11-07-2022, 05:07 PM
On s'était tous fait beau ce soir pour aller au restaurant et après en boite . Et on rigola presque pendant tout le trajet à cause des réflexions que Jane faisait.
ça avait commencé quand elle avait dit en se marrant :
- Chic! Ce soir, je suis la princesse et vous, vous êtes mon harem ! Non, mes esclaves sexuels !
Ce à quoi j'avais répondu, du même ton :
- Tu es mal barré avec nous ma belle. Parce que sur cinq mecs, on est quatre gays !
- Mais ça devrait être interdit ça ! Des beaux gosses gays ! Je vais écrire à mon sénateur pour qu'il propose une loi contre ça au congrès !
Tu en penses quoi Jim ?
- Oh, Jane, si tu savais comment ils me harcèlent ! Jusqu'à présent j'ai réussi à sauver ma pauvre vertu, mais je suis sûr que si je ne fais pas attention ils vont finir par abuser de mon corps parfait et de mes petites fesses rondes ! Sauve-moi de ce péril imminent, s'il te plait !
- Viens contre moi, je serai ta Xéna la guerrière qui veillera sur ta virginale vertu !
Jim s'approcha d’elle, elle se colla à lui, passa son bras dans son dos et enfila sa main dans la poche arrière de son short.
Jim, tout naturellement, passa son bras dans le dos de Jane et posa sa main sur sa hanche Puis lui fit un bisou sur la joue en lui disant :
- Merci, tu es ma sauveuse.
Elle fit un rire de sorcière.
- Si tu savais ce qui t’attend, tu ne dirais pas ça !
Jim fit mine de vouloir se sauver, mais Jane se mit face à lui et approcha sa bouche de la sienne. Jim se pencha pour l'embrasser mais cette coquine se recula en imitant une fois de plus un rire de sorcière !
Liam nous surprit quand il dit, d’une voix grave :
- Jim, rejoins le côté obscure de la force ! Nous t'apprendrons à aimer le sexe entre hommes, à apprécier la sodomie à sec, à avaler des flots de sperme et à nous satisfaire tous les quatre !
- AU SECOURS ! Ils sont tous fous ! Xéna, ma fière guerrière, sauve-moi !
Quand il avait crié "au secours" plusieurs personnes s'étaient retournées. Mais voyant que c'était la franche rigolade entre nous personne n'était intervenu.
On arriva au restaurant et Jim, très galant, laissa passer Jane la première. Liam était juste derrière Jim. Il le prit par les hanches et dit suavement:
- Toi, grand fou! Si je ne me retenais pas ...
Jim, surpris, poussa un petit cri retenu qui nous fit tous éclater de rire une fois de plus. Il était rouge et confus de s'être fait remarquer. La patronne arriva et elle nous conduisit à une table qu'elle avait spécialement préparée pour nous.
C'était le grand luxe ! Nappe blanche, trois verres à pied chacun, deux assiettes, plusieurs fourchettes et couteaux de chaque côté et de vraies serviettes en tissus, blanches aussi, pliées artistiquement.
Jim nous plaça. La table étant ronde, ce fut simple, chacun se retrouva assit à côté de sa "moitié de canoé". Jane à sa gauche et son frère à sa droite. Deviner pour le reste!
La patronne vint me chercher pour me demander mon aide.
On alla en cuisine.
- Bé, j'ai râpé les patates avec une vieille râpe comme tu me l'avais dit, là tu as l'ail et le persil. Bon, il faut faire quoi.
- C'est simple, tu essores le jus, tu mets ton ail et ton persil, le sel, le poivre, et tu rajoutes les œufs, et tu pétris bien le tout. Dans une poêle tu mets de l'huile et tu fais des galettes d'un centimètre à peu près, tu laisses cuire à feu vif tant que ça se décolle pas tout seul de la poêle. Et tu la fais sauter comme une crêpe. Ensuite dans un plat et au four, doux. C’est juste pour les garder chauds, le temps de de les faire toutes!
- Merci, tu peux aller rejoindre tes amis. Je vais vous apporter l’apéritif.
- Jim a prévu un gâteau pour le dessert ?
- Oui, ne t'en fait pas pour ça.
- ça serait possible d'en avoir un autre ? Parce que c'est aussi l'anniversaire de l'autre petit jeune.
- Tu voudrais quoi comme gâteau ?
- Une tropézienne ! J'adore ça. Mais je ne crois pas qu'on puisse trouver ça ici, alors, ce qu'il y aura. Par contre c'est moi qui l’offre. Tu me diras combien je te dois.
- Ok, pas de problème, mais viens voir, on dirait que tu es médium toi.
Elle me conduisit devant un frigo dont elle ouvrit la porte et dedans il y avait une bonne dizaine de tropéziennes.
- C'est le dessert pour demain, mais je veux bien te faire plaisir et vous en servir une ce soir. Allez, file t’assoir, Je viens avec l'apéro.
Je rejoignis mes amis qui me demandèrent ce que me voulait la patronne.
- Elle me donnait des nouvelles de Tim et du pays.
Elle arriva avec un plateau et déposa devant chacun de nous plusieurs mises en bouche et elle ouvrit une bouteille de "champagne" californien dont elle nous servit un verre chacun.
Et en français elle nous dit :
- Madame, messieurs. Bon appétit !
On dévora les mises en bouche qui auraient mérité d'être dégustée, ensuite elle nous apporta des avocats garnis de sauce blanche et de chair de crabe, puis en plat de résistance, du gigot d'agneau, rosé, accompagné de tomates à la provençale, de criques, et de frites.
Elle revint même pour du rab et tout le monde en reprit.
Elle nous laissa digérer un peu avant de nous apporter un trou normand. Puis une fois celui-ci avalé elle débarrassa la table.
Elle repartit et la lumière s’éteignit. La musique de Happy birthday retentit et on chanta pour Chad. Elle déposa devant lui le gâteau garni de seize bougies qu'il souffla sans problème.
Rémi souriait mais je voyais bien qu’il avait la gorge nouée et la larme à l’œil. La lumière se ralluma.
- Je reviens, je vais chercher de quoi le couper et faire le service.
Elle partit et quand elle revint la lumière s'éteignit une nouvelle fois et Chad dit :
- Y'en a un autre qui fête son anniversaire, je me demande bien qui ça peut être.
Il est resté la bouche grande ouverte, tellement il était étonné quand la patronne revint vers notre table avec un autre gâteau et qu’elle le posa devant Rémi, qui cette fois, pleurait pour de bon. Il eut du mal à souffler ses bougies et Chad l’aida. Il avait des gestes tendres, avec lui.
Jim, Jane, Liam et moi on avait sorti nos portables pour immortaliser le double évènement.
Puis la patronne coupa les gâteaux et nous en servit à tous une part de chaque.
Le téléphone de Rémi sonna. Il regarda qui l'appelait et il répondit.
Une chose me marqua. Il disait vous à ses parents. La conversation dura une dizaine de minutes et il raccrocha. Ayant répondu en français, il précisa pour les anglophones:
- Je suis désolé, c'était mes parents qui me souhaitaient mon anniversaire.
Et là c'est Chad qui fondit en larme. Rémi ne comprenait pas et en français je lui dis pourquoi. Il le prit dans ses bras et s'excusa de sa bévue. Chad se calma et lui fit un sourire forcé. Rémi lui fit un bisou sur la joue pour se faire pardonner. Chad sourit un peu plus. Rémi lui en fit un autre. Chad s'enhardit et lui fit un smack ! C'est Jim qui mit le holà.
- Chad, Rémi, on est à table ! C’est pas le moment des bisous!
Les garçons lui tirèrent la langue et reprirent leurs places. On mangea les gâteaux Rémi de la main gauche et Chad de la main droite.
Je fis une photo de ce qu'il se passait sous la table. Chad et Rémi se tenaient la main et avaient les doigts enlacés tandis que Jim et Jane eux, c'est leurs pieds qui se touchaient.
ça sentait bon pour eux, tout ça.
Jim insista pour nous offrir le repas à tous et ... On oublia la boite et on regagna le resort.
Dans un coin un peu sombre Chad et Rémi échangèrent leur premier "french kiss". Il fallut les "bousculer" un peu pour qu'ils se séparent et continuent à avancer. Mais un peu plus loin, c'était au tour de Jim et de Jane de faire la même chose. Et là aussi il fallut intervenir sinon je crois qu'ils auraient baisé sur place.
Liam et moi, on se tenait par la main et de temps à autre on se faisait un bisou.
Chad alla voir son frère et il discuta un peu avec lui.
Rémi demanda à me parler.
- Bé, Chad est allé demander à son frère s'il pouvait venir dormir cette nuit avec moi. Je pense qu'on va passer à l'acte mais j'ai rien avec moi, ni capote, ni gel. Vous en auriez-vous ?
- Oui j'ai ça, tu n'auras qu'à passer à la chambre avant d'aller à la tienne. J'ai ça dans une sacoche. Mais tu es sur de ce que tu veux faire, tu sais les premières fois c'est douloureux.
- Ho ne t'en fait pas, même si à part des branlettes ou quelques pipes je suis toujours vierge, je m'entraine depuis longtemps avec des sextoys. Et, je veux que Chad soit mon premier !
Chad revint vers nous en ne touchant plus le sol :
- Il a dit oui !
Et il se roulèrent une pelle et se prirent par la main. On arriva enfin et Rémi passa en coup de vent à la chambre. Puis courut vers la sienne. Jim, lui, avait déjà tiré les rideaux…
et nous on fit de même.
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ça avait commencé quand elle avait dit en se marrant :
- Chic! Ce soir, je suis la princesse et vous, vous êtes mon harem ! Non, mes esclaves sexuels !
Ce à quoi j'avais répondu, du même ton :
- Tu es mal barré avec nous ma belle. Parce que sur cinq mecs, on est quatre gays !
- Mais ça devrait être interdit ça ! Des beaux gosses gays ! Je vais écrire à mon sénateur pour qu'il propose une loi contre ça au congrès !
Tu en penses quoi Jim ?
- Oh, Jane, si tu savais comment ils me harcèlent ! Jusqu'à présent j'ai réussi à sauver ma pauvre vertu, mais je suis sûr que si je ne fais pas attention ils vont finir par abuser de mon corps parfait et de mes petites fesses rondes ! Sauve-moi de ce péril imminent, s'il te plait !
- Viens contre moi, je serai ta Xéna la guerrière qui veillera sur ta virginale vertu !
Jim s'approcha d’elle, elle se colla à lui, passa son bras dans son dos et enfila sa main dans la poche arrière de son short.
Jim, tout naturellement, passa son bras dans le dos de Jane et posa sa main sur sa hanche Puis lui fit un bisou sur la joue en lui disant :
- Merci, tu es ma sauveuse.
Elle fit un rire de sorcière.
- Si tu savais ce qui t’attend, tu ne dirais pas ça !
Jim fit mine de vouloir se sauver, mais Jane se mit face à lui et approcha sa bouche de la sienne. Jim se pencha pour l'embrasser mais cette coquine se recula en imitant une fois de plus un rire de sorcière !
Liam nous surprit quand il dit, d’une voix grave :
- Jim, rejoins le côté obscure de la force ! Nous t'apprendrons à aimer le sexe entre hommes, à apprécier la sodomie à sec, à avaler des flots de sperme et à nous satisfaire tous les quatre !
- AU SECOURS ! Ils sont tous fous ! Xéna, ma fière guerrière, sauve-moi !
Quand il avait crié "au secours" plusieurs personnes s'étaient retournées. Mais voyant que c'était la franche rigolade entre nous personne n'était intervenu.
On arriva au restaurant et Jim, très galant, laissa passer Jane la première. Liam était juste derrière Jim. Il le prit par les hanches et dit suavement:
- Toi, grand fou! Si je ne me retenais pas ...
Jim, surpris, poussa un petit cri retenu qui nous fit tous éclater de rire une fois de plus. Il était rouge et confus de s'être fait remarquer. La patronne arriva et elle nous conduisit à une table qu'elle avait spécialement préparée pour nous.
C'était le grand luxe ! Nappe blanche, trois verres à pied chacun, deux assiettes, plusieurs fourchettes et couteaux de chaque côté et de vraies serviettes en tissus, blanches aussi, pliées artistiquement.
Jim nous plaça. La table étant ronde, ce fut simple, chacun se retrouva assit à côté de sa "moitié de canoé". Jane à sa gauche et son frère à sa droite. Deviner pour le reste!
La patronne vint me chercher pour me demander mon aide.
On alla en cuisine.
- Bé, j'ai râpé les patates avec une vieille râpe comme tu me l'avais dit, là tu as l'ail et le persil. Bon, il faut faire quoi.
- C'est simple, tu essores le jus, tu mets ton ail et ton persil, le sel, le poivre, et tu rajoutes les œufs, et tu pétris bien le tout. Dans une poêle tu mets de l'huile et tu fais des galettes d'un centimètre à peu près, tu laisses cuire à feu vif tant que ça se décolle pas tout seul de la poêle. Et tu la fais sauter comme une crêpe. Ensuite dans un plat et au four, doux. C’est juste pour les garder chauds, le temps de de les faire toutes!
- Merci, tu peux aller rejoindre tes amis. Je vais vous apporter l’apéritif.
- Jim a prévu un gâteau pour le dessert ?
- Oui, ne t'en fait pas pour ça.
- ça serait possible d'en avoir un autre ? Parce que c'est aussi l'anniversaire de l'autre petit jeune.
- Tu voudrais quoi comme gâteau ?
- Une tropézienne ! J'adore ça. Mais je ne crois pas qu'on puisse trouver ça ici, alors, ce qu'il y aura. Par contre c'est moi qui l’offre. Tu me diras combien je te dois.
- Ok, pas de problème, mais viens voir, on dirait que tu es médium toi.
Elle me conduisit devant un frigo dont elle ouvrit la porte et dedans il y avait une bonne dizaine de tropéziennes.
- C'est le dessert pour demain, mais je veux bien te faire plaisir et vous en servir une ce soir. Allez, file t’assoir, Je viens avec l'apéro.
Je rejoignis mes amis qui me demandèrent ce que me voulait la patronne.
- Elle me donnait des nouvelles de Tim et du pays.
Elle arriva avec un plateau et déposa devant chacun de nous plusieurs mises en bouche et elle ouvrit une bouteille de "champagne" californien dont elle nous servit un verre chacun.
Et en français elle nous dit :
- Madame, messieurs. Bon appétit !
On dévora les mises en bouche qui auraient mérité d'être dégustée, ensuite elle nous apporta des avocats garnis de sauce blanche et de chair de crabe, puis en plat de résistance, du gigot d'agneau, rosé, accompagné de tomates à la provençale, de criques, et de frites.
Elle revint même pour du rab et tout le monde en reprit.
Elle nous laissa digérer un peu avant de nous apporter un trou normand. Puis une fois celui-ci avalé elle débarrassa la table.
Elle repartit et la lumière s’éteignit. La musique de Happy birthday retentit et on chanta pour Chad. Elle déposa devant lui le gâteau garni de seize bougies qu'il souffla sans problème.
Rémi souriait mais je voyais bien qu’il avait la gorge nouée et la larme à l’œil. La lumière se ralluma.
- Je reviens, je vais chercher de quoi le couper et faire le service.
Elle partit et quand elle revint la lumière s'éteignit une nouvelle fois et Chad dit :
- Y'en a un autre qui fête son anniversaire, je me demande bien qui ça peut être.
Il est resté la bouche grande ouverte, tellement il était étonné quand la patronne revint vers notre table avec un autre gâteau et qu’elle le posa devant Rémi, qui cette fois, pleurait pour de bon. Il eut du mal à souffler ses bougies et Chad l’aida. Il avait des gestes tendres, avec lui.
Jim, Jane, Liam et moi on avait sorti nos portables pour immortaliser le double évènement.
Puis la patronne coupa les gâteaux et nous en servit à tous une part de chaque.
Le téléphone de Rémi sonna. Il regarda qui l'appelait et il répondit.
Une chose me marqua. Il disait vous à ses parents. La conversation dura une dizaine de minutes et il raccrocha. Ayant répondu en français, il précisa pour les anglophones:
- Je suis désolé, c'était mes parents qui me souhaitaient mon anniversaire.
Et là c'est Chad qui fondit en larme. Rémi ne comprenait pas et en français je lui dis pourquoi. Il le prit dans ses bras et s'excusa de sa bévue. Chad se calma et lui fit un sourire forcé. Rémi lui fit un bisou sur la joue pour se faire pardonner. Chad sourit un peu plus. Rémi lui en fit un autre. Chad s'enhardit et lui fit un smack ! C'est Jim qui mit le holà.
- Chad, Rémi, on est à table ! C’est pas le moment des bisous!
Les garçons lui tirèrent la langue et reprirent leurs places. On mangea les gâteaux Rémi de la main gauche et Chad de la main droite.
Je fis une photo de ce qu'il se passait sous la table. Chad et Rémi se tenaient la main et avaient les doigts enlacés tandis que Jim et Jane eux, c'est leurs pieds qui se touchaient.
ça sentait bon pour eux, tout ça.
Jim insista pour nous offrir le repas à tous et ... On oublia la boite et on regagna le resort.
Dans un coin un peu sombre Chad et Rémi échangèrent leur premier "french kiss". Il fallut les "bousculer" un peu pour qu'ils se séparent et continuent à avancer. Mais un peu plus loin, c'était au tour de Jim et de Jane de faire la même chose. Et là aussi il fallut intervenir sinon je crois qu'ils auraient baisé sur place.
Liam et moi, on se tenait par la main et de temps à autre on se faisait un bisou.
Chad alla voir son frère et il discuta un peu avec lui.
Rémi demanda à me parler.
- Bé, Chad est allé demander à son frère s'il pouvait venir dormir cette nuit avec moi. Je pense qu'on va passer à l'acte mais j'ai rien avec moi, ni capote, ni gel. Vous en auriez-vous ?
- Oui j'ai ça, tu n'auras qu'à passer à la chambre avant d'aller à la tienne. J'ai ça dans une sacoche. Mais tu es sur de ce que tu veux faire, tu sais les premières fois c'est douloureux.
- Ho ne t'en fait pas, même si à part des branlettes ou quelques pipes je suis toujours vierge, je m'entraine depuis longtemps avec des sextoys. Et, je veux que Chad soit mon premier !
Chad revint vers nous en ne touchant plus le sol :
- Il a dit oui !
Et il se roulèrent une pelle et se prirent par la main. On arriva enfin et Rémi passa en coup de vent à la chambre. Puis courut vers la sienne. Jim, lui, avait déjà tiré les rideaux…
et nous on fit de même.
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