07-06-2022, 10:17 AM
J’arrive chez Ben avec mes affaires dans mon sac. Je sonne à la porte de la maison et c’est Christine qui vient m’ouvrir. Nous nous faisons la bise. J’entre et je vois que Ben descend en trombe les escaliers. Il me saute dessus et me serre dans ses bras. Nous nous étreignons un moment. Christine nous laisse et s’en va dans la cuisine. J’entends qu’elle parle avec Arlette. Nos bras se retirent de l’être aimé et ce sont nos lèvres qui se rencontrent pour nous faire partir dans un baiser appuyé au cours duquel nos langues sont entrées en communion pour entamer une nouvelle sarabande à laquelle elles se sont habitué.
Nous sortons de notre bulle car on vient de sonner à la porte. Ben ouvre celle-ci et c’est Denis qui entre. Il nous salue et nous fait la bise. Christine arrive et embrasse son amoureux. Je vais à la cuisine et je dis bonjour à Arlette. Je lui remets bien entendu le bonjour de maman et du reste de la famille.
Ben me rejoins et nous restons un instant auprès de sa maman. Nous discutons ou plutôt je réponds aux questions posées. Arlette me demande comment vont les études, si je suis en forme, si j’ai déjà pensé aux prochaines fêtes de fin d’année, aux congés qui y sont associés … etc.
Je prends mon sac et monte avec Ben pour le déposer dans sa chambre. Nous nous embrassons encore et nos mains se faufilent sous nous vêtements pour caresser nos dos et nos poitrails. Nous cessons nos cajoleries pour nous raconter l’un l’autre notre semaine.
Il va être temps de rejoindre le reste de la famille car Yves, le papa de Ben, est semble-t-il rentré de son travail. Effectivement, en descendant l’escalier nous entendons sa voix dans la cuisine. Ben et moi allons le saluer et lui faisons la bise. Ben propose son aide à sa maman. Yves me demande d’aller au cellier pour y prendre une bouteille de beaujolais.
Le souper est comme à chaque fois, délicieux. Nous pouvons affirmer avec force : c’est que tous les jeunes, qui vivent de près ou de loin dans nos deux familles, sont gâtés, car les deux mamans sont de véritables cordons bleus.
Nous nous retrouvons dans notre chambre. Je regarde mon Ben, mon ange blond avec ses yeux couleur océan. Je ne me lasse pas de le contempler. Nous nous déshabillons et nous allons prendre un bonne douche. Nous partageons bien évidemment celle-ci pour nous laver mutuellement. Nos mains glissent sur nos corps, elles s’attardent par moment au niveau du pubis et en dessous bien entendu. Nos phallus sont dressés. Nous nous séchons pour revenir dans la chambre.
Inutile de dire que nous nous couchons au-dessus des draps, nos corps sont collés l’un à l’autre. Ma bouche se balade sur les épaules, les joues et le cou de Ben. Puis c’est lui qui prend le relais et m’embrasse un peu partout. Nos mains caressent chaque centimètres de peau de l’être aimé, elles s’attardent au niveau des points les plus sensibles. Nous nous embrassons de temps à autre et nous entrons tous les deux dans notre monde, dans notre bulle.
Ma bouche vient rejoindre la barre de chair de Ben. Mes lèvres se posent sur son gland déjà décalotté et luisant. Ma langue entreprend de petites succions au niveau de ce chapeau rose puis c’est le beau membre dressé qui entre dans ma bouche. J’entends déjà un râle de bonheur que Ben vient de me faire entendre. Je m’applique à bien sucer ce sucre d’orge. Ben pendant ce temps-là s’occupe de ma rondelle, il a déjà un doigt qui pénètre mon orifice anal. Puis avec un peu de gel il élargit et prépare l’entrée de ma grotte. Je sens que je suis prêt à recevoir mon Ben d’amour en moi. Je me place à quatre pattes sur le lit, Ben avance sa protubérance de ma cavité d’amour. Puis doucement son phallus entre dans mon antre. Je sens passer l’objet de mes désirs. Ben commence alors ses mouvements de va et vient pour notre plus grand bonheur. C’est tout en finesse et douceur qu’il me pilonne l’arrière-train. Je ne sais pas combien de temps ça dure, mais je suis dans un autre monde, dans une autre dimension. J’apprécie la façon dont Ben me fait l’amour. Lui râle aussi de plaisir, sa respiration s’accélère, je sens qu’il va bientôt arriver à la jouissance. Je sens qu’il se contracte, il va jouir, il laisse donc sa semence s’épandre dans mon antre en râlant de bonheur, tout comme moi.
Nous inversons alors les rôles, inutile de dire que mon sexe est dressé. Je m’occupe de la rosette de Ben. Lui de son côté me caresse doucement pour maintenir mon érection. Puis j’enduis sa rondelle et mon pénis de gel. J’approche mon « boute joie » de l’entrée de sa grotte d’amour. Mon gland se fraie un passage et pénètre avec douceur l’orifice réceptacle de mon amant. J’entre entièrement mon membre dur à souhait dans cette cavité si accueillante. J’entame alors des mouvements lents de va et vient, c’est tout en subtilité et douceur. Puis j’accélère un peu l’amplitude des allers et retours ; Ben râle de bonheur et moi de plaisir. Nous sommes sur notre planète, sur des nuages féériques. Je sens mon bas ventre bouillir, je sais que je vais bientôt atteindre le point de non-retour. Je murmure à l’oreille de mon chéri : « Je t’aime mon amour ». Ben de son côté me répond : « Moi aussi je t’aime Phil ! ». Je sens ma sève d’amour monter et ensuite traverser ma verge, pour enfin venir se déverser dans le puits d’amour de mon Ben chéri. L’orgasme ressenti nous fait râler assez fort tous les deux, signe d’un grand bonheur partagé.
Nous nous affalons côte à côte pour nous laisser le temps de nous reprendre. Nous nous embrassons à pleine bouche laissant nos langues danser ensemble, allant d’une bouche à l’autre pour notre plus grand bonheur ! Nous nous disons des « je t’aime » sachant que les mots prononcés sonnent véritablement justes !
Après une très bonne nuit, j’ouvre les yeux le premier. C’est la pénombre dans la chambre de Ben. Il dort encore et je distingue sa chevelure blonde étalée sur son oreiller. Je ne peux m’empêcher de repenser à ce jour où je l’ai vu pour la première fois dans la salle de kiné à l’hôpital. J’ai eu comme un coup de foudre pour ce bel adolescent blond aux yeux bleus. Cela fait plus d’un an que nous sommes ensemble, que nous nous aimons et que je me sens bien avec lui. J’ai pu progresser et aller de l’avant grâce à son aide. Puis nous en avons fait des choses pour venir en aide aux autres. Je suis dans mes pensées, je n’ai plus la notion du temps qui passe. C’est lorsque Ben m’embrasse sur la bouche que je sors de mon nuage !
Ben : « Oh Phil, tu es encore parti dans un autre monde !
Moi : Oui, désolé. Veux-tu que je te dise ce que je pensais ?
Ben : Oui, si ce n’est pas trop indiscret !
Moi : Non, au contraire cela te concerne.
Ben : Ah bon, ça me concerne !
Moi : Oui, je me remémorais le jour où je t’ai vu pour la première fois dans le local de kiné à la clinique.
Ben : Oui, je m’en souviens aussi. Je t’avais trouvé étrange ce jour-là : je me demandais ce qu’un ado de mon âge faisait là avec une tête d’enterrement. Puis lorsque tu es arrivé en chambre, dans ma chambre, j’ai été intrigué.
Moi : Puis nous avons fait plus ample connaissance. Nous nous sommes aidés mutuellement. Nous avons appris à nous connaître.
Ben : Puis quand j’ai su que tu étais gay, je me suis dit que je pouvais peut-être oser exprimer ce que je ressentais. C’est toi qui m’a fait dévoiler mon homosexualité.
Moi : Oui je sais Ben et c’est alors que j’ai vraiment craqué pour toi. Tu étais mon ange blond aux yeux bleus. Tu l’es toujours. C’est ta chevelure blonde que je voyais en me réveillant ce matin qui m’a rappelé tant de beaux souvenirs !
Ben : Merci Phil, merci d’être avec moi, de me tenir compagnie.
Moi : C’est toi que je dois remercier, car c’est toi qui m’a sorti de mon chagrin, qui m’a donné le goût de vivre et d’aimer.
Ben : Tu sais Phil, nous avons fait chacun une partie de chemin qui a permis de nous rapprocher. Comme tu le dis : « de nous aimer » !
Je me penche vers celui qui me comble de bonheur. Mes lèvres se déposent sur les siennes. Puis elles s’écartent, elles laissent nos langue se faufiler et entrer dans la bouche de l’être aimé pour enfin enter dans une danse tant et tant répétée et toujours si agréable. Nous sommes dans notre bulle. C’est alors qu’on frappe à la porte. C’est Yves, le papa de Ben qui entre. Il nous voit en train de nous embrasser. Il reste coi une dizaine de secondes. C’est le temps pour nous d’émerger. Yves nous dit qu’il est temps de se lever car le petit déjeuner est servi. C’est Ben qui fait signe au son papa de rester et de s’approcher de nous.
Ben lui explique que nous nous étions remémorés le moment de notre rencontre et l’acceptation de sa situation de jeune ado gay. Puis il le remercie de l’avoir accepté tel qu’il était après l’épisode de la douche et la fugue de son chéri.
Yves nous demande de nous lever. Il nous prend dans ses bras pour nous faire un gros câlin. Il dit alors :
Yve : « Oui, ce sont des souvenirs tout ça. Votre rencontre à l’hôpital, celle qui vous a fait connaître l’un à l’autre et dont j’ignorais tout. Puis ce matin-là où je vous ai trouvé, hem… dans une occupation disons… un peu particulière. Ce que je regrette le plus, c’est ma réaction.
Ben : C’est oublié papa. Je sais que tu m’aimes et que tu aimes Phil.
Yve : Oui Ben je vous aime tous les deux. Vous êtes mes deux garçons. Je vous souhaite de rester le plus longtemps possible ensemble en vous aimant comme au premier jour. Je suis certain que vous vous respectez l’un l’autre.
Moi : Merci Yves, je t’aime comme mon second papa !
Yve : Merci Phil, cela me touche beaucoup. Bon il est temps de songer à aller déjeuner.
Yves nous donne à chacun un baiser sur le front. Je vois que ses yeux sont humides, les mots qu’il vient de nous dire viennent de son cœur ! Je me sens si bien chez Ben tout comme Ben se sent si bien dans ma famille. Yves quitte la chambre nous laissant debout, nus, nous regardant les yeux dans les yeux !
Nous sortons de notre bulle car on vient de sonner à la porte. Ben ouvre celle-ci et c’est Denis qui entre. Il nous salue et nous fait la bise. Christine arrive et embrasse son amoureux. Je vais à la cuisine et je dis bonjour à Arlette. Je lui remets bien entendu le bonjour de maman et du reste de la famille.
Ben me rejoins et nous restons un instant auprès de sa maman. Nous discutons ou plutôt je réponds aux questions posées. Arlette me demande comment vont les études, si je suis en forme, si j’ai déjà pensé aux prochaines fêtes de fin d’année, aux congés qui y sont associés … etc.
Je prends mon sac et monte avec Ben pour le déposer dans sa chambre. Nous nous embrassons encore et nos mains se faufilent sous nous vêtements pour caresser nos dos et nos poitrails. Nous cessons nos cajoleries pour nous raconter l’un l’autre notre semaine.
Il va être temps de rejoindre le reste de la famille car Yves, le papa de Ben, est semble-t-il rentré de son travail. Effectivement, en descendant l’escalier nous entendons sa voix dans la cuisine. Ben et moi allons le saluer et lui faisons la bise. Ben propose son aide à sa maman. Yves me demande d’aller au cellier pour y prendre une bouteille de beaujolais.
Le souper est comme à chaque fois, délicieux. Nous pouvons affirmer avec force : c’est que tous les jeunes, qui vivent de près ou de loin dans nos deux familles, sont gâtés, car les deux mamans sont de véritables cordons bleus.
Nous nous retrouvons dans notre chambre. Je regarde mon Ben, mon ange blond avec ses yeux couleur océan. Je ne me lasse pas de le contempler. Nous nous déshabillons et nous allons prendre un bonne douche. Nous partageons bien évidemment celle-ci pour nous laver mutuellement. Nos mains glissent sur nos corps, elles s’attardent par moment au niveau du pubis et en dessous bien entendu. Nos phallus sont dressés. Nous nous séchons pour revenir dans la chambre.
Inutile de dire que nous nous couchons au-dessus des draps, nos corps sont collés l’un à l’autre. Ma bouche se balade sur les épaules, les joues et le cou de Ben. Puis c’est lui qui prend le relais et m’embrasse un peu partout. Nos mains caressent chaque centimètres de peau de l’être aimé, elles s’attardent au niveau des points les plus sensibles. Nous nous embrassons de temps à autre et nous entrons tous les deux dans notre monde, dans notre bulle.
Ma bouche vient rejoindre la barre de chair de Ben. Mes lèvres se posent sur son gland déjà décalotté et luisant. Ma langue entreprend de petites succions au niveau de ce chapeau rose puis c’est le beau membre dressé qui entre dans ma bouche. J’entends déjà un râle de bonheur que Ben vient de me faire entendre. Je m’applique à bien sucer ce sucre d’orge. Ben pendant ce temps-là s’occupe de ma rondelle, il a déjà un doigt qui pénètre mon orifice anal. Puis avec un peu de gel il élargit et prépare l’entrée de ma grotte. Je sens que je suis prêt à recevoir mon Ben d’amour en moi. Je me place à quatre pattes sur le lit, Ben avance sa protubérance de ma cavité d’amour. Puis doucement son phallus entre dans mon antre. Je sens passer l’objet de mes désirs. Ben commence alors ses mouvements de va et vient pour notre plus grand bonheur. C’est tout en finesse et douceur qu’il me pilonne l’arrière-train. Je ne sais pas combien de temps ça dure, mais je suis dans un autre monde, dans une autre dimension. J’apprécie la façon dont Ben me fait l’amour. Lui râle aussi de plaisir, sa respiration s’accélère, je sens qu’il va bientôt arriver à la jouissance. Je sens qu’il se contracte, il va jouir, il laisse donc sa semence s’épandre dans mon antre en râlant de bonheur, tout comme moi.
Nous inversons alors les rôles, inutile de dire que mon sexe est dressé. Je m’occupe de la rosette de Ben. Lui de son côté me caresse doucement pour maintenir mon érection. Puis j’enduis sa rondelle et mon pénis de gel. J’approche mon « boute joie » de l’entrée de sa grotte d’amour. Mon gland se fraie un passage et pénètre avec douceur l’orifice réceptacle de mon amant. J’entre entièrement mon membre dur à souhait dans cette cavité si accueillante. J’entame alors des mouvements lents de va et vient, c’est tout en subtilité et douceur. Puis j’accélère un peu l’amplitude des allers et retours ; Ben râle de bonheur et moi de plaisir. Nous sommes sur notre planète, sur des nuages féériques. Je sens mon bas ventre bouillir, je sais que je vais bientôt atteindre le point de non-retour. Je murmure à l’oreille de mon chéri : « Je t’aime mon amour ». Ben de son côté me répond : « Moi aussi je t’aime Phil ! ». Je sens ma sève d’amour monter et ensuite traverser ma verge, pour enfin venir se déverser dans le puits d’amour de mon Ben chéri. L’orgasme ressenti nous fait râler assez fort tous les deux, signe d’un grand bonheur partagé.
Nous nous affalons côte à côte pour nous laisser le temps de nous reprendre. Nous nous embrassons à pleine bouche laissant nos langues danser ensemble, allant d’une bouche à l’autre pour notre plus grand bonheur ! Nous nous disons des « je t’aime » sachant que les mots prononcés sonnent véritablement justes !
Après une très bonne nuit, j’ouvre les yeux le premier. C’est la pénombre dans la chambre de Ben. Il dort encore et je distingue sa chevelure blonde étalée sur son oreiller. Je ne peux m’empêcher de repenser à ce jour où je l’ai vu pour la première fois dans la salle de kiné à l’hôpital. J’ai eu comme un coup de foudre pour ce bel adolescent blond aux yeux bleus. Cela fait plus d’un an que nous sommes ensemble, que nous nous aimons et que je me sens bien avec lui. J’ai pu progresser et aller de l’avant grâce à son aide. Puis nous en avons fait des choses pour venir en aide aux autres. Je suis dans mes pensées, je n’ai plus la notion du temps qui passe. C’est lorsque Ben m’embrasse sur la bouche que je sors de mon nuage !
Ben : « Oh Phil, tu es encore parti dans un autre monde !
Moi : Oui, désolé. Veux-tu que je te dise ce que je pensais ?
Ben : Oui, si ce n’est pas trop indiscret !
Moi : Non, au contraire cela te concerne.
Ben : Ah bon, ça me concerne !
Moi : Oui, je me remémorais le jour où je t’ai vu pour la première fois dans le local de kiné à la clinique.
Ben : Oui, je m’en souviens aussi. Je t’avais trouvé étrange ce jour-là : je me demandais ce qu’un ado de mon âge faisait là avec une tête d’enterrement. Puis lorsque tu es arrivé en chambre, dans ma chambre, j’ai été intrigué.
Moi : Puis nous avons fait plus ample connaissance. Nous nous sommes aidés mutuellement. Nous avons appris à nous connaître.
Ben : Puis quand j’ai su que tu étais gay, je me suis dit que je pouvais peut-être oser exprimer ce que je ressentais. C’est toi qui m’a fait dévoiler mon homosexualité.
Moi : Oui je sais Ben et c’est alors que j’ai vraiment craqué pour toi. Tu étais mon ange blond aux yeux bleus. Tu l’es toujours. C’est ta chevelure blonde que je voyais en me réveillant ce matin qui m’a rappelé tant de beaux souvenirs !
Ben : Merci Phil, merci d’être avec moi, de me tenir compagnie.
Moi : C’est toi que je dois remercier, car c’est toi qui m’a sorti de mon chagrin, qui m’a donné le goût de vivre et d’aimer.
Ben : Tu sais Phil, nous avons fait chacun une partie de chemin qui a permis de nous rapprocher. Comme tu le dis : « de nous aimer » !
Je me penche vers celui qui me comble de bonheur. Mes lèvres se déposent sur les siennes. Puis elles s’écartent, elles laissent nos langue se faufiler et entrer dans la bouche de l’être aimé pour enfin enter dans une danse tant et tant répétée et toujours si agréable. Nous sommes dans notre bulle. C’est alors qu’on frappe à la porte. C’est Yves, le papa de Ben qui entre. Il nous voit en train de nous embrasser. Il reste coi une dizaine de secondes. C’est le temps pour nous d’émerger. Yves nous dit qu’il est temps de se lever car le petit déjeuner est servi. C’est Ben qui fait signe au son papa de rester et de s’approcher de nous.
Ben lui explique que nous nous étions remémorés le moment de notre rencontre et l’acceptation de sa situation de jeune ado gay. Puis il le remercie de l’avoir accepté tel qu’il était après l’épisode de la douche et la fugue de son chéri.
Yves nous demande de nous lever. Il nous prend dans ses bras pour nous faire un gros câlin. Il dit alors :
Yve : « Oui, ce sont des souvenirs tout ça. Votre rencontre à l’hôpital, celle qui vous a fait connaître l’un à l’autre et dont j’ignorais tout. Puis ce matin-là où je vous ai trouvé, hem… dans une occupation disons… un peu particulière. Ce que je regrette le plus, c’est ma réaction.
Ben : C’est oublié papa. Je sais que tu m’aimes et que tu aimes Phil.
Yve : Oui Ben je vous aime tous les deux. Vous êtes mes deux garçons. Je vous souhaite de rester le plus longtemps possible ensemble en vous aimant comme au premier jour. Je suis certain que vous vous respectez l’un l’autre.
Moi : Merci Yves, je t’aime comme mon second papa !
Yve : Merci Phil, cela me touche beaucoup. Bon il est temps de songer à aller déjeuner.
Yves nous donne à chacun un baiser sur le front. Je vois que ses yeux sont humides, les mots qu’il vient de nous dire viennent de son cœur ! Je me sens si bien chez Ben tout comme Ben se sent si bien dans ma famille. Yves quitte la chambre nous laissant debout, nus, nous regardant les yeux dans les yeux !