28-06-2022, 08:32 PM
Le souper se passe comme à chaque fois dans une ambiance conviviale. Nous discutons de pas mal de choses. Denis donne souvent son avis et il argumente bien ! Christine a elle aussi du bagou, elle ne se laisse pas faire, quand elle a raison, elle le dit haut et fort. J’aime bien cette atmosphère où chacun peut dire ce qu’il pense et où il est écouté et parfois repris pour un jugement erroné ou autre. Cette liberté d’esprit et de pensée est finalement une excellente chose et cela resserre les liens dans la famille. Il faut dire que c’est un peu comme ça aussi chez moi, avec mes parents et mes frère et sœur !
Nous restons en famille pour regarder une émission de variétés à la télévision. C’est un moment qu’Arlette aime, car elle apprécie la chanson française et les chanteurs des sixties. Nous nous décidons, Ben et moi, après avoir souhaité une bonne nuit aux membres de la famille, d’aller nous coucher. Nous nous retrouvons donc dans la chambre de Ben. Nous nous dévêtons et entrons nus dans le lit après avoir fait un brin de toilette en passant par la salle de bain.
Nous nous embrassons à pleine bouche en nous caressant. Il est évident que ça réveille popol et qu’il est une nouvelle fois dressé comme un mât de cocagne. Bien sûr celui de Ben a pris les mêmes proportions que le mien. Nous appliquons quelques mouvements de va et vient sur le bâton d’amour de notre chéri. Puis je vois que Ben se penche pour prendre le flacon de gel dans le tiroir de sa table de nuit. Je sais donc ce que mon amoureux veut faire, il veut que nous nous aimions.
Je laisse alors tout le loisir à Ben d’apprêter l’orifice de ma grotte. Il sent que je suis prêt et il enduit également son boute-joie de gel. Il le présente à l’entrée de ma caverne et doucement il fait pénétrer le gland et toute sa verge au fond de mon trou d’amour. Ben fait alors des allers et retours dans mon fondement, me procurant ainsi de superbes sensations. Je râle de plaisir. La respiration de Ben se fait de plus en plus rapide. Il varie le rythme et l’intensité des mouvements de pénétration. Quel joie de sentir l’objet de mes désirs dans ma grotte. Je suis comme dans un autre monde, sur une étoile où le bonheur est omniprésent ! Ben va arriver au point de non-retour, il poursuit sa chevauchée sur ma croupe et dans un dernier élan, déverse sa semence dans mon réceptacle anal. Ben se retire en me susurrant à l’oreille : « Je t’aime ».
Je lui réponds bien entendu que je l’aime aussi. C’est à mon tour de m’occuper de sa rondelle. Je prends donc le gel et j’enduis l’entrée de cet aven d’amour en le préparant délicatement. Je sais que c’est maintenant le moment d’honorer mon chéri et de lui faire l’amour. Je présente mon vit devant l’entrée si accueillante de sa caverne. Le gel fait son effet et je glisse mon dard dans l’étui préparé. Mes valseuses viennent frapper le périnée de Ben à chaque mouvement, je fais l’amour tendrement à mon amant, pas de brusquerie, tout en finesse. Il nous faut savourer ce moment précieux où nos deux corps ne font plus qu’un. J’entends que Ben râle de plus en plus fort. Moi de mon côté je ne suis pas en reste, j’ai la respiration qui s’accélère et j’émets des râles de plaisir moi aussi. Je sais que nous sommes sur notre planète et que ce moment particulier sera un très bon souvenir pour nous deux. Je sens bien que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps. Je sens déjà que mon bas ventre se réchauffe de plus en plus, je vais bientôt arriver à l’orgasme. Il ne faut pas une minute de plus pour que je laisse mon élixir de vie se déverser dans les entrailles de mon amoureux ! Je m’affale alors à côté de mon chéri en lui disant : « Je t’aime ».
Nous restons ainsi un long moment, heureux et ivres de bonheur, la tête remplie de bons souvenirs de ce divin corps à corps. Nous essuyions les dernières traces de sperme laissées sur nos corps et sur les draps. Nous nous enlaçons en nous regardant l’un l’autre. Je plante mon regard dans les yeux couleur océan de mon Ben d’amour. Sa tignasse blonde est étalée sur son oreiller. Nous lisons chacun dans le regard de l’autre, pas besoin de parler, nous sommes sur la même longueur d’onde, toujours un peu sur notre planète. Ben remet alors les couvertures sur nous. Nous restons collés l’un à l’autre, pour rejoindre le pays des rêves.
Nous nous réveillons après avoir dormis comme des loirs. Nous nous embrassons à pleine bouche. Il va être temps de quitter le lit bien chaud pour rejoindre les autres pour le petit-déjeuner. Un passage par la salle de bain s’impose. Une bonne douche nous fait les plus grand bien.
Nous entrons dans la salle à manger où le reste de la famille de Ben est déjà installé. Nous faisons le tour de la table en donnant une bise à chacun. Une fois que nous sommes assis et Arlette nous demande :
Arl : « Alors les garçons, vous avez bien dormis ?
Ben : Oui maman, merci, nous avons passé une excellente nuit.
Arl : Vous m’en voyez ravie.
Yve : Je suis heureux de l’apprendre. Nous aussi, nous avons bien dormis, après que les gémissements furent arrêtés !
Ben et moi nous nous sommes mis à rougir, nous laissant sans voix. Christine et Denis se sont mis à rire en nous voyant !
Arl : Vous pouvez rire, mais nous avons aussi entendu certains « cris » venant de ta chambre ma chère fille !
Chr : Heu … heu, je …
Yve : Le principal que vous soyez heureux mes enfants.
Arl : Puis je préfère que vous vous aimiez dans de bonnes conditions que de le faire n’importe où au risque d’avoir des soucis !
Ben : Merci Maman, merci Papa !
Arl : De rien mon fils.
Chr : Je ne sais que vous dire, peut-être merci d’être aussi ouverts que vous l’êtes !
Yve : Merci Christine. Vous savez les enfants, et Phil le sait aussi, ses parents tout comme nous, sommes toujours attentifs à nos enfants et leurs souhaitent le meilleurs même au point de vue sexuel !
Moi : Merci Yves, je le sais très bien. Nous vous aimons aussi pour ça !
Arl : Bon, mangeons avant que le café ne refroidisse dans vos tasses ! »
Nous éclatons tous de rire. Nous sommes maintenant détendus et nous parlons de tout et de rien. J’aime bien cette atmosphère lors des petits-déjeuners, cela montre bien l’entente qui règne entre tous les membres de la famille ; c’est comme chez moi, à la maison !
Le reste de la matinée se passe à revoir mon cours de Néerlandais, car j’ai un examen lundi, le dernier par ailleurs. Oui nous arrivons à la fin de la session d’examens. Les vacances approchent à grands pas !
Il est quatorze heures, nous sommes Ben et moi déposés par Arlette près du local. Nous rejoignons Gaby et Alex qui arrivent eux aussi. Nous montons dans notre local au deuxième étage. M-A est déjà présent avec un paquet de feuilles sur la table devant lui. Raph, Philippe et Chris sont assis et attendaient que nous soyons tous là. Nous nous saluons comme de coutume.
M-A nous explique ce qu’il a prévu pour le trek dans les Fagnes. Nous logerons au camp militaire d’Elsenborn. Il nous remet un dépliant explicatif sur ce camp militaire, les activités éventuelles que nous pourrions faire. C’est évidemment en fonction des conditions climatiques. Il y a aussi une liste des choses à ne pas oublier, car elles sont importantes pour la réussite de cette sortie.
Nous revenons également sur les prochaines activités qui sont envisagées, telles qu’une participation à deux journées avec les sections lors du camp de Pâques, soit les louveteaux et les scouts éclaireurs. Cela nous permettra de nous familiariser avec les staffs et les jeunes animés.
Il est temps de rejoindre les animateurs des sections pour la répétition des chants de la messe de Noël, soit la messe de minuit ! Nous répétons donc : Les anges dans nos campagnes, Minuit Chrétien, …etc. L’Abbé est super content de l’ensemble vocal ainsi mis sur pied. Il nous propose de nous retrouver de temps à autre pour chanter ensemble pour certaines occasions. Je trouve que c’est un excellente idée, d’ailleurs tous sont partants !
A l’issue de cette réunion et de cette répétition, c’est papa qui vient nous rechercher. Il dépose Ben chez lui. Bien entendu Yves demande que papa vienne prendre un verre avant de rentrer. Cela nous laisse encore une bonne demi-heure pour être ensemble. Nous en profitons pour raconter ce que nous avons comme projets pour la suite de l’année JER. Il est temps de partir, nous nous embrassons. Nous nous donnons rendez-vous pour la messe de minuit.
Nous restons en famille pour regarder une émission de variétés à la télévision. C’est un moment qu’Arlette aime, car elle apprécie la chanson française et les chanteurs des sixties. Nous nous décidons, Ben et moi, après avoir souhaité une bonne nuit aux membres de la famille, d’aller nous coucher. Nous nous retrouvons donc dans la chambre de Ben. Nous nous dévêtons et entrons nus dans le lit après avoir fait un brin de toilette en passant par la salle de bain.
Nous nous embrassons à pleine bouche en nous caressant. Il est évident que ça réveille popol et qu’il est une nouvelle fois dressé comme un mât de cocagne. Bien sûr celui de Ben a pris les mêmes proportions que le mien. Nous appliquons quelques mouvements de va et vient sur le bâton d’amour de notre chéri. Puis je vois que Ben se penche pour prendre le flacon de gel dans le tiroir de sa table de nuit. Je sais donc ce que mon amoureux veut faire, il veut que nous nous aimions.
Je laisse alors tout le loisir à Ben d’apprêter l’orifice de ma grotte. Il sent que je suis prêt et il enduit également son boute-joie de gel. Il le présente à l’entrée de ma caverne et doucement il fait pénétrer le gland et toute sa verge au fond de mon trou d’amour. Ben fait alors des allers et retours dans mon fondement, me procurant ainsi de superbes sensations. Je râle de plaisir. La respiration de Ben se fait de plus en plus rapide. Il varie le rythme et l’intensité des mouvements de pénétration. Quel joie de sentir l’objet de mes désirs dans ma grotte. Je suis comme dans un autre monde, sur une étoile où le bonheur est omniprésent ! Ben va arriver au point de non-retour, il poursuit sa chevauchée sur ma croupe et dans un dernier élan, déverse sa semence dans mon réceptacle anal. Ben se retire en me susurrant à l’oreille : « Je t’aime ».
Je lui réponds bien entendu que je l’aime aussi. C’est à mon tour de m’occuper de sa rondelle. Je prends donc le gel et j’enduis l’entrée de cet aven d’amour en le préparant délicatement. Je sais que c’est maintenant le moment d’honorer mon chéri et de lui faire l’amour. Je présente mon vit devant l’entrée si accueillante de sa caverne. Le gel fait son effet et je glisse mon dard dans l’étui préparé. Mes valseuses viennent frapper le périnée de Ben à chaque mouvement, je fais l’amour tendrement à mon amant, pas de brusquerie, tout en finesse. Il nous faut savourer ce moment précieux où nos deux corps ne font plus qu’un. J’entends que Ben râle de plus en plus fort. Moi de mon côté je ne suis pas en reste, j’ai la respiration qui s’accélère et j’émets des râles de plaisir moi aussi. Je sais que nous sommes sur notre planète et que ce moment particulier sera un très bon souvenir pour nous deux. Je sens bien que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps. Je sens déjà que mon bas ventre se réchauffe de plus en plus, je vais bientôt arriver à l’orgasme. Il ne faut pas une minute de plus pour que je laisse mon élixir de vie se déverser dans les entrailles de mon amoureux ! Je m’affale alors à côté de mon chéri en lui disant : « Je t’aime ».
Nous restons ainsi un long moment, heureux et ivres de bonheur, la tête remplie de bons souvenirs de ce divin corps à corps. Nous essuyions les dernières traces de sperme laissées sur nos corps et sur les draps. Nous nous enlaçons en nous regardant l’un l’autre. Je plante mon regard dans les yeux couleur océan de mon Ben d’amour. Sa tignasse blonde est étalée sur son oreiller. Nous lisons chacun dans le regard de l’autre, pas besoin de parler, nous sommes sur la même longueur d’onde, toujours un peu sur notre planète. Ben remet alors les couvertures sur nous. Nous restons collés l’un à l’autre, pour rejoindre le pays des rêves.
Nous nous réveillons après avoir dormis comme des loirs. Nous nous embrassons à pleine bouche. Il va être temps de quitter le lit bien chaud pour rejoindre les autres pour le petit-déjeuner. Un passage par la salle de bain s’impose. Une bonne douche nous fait les plus grand bien.
Nous entrons dans la salle à manger où le reste de la famille de Ben est déjà installé. Nous faisons le tour de la table en donnant une bise à chacun. Une fois que nous sommes assis et Arlette nous demande :
Arl : « Alors les garçons, vous avez bien dormis ?
Ben : Oui maman, merci, nous avons passé une excellente nuit.
Arl : Vous m’en voyez ravie.
Yve : Je suis heureux de l’apprendre. Nous aussi, nous avons bien dormis, après que les gémissements furent arrêtés !
Ben et moi nous nous sommes mis à rougir, nous laissant sans voix. Christine et Denis se sont mis à rire en nous voyant !
Arl : Vous pouvez rire, mais nous avons aussi entendu certains « cris » venant de ta chambre ma chère fille !
Chr : Heu … heu, je …
Yve : Le principal que vous soyez heureux mes enfants.
Arl : Puis je préfère que vous vous aimiez dans de bonnes conditions que de le faire n’importe où au risque d’avoir des soucis !
Ben : Merci Maman, merci Papa !
Arl : De rien mon fils.
Chr : Je ne sais que vous dire, peut-être merci d’être aussi ouverts que vous l’êtes !
Yve : Merci Christine. Vous savez les enfants, et Phil le sait aussi, ses parents tout comme nous, sommes toujours attentifs à nos enfants et leurs souhaitent le meilleurs même au point de vue sexuel !
Moi : Merci Yves, je le sais très bien. Nous vous aimons aussi pour ça !
Arl : Bon, mangeons avant que le café ne refroidisse dans vos tasses ! »
Nous éclatons tous de rire. Nous sommes maintenant détendus et nous parlons de tout et de rien. J’aime bien cette atmosphère lors des petits-déjeuners, cela montre bien l’entente qui règne entre tous les membres de la famille ; c’est comme chez moi, à la maison !
Le reste de la matinée se passe à revoir mon cours de Néerlandais, car j’ai un examen lundi, le dernier par ailleurs. Oui nous arrivons à la fin de la session d’examens. Les vacances approchent à grands pas !
Il est quatorze heures, nous sommes Ben et moi déposés par Arlette près du local. Nous rejoignons Gaby et Alex qui arrivent eux aussi. Nous montons dans notre local au deuxième étage. M-A est déjà présent avec un paquet de feuilles sur la table devant lui. Raph, Philippe et Chris sont assis et attendaient que nous soyons tous là. Nous nous saluons comme de coutume.
M-A nous explique ce qu’il a prévu pour le trek dans les Fagnes. Nous logerons au camp militaire d’Elsenborn. Il nous remet un dépliant explicatif sur ce camp militaire, les activités éventuelles que nous pourrions faire. C’est évidemment en fonction des conditions climatiques. Il y a aussi une liste des choses à ne pas oublier, car elles sont importantes pour la réussite de cette sortie.
Nous revenons également sur les prochaines activités qui sont envisagées, telles qu’une participation à deux journées avec les sections lors du camp de Pâques, soit les louveteaux et les scouts éclaireurs. Cela nous permettra de nous familiariser avec les staffs et les jeunes animés.
Il est temps de rejoindre les animateurs des sections pour la répétition des chants de la messe de Noël, soit la messe de minuit ! Nous répétons donc : Les anges dans nos campagnes, Minuit Chrétien, …etc. L’Abbé est super content de l’ensemble vocal ainsi mis sur pied. Il nous propose de nous retrouver de temps à autre pour chanter ensemble pour certaines occasions. Je trouve que c’est un excellente idée, d’ailleurs tous sont partants !
A l’issue de cette réunion et de cette répétition, c’est papa qui vient nous rechercher. Il dépose Ben chez lui. Bien entendu Yves demande que papa vienne prendre un verre avant de rentrer. Cela nous laisse encore une bonne demi-heure pour être ensemble. Nous en profitons pour raconter ce que nous avons comme projets pour la suite de l’année JER. Il est temps de partir, nous nous embrassons. Nous nous donnons rendez-vous pour la messe de minuit.