17-06-2022, 10:46 AM
Le repas se passe vraiment bien. Tous les convives sont contents d’être réunis autour de la grande table. Il y a encore du spaghetti, mais ils sont tous repus. Le vin est aussi très apprécié, d’ailleurs Yves va rechercher deux nouvelles bouteilles. Je vois que M-A et Luc font attention, ils boivent de la limonade. Ils ont pris deux ou trois verres de vin, pas plus. Ce n’est pas le cas pour nos compagnons d’équipe. Ils sont très joyeux.
La soirée se poursuit comme elle a commencé, par des chants scouts et de la chanson française entendue actuellement dans les hitparades des radios. Arlette et le reste de la famille de Ben sont enthousiasmés d’entendre tous ces chants. Christine et Denis chantent aussi avec nous les quelques chants qu’ils connaissent.
Il se fait tard et il est temps de songer à terminer la soirée. Luc et M-A vont rentrer en reconduisant les jeunes chez eux. Seuls Gaby et Chris restent loger dans la chambre d’amis. C’est souvent le cas pour nos deux amis. Oui, Chris et Gaby sont devenus de véritables amis pour Ben et moi, au-delà du fait que nous soyons dans la même équipe.
Un passage par la salle de bain s’impose à nous. Une bonne douche pour reprendre nos esprits. Nous avons laissé nos deux amis passer dans la salle d’eau avant nous. Une fois essuyés nous allons dans la chambre, nous nous couchons dans le lit de Ben. Nous pouvons enfin nous embrasser. C’est donc lové dans les bras de l’un et de l’autre que nous nous câlinons. Inutile de dire que nos attributs ont pris du volume. Il n’en faut pas plus pour que je m’occupe de celui de Ben, qui en fait autant avec le mien.
Ben se penche vers la table de nuit pour y prendre le gel et deux préservatifs. Il me regarde dans les yeux. Il me montre les deux emballages carrés. Il les remet dans le tiroir qu’il referme, ne conservant en main que le flacon de gel. Je sais que nous allons nous aimer ce soir. Puis nous sommes fidèles l’un à l’autre. Nous pouvons nous aimer librement sans ce morceau de latex.
Ben me confie le lubrifiant et je me charge de préparer son anneau rectal. Je m’occupe donc d’assouplir cette partie que sera bientôt conquise par mon phallus. Je m’applique et Ben émet déjà quelques râles de bonheur. Inutile de dire que je ne débande pas. Je suis presque prêt à investir ce très bel endroit qui n’attend que ça. Je me place devant le lit. Ben lui est couché et me pose ses deux jambes sur les épaules de part et d’autre de mon cou. Il est prêt tout comme moi. J’approche mon pénis dressé à l’entrée de la caverne d’amour de Ben. Je la pénètre doucement, avec tendresse et sensibilité. Ben râle en sentant que j’investis son fondement. Voilà, j’entame des allers et retours pour notre plus grand bonheur. Je fais l’amour à mon chéri en lui disant des « Je t’aime ». Je jouis enfin au bout d’un certain temps, il faut dire que je n’ai pas regardé l’heure. Nous sommes Ben et moi en nage, je suppose que le vin aidant, nous avons plus chaud que d’habitude. C’est merveilleux de faire l’amour avec l’être aimé.
Nous inversons alors les rôles. C’est Ben qui prépare mon anus en vue de me pénétrer. Déjà le fait de sentir un doigt, puis deux, dilater l’entrée de ma grotte, me fait rebander une nouvelle fois. Je sens bien que ma rondelle est bien préparée et que je suis « ouvert » pour accueillir enfin le sexe bandé de mon Ben d’amour. Je me place comme « chéri » l’était quelques minutes au paravent. Je sens qu’il approche son gland déjà décalotté de l’entrée de mon antre. Puis il me pénètre doucement mais surement, sans à-coup. Je sens qu’il est au fond de moi. Il débute ses mouvements de va-et-vient. Ses bourses viennent frapper mon périnée au même rythme. Je suis dans un autre monde, je suis avec Ben, sur notre nuage. Je sens qu’il va arriver au point de non-retour. De mon côté je suis aussi très proche de la jouissance. Ben me fait divinement l’amour. J’entends qu’il râle plus fort et moi de mon côté je ressens une chaleur s’emparer de mon ventre, je sens que je vais jouir. Ben jouit alors dans mes entrailles et au même moment j’éjacule sur mon torse. C’est dans un râle partagé que nous jouissons l’un et l’autre, toujours entourés d’une certaine chaleur douce et enivrante. Nous nous retrouvons alors couchés côte à côte.
Nous laissons retomber la tension quelques minutes. Nous essuyons les dernières traces de nos ébats. Nous nous embrassons à pleines bouches, toujours enlacés, heureux et ivre de bonheur. Il ne nous faut pas longtemps pour nous endormir dans les bras l’un de l’autre.
Après une semaine de cours axée sur les révisions des différentes matières, il est temps de prendre du recul. Il est certain que le week-end sera propice d’une part pour se relaxer mais aussi pour étudier. Il a été convenu entre Ben et moi de se voir du vendredi au samedi jusqu’à quatorze heures, soit jusqu’à l’issue du dîner.
Je rentre à la maison, content d’être vendredi dix-sept heures dix. Maman est dans la cuisine, elle s’occupe de la préparation du souper. Je lui fait un gros bisou sur la joue. Un goûter est prêt sur la table. Une place a déjà été utilisée, je suis certain qu’il s’agit de Jean, qui doit être déjà dans sa chambre. Pour ma part je vais attendre que Ben soit arrivé pour manger un bout avec lui. En attendant je vais voir mon jeune frère dans sa tanière.
Je frappe à la porte et j’entends « entre » ! J’ouvre et vois Jean devant son bureau, il est déjà occupé à préparer une dissertation qu’il doit rendre lundi dans la cadre du cours de français. Je lui demande si ça va, il me dit qu’il se débrouille et que si éventuellement il a besoin d’un avis, qu’il me fera signe. Nous discutons de ses cours, il semble bien à jour et il est pratiquement prêt pour sa session d’examens. Il me pose aussi des questions sur mes cours, sachant que certains d’entre eux sont assez ardus, soit les mathématiques, la chimie et la physique. Je laisse mon frangin à son travail.
Je descends et m’aperçois que Ben vient d’arriver. Il est dans la cuisine avec maman et ils discutent entre eux. Je lui dis bonjour et je l’embrasse. Nous ne déposons qu’un bisou sur nos lèvres. J’enlace mon chéri et nous nous retrouvons à nous étreindre au milieu de la cuisine. Puis n’y tenant plus nous nous embrassons à pleines bouches, laissant nos langues danser entre elles ; cela fait une semaine qu’elles attendaient ce moment, enfin, c’est nous qui attendions de nous cajoler.
Nous passons à table, il y a du pain, du beurre, de la confiture et de la pâte choco. Le tout est accompagné d’un cacao chaud. C’est l’occasion de se dire l’un à l’autre ce que nous avons fait durant toute cette semaine. Finalement nous avons fait la même chose chacun dans notre école, surtout des révisions en vue de la session d’examens.
Après cet en-cas, nous montons dans ma chambre pour écouter de la musique. Je mets le disque « The Dark Side of the Moon » des Pink Floyd. C’est couché sur mon lit qui nous l’écoutons tout en nous embrassant par moment. C’est main dans la main que nous sommes le mieux installés pour nous relaxer en musique.
Après le souper pris en famille avec André, nous montons dans ma chambre pour écouter un autre disque, c’est « Led Zeppelin II ». Nous sommes à nouveau couchés main dans la main.
Après ce disque nous allons nous doucher. Dans la salle de bain nous prenons place dans la douche italienne. L’eau à bonne température et elle coule sur nos corps enlacés. Nous nous embrassons une nouvelle fois, mais cette foi nos attributs sont dressés. Ma main droite vient se placer sur le sexe bandé de Ben, lui fait de même et dépose sa main sur mon pénis tendu. Nous nous masturbons alors doucement l’un l’autre, sensuellement et même lascivement. Par moments nous accélérons la cadence laissant des râles de bonheur s’échapper de nos bouches. Inutile de dire que nous sommes une nouvelle fois dans notre bulle. Nous jouissons alors à l’unisson, laissant nos semences s’échapper sur nos doigts et nos ventres.
Étant sous la douche nous nous lavons alors l’un l’autre avant de sortir de cet endroit qui a déjà servi pour nos ébats. Nous nous séchons mutuellement avant de rejoindre ma chambre dans le plus simple appareil. Nous nous couchons pour nous lover dans les bras de l’être aimé. C’est dans cette position que nous sombrons dans le sommeil réparateur tant espérer après une semaine de révisions.
La soirée se poursuit comme elle a commencé, par des chants scouts et de la chanson française entendue actuellement dans les hitparades des radios. Arlette et le reste de la famille de Ben sont enthousiasmés d’entendre tous ces chants. Christine et Denis chantent aussi avec nous les quelques chants qu’ils connaissent.
Il se fait tard et il est temps de songer à terminer la soirée. Luc et M-A vont rentrer en reconduisant les jeunes chez eux. Seuls Gaby et Chris restent loger dans la chambre d’amis. C’est souvent le cas pour nos deux amis. Oui, Chris et Gaby sont devenus de véritables amis pour Ben et moi, au-delà du fait que nous soyons dans la même équipe.
Un passage par la salle de bain s’impose à nous. Une bonne douche pour reprendre nos esprits. Nous avons laissé nos deux amis passer dans la salle d’eau avant nous. Une fois essuyés nous allons dans la chambre, nous nous couchons dans le lit de Ben. Nous pouvons enfin nous embrasser. C’est donc lové dans les bras de l’un et de l’autre que nous nous câlinons. Inutile de dire que nos attributs ont pris du volume. Il n’en faut pas plus pour que je m’occupe de celui de Ben, qui en fait autant avec le mien.
Ben se penche vers la table de nuit pour y prendre le gel et deux préservatifs. Il me regarde dans les yeux. Il me montre les deux emballages carrés. Il les remet dans le tiroir qu’il referme, ne conservant en main que le flacon de gel. Je sais que nous allons nous aimer ce soir. Puis nous sommes fidèles l’un à l’autre. Nous pouvons nous aimer librement sans ce morceau de latex.
Ben me confie le lubrifiant et je me charge de préparer son anneau rectal. Je m’occupe donc d’assouplir cette partie que sera bientôt conquise par mon phallus. Je m’applique et Ben émet déjà quelques râles de bonheur. Inutile de dire que je ne débande pas. Je suis presque prêt à investir ce très bel endroit qui n’attend que ça. Je me place devant le lit. Ben lui est couché et me pose ses deux jambes sur les épaules de part et d’autre de mon cou. Il est prêt tout comme moi. J’approche mon pénis dressé à l’entrée de la caverne d’amour de Ben. Je la pénètre doucement, avec tendresse et sensibilité. Ben râle en sentant que j’investis son fondement. Voilà, j’entame des allers et retours pour notre plus grand bonheur. Je fais l’amour à mon chéri en lui disant des « Je t’aime ». Je jouis enfin au bout d’un certain temps, il faut dire que je n’ai pas regardé l’heure. Nous sommes Ben et moi en nage, je suppose que le vin aidant, nous avons plus chaud que d’habitude. C’est merveilleux de faire l’amour avec l’être aimé.
Nous inversons alors les rôles. C’est Ben qui prépare mon anus en vue de me pénétrer. Déjà le fait de sentir un doigt, puis deux, dilater l’entrée de ma grotte, me fait rebander une nouvelle fois. Je sens bien que ma rondelle est bien préparée et que je suis « ouvert » pour accueillir enfin le sexe bandé de mon Ben d’amour. Je me place comme « chéri » l’était quelques minutes au paravent. Je sens qu’il approche son gland déjà décalotté de l’entrée de mon antre. Puis il me pénètre doucement mais surement, sans à-coup. Je sens qu’il est au fond de moi. Il débute ses mouvements de va-et-vient. Ses bourses viennent frapper mon périnée au même rythme. Je suis dans un autre monde, je suis avec Ben, sur notre nuage. Je sens qu’il va arriver au point de non-retour. De mon côté je suis aussi très proche de la jouissance. Ben me fait divinement l’amour. J’entends qu’il râle plus fort et moi de mon côté je ressens une chaleur s’emparer de mon ventre, je sens que je vais jouir. Ben jouit alors dans mes entrailles et au même moment j’éjacule sur mon torse. C’est dans un râle partagé que nous jouissons l’un et l’autre, toujours entourés d’une certaine chaleur douce et enivrante. Nous nous retrouvons alors couchés côte à côte.
Nous laissons retomber la tension quelques minutes. Nous essuyons les dernières traces de nos ébats. Nous nous embrassons à pleines bouches, toujours enlacés, heureux et ivre de bonheur. Il ne nous faut pas longtemps pour nous endormir dans les bras l’un de l’autre.
Après une semaine de cours axée sur les révisions des différentes matières, il est temps de prendre du recul. Il est certain que le week-end sera propice d’une part pour se relaxer mais aussi pour étudier. Il a été convenu entre Ben et moi de se voir du vendredi au samedi jusqu’à quatorze heures, soit jusqu’à l’issue du dîner.
Je rentre à la maison, content d’être vendredi dix-sept heures dix. Maman est dans la cuisine, elle s’occupe de la préparation du souper. Je lui fait un gros bisou sur la joue. Un goûter est prêt sur la table. Une place a déjà été utilisée, je suis certain qu’il s’agit de Jean, qui doit être déjà dans sa chambre. Pour ma part je vais attendre que Ben soit arrivé pour manger un bout avec lui. En attendant je vais voir mon jeune frère dans sa tanière.
Je frappe à la porte et j’entends « entre » ! J’ouvre et vois Jean devant son bureau, il est déjà occupé à préparer une dissertation qu’il doit rendre lundi dans la cadre du cours de français. Je lui demande si ça va, il me dit qu’il se débrouille et que si éventuellement il a besoin d’un avis, qu’il me fera signe. Nous discutons de ses cours, il semble bien à jour et il est pratiquement prêt pour sa session d’examens. Il me pose aussi des questions sur mes cours, sachant que certains d’entre eux sont assez ardus, soit les mathématiques, la chimie et la physique. Je laisse mon frangin à son travail.
Je descends et m’aperçois que Ben vient d’arriver. Il est dans la cuisine avec maman et ils discutent entre eux. Je lui dis bonjour et je l’embrasse. Nous ne déposons qu’un bisou sur nos lèvres. J’enlace mon chéri et nous nous retrouvons à nous étreindre au milieu de la cuisine. Puis n’y tenant plus nous nous embrassons à pleines bouches, laissant nos langues danser entre elles ; cela fait une semaine qu’elles attendaient ce moment, enfin, c’est nous qui attendions de nous cajoler.
Nous passons à table, il y a du pain, du beurre, de la confiture et de la pâte choco. Le tout est accompagné d’un cacao chaud. C’est l’occasion de se dire l’un à l’autre ce que nous avons fait durant toute cette semaine. Finalement nous avons fait la même chose chacun dans notre école, surtout des révisions en vue de la session d’examens.
Après cet en-cas, nous montons dans ma chambre pour écouter de la musique. Je mets le disque « The Dark Side of the Moon » des Pink Floyd. C’est couché sur mon lit qui nous l’écoutons tout en nous embrassant par moment. C’est main dans la main que nous sommes le mieux installés pour nous relaxer en musique.
Après le souper pris en famille avec André, nous montons dans ma chambre pour écouter un autre disque, c’est « Led Zeppelin II ». Nous sommes à nouveau couchés main dans la main.
Après ce disque nous allons nous doucher. Dans la salle de bain nous prenons place dans la douche italienne. L’eau à bonne température et elle coule sur nos corps enlacés. Nous nous embrassons une nouvelle fois, mais cette foi nos attributs sont dressés. Ma main droite vient se placer sur le sexe bandé de Ben, lui fait de même et dépose sa main sur mon pénis tendu. Nous nous masturbons alors doucement l’un l’autre, sensuellement et même lascivement. Par moments nous accélérons la cadence laissant des râles de bonheur s’échapper de nos bouches. Inutile de dire que nous sommes une nouvelle fois dans notre bulle. Nous jouissons alors à l’unisson, laissant nos semences s’échapper sur nos doigts et nos ventres.
Étant sous la douche nous nous lavons alors l’un l’autre avant de sortir de cet endroit qui a déjà servi pour nos ébats. Nous nous séchons mutuellement avant de rejoindre ma chambre dans le plus simple appareil. Nous nous couchons pour nous lover dans les bras de l’être aimé. C’est dans cette position que nous sombrons dans le sommeil réparateur tant espérer après une semaine de révisions.