03-06-2022, 08:52 AM
Nous rentrons ensuite à la maison, en effet : Ben vient loger chez moi. Nous rentrons en bus pour ne pas toujours demander à maman ou à papa de venir nous rechercher. Puis comme nous disposons chacun d’un abonnement pour les transports en commun et ce pour la durée d’une année civile, cela ne nous pose donc aucun problème.
Une fois à la maison nous passons à table car le souper est servi. Jean et Amandine sont présents ainsi que ma sœur Anne et André. Nous mangeons du cramique et du craquelin soit avec du cacao ou alors de la limonade. Nous optons Ben et moi pour le cacao. Nous ne sommes pas les seuls, André et Jean font de même.
Lors du repas nous expliquons ce que nous avons fait durant notre réunion sans oublier de parler de l’arrivée de Christophe au sein de l’équipe. Toute la famille se souvient de lui à l’occasion de la présentation de la campagne pour la lutte contre la lèpre et la tuberculose ! Ben raconte comment il a été accueilli par tous les équipiers.
Je parle alors du verre de l’amitié qui a été proposé par Marc-Antoine. Anne et Amandine trouvent que cette façon de faire, pour d’une part intégrer un nouveau scout mais aussi pour encourager les autres à poursuivre dans cette voie-là, est une excellente idée. Mes parents approuvent aussi ce concept.
La soirée se passe ensuite devant la diffusion, à la télévision, d’une pièce de théâtre de Vaudeville : « Bossemans et Coppenolle ». Il s’agit d’une pièce qui se passe à Bruxelles, en patois bruxellois et dans laquelle les deux pères sont acharnés de football. Chacun est « supporter » d’une équipe différente. Leurs enfants sont amoureux et ils désirent se marier. Bien entendu les deux pères ne voient pas d’un bon œil que l’autre supporte l’équipe adverse et vice-versa.
Nous rions tous de bon cœur en fonction des quiproquos dans le discours des deux papas. Nous prenons un verre de mousseux durant la vision de cette pièce et il y a aussi quelques biscuits salés pour agrémenter la soirée.
Une fois ce spectacle terminé, nous montons tous à l’étage, il est temps d’aller rejoindre le pays des rêves. Nous laissons Anne et André passer les premiers par la salle de bain. C’est donc nous qui nous rafraîchissons en second lieu.
Une fois dans la chambre nous nous mettons au lit, nus comme d’habitude. Nous nous embrassons quelques minutes. Nous profitons de ce moment de câlinerie pour nous caresser. Inutile de dire que nos attributs ont pris de l’ampleur. Nos mains voyagent sur nos corps, elle s’attardent au niveau de nos pectoraux, puis au niveau de nos hanches, de nos assailles…, etc. Bien entendu elles s’arrêtent sur nos protubérances bien gorgées de sang. Nos langues pendant ce temps-là s’attardent dans la bouche « du chéri bien aimé », passant de l’une à l’autre dans une farandole endiablée. Ma main enserre le pénis de Ben et commence à le caresser dans un mouvement d’aller et retour tout au long de celui-ci. Ben fait de même avec mon sexe dressé. Nous nous masturbons mutuellement quelques minutes. Puis nous nous plaçons têtes bêches pour goûter à cette barre de chair tant convoitée. Nous débutons nos succions en rythme, nous calquant sur les mouvements pratiqués par l’être aimé. Nous râlons de satisfaction et une nouvelle fois nous sommes comme seuls au monde. Nous tentons de ne pas trop extérioriser notre ressenti pour ne pas alerter toute la famille. Nous sommes sur le chemin qui mène à l’apothéose, soit presque au point de non-retour, ce qui fait que nos ventres sont de plus en plus chauds. Puis nos râles sont de plus en plus expressifs, je sais que je vais, tout comme Ben, laisser échapper ma semence dans la bouche de l’être tant aimé. Puis sentant déjà que Ben raidit son corps, le mien lui aussi se contacte. Nous jouissons presque en même temps. J’ai la liqueur exquise de Ben qui vient s’étaler sur mon palais. Je lâche moi aussi des jets de mon élixir dans la bouche de Ben. Nous nous repositionnons sur le lit, nos bouches se retrouvant pour échanger une partie de nos liqueurs mêlées.
Nous restons un moment, couchés côte à côte, sans rien dire. Puis nous nous embrassons une nouvelle fois. Il va être temps de songer à dormir. Mais c’est sans compter le fait que nous reparlons de ce que nous avons vécu cet après-midi lors de la réunion d’équipe. Nous sommes très heureux pour Chris. Je sais que Jean-Pierre est lui aussi content de savoir son petit frère si bien accepté au sein de l’équipe.
Nous parlons ensuite d’un tas de choses, telles que les prochaines vacances, éventuellement un week-end en équipe durant l’hiver, etc. Puis le plus important pour le moment, c’est notre vie sans anicroche particulière, ce qui nous permet d’envisager l’avenir sans trop d’appréhension. Puis le marchand de sable fait son office et nous nous retrouvons dans les bras de Morphée !
Nous sommes dimanche et comme c’est de tradition en cas de beau temps, toute la famille va se balader en forêt de Soignes. C’est agréable, il ne fait pas trop froid et de plus il n’y a pas un atome de vent. Les couples se baladent main dans la main, même les parents. En ce qui nous concerne, Ben et moi, nous restons côte à côte sans nous donner la main pour ne pas attirer l’attention sur nous.
Nous rentrons pour le repas de midi. C’est d’abord l’apéro. Tout est prêt comme d’habitude. Le repas est composé d’un bon steak frites salade ! Papa a ouvert deux bonnes bouteilles de vin pour accompagner le dîner. Le dessert est composé d’une coupe de glace « brésilienne » avec sa « cigarette » en biscuit.
Le reste de l’après-midi est consacré à nos études. Il est temps pour nous de revoir nos cours et de préparer les divers contrôles qui s’annoncent. Pour ce faire, Ben est rentré chez lui, tout comme Amandine. André est actuellement engagé à l’essai dans une grande surface en qualité de « réassort », il ne travaille donc pas et en profite pour rester à la maison auprès de ma sœur.
Je passe mon après-midi à revoir les cours de math, de chimie et de physique, soit les branches principales en humanités scientifiques. Je revois également mes cours d’histoire et de géo : nous avons un contrôle dans deux jours sur ces deux matières.
La soirée se passe bien. Je monte me coucher vers vingt-deux heures, il faut que je sois en forme pour la semaine, sachant que c’est la dernière ligne droite de ce trimestre. Inutile de dire que je me suis octroyé un petit moment de plaisir en pensant à mon Ben d’amour, avant de plonger dans le doux pays des rêves.
La semaine se passe au mieux. Les interros d’histoire et géo ont été faciles, du moins pour ceux qui avaient revu et étudié leurs cours ! Une journée de révision est organisée la semaine prochaine concernant les cours purement scientifiques. Les profs nous demandent bien entendu de les revoir en vue de poser les questions utiles sur des problématiques encore un peu floues pour nous.
Finalement la semaine, bien que ponctuée par les contrôles, se passe très bien. Nous sommes déjà vendredi en fin d’après-midi. Je rentre à la maison et prépare mon sac pour aller passer le week-end chez Ben. Je me demande si Jean est déjà rentré de l’école : je ne l’ai pas vu en arrivant, il ne m’a pas attendu sur le pas de la porte comme il a l’habitude de le faire. Je vais voir s’il est dans sa chambre. Je frappe à la porte et j’entends Jean dire : « entre » ! Je pénètre alors dans son antre et je le trouve assis devant son bureau, occupé à faire son devoir.
Moi : « Bonjour Jean, je ne savais pas que tu étais déjà rentré !
Jea : Oui, je suis rentré. Je ne suis pas resté devant la porte à t’attendre comme chaque à chaque fois, car je suis certain que tu vas bien mieux et je ne m’inquiète plus pour toi.
Moi : Bon, je suis heureux de te l’entendre dire. Oui je me sens bien mieux et de plus j’ai pris de l’assurance. Merci frérot pour m’avoir soutenu comme tu l’as fait !
Jea : Pas de problème Phil, je suis toujours prêt à t’écouter si tu as besoin de parler.
Moi : Merci Jean, je le sais bien que tu es toujours disponible pour moi. Je le suis aussi pour toi, c’est quand tu veux !
Jea : Allez vient près de moi.
Jean me prend dans ses bras, il me fait un gros câlin. Puis il me regarde dans les yeux. Il affiche alors un grand sourire. Je sais qu’il voit que je suis bien dans ma peau et que les gros nuages sont partis. Nous restons deux minutes à nous regarder. C’est incroyable de voir ce que nous pouvons nous faire passer comme sentiments au travers du regard. Jean et moi nous nous comprenons, sans dire un mot. Je sais qu’il est soulagé de voir que j’ai passé un cap, un cap important et que je vais de l’avant avec Ben à mes côtés.
Moi : Merci Jeannot !
Jea : Je n’aime pas que tu m’appelle comme ça, c’est le nom d’un lapin de BD !
Moi : Désolé frérot, je ne le dirai plus. À dimanche, fin de journée.
Jea : Oui, amuse-toi bien. Peux-tu remettre le bonjour à Ben et à sa famille.
Moi : Je n’y manquerai pas. Salut Jean. »
Je prends mon sac ainsi que mon cours de maths, car je dois revoir certaines notions pour lundi. Je passe par la cuisine où je vois que maman s’affaire à préparer le souper. Je l’embrasse en lui souhaitant un bon week-end. Elle me fait la bise et me prodigue les mêmes recommandations que Jean, soit de ne pas oublier de remettre son bonjour à ceux que je vais retrouver.
Une fois à la maison nous passons à table car le souper est servi. Jean et Amandine sont présents ainsi que ma sœur Anne et André. Nous mangeons du cramique et du craquelin soit avec du cacao ou alors de la limonade. Nous optons Ben et moi pour le cacao. Nous ne sommes pas les seuls, André et Jean font de même.
Lors du repas nous expliquons ce que nous avons fait durant notre réunion sans oublier de parler de l’arrivée de Christophe au sein de l’équipe. Toute la famille se souvient de lui à l’occasion de la présentation de la campagne pour la lutte contre la lèpre et la tuberculose ! Ben raconte comment il a été accueilli par tous les équipiers.
Je parle alors du verre de l’amitié qui a été proposé par Marc-Antoine. Anne et Amandine trouvent que cette façon de faire, pour d’une part intégrer un nouveau scout mais aussi pour encourager les autres à poursuivre dans cette voie-là, est une excellente idée. Mes parents approuvent aussi ce concept.
La soirée se passe ensuite devant la diffusion, à la télévision, d’une pièce de théâtre de Vaudeville : « Bossemans et Coppenolle ». Il s’agit d’une pièce qui se passe à Bruxelles, en patois bruxellois et dans laquelle les deux pères sont acharnés de football. Chacun est « supporter » d’une équipe différente. Leurs enfants sont amoureux et ils désirent se marier. Bien entendu les deux pères ne voient pas d’un bon œil que l’autre supporte l’équipe adverse et vice-versa.
Nous rions tous de bon cœur en fonction des quiproquos dans le discours des deux papas. Nous prenons un verre de mousseux durant la vision de cette pièce et il y a aussi quelques biscuits salés pour agrémenter la soirée.
Une fois ce spectacle terminé, nous montons tous à l’étage, il est temps d’aller rejoindre le pays des rêves. Nous laissons Anne et André passer les premiers par la salle de bain. C’est donc nous qui nous rafraîchissons en second lieu.
Une fois dans la chambre nous nous mettons au lit, nus comme d’habitude. Nous nous embrassons quelques minutes. Nous profitons de ce moment de câlinerie pour nous caresser. Inutile de dire que nos attributs ont pris de l’ampleur. Nos mains voyagent sur nos corps, elle s’attardent au niveau de nos pectoraux, puis au niveau de nos hanches, de nos assailles…, etc. Bien entendu elles s’arrêtent sur nos protubérances bien gorgées de sang. Nos langues pendant ce temps-là s’attardent dans la bouche « du chéri bien aimé », passant de l’une à l’autre dans une farandole endiablée. Ma main enserre le pénis de Ben et commence à le caresser dans un mouvement d’aller et retour tout au long de celui-ci. Ben fait de même avec mon sexe dressé. Nous nous masturbons mutuellement quelques minutes. Puis nous nous plaçons têtes bêches pour goûter à cette barre de chair tant convoitée. Nous débutons nos succions en rythme, nous calquant sur les mouvements pratiqués par l’être aimé. Nous râlons de satisfaction et une nouvelle fois nous sommes comme seuls au monde. Nous tentons de ne pas trop extérioriser notre ressenti pour ne pas alerter toute la famille. Nous sommes sur le chemin qui mène à l’apothéose, soit presque au point de non-retour, ce qui fait que nos ventres sont de plus en plus chauds. Puis nos râles sont de plus en plus expressifs, je sais que je vais, tout comme Ben, laisser échapper ma semence dans la bouche de l’être tant aimé. Puis sentant déjà que Ben raidit son corps, le mien lui aussi se contacte. Nous jouissons presque en même temps. J’ai la liqueur exquise de Ben qui vient s’étaler sur mon palais. Je lâche moi aussi des jets de mon élixir dans la bouche de Ben. Nous nous repositionnons sur le lit, nos bouches se retrouvant pour échanger une partie de nos liqueurs mêlées.
Nous restons un moment, couchés côte à côte, sans rien dire. Puis nous nous embrassons une nouvelle fois. Il va être temps de songer à dormir. Mais c’est sans compter le fait que nous reparlons de ce que nous avons vécu cet après-midi lors de la réunion d’équipe. Nous sommes très heureux pour Chris. Je sais que Jean-Pierre est lui aussi content de savoir son petit frère si bien accepté au sein de l’équipe.
Nous parlons ensuite d’un tas de choses, telles que les prochaines vacances, éventuellement un week-end en équipe durant l’hiver, etc. Puis le plus important pour le moment, c’est notre vie sans anicroche particulière, ce qui nous permet d’envisager l’avenir sans trop d’appréhension. Puis le marchand de sable fait son office et nous nous retrouvons dans les bras de Morphée !
Nous sommes dimanche et comme c’est de tradition en cas de beau temps, toute la famille va se balader en forêt de Soignes. C’est agréable, il ne fait pas trop froid et de plus il n’y a pas un atome de vent. Les couples se baladent main dans la main, même les parents. En ce qui nous concerne, Ben et moi, nous restons côte à côte sans nous donner la main pour ne pas attirer l’attention sur nous.
Nous rentrons pour le repas de midi. C’est d’abord l’apéro. Tout est prêt comme d’habitude. Le repas est composé d’un bon steak frites salade ! Papa a ouvert deux bonnes bouteilles de vin pour accompagner le dîner. Le dessert est composé d’une coupe de glace « brésilienne » avec sa « cigarette » en biscuit.
Le reste de l’après-midi est consacré à nos études. Il est temps pour nous de revoir nos cours et de préparer les divers contrôles qui s’annoncent. Pour ce faire, Ben est rentré chez lui, tout comme Amandine. André est actuellement engagé à l’essai dans une grande surface en qualité de « réassort », il ne travaille donc pas et en profite pour rester à la maison auprès de ma sœur.
Je passe mon après-midi à revoir les cours de math, de chimie et de physique, soit les branches principales en humanités scientifiques. Je revois également mes cours d’histoire et de géo : nous avons un contrôle dans deux jours sur ces deux matières.
La soirée se passe bien. Je monte me coucher vers vingt-deux heures, il faut que je sois en forme pour la semaine, sachant que c’est la dernière ligne droite de ce trimestre. Inutile de dire que je me suis octroyé un petit moment de plaisir en pensant à mon Ben d’amour, avant de plonger dans le doux pays des rêves.
La semaine se passe au mieux. Les interros d’histoire et géo ont été faciles, du moins pour ceux qui avaient revu et étudié leurs cours ! Une journée de révision est organisée la semaine prochaine concernant les cours purement scientifiques. Les profs nous demandent bien entendu de les revoir en vue de poser les questions utiles sur des problématiques encore un peu floues pour nous.
Finalement la semaine, bien que ponctuée par les contrôles, se passe très bien. Nous sommes déjà vendredi en fin d’après-midi. Je rentre à la maison et prépare mon sac pour aller passer le week-end chez Ben. Je me demande si Jean est déjà rentré de l’école : je ne l’ai pas vu en arrivant, il ne m’a pas attendu sur le pas de la porte comme il a l’habitude de le faire. Je vais voir s’il est dans sa chambre. Je frappe à la porte et j’entends Jean dire : « entre » ! Je pénètre alors dans son antre et je le trouve assis devant son bureau, occupé à faire son devoir.
Moi : « Bonjour Jean, je ne savais pas que tu étais déjà rentré !
Jea : Oui, je suis rentré. Je ne suis pas resté devant la porte à t’attendre comme chaque à chaque fois, car je suis certain que tu vas bien mieux et je ne m’inquiète plus pour toi.
Moi : Bon, je suis heureux de te l’entendre dire. Oui je me sens bien mieux et de plus j’ai pris de l’assurance. Merci frérot pour m’avoir soutenu comme tu l’as fait !
Jea : Pas de problème Phil, je suis toujours prêt à t’écouter si tu as besoin de parler.
Moi : Merci Jean, je le sais bien que tu es toujours disponible pour moi. Je le suis aussi pour toi, c’est quand tu veux !
Jea : Allez vient près de moi.
Jean me prend dans ses bras, il me fait un gros câlin. Puis il me regarde dans les yeux. Il affiche alors un grand sourire. Je sais qu’il voit que je suis bien dans ma peau et que les gros nuages sont partis. Nous restons deux minutes à nous regarder. C’est incroyable de voir ce que nous pouvons nous faire passer comme sentiments au travers du regard. Jean et moi nous nous comprenons, sans dire un mot. Je sais qu’il est soulagé de voir que j’ai passé un cap, un cap important et que je vais de l’avant avec Ben à mes côtés.
Moi : Merci Jeannot !
Jea : Je n’aime pas que tu m’appelle comme ça, c’est le nom d’un lapin de BD !
Moi : Désolé frérot, je ne le dirai plus. À dimanche, fin de journée.
Jea : Oui, amuse-toi bien. Peux-tu remettre le bonjour à Ben et à sa famille.
Moi : Je n’y manquerai pas. Salut Jean. »
Je prends mon sac ainsi que mon cours de maths, car je dois revoir certaines notions pour lundi. Je passe par la cuisine où je vois que maman s’affaire à préparer le souper. Je l’embrasse en lui souhaitant un bon week-end. Elle me fait la bise et me prodigue les mêmes recommandations que Jean, soit de ne pas oublier de remettre son bonjour à ceux que je vais retrouver.