10-06-2022, 06:02 PM
Durant le brunch on parla de notre soirée et de ce qu'on allait faire pendant la semaine.
La mère de Liam nous parla d'une grange ou d'un hangar, elle ne se souvenait plus trop, en bordure de la propriété, si on pouvait y jeter un œil, ça serait bien.
Le brunch fini on remonta dans les chambres et je commençais à préparer mon sac. Liam m’imita. Méli et Gaële passèrent voir ce que l'on faisait et du coup tout le monde prépara ses affaires. Puis on se retrouva tous au bord de la piscine à lézarder.
Il devait être cinq heures, quand la mère de Liam proposa de manger. Et on discutait de l'heure à laquelle on allait partir demain quand Tony proposa de partir après manger.
- ça nous fera gagner au moins deux heures de sommeil demain matin.
Tous acceptèrent. Du coup ça a été le branle-bas de combat. La mère de Liam en cuisine à nous préparer des boites avec tout ce qu'elle avait au frigo, nous à charger les voitures, le père était assis dans un fauteuil et nous regardait faire en souriant. On remonta vite prendre une douche parce qu'on avait pas mal transpiré et on partit.
Quand on arriva à la ferme, il n'y avait personne. On déchargea tout et tant qu'il faisait encore un peu jour je décidais d'aller voir si je trouvais ce hangar dont la mère de Liam nous avait parlé.
Il était bien caché, derrière un bosquet d'arbre touffu et le chemin qui y menait était partiellement invisible. Il suffirait d'arracher quelques buissons, pour le rendre praticable.
C'était un bâtiment d'une dizaine de mètres de long sur cinq de large. La porte était cadenassée, du coup je ne pus pas voir ce qu'il y avait dedans. Je reviendrai demain avec ce qu'il fallait pour l’ouvrir.
Quand je repartis, j'entendis au loin, Jimmy qui criait à Susie de revenir. Et peu après Susie arriva à mon niveau.
Je la caressais un moment avant qu'elle jappe.
- Béééééééééééé ! Vous êtes arrivé !
Et Jimmy courut vers moi et me sauta dans les bras pour me faire la bise.
- Alors Jimmy, vous avez fait quoi ce weekend ?
- On était chez Kaleb. J'ai ramassé les œufs. Et j'en ai même pas cassé.
Il tourna la tête, Adam arrivait mais il était encore loin.
- Tu veux que je te dise un secret, Bé ?
- Si tu veux.
- Mais tu le dis à personne, tu me le promets ?
- Promis Jimmy, je ne dirai rien à personne.
- Y'a que toi et moi qui le saura. J'ai vu mon tonton Adam qui embrassait Kaleb sur la bouche. Mais, eux, ils m'ont pas vu. Tu dis rien hein !
- Non Jimmy promis je ne dirai rien à personne.
- Tu crois que c'est son nouveau chéri ?
- Je ne sais pas. Tu sais des fois avec les adultes c'est un peu compliqué mais je l'aime bien Kaleb.
- Moi aussi, il est gentil. Mais Bé, comment tu savais qu'on était chez Kaleb ?
- Je ne le savais pas et ce n'est pas vous que je cherchais mais un vieux bâtiment.
- Et tu l'as trouvé ?
- Oui il est caché là-bas derrière les arbres.
- Tu me le montres ?
Adam arrivait. On se fit la bise à la française. Il était souriant.
- Allez Bé, montre-le-moi !
- Jimmy, arrête d'embêter Bé !
- Mais, je veux juste qu'il me montre où c'est la maison.
- C'est pas une maison mais une remise. Allez viens, on y va.
Quand on revint sur la route il était déçu.
- Mais c'est juste un truc en tôle ! Y'a quoi dedans ?
- Je ne sais pas. On verra demain ou après-demain. Demain on va voir si on trouve des trésors dans la remise qui est à côté de la ferme.
- Je pourrais vous aider, pour chercher ?
- Comme toujours Jimmy. Sans toi, on avancerait moins vite. Puis on va avoir de la visite dans la semaine.
- C'est qui, qui va venir ?
- Joé et sa copine, mercredi et jeudi et vendredi, c'est les parents de Liam qui viennent voir ce qu'on a fait comme travail.
Je tenais Jimmy par la main.
- Dit Bé, tu veux bien me porter sur tes épaules, je suis un peu fatigué.
Je le pris sous les bras et je le posais sur mes épaules. Il entoura ma tête de ses bras et je sentis sa tête se poser sur la mienne.
Tout en remontant tranquillement on discutait de nos weekends respectifs avec Adam.
Le vendredi soir Kaleb les avait invité à manger et ils avaient passé une partie du weekend avec lui.
On arriva à la ferme qui était étrangement silencieuse. Seul Liam, assis sur la balancelle du perron, nous attendait.
- Ils sont monté se coucher. Ils étaient "fatigués".
Adam fut surpris par nos sourires. On dut lui expliquer.
- Méli et Gaële étaient en zone rouge et, à première vue, c'est fini pour elles !
- Si je te débarrassais de ton chapeau ?
- Oui, il va falloir m’aider.
Adam attrapa Jimmy qui ne se réveilla même pas et monta.
- Alors tu as trouvé la remise ?
- Oui, ta mère a bonne mémoire.
- Ya quoi dedans ?
- Je ne sais pas c'était cadenassé. On verra ça. J'espère qu'il y a moins de bordel que dans l’autre.
- Tu sais, on est conservateur dans la famille !
On verrouilla la porte et on monta. On se mit nus et on se coucha. La pleine lune éclairait le lit et le corps de Liam en était baigné. Je me mis sur le côté et je l’admirais.
Sa voix me fit sursauter.
- Tu peux toucher si tu veux au lieu de me manger des yeux. J'aime bien aussi, quand tu me regardes avec tes mains.
Je commençais par l’embrasser. Il répondit avec fougue à mes baisers. Nos corps se collèrent et je sentis sa queue raide contre la mienne. Je commençais à descendre doucement mais il se retourna.
Il était plus pressé que moi. Il pris directement ma queue en bouche et commença à me sucer avec frénésie.
- Ne vas pas si vite, tu vas me faire jouir trop vite, fais durer s'il te plait.
Mais il ne m'écouta pas ! Il avala mes jets et continua à me sucer. Il ne touchait pas mon gland qu'il savait sensible après l’éjaculation. Et il bougea pour me présenter ses fesses à manger.
Je lui mangeais la rosette un moment puis il bougea à nouveau et s'allongea sur le dos en remontant ses jambes sur son torse.
- Tu es plus endurant quand tu as joui.
Je le pris de longues minutes. On changea plusieurs fois de positions. J'étais collé à lui quand il commença à gémir si fort que je l'embrassais pour atténuer ses gémissements et je sentis qu'il jouissait entre nos corps collés.
Je me retirais.
- Non, continue, j'ai encore envie.
Il se mit à quatre pattes sur le lit. Je m'enfonçais d'une seule poussée entre ses fesses. Il gémit de plus belle et il répondait à mes coups de reins par des grands coups de fesses. ça claquait fort. Je n'avais jamais eu la queue si dure. Ses muscles intimes pulsaient autour de ma queue. Liam se mit à gémir très fort non-stop et il jouit une nouvelle fois. Sa jouissance provoqua la mienne.
Mais contrairement à mon habitude quand je jouis, au lieu de stopper mes aller-retours je les continuais et je crus que jamais je ne m'arrêterai de jouir. Je m'effondrais sur lui.
- Wow Bé, c'était génial ! Mais là j'en ai mis de partout. Il va falloir changer les draps. On va se doucher avant ?
On partit se doucher Liam était devant moi. Gaële et Tony sortirent nus de la salle de bain.
Gaële cacha ses seins et son sexe et Tony laissa voir sa queue, on l’avait déjà vue et en pleine forme. Ils partirent en riant vers leur chambre.
Je souriais, en disant à Liam :
- C'est vrai que vous avez le même beau petit cul.
La porte de la chambre des amoureux se refermait mais elle se rouvrit aussitôt, Tony passa la tête par l'embrasure de la porte et dit :
- J'ai entendu, Bé ! Mais n'y pense même pas en rêve ! C'est sens interdit, chez moi !
Et il referma. On se doucha et après avoir changé les draps, on se recoucha.
Le jour pointait quand je descendis après m'être habillé.
Je fis le café et Kaleb arriva. Comme moi il le buvait sans sucre.
- Alors Jeff, tu as passé un bon weekend ?
- Ça va, Je suis allé en boite de nuit pour la première fois de ma vie. Au fait mon ami Joé vient nous voir mercredi et jeudi, tu penses qu'il pourra voir ton arrière-grand-père ?
- Oui, il suffit que je le prévienne. Et j'ai trouvé sa cantine militaire au grenier. Il y a pas mal de choses dedans. Si tu veux demain je l'apporterai et comme ça Joé pourra voir s'il peut en tirer quelque chose.
Et Il faudra aussi que je le vois parce que depuis que mon arrière-grand-père sait que son copain est encore vivant, il veut le voir, avant de crever comme il dit. Et il insiste tous les jours.
- Au fait tu savais qu'il y avait une remise cachée au bas du terrain ?
- Oui, le Français y allait souvent mais je ne sais pas ce qu'il y faisait.
- Au fait, aujourd'hui on va nettoyer la première remise. Je ne sais pas ce qu'il y a dedans mais si tu n'as pas besoin de ta petite remorque je pourrais te l'emprunter ?
- Oui pas de problèmes. Fais gaffe aux moufettes et aux ratons laveurs, ils aiment bien les granges abandonnées.
Tu diras à Liam que je passerai ce soir. Je leur dois de l'argent pour les truffes que j'ai vendues ce weekend.
- Tu t'arrangeras avec eux. C’est pas mes affaires. Tu resteras manger avec nous ?
- Oui je veux bien. J'ai eu Adam et Jimmy ce weekend à la maison et de me retrouver seul ça me fait tout drôle.
- Surtout Jimmy, il est attachant. Et Adam est un brave mec. Dommage qu'il ait ces problèmes avec son ex.
- Oui, il m'en a parlé. C'est dégueulasse ce qu'il lui arrive. Comment ça se fait qu'un mec soit si pourri ?
- Des histoires de fric et de jalousie je pense.
- Bon je file, je vais faucher. Au fait d'ici deux ou trois jours, tu pourras me donner un coup de main pour les ballots ? Adam m'a déjà proposé son aide et Jimmy aussi mais ils n'ont pas l'habitude de la campagne.
- Ok pas de soucis, tu n'auras qu'à me dire quand tu auras besoin de moi. Les autres je les mettrais en repos pendant ce temps-là. Ils ne demandent que ça !
Il partit et comme je n'avais rien de mieux à faire j'allais jusqu'à la remise et commençais à sortir ce qu'il y avait dedans.
C'était principalement des caisses pourries, de la paille, des vieux tonneaux branlants qui, dès qu'on les touchaient, ne formaient plus qu'un amas de douelles !
Au mur, il y avait le harnachement de plusieurs chevaux. Vers le fond il y avait tout un tas de vieilles machines agricoles. Et d'autres dont je ne savais même pas à quoi elles pouvaient servir.
Petit à petit mes ouvriers arrivèrent. Le premier fut un Jimmy en pyjama et doudou en main.
- Hey Jimmy, tu fais quoi debout à cette heure ?
- Mon tonton, il dors encore. Et comme j'avais envie de faire pipi je me suis levé.
- Tu n'as pas pris ton petit déjeuner alors ?
- Non pas encore. Tu as vu Kaleb ce matin ?
- Oui, il est venu apporter du lait et des fraises.
- Des fraises, c'est vrai ? Je peux en avoir ?
- D'abord ton lait et tes céréales. Puis tu auras des fraises, le temps que je me lave les mains et que je les lave.
Je dus le stopper après un grand bol, il en aurait repris et on partit travailler tous les deux. Puis Adam qui cherchait Jimmy arriva et repartit l’habiller. Enfin, il revint m’aider. Et, finalement, en fin de matinée il ne restait plus que les machines agricoles au fond de la remise.
D'après Kaleb elles étaient bonne pour la ferraille mais Liam nous les fit démonter, pour récupérer des pièces telles que les roues en fer, les sièges en fer.
Il y avait aussi de vieux poêles en fonte "vintage" qu'il nous fit mettre de côté.
La seule pièce qu'on laissa en place fut un grand pressoir.
- Hé Bé, vite, viens vite ! J'ai trouvé un truc !
- Qu'est- ce que tu as trouvé Jimmy.
- Une cachette secrète.
En effet, il y avait une trappe, je l’ouvris. Les charnières grincèrent. Un escalier descendait.
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La mère de Liam nous parla d'une grange ou d'un hangar, elle ne se souvenait plus trop, en bordure de la propriété, si on pouvait y jeter un œil, ça serait bien.
Le brunch fini on remonta dans les chambres et je commençais à préparer mon sac. Liam m’imita. Méli et Gaële passèrent voir ce que l'on faisait et du coup tout le monde prépara ses affaires. Puis on se retrouva tous au bord de la piscine à lézarder.
Il devait être cinq heures, quand la mère de Liam proposa de manger. Et on discutait de l'heure à laquelle on allait partir demain quand Tony proposa de partir après manger.
- ça nous fera gagner au moins deux heures de sommeil demain matin.
Tous acceptèrent. Du coup ça a été le branle-bas de combat. La mère de Liam en cuisine à nous préparer des boites avec tout ce qu'elle avait au frigo, nous à charger les voitures, le père était assis dans un fauteuil et nous regardait faire en souriant. On remonta vite prendre une douche parce qu'on avait pas mal transpiré et on partit.
Quand on arriva à la ferme, il n'y avait personne. On déchargea tout et tant qu'il faisait encore un peu jour je décidais d'aller voir si je trouvais ce hangar dont la mère de Liam nous avait parlé.
Il était bien caché, derrière un bosquet d'arbre touffu et le chemin qui y menait était partiellement invisible. Il suffirait d'arracher quelques buissons, pour le rendre praticable.
C'était un bâtiment d'une dizaine de mètres de long sur cinq de large. La porte était cadenassée, du coup je ne pus pas voir ce qu'il y avait dedans. Je reviendrai demain avec ce qu'il fallait pour l’ouvrir.
Quand je repartis, j'entendis au loin, Jimmy qui criait à Susie de revenir. Et peu après Susie arriva à mon niveau.
Je la caressais un moment avant qu'elle jappe.
- Béééééééééééé ! Vous êtes arrivé !
Et Jimmy courut vers moi et me sauta dans les bras pour me faire la bise.
- Alors Jimmy, vous avez fait quoi ce weekend ?
- On était chez Kaleb. J'ai ramassé les œufs. Et j'en ai même pas cassé.
Il tourna la tête, Adam arrivait mais il était encore loin.
- Tu veux que je te dise un secret, Bé ?
- Si tu veux.
- Mais tu le dis à personne, tu me le promets ?
- Promis Jimmy, je ne dirai rien à personne.
- Y'a que toi et moi qui le saura. J'ai vu mon tonton Adam qui embrassait Kaleb sur la bouche. Mais, eux, ils m'ont pas vu. Tu dis rien hein !
- Non Jimmy promis je ne dirai rien à personne.
- Tu crois que c'est son nouveau chéri ?
- Je ne sais pas. Tu sais des fois avec les adultes c'est un peu compliqué mais je l'aime bien Kaleb.
- Moi aussi, il est gentil. Mais Bé, comment tu savais qu'on était chez Kaleb ?
- Je ne le savais pas et ce n'est pas vous que je cherchais mais un vieux bâtiment.
- Et tu l'as trouvé ?
- Oui il est caché là-bas derrière les arbres.
- Tu me le montres ?
Adam arrivait. On se fit la bise à la française. Il était souriant.
- Allez Bé, montre-le-moi !
- Jimmy, arrête d'embêter Bé !
- Mais, je veux juste qu'il me montre où c'est la maison.
- C'est pas une maison mais une remise. Allez viens, on y va.
Quand on revint sur la route il était déçu.
- Mais c'est juste un truc en tôle ! Y'a quoi dedans ?
- Je ne sais pas. On verra demain ou après-demain. Demain on va voir si on trouve des trésors dans la remise qui est à côté de la ferme.
- Je pourrais vous aider, pour chercher ?
- Comme toujours Jimmy. Sans toi, on avancerait moins vite. Puis on va avoir de la visite dans la semaine.
- C'est qui, qui va venir ?
- Joé et sa copine, mercredi et jeudi et vendredi, c'est les parents de Liam qui viennent voir ce qu'on a fait comme travail.
Je tenais Jimmy par la main.
- Dit Bé, tu veux bien me porter sur tes épaules, je suis un peu fatigué.
Je le pris sous les bras et je le posais sur mes épaules. Il entoura ma tête de ses bras et je sentis sa tête se poser sur la mienne.
Tout en remontant tranquillement on discutait de nos weekends respectifs avec Adam.
Le vendredi soir Kaleb les avait invité à manger et ils avaient passé une partie du weekend avec lui.
On arriva à la ferme qui était étrangement silencieuse. Seul Liam, assis sur la balancelle du perron, nous attendait.
- Ils sont monté se coucher. Ils étaient "fatigués".
Adam fut surpris par nos sourires. On dut lui expliquer.
- Méli et Gaële étaient en zone rouge et, à première vue, c'est fini pour elles !
- Si je te débarrassais de ton chapeau ?
- Oui, il va falloir m’aider.
Adam attrapa Jimmy qui ne se réveilla même pas et monta.
- Alors tu as trouvé la remise ?
- Oui, ta mère a bonne mémoire.
- Ya quoi dedans ?
- Je ne sais pas c'était cadenassé. On verra ça. J'espère qu'il y a moins de bordel que dans l’autre.
- Tu sais, on est conservateur dans la famille !
On verrouilla la porte et on monta. On se mit nus et on se coucha. La pleine lune éclairait le lit et le corps de Liam en était baigné. Je me mis sur le côté et je l’admirais.
Sa voix me fit sursauter.
- Tu peux toucher si tu veux au lieu de me manger des yeux. J'aime bien aussi, quand tu me regardes avec tes mains.
Je commençais par l’embrasser. Il répondit avec fougue à mes baisers. Nos corps se collèrent et je sentis sa queue raide contre la mienne. Je commençais à descendre doucement mais il se retourna.
Il était plus pressé que moi. Il pris directement ma queue en bouche et commença à me sucer avec frénésie.
- Ne vas pas si vite, tu vas me faire jouir trop vite, fais durer s'il te plait.
Mais il ne m'écouta pas ! Il avala mes jets et continua à me sucer. Il ne touchait pas mon gland qu'il savait sensible après l’éjaculation. Et il bougea pour me présenter ses fesses à manger.
Je lui mangeais la rosette un moment puis il bougea à nouveau et s'allongea sur le dos en remontant ses jambes sur son torse.
- Tu es plus endurant quand tu as joui.
Je le pris de longues minutes. On changea plusieurs fois de positions. J'étais collé à lui quand il commença à gémir si fort que je l'embrassais pour atténuer ses gémissements et je sentis qu'il jouissait entre nos corps collés.
Je me retirais.
- Non, continue, j'ai encore envie.
Il se mit à quatre pattes sur le lit. Je m'enfonçais d'une seule poussée entre ses fesses. Il gémit de plus belle et il répondait à mes coups de reins par des grands coups de fesses. ça claquait fort. Je n'avais jamais eu la queue si dure. Ses muscles intimes pulsaient autour de ma queue. Liam se mit à gémir très fort non-stop et il jouit une nouvelle fois. Sa jouissance provoqua la mienne.
Mais contrairement à mon habitude quand je jouis, au lieu de stopper mes aller-retours je les continuais et je crus que jamais je ne m'arrêterai de jouir. Je m'effondrais sur lui.
- Wow Bé, c'était génial ! Mais là j'en ai mis de partout. Il va falloir changer les draps. On va se doucher avant ?
On partit se doucher Liam était devant moi. Gaële et Tony sortirent nus de la salle de bain.
Gaële cacha ses seins et son sexe et Tony laissa voir sa queue, on l’avait déjà vue et en pleine forme. Ils partirent en riant vers leur chambre.
Je souriais, en disant à Liam :
- C'est vrai que vous avez le même beau petit cul.
La porte de la chambre des amoureux se refermait mais elle se rouvrit aussitôt, Tony passa la tête par l'embrasure de la porte et dit :
- J'ai entendu, Bé ! Mais n'y pense même pas en rêve ! C'est sens interdit, chez moi !
Et il referma. On se doucha et après avoir changé les draps, on se recoucha.
Le jour pointait quand je descendis après m'être habillé.
Je fis le café et Kaleb arriva. Comme moi il le buvait sans sucre.
- Alors Jeff, tu as passé un bon weekend ?
- Ça va, Je suis allé en boite de nuit pour la première fois de ma vie. Au fait mon ami Joé vient nous voir mercredi et jeudi, tu penses qu'il pourra voir ton arrière-grand-père ?
- Oui, il suffit que je le prévienne. Et j'ai trouvé sa cantine militaire au grenier. Il y a pas mal de choses dedans. Si tu veux demain je l'apporterai et comme ça Joé pourra voir s'il peut en tirer quelque chose.
Et Il faudra aussi que je le vois parce que depuis que mon arrière-grand-père sait que son copain est encore vivant, il veut le voir, avant de crever comme il dit. Et il insiste tous les jours.
- Au fait tu savais qu'il y avait une remise cachée au bas du terrain ?
- Oui, le Français y allait souvent mais je ne sais pas ce qu'il y faisait.
- Au fait, aujourd'hui on va nettoyer la première remise. Je ne sais pas ce qu'il y a dedans mais si tu n'as pas besoin de ta petite remorque je pourrais te l'emprunter ?
- Oui pas de problèmes. Fais gaffe aux moufettes et aux ratons laveurs, ils aiment bien les granges abandonnées.
Tu diras à Liam que je passerai ce soir. Je leur dois de l'argent pour les truffes que j'ai vendues ce weekend.
- Tu t'arrangeras avec eux. C’est pas mes affaires. Tu resteras manger avec nous ?
- Oui je veux bien. J'ai eu Adam et Jimmy ce weekend à la maison et de me retrouver seul ça me fait tout drôle.
- Surtout Jimmy, il est attachant. Et Adam est un brave mec. Dommage qu'il ait ces problèmes avec son ex.
- Oui, il m'en a parlé. C'est dégueulasse ce qu'il lui arrive. Comment ça se fait qu'un mec soit si pourri ?
- Des histoires de fric et de jalousie je pense.
- Bon je file, je vais faucher. Au fait d'ici deux ou trois jours, tu pourras me donner un coup de main pour les ballots ? Adam m'a déjà proposé son aide et Jimmy aussi mais ils n'ont pas l'habitude de la campagne.
- Ok pas de soucis, tu n'auras qu'à me dire quand tu auras besoin de moi. Les autres je les mettrais en repos pendant ce temps-là. Ils ne demandent que ça !
Il partit et comme je n'avais rien de mieux à faire j'allais jusqu'à la remise et commençais à sortir ce qu'il y avait dedans.
C'était principalement des caisses pourries, de la paille, des vieux tonneaux branlants qui, dès qu'on les touchaient, ne formaient plus qu'un amas de douelles !
Au mur, il y avait le harnachement de plusieurs chevaux. Vers le fond il y avait tout un tas de vieilles machines agricoles. Et d'autres dont je ne savais même pas à quoi elles pouvaient servir.
Petit à petit mes ouvriers arrivèrent. Le premier fut un Jimmy en pyjama et doudou en main.
- Hey Jimmy, tu fais quoi debout à cette heure ?
- Mon tonton, il dors encore. Et comme j'avais envie de faire pipi je me suis levé.
- Tu n'as pas pris ton petit déjeuner alors ?
- Non pas encore. Tu as vu Kaleb ce matin ?
- Oui, il est venu apporter du lait et des fraises.
- Des fraises, c'est vrai ? Je peux en avoir ?
- D'abord ton lait et tes céréales. Puis tu auras des fraises, le temps que je me lave les mains et que je les lave.
Je dus le stopper après un grand bol, il en aurait repris et on partit travailler tous les deux. Puis Adam qui cherchait Jimmy arriva et repartit l’habiller. Enfin, il revint m’aider. Et, finalement, en fin de matinée il ne restait plus que les machines agricoles au fond de la remise.
D'après Kaleb elles étaient bonne pour la ferraille mais Liam nous les fit démonter, pour récupérer des pièces telles que les roues en fer, les sièges en fer.
Il y avait aussi de vieux poêles en fonte "vintage" qu'il nous fit mettre de côté.
La seule pièce qu'on laissa en place fut un grand pressoir.
- Hé Bé, vite, viens vite ! J'ai trouvé un truc !
- Qu'est- ce que tu as trouvé Jimmy.
- Une cachette secrète.
En effet, il y avait une trappe, je l’ouvris. Les charnières grincèrent. Un escalier descendait.
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