07-07-2022, 12:12 PM
Je n'en reviens pas : mon "vibrant appel" a eu un succès inespéré, plus de six réactions ce qui est méritoire pour un premier chapitre. Cela m'oblige et je vais répondre à chacun !
J'ignore où tu habites EMMANOLIFE mais tu ne dois pas être un grand adepte du froid et de la neige ! Quand on aime la montagne, on l'aime dans toutes les circonstances, par beau temps, par brouillard ou par la tempête. Avec cette dernière, il y a une lutte contre les éléments et soi-même, contre une force que l'on sait pouvoir être la plus forte si on ne la respecte pas. Et quelle jouissance lorsque finalement on parvient dans le refuge protecteur, où la tension se relâche et où on peut se laisser aller !
Tu as raison, je préfère nettement les textes suivis aux dialogues mais je tâcherai de créer plus d'espaces
Il faudra cher LOUKLOUK que tu m'expliques les nuances entre roman, nouvelle et chronique. Quand je commence un récit, je ne sais que très mal où je vais aboutir, j'ai toujours eu horreur des plans qu'on nous imposait dans les dissertations, mes récits peuvent souvent s'éloigner du titre. D'accord, je vais faire un gros effort pour des paragraphes, peut-être pas très court, mais plus raisonnables !
Maturité : correspond au bac en France
Potager : partie d'un jardin où on cultive les légumes
Cher LIVREDEJEREMIE, tu as raison mais dans ma bergerie, la place est très limitée et la position dos contre dos est plus envahissante. Et franchement, être face contre dos est tellement plus agréable, même sans arrière-pensée et pour cette première nuit, ni probablement Jules ni certainement Antoine ont des idées coquines !
Non ami BECH, Antoine n'est pas mon prénom mais il est souvent à ma place, dans la réalité des récits où dans l'imagination, totale ou partielle de ceux-ci. Oui, c'est un prénom que j'aime et quand on aime on fréquente ! Oui, j'ai connu, dans le temps lointain de ma jeunesse, deux Antoine et avec les deux, mais pas en même temps, j'ai eu d'excellentes relations, platoniques mais touchantes avec l'un et avec l'autre je me souviens de la douceur de sa peau et de l'excitation qu'elle provoquait sur moi.
C'est vrai, PHILOU0033, que Jules et Antoine ne se connaissent pas, mais ils se devinent au travers des lamelles du stores, surtout Jules qui laisse vagabonder son imagination et je pense ses désirs. Je pense qu'il n'est pas si innocent que ça et qu'il a conscience de son attirance pour les garçons et que sa rencontre avec Antoine n'est pas uniquement due au hasard. Mais hier comme aujourd'hui, il n'est pas facile d'admettre son homosexualité. Par ailleurs, Jules habite à la montagne et il la connait en hiver comme en été mais certainement moins bien qu'Antoine
Je n'avais pas pris garde que l'un tutoie et l'autre vousoie mais je pense que cela va se normaliser. Je suis heureux ami LANGE que tu aimes l'endroit où se déroule mon récit. On retrouve souvent la montagne dans mes histoires car celle-ci a été un des éléments moteurs de ma vie, depuis mon plus jeune âge (à onze ans déjà, je courais seul dans la montagne, à treize ans j'avais gravi mon premier quatre mille).
Merci à vous tous de vos commentaires et j'espère que cela continuera. Un souhait, j'aimerais beaucoup de pouvoir lire de nouveaux récits émanant de votre fantaisie…
Je vous embrasse tous.
PS Une suite est prévue d'ici quelques jours
J'ignore où tu habites EMMANOLIFE mais tu ne dois pas être un grand adepte du froid et de la neige ! Quand on aime la montagne, on l'aime dans toutes les circonstances, par beau temps, par brouillard ou par la tempête. Avec cette dernière, il y a une lutte contre les éléments et soi-même, contre une force que l'on sait pouvoir être la plus forte si on ne la respecte pas. Et quelle jouissance lorsque finalement on parvient dans le refuge protecteur, où la tension se relâche et où on peut se laisser aller !
Tu as raison, je préfère nettement les textes suivis aux dialogues mais je tâcherai de créer plus d'espaces
Il faudra cher LOUKLOUK que tu m'expliques les nuances entre roman, nouvelle et chronique. Quand je commence un récit, je ne sais que très mal où je vais aboutir, j'ai toujours eu horreur des plans qu'on nous imposait dans les dissertations, mes récits peuvent souvent s'éloigner du titre. D'accord, je vais faire un gros effort pour des paragraphes, peut-être pas très court, mais plus raisonnables !
Maturité : correspond au bac en France
Potager : partie d'un jardin où on cultive les légumes
Cher LIVREDEJEREMIE, tu as raison mais dans ma bergerie, la place est très limitée et la position dos contre dos est plus envahissante. Et franchement, être face contre dos est tellement plus agréable, même sans arrière-pensée et pour cette première nuit, ni probablement Jules ni certainement Antoine ont des idées coquines !
Non ami BECH, Antoine n'est pas mon prénom mais il est souvent à ma place, dans la réalité des récits où dans l'imagination, totale ou partielle de ceux-ci. Oui, c'est un prénom que j'aime et quand on aime on fréquente ! Oui, j'ai connu, dans le temps lointain de ma jeunesse, deux Antoine et avec les deux, mais pas en même temps, j'ai eu d'excellentes relations, platoniques mais touchantes avec l'un et avec l'autre je me souviens de la douceur de sa peau et de l'excitation qu'elle provoquait sur moi.
C'est vrai, PHILOU0033, que Jules et Antoine ne se connaissent pas, mais ils se devinent au travers des lamelles du stores, surtout Jules qui laisse vagabonder son imagination et je pense ses désirs. Je pense qu'il n'est pas si innocent que ça et qu'il a conscience de son attirance pour les garçons et que sa rencontre avec Antoine n'est pas uniquement due au hasard. Mais hier comme aujourd'hui, il n'est pas facile d'admettre son homosexualité. Par ailleurs, Jules habite à la montagne et il la connait en hiver comme en été mais certainement moins bien qu'Antoine
Je n'avais pas pris garde que l'un tutoie et l'autre vousoie mais je pense que cela va se normaliser. Je suis heureux ami LANGE que tu aimes l'endroit où se déroule mon récit. On retrouve souvent la montagne dans mes histoires car celle-ci a été un des éléments moteurs de ma vie, depuis mon plus jeune âge (à onze ans déjà, je courais seul dans la montagne, à treize ans j'avais gravi mon premier quatre mille).
Merci à vous tous de vos commentaires et j'espère que cela continuera. Un souhait, j'aimerais beaucoup de pouvoir lire de nouveaux récits émanant de votre fantaisie…
Je vous embrasse tous.
PS Une suite est prévue d'ici quelques jours