21-06-2022, 10:15 AM
Ce samedi matin il pleut. Nous décidons alors d’aller nous baigner. En route vers la piscine du « Longchamps ». C’est en faisant attention de ne pas nous montrer trop proches que nous nous amusons dans l’eau. Nous nageons quand même un peu, question de se bouger les fesses !
Le repas de midi est pris en famille. Bien entendu nous sommes moins expressifs, sachant que nous allons nous quitter après le dessert. Ah le dessert, je vois que maman a prévu une mousse au chocolat. Elle a mis la mousse dans des verrines avec un pointe de crème chantilly par-dessus, le tout saupoudré de pépites de chocolat noir. Quel délice !
C’est Yves qui vient reprendre Ben car il pleut toujours. Les deux papas discutent dix minutes et c’est donc le moment de se dire au-revoir ! Nous nous embrassons à pleine bouche. Ben est sur le pas de la porte et il me dit : « Je t’aime. » Je lui réponds : « Je t’aime aussi Ben. »
Je sais que nous nous retrouverons fin de semaine chez Ben. Il faut absolument que nous réussissions nos études secondaires pour pouvoir entamer l’enseignement supérieur. Il sera temps de chercher une fac ou une école supérieure au printemps prochain.
Je revois donc mes cours durant tout l’après-midi. Je m’attarde sur les cours d’anglais et de physique. La soirée se passe devant la télévision, devant un très bon film « Le Bon, la Brute et le Truand » de Sergio Leone, film qui est sorti en mille neuf cent soixante-six. Ce sont surtout les images ainsi que la musique que j’aime dans ce film, sans oublier la tension qui règne tout au long de l’histoire. C’est donc un super moment cinéma sur petit écran !
Déjà dimanche, papa revient de la boulangerie avec les pistolets et les croissants. Ça sent bon le café frais du matin ! Je suis avec mes parents, les autres dorment toujours. Pour ma part je suis du matin point de vue études, je suis bien réveillé et plus attentif. Je revois mes cours de science, soit chimie et biologie ; j’ai déjà revu la physique la veille.
C’est Jean qui vient me prévenir que le dîner va être servi et que papa m’attend pour prendre l’apéro. Je descends avec Jean rejoindre le reste de la famille. En arrivant dans le salon, je vois qu’Amandine est là, elle est arrivée dans le courant de la matinée, pour le plus grand plaisir de Jean. Nous nous faisons la bise. Elle me demande comment va Ben, je lui réponds donc qu’il est chez lui et qu’il étudie lui aussi ses cours en vue de la session d’examens !
Pour l’apéro, j’opte pour de la limonade, il faut que j’aie les idées claires pour poursuivre mes révisions. Jean et Amandine sont collés l’un à l’autre, Anne et André se tiennent eux par la main. Je suis très heureux pour ma sœur et mon frère, ils forment deux beaux couples. Bien entendu j’aurais aimé que Ben soit là lui aussi, mais nous avons décidé de donner la priorité à nos études. De toute manière nous aurons encore beaucoup d’occasions pour nous retrouver tous ensemble, ne fût-ce que pour les fêtes de fin d’année.
Un repas de dimanche toujours aussi délicieux. Nous commençons par un potage aux potirons, suivi d’un poulet basquaise avec du riz comme accompagnement. Comme dessert, nous avons le choix entre différents fruits, tels qu’oranges, pommes et poires. C’est évidemment une source de vitamines qui va me permettre de rester en forme et de braver les intempéries qui s’annoncent, sans tomber malade.
Je remonte ensuite dans ma chambre et je poursuis mes révisions. J’en ai encore pour deux heures à tout casser ! Je termine vers quinze heures quarante, soit bien plus tôt que ce que j’avais prévu. Je rejoins la famille qui est au salon. La télévision diffuse une émission de variétés. C’est d’ailleurs Adamo qui chante pour le moment. Il va être temps de goûter et je demande à maman ce qu’elle a prévu. Elle me dit qu’elle a fait un gâteau quatre-quarts et qu’elle s’occupe de le couper en parts égales pour tous les membres de la famille qui sont présents. Maman me dit de rester avec les autres car elle sait s’en occuper toute seule.
C’est sans compter sur l’envie pour Anne de se rendre utile, elle va dans la cuisine et elle prend l’initiative de faire passer le café et de préparer du cacao chaud pour ceux qui en veulent. Le moment consacré au goûter est une pause dans le courant de l’après-midi dominical. C’est une habitude prise depuis des années pour que nous soyons tous réunis pour passer un agréable moment de partage, avant de songer au lendemain et à la nouvelle semaine qui se dessine.
Finalement c’est à vingt et une heures que je rentre dans mon lit après une bonne douche. Je repense à mon amour, à mon chéri. Je pense que lui aussi va bientôt aller se coucher pour être en forme le lendemain. Je ne peux m’empêcher de penser à Ben et mon sexe prend bien entendu de l’ampleur. Je pose alors ma main sur ce membre qui ne demande qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Je me masturbe alors doucement profitant de ce moment particulier pour me procurer un doux plaisir tant désiré. Je jouis sur mon ventre et bien sûr j’essuie les traces de semence qui le macule avec un mouchoir en papier que je prends dans le tiroir de ma table de nuit. Je sais que dans quelques minutes je vais m’endormir et me retrouver dans les bras de Morphée, avec l’image de mon Ben d’amour en tête !
Ce début de semaine se passe au mieux. Les révisions vont bon train. Je pense que je suis prêt pour passer cette session d’examens. Bien entendu je vais devoir revoir le cours relatif à chaque examen, la veille de celui-ci. J’attends avec impatience la fin de ces contrôles de connaissance.
Nous sommes mercredi fin d’après-midi, je suis à jour et je décide d’aller au cours de judo. Je prépare mon sac de sport. Je suis heureux de bouger et faire autre chose pour évacuer le stress. Tony est heureux de me revoir. Il me demande comment ça va et si je suis prêt pour les examens. Je lui réponds que ça va et que je suis venu me défouler pour me vider l’esprit en vue d’être au top pour la session.
L’entraînement me permet de passer un bon moment autrement que devant mes livres et mes cahiers. Je travaille sur le tatami avec Valentin, c’est très positif. Puis Timothée nous montre deux nouvelles prises, ou disons plus tôt un enchaînement de prises. C’est super surtout pour ceux qui font de la compétition. Après une heure et demie à pratiquer le judo et une bonne douche, je rentre à la maison, fatigué mais heureux de m’être dépensé physiquement.
Nous passons à table. Ce soir nous mangeons des raviolis avec du pain. Je suis rassasié. Je débarrasse la table et je rejoins Jean dans sa chambre. Nous discutons de tout et de rien. Puis Jean me regarde et semble vouloir quelque chose. Il veut probablement me dire quelque chose et je vois bien qu’il hésite. Je ne vais pas le laisser comme ça sans rien lui dire, alors je lui demande :
Moi : « Dis frérot, je sens que tu veux me dire quelque chose et que tu n’oses pas !
Jea : Je te reconnais bien là, tu es observateur. Oui voulais te demander…
Moi : Oui, quoi ?
Jea : Tu ne vas pas de foutre de moi ?
Moi : Non petit frère, je suis tout ouïe !
Jea : Je me demandais si tu ne pouvais me passer des …heu … des capotes !
Moi : Oh là, mon frère grandi, il a bien changé. Mais oui tu peux me demander des préservatifs.
Jea : Oh super Phil, la dernière fois qu’Amandine est venue, nous avions envie de nous aimer mais nous n’avions pas de capote !
Moi : C’est bien Jean, mais il faut que vous soyez sûr de vous. Puis sais-tu si ta chérie prend la pilule ?
Jea : Oui elle me l’a confirmé. Puis nous en avons envie, ça devient comme une obsession pour nous deux.
Moi : Je suis heureux pour vous. Je ne dirai rien à nos parents, mais faite attention à vous.
Jea : Oui Phil, tu sais, je teins très fort à Amandine, je ne veux en aucun cas la brusquer ou lui faire du mal !
Moi : C’est très bien Don Juan !
Jea : Désolé Phil, mais j’aime les filles.
Moi : Je le sais bien frangin, chacun sa vie.
Jea : Tu sais Phil, je suis fier de toi car tu mérites d’être heureux même avec un garçon !
Moi : Merci Jean.
Jea : Tu es vraiment heureux avec Ben ?
Moi : Oh oui, c’est magique avec lui. Puis nous nous aimons si fort !
Jea : Je le vois et je le sens. Tu as bien changé toi aussi. Tu es nettement plus sûr de toi !
Moi : C’est gentil ce que tu me dis.
Jea : Allez Phil, bonne « mer… » pour tes examens.
Moi : Toi aussi, bonne « mer… » !
Je quitte la chambre de mon frère. Je sens bien qu’il est heureux avec Amandine. Je trouve qu’il a vite mûri. Je sais qu’il craignait pour moi, qu’il était à l’affût des moindres problèmes pour me soutenir. C’est peut-être pour cette raison qu’il a si vite grandi. Ce que je ressens avec mon frère, c’est un grand amour fraternel. C’est un sentiment très fort. Puis je sais qu’il apprécie Ben. Je vois que la vie nous souris, tant pour la famille que pour Ben et moi !
Le repas de midi est pris en famille. Bien entendu nous sommes moins expressifs, sachant que nous allons nous quitter après le dessert. Ah le dessert, je vois que maman a prévu une mousse au chocolat. Elle a mis la mousse dans des verrines avec un pointe de crème chantilly par-dessus, le tout saupoudré de pépites de chocolat noir. Quel délice !
C’est Yves qui vient reprendre Ben car il pleut toujours. Les deux papas discutent dix minutes et c’est donc le moment de se dire au-revoir ! Nous nous embrassons à pleine bouche. Ben est sur le pas de la porte et il me dit : « Je t’aime. » Je lui réponds : « Je t’aime aussi Ben. »
Je sais que nous nous retrouverons fin de semaine chez Ben. Il faut absolument que nous réussissions nos études secondaires pour pouvoir entamer l’enseignement supérieur. Il sera temps de chercher une fac ou une école supérieure au printemps prochain.
Je revois donc mes cours durant tout l’après-midi. Je m’attarde sur les cours d’anglais et de physique. La soirée se passe devant la télévision, devant un très bon film « Le Bon, la Brute et le Truand » de Sergio Leone, film qui est sorti en mille neuf cent soixante-six. Ce sont surtout les images ainsi que la musique que j’aime dans ce film, sans oublier la tension qui règne tout au long de l’histoire. C’est donc un super moment cinéma sur petit écran !
Déjà dimanche, papa revient de la boulangerie avec les pistolets et les croissants. Ça sent bon le café frais du matin ! Je suis avec mes parents, les autres dorment toujours. Pour ma part je suis du matin point de vue études, je suis bien réveillé et plus attentif. Je revois mes cours de science, soit chimie et biologie ; j’ai déjà revu la physique la veille.
C’est Jean qui vient me prévenir que le dîner va être servi et que papa m’attend pour prendre l’apéro. Je descends avec Jean rejoindre le reste de la famille. En arrivant dans le salon, je vois qu’Amandine est là, elle est arrivée dans le courant de la matinée, pour le plus grand plaisir de Jean. Nous nous faisons la bise. Elle me demande comment va Ben, je lui réponds donc qu’il est chez lui et qu’il étudie lui aussi ses cours en vue de la session d’examens !
Pour l’apéro, j’opte pour de la limonade, il faut que j’aie les idées claires pour poursuivre mes révisions. Jean et Amandine sont collés l’un à l’autre, Anne et André se tiennent eux par la main. Je suis très heureux pour ma sœur et mon frère, ils forment deux beaux couples. Bien entendu j’aurais aimé que Ben soit là lui aussi, mais nous avons décidé de donner la priorité à nos études. De toute manière nous aurons encore beaucoup d’occasions pour nous retrouver tous ensemble, ne fût-ce que pour les fêtes de fin d’année.
Un repas de dimanche toujours aussi délicieux. Nous commençons par un potage aux potirons, suivi d’un poulet basquaise avec du riz comme accompagnement. Comme dessert, nous avons le choix entre différents fruits, tels qu’oranges, pommes et poires. C’est évidemment une source de vitamines qui va me permettre de rester en forme et de braver les intempéries qui s’annoncent, sans tomber malade.
Je remonte ensuite dans ma chambre et je poursuis mes révisions. J’en ai encore pour deux heures à tout casser ! Je termine vers quinze heures quarante, soit bien plus tôt que ce que j’avais prévu. Je rejoins la famille qui est au salon. La télévision diffuse une émission de variétés. C’est d’ailleurs Adamo qui chante pour le moment. Il va être temps de goûter et je demande à maman ce qu’elle a prévu. Elle me dit qu’elle a fait un gâteau quatre-quarts et qu’elle s’occupe de le couper en parts égales pour tous les membres de la famille qui sont présents. Maman me dit de rester avec les autres car elle sait s’en occuper toute seule.
C’est sans compter sur l’envie pour Anne de se rendre utile, elle va dans la cuisine et elle prend l’initiative de faire passer le café et de préparer du cacao chaud pour ceux qui en veulent. Le moment consacré au goûter est une pause dans le courant de l’après-midi dominical. C’est une habitude prise depuis des années pour que nous soyons tous réunis pour passer un agréable moment de partage, avant de songer au lendemain et à la nouvelle semaine qui se dessine.
Finalement c’est à vingt et une heures que je rentre dans mon lit après une bonne douche. Je repense à mon amour, à mon chéri. Je pense que lui aussi va bientôt aller se coucher pour être en forme le lendemain. Je ne peux m’empêcher de penser à Ben et mon sexe prend bien entendu de l’ampleur. Je pose alors ma main sur ce membre qui ne demande qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Je me masturbe alors doucement profitant de ce moment particulier pour me procurer un doux plaisir tant désiré. Je jouis sur mon ventre et bien sûr j’essuie les traces de semence qui le macule avec un mouchoir en papier que je prends dans le tiroir de ma table de nuit. Je sais que dans quelques minutes je vais m’endormir et me retrouver dans les bras de Morphée, avec l’image de mon Ben d’amour en tête !
Ce début de semaine se passe au mieux. Les révisions vont bon train. Je pense que je suis prêt pour passer cette session d’examens. Bien entendu je vais devoir revoir le cours relatif à chaque examen, la veille de celui-ci. J’attends avec impatience la fin de ces contrôles de connaissance.
Nous sommes mercredi fin d’après-midi, je suis à jour et je décide d’aller au cours de judo. Je prépare mon sac de sport. Je suis heureux de bouger et faire autre chose pour évacuer le stress. Tony est heureux de me revoir. Il me demande comment ça va et si je suis prêt pour les examens. Je lui réponds que ça va et que je suis venu me défouler pour me vider l’esprit en vue d’être au top pour la session.
L’entraînement me permet de passer un bon moment autrement que devant mes livres et mes cahiers. Je travaille sur le tatami avec Valentin, c’est très positif. Puis Timothée nous montre deux nouvelles prises, ou disons plus tôt un enchaînement de prises. C’est super surtout pour ceux qui font de la compétition. Après une heure et demie à pratiquer le judo et une bonne douche, je rentre à la maison, fatigué mais heureux de m’être dépensé physiquement.
Nous passons à table. Ce soir nous mangeons des raviolis avec du pain. Je suis rassasié. Je débarrasse la table et je rejoins Jean dans sa chambre. Nous discutons de tout et de rien. Puis Jean me regarde et semble vouloir quelque chose. Il veut probablement me dire quelque chose et je vois bien qu’il hésite. Je ne vais pas le laisser comme ça sans rien lui dire, alors je lui demande :
Moi : « Dis frérot, je sens que tu veux me dire quelque chose et que tu n’oses pas !
Jea : Je te reconnais bien là, tu es observateur. Oui voulais te demander…
Moi : Oui, quoi ?
Jea : Tu ne vas pas de foutre de moi ?
Moi : Non petit frère, je suis tout ouïe !
Jea : Je me demandais si tu ne pouvais me passer des …heu … des capotes !
Moi : Oh là, mon frère grandi, il a bien changé. Mais oui tu peux me demander des préservatifs.
Jea : Oh super Phil, la dernière fois qu’Amandine est venue, nous avions envie de nous aimer mais nous n’avions pas de capote !
Moi : C’est bien Jean, mais il faut que vous soyez sûr de vous. Puis sais-tu si ta chérie prend la pilule ?
Jea : Oui elle me l’a confirmé. Puis nous en avons envie, ça devient comme une obsession pour nous deux.
Moi : Je suis heureux pour vous. Je ne dirai rien à nos parents, mais faite attention à vous.
Jea : Oui Phil, tu sais, je teins très fort à Amandine, je ne veux en aucun cas la brusquer ou lui faire du mal !
Moi : C’est très bien Don Juan !
Jea : Désolé Phil, mais j’aime les filles.
Moi : Je le sais bien frangin, chacun sa vie.
Jea : Tu sais Phil, je suis fier de toi car tu mérites d’être heureux même avec un garçon !
Moi : Merci Jean.
Jea : Tu es vraiment heureux avec Ben ?
Moi : Oh oui, c’est magique avec lui. Puis nous nous aimons si fort !
Jea : Je le vois et je le sens. Tu as bien changé toi aussi. Tu es nettement plus sûr de toi !
Moi : C’est gentil ce que tu me dis.
Jea : Allez Phil, bonne « mer… » pour tes examens.
Moi : Toi aussi, bonne « mer… » !
Je quitte la chambre de mon frère. Je sens bien qu’il est heureux avec Amandine. Je trouve qu’il a vite mûri. Je sais qu’il craignait pour moi, qu’il était à l’affût des moindres problèmes pour me soutenir. C’est peut-être pour cette raison qu’il a si vite grandi. Ce que je ressens avec mon frère, c’est un grand amour fraternel. C’est un sentiment très fort. Puis je sais qu’il apprécie Ben. Je vois que la vie nous souris, tant pour la famille que pour Ben et moi !