24-06-2022, 10:06 AM
Pour le reste de la semaine c’est études, révisions, études, révisions, …etc. Ce n’est que ce vendredi après-midi, que je suis enfin tranquille à la maison, que je parviens à décompresser un peu. Je suis seul et me couche au-dessus de mon lit. Je sais que je vais retrouver mon Ben d’amour dans quelques heures. Je m’assoupis alors en ayant le visage de Ben en tête. Je vois donc mon ange blond aux yeux bleus qui est face à moi. Nous sommes sur une plage de sable fin, nus, le soleil luit de ses plus beaux rayons et nous sommes seuls face à la mer. La mer, bleue océan, éclate de mille feux sous l’effet des rayons de l’astre de lumière. C’est comme dans la chanson « La Mer » de Charles Trenet : « La mer Qu'on voit danser le long des golfes clairs A des reflets d'argent La mer Des reflets changeants Sous la pluie La mer Au ciel d'été confond Ses blancs moutons Avec les anges si purs La mer bergère d'azur Infinie. » Puis je suis sorti de ce rêve enchanteur par la sonnerie du téléphone !
Moi : « Allo !
M-A : Bonjour Phil, c’est Marc-Antoine. Je ne te dérange pas ?
Moi : Bonjour M-A, non, je t’écoute !
M-A : Je sais que vous êtes tous en session d’examens, mais je propose que nous nous retrouvions deux heures demain après-midi pour une réunion de préparation au sujet de notre sortie dans les Fagnes et une petite répétition des chants de la messe de minuit avec l’Abbé !
Moi : Pour moi, c’est faisable. Je loge chez Ben ce soir et je suis certain qu’il dira « oui » lui aussi !
M-A : Je vais téléphoner chez lui de toute façon. Pour ce qui est des autres : Gaby, Chris et Alex c’est OK pour eux.
Moi : Super. Dis, faut-il apporter que quelque chose ?
M-A : Non, je pense que l’aumônier aura préparé du thé.
Moi : Je vais apporter quelques gâteaux secs en guise de quatre-heure !
M-A : Parfait Phil, je te reconnais bien là !
Moi : On ne change pas une équipe qui gagne !
M-A : Et avec humour en plus !
Moi : Pour une fois que je décompresse depuis le début de la semaine !
M-A : Bon, on se voit demain alors !
Moi : OK, je serai là avec Ben pour quatorze heures ! Bonne soirée M-A.
M-A : Super. Bonne soirée à vous deux !
Moi : Merci ! »
Je raccroche le combiné. Je regarde l’heure, il est bientôt seize heures, Jean va revenir de l’école. Je vais à la cuisine et je prépare un bon cacao chaud. Je vais à la réserve et je prends des gâteaux secs que je mets dans un petit panier en osier. Je dresse la table avec les bols pour boire le cacao. J’ai à peine terminé que j’entends la porte d’entrée qui s’ouvre. Je vais directement dans la hall et j’accueille mon frérot.
Moi : « Bonjour Jean.
Jea : Bonjour Phil.
Moi : Quand tu te seras débarrassé de ta veste, viens me rejoindre dans la cuisine.
Jea : OK, j’arrive !
Jean dépose sa veste au vestiaire et passe par la toilette et ensuite me rejoint.
Jea : Oh frérot tu as préparé le goûter, c’est super sympa.
Moi : Oui Jean, c’est pour te remercier d’être si avenant avec moi. C’est à mon tour de prendre soin de toi de temps en temps !
Jea : Merci grand frère, tu sais que tu comptes beaucoup pour moi et je sais que je compte pour toi !
Moi : Oui petit frère, je sais que tu m’aimes et que tu es attentif à Ben et moi. Alors je te souhaite le meilleur avec Amandine. »
Nous papotons ensuite en parlant de nos études, des profs et des élèves de nos classes respectives. Puis je regarde l’heure, il est déjà seize heures quarante. Il va être temps que je fasse mon sac pour aller chez Ben. Nous rangeons la vaisselle et remettons la cuisine en ordre. Je prends deux paquets de gâteaux secs pour demain. Je demande ensuite à Jean de passer par ma chambre.
Je termine mon sac lorsque Jean entre dans mon antre. Je lui donne alors quelques préservatifs. Je lui montre aussi où est ma réserve et l’autorise à s’y servir en cas de besoin. Les yeux de mon jeune frère s’illuminent, il me remercie en m’enlaçant. Je ne lui répète pas les consignes, il sait très bien qu’il doit être attentif à sa partenaire, à sa chérie Amandine. Je lui fait un clin d’œil et je redescends au rez-de-chaussée lorsque maman rentre.
Je salue mon chère mère en l’embrassant et la mets au courant de la petite réunion d’équipe de demain après-midi. Je lui dis aussi qu’il reste du cacao dans la cafetière, soit ce qui reste après notre goûter entre frères. Maman me sourit, elle est heureuse de savoir que nous nous entendons très bien entre nous. Je lui souhaite une bonne soirée et lui annonce que je serai de retour demain en fin d’après-midi.
J’arrive chez Ben, je suis à vélo et viens juste de me faire arroser par une grosse averse de pluie. Inutile de dire que je suis trempé. Je sonne et c’est bien entendu Ben qui vient m’ouvrir. Il me voit et éclate de rire. Cela ne fait pas un pli, les éclats de rire de mon chéri ont eu pour effet d’alerter Arlette qui arrive dans le hall d’entrée. Elle aussi s’esclaffe de rire en mettant sa main devant la bouche, comme pour s’excuser de sa réaction.
Arl : « Oh Phil tu es bien trempé.
Moi : Heu, j’ai pris une bonne douche !
Ben (tout en riant) : C’est ça, tu sais une douche ce n’est pas habillé qu’on la prend !
Moi : Oui, fous-toi de moi.
Arl : Mais c’est amusant Phil : bon ne reste pas comme ça, tu vas prendre froid.
Ben : Bonjour mon chéri mouillé !
Moi : Bonjour mon Ben au sec !
Arl : Allez les garçons, trêve de plaisanterie, va vite prendre une douche Phil.
Moi : Oui, je crois que c’est le mieux à faire.
Je monte avec Ben à l’étage et je me rends directement vers la salle de bain. Bien entendu, je croise Christine qui elle aussi pouffe de rire. Elle se doute bien que c’est à cause de la pluie que je suis dans cet état. Je pénètre dans la salle d’eau et me déshabille. J’entre dans la douche et laisse couler l’eau bien chaude pour me réchauffer. C’est vrai que je commençais à avoir un peu froid.
J’entends qu’on ouvre la porte, je me retourne et je vois mon Ben d’amour, nu comme un ver. Il vient me retrouver sous le jet dans la douche. Il s’approche de moi et vient déposer un baiser sur mes lèvres. Nous nous embrassons à pleine bouche. Je suis si heureux d’être avec mon chéri. Bien entendu nos phallus ne restent pas tranquilles, ils se sont dressés tels des mâts de cocagne, pointant vers le ciel.
Nos protubérances sont collées l’une à l’autre. Nous nous frottons, nous nous caressons et puis ma main enserre les deux pénis pour les masturber de concert. Il ne nous faut pas trois minutes pour enfin ressentir toutes la pression augmenter, pour enfin jouir, libérer nos semences mélangées. Nos bouches ne se sont presque pas décollées l’une de l’autre. Nos langues sont à nouveau en contact pour notre plus grand plaisir.
Nous nous lavons mutuellement. J’aime voir l’eau couler sur la tignasse blonde de mon ange aux yeux bleus. Nous rinçons la douche pour effacer toute trace de notre jouissance. Nous nous séchons avant de nous rhabiller dans la chambre de Ben. Heureusement que nous faisons la même taille, comme ça mon chéri peut me prêter de quoi me vêtir.
Nous descendons rejoindre le reste de la famille au rez-de-chaussée. Nous allons dans la cuisine auprès d’Arlette. Elle ne nous demande pas pourquoi nous avons pris autant de temps pour une simple douche ; elle suppose bien que nous en avons profité pour nous cajoler !
Nous demandons ce que nous pouvons faire pour l’aider à préparer le souper. Elle nous dit que c’est un macaroni - jambon qui est prévu au menu. Elle demande à Ben de râper le fromage, soit un morceau de gruyère et un autre d’emmenthal. Elle me demande de couper les deux tranches de jambon en dés. Elle s’occupe de faire le roux pour la béchamel.
Après avoir terminé ce petit travail culinaire, nous rejoignons Christine et Denis qui sont au salon, occupés à regarder la télévision. Christine me demande si ça va mieux après avoir pris une bonne douche. Je lui réponds que je me sens bien plus en forme. Denis nous explique qu’il est arrivé lorsque qu’il avait cessé de pleuvoir. Il est donc au courant de l’état dans lequel je me suis présenté chez Arlette et Yves. En parlant d’Yves, nous entendons que la porte d’entrée s’ouvre et trente secondes plus tard nous voyons le père de famille entrer dans la pièce où nous nous trouvons !
Nous nous levons pour lui faire la bise. Comme c’est vendredi soir, il nous propose de prendre l’apéritif : il nous suggère une bière trappiste de Rochefort de huit degrés. Nous acceptons bien volontiers. Christine va dans la cuisine et s’occupe de découper un bloc de fromage d’abbaye en dés, pour accompagner la trappiste.
Elle nous rejoint. Nous sommes tous assis avec un verre de bière à la main. Nous trinquons à la famille et aux futures vacances de Noël. Nous parlons ensuite de nos cours et des examens que nous devons passer. Nous parlons aussi de la réunion du lendemain ainsi que de la virée dans les Fagnes qui sera prévue entre les deux fêtes.
Moi : « Allo !
M-A : Bonjour Phil, c’est Marc-Antoine. Je ne te dérange pas ?
Moi : Bonjour M-A, non, je t’écoute !
M-A : Je sais que vous êtes tous en session d’examens, mais je propose que nous nous retrouvions deux heures demain après-midi pour une réunion de préparation au sujet de notre sortie dans les Fagnes et une petite répétition des chants de la messe de minuit avec l’Abbé !
Moi : Pour moi, c’est faisable. Je loge chez Ben ce soir et je suis certain qu’il dira « oui » lui aussi !
M-A : Je vais téléphoner chez lui de toute façon. Pour ce qui est des autres : Gaby, Chris et Alex c’est OK pour eux.
Moi : Super. Dis, faut-il apporter que quelque chose ?
M-A : Non, je pense que l’aumônier aura préparé du thé.
Moi : Je vais apporter quelques gâteaux secs en guise de quatre-heure !
M-A : Parfait Phil, je te reconnais bien là !
Moi : On ne change pas une équipe qui gagne !
M-A : Et avec humour en plus !
Moi : Pour une fois que je décompresse depuis le début de la semaine !
M-A : Bon, on se voit demain alors !
Moi : OK, je serai là avec Ben pour quatorze heures ! Bonne soirée M-A.
M-A : Super. Bonne soirée à vous deux !
Moi : Merci ! »
Je raccroche le combiné. Je regarde l’heure, il est bientôt seize heures, Jean va revenir de l’école. Je vais à la cuisine et je prépare un bon cacao chaud. Je vais à la réserve et je prends des gâteaux secs que je mets dans un petit panier en osier. Je dresse la table avec les bols pour boire le cacao. J’ai à peine terminé que j’entends la porte d’entrée qui s’ouvre. Je vais directement dans la hall et j’accueille mon frérot.
Moi : « Bonjour Jean.
Jea : Bonjour Phil.
Moi : Quand tu te seras débarrassé de ta veste, viens me rejoindre dans la cuisine.
Jea : OK, j’arrive !
Jean dépose sa veste au vestiaire et passe par la toilette et ensuite me rejoint.
Jea : Oh frérot tu as préparé le goûter, c’est super sympa.
Moi : Oui Jean, c’est pour te remercier d’être si avenant avec moi. C’est à mon tour de prendre soin de toi de temps en temps !
Jea : Merci grand frère, tu sais que tu comptes beaucoup pour moi et je sais que je compte pour toi !
Moi : Oui petit frère, je sais que tu m’aimes et que tu es attentif à Ben et moi. Alors je te souhaite le meilleur avec Amandine. »
Nous papotons ensuite en parlant de nos études, des profs et des élèves de nos classes respectives. Puis je regarde l’heure, il est déjà seize heures quarante. Il va être temps que je fasse mon sac pour aller chez Ben. Nous rangeons la vaisselle et remettons la cuisine en ordre. Je prends deux paquets de gâteaux secs pour demain. Je demande ensuite à Jean de passer par ma chambre.
Je termine mon sac lorsque Jean entre dans mon antre. Je lui donne alors quelques préservatifs. Je lui montre aussi où est ma réserve et l’autorise à s’y servir en cas de besoin. Les yeux de mon jeune frère s’illuminent, il me remercie en m’enlaçant. Je ne lui répète pas les consignes, il sait très bien qu’il doit être attentif à sa partenaire, à sa chérie Amandine. Je lui fait un clin d’œil et je redescends au rez-de-chaussée lorsque maman rentre.
Je salue mon chère mère en l’embrassant et la mets au courant de la petite réunion d’équipe de demain après-midi. Je lui dis aussi qu’il reste du cacao dans la cafetière, soit ce qui reste après notre goûter entre frères. Maman me sourit, elle est heureuse de savoir que nous nous entendons très bien entre nous. Je lui souhaite une bonne soirée et lui annonce que je serai de retour demain en fin d’après-midi.
J’arrive chez Ben, je suis à vélo et viens juste de me faire arroser par une grosse averse de pluie. Inutile de dire que je suis trempé. Je sonne et c’est bien entendu Ben qui vient m’ouvrir. Il me voit et éclate de rire. Cela ne fait pas un pli, les éclats de rire de mon chéri ont eu pour effet d’alerter Arlette qui arrive dans le hall d’entrée. Elle aussi s’esclaffe de rire en mettant sa main devant la bouche, comme pour s’excuser de sa réaction.
Arl : « Oh Phil tu es bien trempé.
Moi : Heu, j’ai pris une bonne douche !
Ben (tout en riant) : C’est ça, tu sais une douche ce n’est pas habillé qu’on la prend !
Moi : Oui, fous-toi de moi.
Arl : Mais c’est amusant Phil : bon ne reste pas comme ça, tu vas prendre froid.
Ben : Bonjour mon chéri mouillé !
Moi : Bonjour mon Ben au sec !
Arl : Allez les garçons, trêve de plaisanterie, va vite prendre une douche Phil.
Moi : Oui, je crois que c’est le mieux à faire.
Je monte avec Ben à l’étage et je me rends directement vers la salle de bain. Bien entendu, je croise Christine qui elle aussi pouffe de rire. Elle se doute bien que c’est à cause de la pluie que je suis dans cet état. Je pénètre dans la salle d’eau et me déshabille. J’entre dans la douche et laisse couler l’eau bien chaude pour me réchauffer. C’est vrai que je commençais à avoir un peu froid.
J’entends qu’on ouvre la porte, je me retourne et je vois mon Ben d’amour, nu comme un ver. Il vient me retrouver sous le jet dans la douche. Il s’approche de moi et vient déposer un baiser sur mes lèvres. Nous nous embrassons à pleine bouche. Je suis si heureux d’être avec mon chéri. Bien entendu nos phallus ne restent pas tranquilles, ils se sont dressés tels des mâts de cocagne, pointant vers le ciel.
Nos protubérances sont collées l’une à l’autre. Nous nous frottons, nous nous caressons et puis ma main enserre les deux pénis pour les masturber de concert. Il ne nous faut pas trois minutes pour enfin ressentir toutes la pression augmenter, pour enfin jouir, libérer nos semences mélangées. Nos bouches ne se sont presque pas décollées l’une de l’autre. Nos langues sont à nouveau en contact pour notre plus grand plaisir.
Nous nous lavons mutuellement. J’aime voir l’eau couler sur la tignasse blonde de mon ange aux yeux bleus. Nous rinçons la douche pour effacer toute trace de notre jouissance. Nous nous séchons avant de nous rhabiller dans la chambre de Ben. Heureusement que nous faisons la même taille, comme ça mon chéri peut me prêter de quoi me vêtir.
Nous descendons rejoindre le reste de la famille au rez-de-chaussée. Nous allons dans la cuisine auprès d’Arlette. Elle ne nous demande pas pourquoi nous avons pris autant de temps pour une simple douche ; elle suppose bien que nous en avons profité pour nous cajoler !
Nous demandons ce que nous pouvons faire pour l’aider à préparer le souper. Elle nous dit que c’est un macaroni - jambon qui est prévu au menu. Elle demande à Ben de râper le fromage, soit un morceau de gruyère et un autre d’emmenthal. Elle me demande de couper les deux tranches de jambon en dés. Elle s’occupe de faire le roux pour la béchamel.
Après avoir terminé ce petit travail culinaire, nous rejoignons Christine et Denis qui sont au salon, occupés à regarder la télévision. Christine me demande si ça va mieux après avoir pris une bonne douche. Je lui réponds que je me sens bien plus en forme. Denis nous explique qu’il est arrivé lorsque qu’il avait cessé de pleuvoir. Il est donc au courant de l’état dans lequel je me suis présenté chez Arlette et Yves. En parlant d’Yves, nous entendons que la porte d’entrée s’ouvre et trente secondes plus tard nous voyons le père de famille entrer dans la pièce où nous nous trouvons !
Nous nous levons pour lui faire la bise. Comme c’est vendredi soir, il nous propose de prendre l’apéritif : il nous suggère une bière trappiste de Rochefort de huit degrés. Nous acceptons bien volontiers. Christine va dans la cuisine et s’occupe de découper un bloc de fromage d’abbaye en dés, pour accompagner la trappiste.
Elle nous rejoint. Nous sommes tous assis avec un verre de bière à la main. Nous trinquons à la famille et aux futures vacances de Noël. Nous parlons ensuite de nos cours et des examens que nous devons passer. Nous parlons aussi de la réunion du lendemain ainsi que de la virée dans les Fagnes qui sera prévue entre les deux fêtes.