quelque chose à dire sur l’une ou l’autre de la classe, ou même sur l’une ou l’autre rencontrée lors des vacances. Moi je participais aussi en donnant mon avis pour passer pour un hétéro convaincu.
Ouf la journée de cours était terminée. Elle m’a semblé longue, surtout l’après-midi avec cours de français suivi d’un cours de chimie.
Te trajet de retour en direction de la maison m’avait semblé interminable. Je voulais rentrer chez moi pour demander à Delphine sil elle avait des nouvelle de Julien par l’intermédiaire de sa copine (amante) Steph. Je gambergeais et puis en y réfléchissant je me suis aperçu que Julien était en fait le quatrième « J » de ma bande de copains. Était-ce un hasard, ou y avait-il quelque chose de plus astral. « M’enfin quelle question, tu fais n’importe quoi et tu penses à des conneries, arrête un peu Phil » je m’étais dit dans ma tête.
Enfin me voilà la maison. J’ouvrais la porte d’entrée mais je m’étais rendu compte que j’étais seul, ma sœur et mes parents n’étaient pas présents.
J’étais déçu de ne pas avoir de nouvelle de Julien. Comme un imbécile je ne lui avais pas demandé son numéro de téléphone !!! Je me le reprochais amèrement, j’aurai déjà pu le contacter depuis plusieurs jours déjà. J’étais lamentable ! J’étais alors monté dans ma chambre pour écouter un peu de musique, j’avais mis un disque des Beatles, j’adore les Beatles !
Mes parents étaient rentrés vers 18h30. J’étais descendu pour les embrasser et les aider à préparer le dîner. J’en avais profité pour savoir à quelle heure ma sœur Delphine allait rentrer. J’avais appris qu’elle ne rentrerait pas avant deux jours, elle était chez sa copine Stef car les cours n’avaient pas encore repris à l’unif. J’étais dépité. Je demandais à maman si elle n’avait pas par hasard le numéro de téléphone de Stef, car j’avais envie de parler à ma sœur (petit mensonge de bon aloi). Maman m’avait répondu que non. Je ne pourrais donc pas prendre contact avec Julien. J’étais enragé, mais je tâchais de ne pas le monter à mes parents. Une fois le repas préparé, nous étions passés à table et nous avions dîné à trois. Nous parlions de chose et d’autre et bien sûr de la première journée de cours ainsi que du bac qui approchait à grand pas, soit pour la fin de l’année scolaire.
Une fois la table débarrassée, j’avais dit bonsoir à mes parents en les embrassant. J’avais ensuite regagné ma chambre pour la nuit.
J’avais remis un peu de musique et j’avais pris un bouquin pour passer le temps. Finalement je ne faisais que de penser à Julien. Que faisait-il en ce moment, pensait-il encore à moi, qu’est-ce que j’étais pour lui, avait-il des sentiments à mon égard, etc. Je me posais donc un tas de questions comme quand j’étais dans le bus qui me ramenait de l’école. Je ne savais que penser, je me torturais l’esprit.
Un peu avant onze heures, je m’étais rendu à la salle de bain en vue de prendre ma douche. Je m’étais glissé sous le jet d’eau chaude. Je repensais encore à Julien et ma queue avait pris de l’ampleur, je commençais à bander sec. J’avais à l’esprit l’image de son corps que j’avais caressé, que j’avais senti que j’avais aimé ! Puis j’avais laissé ma main droite s’emparer de ma virilité tendue pour y prodiguer quelques mouvements lascifs de bas en haut. Puis j’avais resserré la pression sur ma colonne de chair et je m’étais mis à me branler avec frénésie. Je sentais une vague de bien être qui commençait à monter, mon ventre était empli d’une chaleur bienfaisante puis d’dans un moment d’extase j’avais laissé partir 5 jets de sperme sur la paroi de la douche. Mon corps était comme sur un nuage, j’avais même failli défaillir et me retrouver au sol dans la douche tellement le ressenti était intense ! Je revoyais une nouvelle fois l’image de Julien. J’étais convaincu que de son côté, il avait peut-être des sentiments à mon égard, car je n’aurais pas ressenti une telle jouissante en pensant à lui ce soir. Puis après m’être essuyé, je m’étais lavé les dents. J’avais regagné ma chambre et je m’étais mis au lit. J’étais nu sous la couette comme j’en avais l’habitude depuis mes 13 ans. Je m’étais endormi assez vite.
Au milieu de la nuit je m’étais à moitié réveillé, il devait être environ 03h00, je n’avais vu que le chiffre « 3 ». J’avais envie de me soulager, je devais uriner. Puis, je ne savais pas pourquoi, je m’étais remémoré ce qui s’était passé avec mon cousin David il y a environ 3 ans.
« J'étais en vacances chez ma tante, la maman de David. Nous étions assez nombreux à ce moment-là et je dormais dans le même lit que David.
David et moi nous dormions encore, collé l'un à l'autre. David s'est réveillé avant moi. David s'était dit que c'était peut-être le moment de passer à l'action. David se mis à me caresser pour me réveiller. Voyant que je ne réagissais pas plus que ça, il se mit à me chatouiller. Je peux dire que ça m'a réveillé. Plus David me chatouillait plus je riais. A un moment j'ai dit à mon cousin d'arrêter, que je n'en pouvais plus. Je commençais à avoir mal au ventre, j'avais la vessie pleine et je devais aller aux toilettes. J'ai fait remarquer à David que je devais aller aux toilettes car je devais vraiment faire pipi. David s'est mis à rire et s'est remis à me chatouiller de plus belle. J'avais de plus en plus mal au ventre, j'éprouvais de plus en plus de difficultés à me contenir. David remarquait bien que j'étais au bord de la rupture, j'avais l'impression qu'il voulait que je me pisse dessus. Je sentais que je n'allais pas pouvoir tenir plus longtemps, un jet d'urine est parti dans mon pantalon de pyjama.
J'ai dit à David : « Oooh, je pisse ».
Puis un autre jet est parti, j'ai encore dit : « Oooh, arrête de me chatouiller David ».
Mon cousin David continuait à me chatouiller et je n'ai plus su me retenir, je me suis mis à pisser dans mon pyjama et dans le lit sans pouvoir m'arrêter. David se rendant compte de mon état, sentant l'humidité s'étendre dans le lit, arrêta ses chatouillements et me fit un sourire en me disant : « ce n'était pas grave ». David me dit alors : « Regarde ».
Il se mit lui aussi à pisser volontairement dans son pyjama et dans son lit. Voyant ça je me suis mis à bander sec. David s'est alors mis à se masturber par-dessus son pyjama mouillé, je fis de même et nous nous sommes branlés dans notre pisse.
Nous n'avions jamais fait ça avant à deux. Nous avons joui très fort. Nous avons retiré un très grand plaisir dans cette expérience.
J'ai avoué à David que parfois il m'arrivait quand j'étais seul, de me pisser dessus, debout dans mon pantalon, et de me masturber par-dessus mon pantalon mouillé. Je lui ai dit que ça me procurait beaucoup de plaisirs. Je lui ai dit aussi que je l'avais déjà quelques fois dans mon lit.
David à son tour me dit avoir déjà fait la même chose à quelques reprises. Il m'avoua que ce matin il n'avait pas pu s'empêcher de me chatouiller uniquement dans le but de me voir pisser. »
Mes vieux démons s’étant rappelés à moi, je m’étais couché et je m’étais laissé aller dans mon lit. J’étais en train de pisser au lit comme un gamin. J’avais senti l’urine s’écouler sur mon ventre et s’insinuer sous mes fesses, elle coulait sur ma raie du cul, elle humidifiait les draps. Je sentais la chaleur de ma pisse sur mon corps. J’étais comme suspendu dans les airs, comme sur un nuage. Puis de suite j’avais senti mon sexe qui avait pris un volume conséquent, j’avais une trique d’enfer, mon sexe était bandé à mort. Je m’étais alors laissé aller à une masturbation jubilatoire. Après avoir joui fortement, je m’étais endormi tel quel dans mon lit trempé d’urine et de sperme.
Il faut dire que j’aime me pisser dessus, j’aime l’ondinisme. Depuis l’âge de 12 ans, soit depuis ma puberté, je pratique le pipi volontaire, soit dans mes vêtements ou soit au lit. J’évite de la faire au lit trop souvent, vu les dégâts que ça provoque, ce n’est que 3 ou 4 fois par an et je fais passer ça pour un accident nocturne.
En descendant le matin, j’avais été salué mes parents qui étaient déjà au petit-déjeuner. Puis juste avant de quitter la maison, j’avais glissé dans l’oreille de maman que j’avais fait pipi dans mon lit par accident durant la nuit. Pour seule réponse, maman m’avait susurré à l’oreille : « Ce n’est pas grave mon grand, ça arrive, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. »
(Que j’adore maman, elle est très compréhensive. Elle m’adore, car je suis le dernier enfant de la famille. C’est une très, très, gentille une maman comme on les aime !)
Sur ses paroles réconfortantes, j’étais sur le chemin de l’école en direction de l’arrêt de bus.
J’arrivais à l’école. A l’entrée, Jacques m’attendait. Jacques était un peu plus grand que moi, il avait les cheveux blonds, et avec le soleil, ils étaient presque blancs. Ça lui donnait l’air d’un ange, mais un ange avec de l’acné. Que voulez-vous c’est l’âge qui fait ça. Je n’étais pas en reste non plus. Jacques était assez mince, corpulence moyenne, des yeux d’un bleu profond, je m’y noyais assez souvent d’ailleurs. Je pense bien que Jacques se cherche encore, il n’a pas de copine et nous avions déjà sympathisé il y a bientôt trois ans. Il est déjà venu à la maison quelques fois et j’ai déjà été chez lui également. Je le salue et nous nous donnions une bise sur la joue.
Voilà Jean qui arrive. Je le connais depuis un an. C’est juste un copain sans plus, je me méfie de lui. Je ne sais pas, mais je ne le sentais pas très bien, il avait un air de gros macho qui veut en mettre plein la vue et qui ne semble pas apprécier qu’on puisse être différend de lui. Je pense même qu’il doit être un peu homophobe sur les bords, mais sans plus. C’est aussi un copain de Joseph. Je le saluais en lui donnant la main, il n’aimait pas qu’on lui donne une bise.
Voilà enfin Joseph. C’est un copain de classe avec qui je m’entends assez bien, il est assis à mes côté quand nous sommes aux cours. Il est un peu plus enveloppé, un peu petit, ce qui lui donne l’aire d’être assez bouffi, mais je l’aime bien car il est très sympa et qu’il est assez mature pour son âge. De plus, ce qui ne gâche rien, il est super doué dans tous les cours ; quand j’ai besoin d’une explication il est toujours le premier à venir m’aider. Je lui faisais aussi la bise.
Nous voilà donc ensemble moi et les 3 « J ». Nous discutions de tout et de rien, mais Jacques voyait bien que je n’étais pas dans mon assiette, qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond.
Il me dit : « Dis, Phil (il m’appelait toujours comme ça) tu n’as pas l’air d’aller bien, il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Moi : « Mais non Jacques, ce n’est rien. »
Jean : « C’est vrai, tu n’as pas l’air bien. »
Moi : « Arrêtez, vous déconnez les gars. »
Jos : « Non, Phil, c’est vrai tu es dans la lune ce matin. »
Jac : « Tu vois, c’est juste ce que je disais. »
Dring, dring, dring !!!
Ouf : la sonnerie de début des cours. J’étais sauvé par le gong, façon de parler.
Retour à la réalité quotidienne.
La rentrée scolaire battait son plein et je n’avais plus vu Julien depuis quatre jours déjà. Je ne sais pas mais j’avais une drôle de sensation, je ressentais un manque, j’avais une boule au ventre, bref Julien me manquait ! Pourtant je ne le connaissais que depuis quelques jours seulement. Nous avions pourtant déjà connu « l’amour » ensemble. Était-ce trop tôt ?
Je me posais encore des questions pour savoir si j’étais bien homo et Julien lui de son côté était-il bien homo. A-t-il seulement voulu profiter de moi pour tenter une expérience, une expérience avec un mec, comme ça, juste pour savoir comment ça fait. J’étais très troublé. Devais-je le revoir, fallait-il que je lui demande s’il avait un peu de sentiment pour moi ou non, bref j’étais perdu !
Je retrouvais mes copains de classe. Nous nous étions retrouvés dans un coin de la cours, endroit où nous avions l’habitude de nous retrouver durant l’année scolaire précédente. Chacun racontait le déroulement de ses vacances. De mon côté j’avais expliqué le séjour avec mes parents dans les landes, ensuite le camp chez les scouts et un court séjour chez nous d’un ami Julien, sans en dire plus.
La sonnerie se faisait entendre, elle avait mis fin à nos discussions. Hop nous voilà en cours de math, pfff. Encore le même prof, fait chier !!!
La matinée se passait sans problème, dans une ambiance de rentrée, chacun reprenant son rythme scolaire, comme si les vacances étaient déjà loin.
A l’heure du déjeuner je me retrouvais à la cantine pour le repas en compagnie de mes potes Jacques, Jean et Joseph (les 3 J), avec qui j’avais passé de très bons moments durant l’année scolaire précédente. Nous parlions de tout et de rien et bien sûr de filles. Chacun avait quelque chose à dire sur l’une ou l’autre de la classe, ou même sur l’une ou l’autre rencontrée lors des vacances. Moi je participais aussi en donnant mon avis pour passer pour un hétéro convaincu.
Ouf la journée de cours était terminée. Elle m’a semblé longue, surtout l’après-midi avec cours de français suivi d’un cours de chimie.
Te trajet de retour en direction de la maison m’avait semblé interminable. Je voulais rentrer chez moi pour demander à Delphine sil elle avait des nouvelle de Julien par l’intermédiaire de sa copine (amante) Steph. Je gambergeais et puis en y réfléchissant je me suis aperçu que Julien était en fait le quatrième « J » de ma bande de copains. Était-ce un hasard, ou y avait-il quelque chose de plus astral. « M’enfin quelle question, tu fais n’importe quoi et tu penses à des conneries, arrête un peu Phil » je m’étais dit dans ma tête.
Enfin me voilà la maison. J’ouvrais la porte d’entrée mais je m’étais rendu compte que j’étais seul, ma sœur et mes parents n’étaient pas présents.
J’étais déçu de ne pas avoir de nouvelle de Julien. Comme un imbécile je ne lui avais pas demandé son numéro de téléphone !!! Je me le reprochais amèrement, j’aurai déjà pu le contacter depuis plusieurs jours déjà. J’étais lamentable ! J’étais alors monté dans ma chambre pour écouter un peu de musique, j’avais mis un disque des Beatles, j’adore les Beatles !
Mes parents étaient rentrés vers 18h30. J’étais descendu pour les embrasser et les aider à préparer le dîner. J’en avais profité pour savoir à quelle heure ma sœur Delphine allait rentrer. J’avais appris qu’elle ne rentrerait pas avant deux jours, elle était chez sa copine Stef car les cours n’avaient pas encore repris à l’unif. J’étais dépité. Je demandais à maman si elle n’avait pas par hasard le numéro de téléphone de Stef, car j’avais envie de parler à ma sœur (petit mensonge de bon aloi). Maman m’avait répondu que non. Je ne pourrais donc pas prendre contact avec Julien. J’étais enragé, mais je tâchais de ne pas le monter à mes parents. Une fois le repas préparé, nous étions passés à table et nous avions dîné à trois. Nous parlions de chose et d’autre et bien sûr de la première journée de cours ainsi que du bac qui approchait à grand pas, soit pour la fin de l’année scolaire.
Une fois la table débarrassée, j’avais dit bonsoir à mes parents en les embrassant. J’avais ensuite regagné ma chambre pour la nuit.
J’avais remis un peu de musique et j’avais pris un bouquin pour passer le temps. Finalement je ne faisais que de penser à Julien. Que faisait-il en ce moment, pensait-il encore à moi, qu’est-ce que j’étais pour lui, avait-il des sentiments à mon égard, etc. Je me posais donc un tas de questions comme quand j’étais dans le bus qui me ramenait de l’école. Je ne savais que penser, je me torturais l’esprit.
Un peu avant onze heures, je m’étais rendu à la salle de bain en vue de prendre ma douche. Je m’étais glissé sous le jet d’eau chaude. Je repensais encore à Julien et ma queue avait pris de l’ampleur, je commençais à bander sec. J’avais à l’esprit l’image de son corps que j’avais caressé, que j’avais senti que j’avais aimé ! Puis j’avais laissé ma main droite s’emparer de ma virilité tendue pour y prodiguer quelques mouvements lascifs de bas en haut. Puis j’avais resserré la pression sur ma colonne de chair et je m’étais mis à me branler avec frénésie. Je sentais une vague de bien être qui commençait à monter, mon ventre était empli d’une chaleur bienfaisante puis d’dans un moment d’extase j’avais laissé partir 5 jets de sperme sur la paroi de la douche. Mon corps était comme sur un nuage, j’avais même failli défaillir et me retrouver au sol dans la douche tellement le ressenti était intense ! Je revoyais une nouvelle fois l’image de Julien. J’étais convaincu que de son côté, il avait peut-être des sentiments à mon égard, car je n’aurais pas ressenti une telle jouissante en pensant à lui ce soir. Puis après m’être essuyé, je m’étais lavé les dents. J’avais regagné ma chambre et je m’étais mis au lit. J’étais nu sous la couette comme j’en avais l’habitude depuis mes 13 ans. Je m’étais endormi assez vite.
Au milieu de la nuit je m’étais à moitié réveillé, il devait être environ 03h00, je n’avais vu que le chiffre « 3 ». J’avais envie de me soulager, je devais uriner. Puis, je ne savais pas pourquoi, je m’étais remémoré ce qui s’était passé avec mon cousin David il y a environ 3 ans.
« J'étais en vacances chez ma tante, la maman de David. Nous étions assez nombreux à ce moment-là et je dormais dans le même lit que David.
David et moi nous dormions encore, collé l'un à l'autre. David s'est réveillé avant moi. David s'était dit que c'était peut-être le moment de passer à l'action. David se mis à me caresser pour me réveiller. Voyant que je ne réagissais pas plus que ça, il se mit à me chatouiller. Je peux dire que ça m'a réveillé. Plus David me chatouillait plus je riais. A un moment j'ai dit à mon cousin d'arrêter, que je n'en pouvais plus. Je commençais à avoir mal au ventre, j'avais la vessie pleine et je devais aller aux toilettes. J'ai fait remarquer à David que je devais aller aux toilettes car je devais vraiment faire pipi. David s'est mis à rire et s'est remis à me chatouiller de plus belle. J'avais de plus en plus mal au ventre, j'éprouvais de plus en plus de difficultés à me contenir. David remarquait bien que j'étais au bord de la rupture, j'avais l'impression qu'il voulait que je me pisse dessus. Je sentais que je n'allais pas pouvoir tenir plus longtemps, un jet d'urine est parti dans mon pantalon de pyjama.
J'ai dit à David : « Oooh, je pisse ».
Puis un autre jet est parti, j'ai encore dit : « Oooh, arrête de me chatouiller David ».
Mon cousin David continuait à me chatouiller et je n'ai plus su me retenir, je me suis mis à pisser dans mon pyjama et dans le lit sans pouvoir m'arrêter. David se rendant compte de mon état, sentant l'humidité s'étendre dans le lit, arrêta ses chatouillements et me fit un sourire en me disant : « ce n'était pas grave ». David me dit alors : « Regarde ».
Il se mit lui aussi à pisser volontairement dans son pyjama et dans son lit. Voyant ça je me suis mis à bander sec. David s'est alors mis à se masturber par-dessus son pyjama mouillé, je fis de même et nous nous sommes branlés dans notre pisse.
Nous n'avions jamais fait ça avant à deux. Nous avons joui très fort. Nous avons retiré un très grand plaisir dans cette expérience.
J'ai avoué à David que parfois il m'arrivait quand j'étais seul, de me pisser dessus, debout dans mon pantalon, et de me masturber par-dessus mon pantalon mouillé. Je lui ai dit que ça me procurait beaucoup de plaisirs. Je lui ai dit aussi que je l'avais déjà quelques fois dans mon lit.
David à son tour me dit avoir déjà fait la même chose à quelques reprises. Il m'avoua que ce matin il n'avait pas pu s'empêcher de me chatouiller uniquement dans le but de me voir pisser. »
Mes vieux démons s’étant rappelés à moi, je m’étais couché et je m’étais laissé aller dans mon lit. J’étais en train de pisser au lit comme un gamin. J’avais senti l’urine s’écouler sur mon ventre et s’insinuer sous mes fesses, elle coulait sur ma raie du cul, elle humidifiait les draps. Je sentais la chaleur de ma pisse sur mon corps. J’étais comme suspendu dans les airs, comme sur un nuage. Puis de suite j’avais senti mon sexe qui avait pris un volume conséquent, j’avais une trique d’enfer, mon sexe était bandé à mort. Je m’étais alors laissé aller à une masturbation jubilatoire. Après avoir joui fortement, je m’étais endormi tel quel dans mon lit trempé d’urine et de sperme.
Il faut dire que j’aime me pisser dessus, j’aime l’ondinisme. Depuis l’âge de 12 ans, soit depuis ma puberté, je pratique le pipi volontaire, soit dans mes vêtements ou soit au lit. J’évite de la faire au lit trop souvent, vu les dégâts que ça provoque, ce n’est que 3 ou 4 fois par an et je fais passer ça pour un accident nocturne.
En descendant le matin, j’avais été salué mes parents qui étaient déjà au petit-déjeuner. Puis juste avant de quitter la maison, j’avais glissé dans l’oreille de maman que j’avais fait pipi dans mon lit par accident durant la nuit. Pour seule réponse, maman m’avait susurré à l’oreille : « Ce n’est pas grave mon grand, ça arrive, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. »
(Que j’adore maman, elle est très compréhensive. Elle m’adore, car je suis le dernier enfant de la famille. C’est une très, très, gentille une maman comme on les aime !)
Sur ses paroles réconfortantes, j’étais sur le chemin de l’école en direction de l’arrêt de bus.
J’arrivais à l’école. A l’entrée, Jacques m’attendait. Jacques était un peu plus grand que moi, il avait les cheveux blonds, et avec le soleil, ils étaient presque blancs. Ça lui donnait l’air d’un ange, mais un ange avec de l’acné. Que voulez-vous c’est l’âge qui fait ça. Je n’étais pas en reste non plus. Jacques était assez mince, corpulence moyenne, des yeux d’un bleu profond, je m’y noyais assez souvent d’ailleurs. Je pense bien que Jacques se cherche encore, il n’a pas de copine et nous avions déjà sympathisé il y a bientôt trois ans. Il est déjà venu à la maison quelques fois et j’ai déjà été chez lui également. Je le salue et nous nous donnions une bise sur la joue.
Voilà Jean qui arrive. Je le connais depuis un an. C’est juste un copain sans plus, je me méfie de lui. Je ne sais pas, mais je ne le sentais pas très bien, il avait un air de gros macho qui veut en mettre plein la vue et qui ne semble pas apprécier qu’on puisse être différend de lui. Je pense même qu’il doit être un peu homophobe sur les bords, mais sans plus. C’est aussi un copain de Joseph. Je le saluais en lui donnant la main, il n’aimait pas qu’on lui donne une bise.
Voilà enfin Joseph. C’est un copain de classe avec qui je m’entends assez bien, il est assis à mes côté quand nous sommes aux cours. Il est un peu plus enveloppé, un peu petit, ce qui lui donne l’aire d’être assez bouffi, mais je l’aime bien car il est très sympa et qu’il est assez mature pour son âge. De plus, ce qui ne gâche rien, il est super doué dans tous les cours ; quand j’ai besoin d’une explication il est toujours le premier à venir m’aider. Je lui faisais aussi la bise.
Nous voilà donc ensemble moi et les 3 « J ». Nous discutions de tout et de rien, mais Jacques voyait bien que je n’étais pas dans mon assiette, qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond.
Il me dit : « Dis, Phil (il m’appelait toujours comme ça) tu n’as pas l’air d’aller bien, il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Moi : « Mais non Jacques, ce n’est rien. »
Jean : « C’est vrai, tu n’as pas l’air bien. »
Moi : « Arrêtez, vous déconnez les gars. »
Jos : « Non, Phil, c’est vrai tu es dans la lune ce matin. »
Jac : « Tu vois, c’est juste ce que je disais. »
Dring, dring, dring !!!
Ouf : la sonnerie de début des cours. J’étais sauvé par le gong, façon de parler.