19-05-2022, 10:22 AM
Nous nous rendons tous les quatre dans la chambre de mon Ben d’amour pour écouter des disques. Ben a une très belle installation hi-fi. Nous sommes d’accord pour écouter Neil Young « Harvest » ensuite c’est un disque des Beatles « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » et pour finir nous écoutons Yes « Relayer ».
Il est temps de redescendre et de rejoindre le reste de la famille de Ben. Nous saluons Yves qui nous demande comment nous nous sentons après cette mésaventure. Nous lui répondons que ça va, que c’est passé. Christophe est bien moins loquace, il dit quand même que ça va mieux, mais qu’il y pense encore. Yves nous invite à passer au salon pour prendre l’apéro.
Christine et Denis sont déjà installés. Gaby et Chris vont les saluer. Christine regarde son frère et lui demande :
Ch.ne : « Ben, maman nous a expliqué ce qui s’est passé à la piscine. Comment vas-tu ?
Ben : Ça va, mais je ne te cache pas que j’ai eu peur !
Ch.ne : Je m’en doute.
Ben : Nous avons eu de la chance que Phil ait réagi avec rapidité et que les maîtres-nageurs arrivaient !
Gab : C’est exact, Phil a réagi promptement et efficacement.
Chr : Je sais une chose c’est que nous devons nous méfier de tout le monde. Je suis très heureux que ce soit bien terminé !
Ch.ne : Je vois que tu es toujours sous le choc Christophe.
Chr : Oui, j’ai eu la trouille de ma vie !
Moi : Nous sommes avec toi Chris. Tu sais que tu pourras compter sur nous.
Chr : Merci Phil, je le sais. Merci de m’avoir si bien accepté.
Yve : Je propose que nous prenions le verre de l’amitié.
Yves et Denis s’occupent de servir les verres tandis que Ben apporte les zakouskis. Il y a des softs et des bières spéciales comme boissons, ainsi que des chips, des cubes de fromage et des rondelles de saucisson. Nous trinquons à l’amitié et Yves en profite pour dire que Gaby et Christophe sont les bienvenus à la maison et que la porte de la maison leur sera toujours ouverte. Les visages sont déjà plus détendus, des sourires éclaircissent l’ensemble de même que les yeux commencent à pétiller !
Nous passons alors à table. L’ambiance est chaleureuse. Je vois que Christophe semble moins stressé. Je suis certain qu’il commence à reprendre le dessus. Il est entouré de personnes qui sont présentes pour le soutenir et l’une d’entre elles, c’est Gaby, son chéri.
Après ce bon repas, nous nous retrouvons dans le salon. Nous allons regarder la télévision, il y justement un beau film de Gérard Oury avec Louis de Funes et Bourvil qui est au programme : « La Grande Vadrouille » ! Nous sommes installés dans les fauteuils et les deux divans. Je suis à côté de Ben ainsi que Gaby et Chris, dans le même divan. Nous sommes un peu serrés, mais l’important c’est d’être ensemble, par couple. Le film commence et nous savons que nous allons passer une très bonne soirée. Nous sommes détendus, heureux d’être ensemble, dans la famille de Ben. Gaby et Christophe ont été très bien accueillis, ce sont deux amis, tant pour Ben que pour moi !
Le film s’achève et je peux constater que Christophe est entièrement détendu, il ne pense plus à ce qui s’est passé. Je suis très heureux de le voir comme ça. Il va être temps de rejoindre les chambres à coucher. Les invités remercient Arlette et Yves de les avoir acceptés pour la soirée et la nuit. Arlette les embrasse en leur souhaitant une très bonne nuit, c’est la même chose pour chaque ado qui se trouve dans sa maison.
Nous montons tous les quatre pour aller dormir. Christine et Denis ayant pris les devants en allant se doucher il y a plus d’un quart d’heure. Ben montre à Gaby et à Chris où se trouvent les draps de bain, car c’est leur tour de prendre une bonne douche. En attendant, Ben et moi allons dans notre chambre. Je fais alors part à Ben de mes inquiétudes vis-à-vis de Christophe, il se peut qu’il ne soit pas bien en cours de nuit, qu’il fasse un cauchemar ! Ben me dit que nous aviserons le moment venu, il ajoute que sa maman, Arlette, lui en a touché un mot ainsi qu’à Gaby, qui sera le premier à réagir. Il est primordial que Chris soit soutenu même pendant la nuit. Il ne faut pas oublier que Jean-Pierre sait de quoi il retourne et que son jeune frère est très sensible.
Nous entendons nos deux amis sortir de la salle d’eau et intégrer la chambre d’amis. Nous nous dirigeons alors vers la salle de bain. Ben me signale, une fois que nous y sommes rentrés, que nous pouvons nous doucher ensemble car il ne doit plus y avoir beaucoup d’eau chaude. Nous nous lavons donc mutuellement sans pour autant bander ou si peu !
Une fois secs, nous sortons de la salle de bain, nus comme c’est souvent le cas. Dans le hall de nuit, nous croisons Arlette que nous embrassons au passage et nous regagnons la chambre de Ben.
Une fois seuls, nous nous embrassons. Il nous faut reprendre nos marques, nous poser après ce qui s’est passé. Notre baiser ne dure guère, nous allons nous étendre sous la couette. Ben me regarde avec ses yeux bleus. Il plonge son regard dans le mien et me dit :
Ben : « Phil, tu dois être assez anxieux après ce qui s’est passé. Je sais que tu as déjà vécu quelques épisodes négatifs et je ne veux pas que tu te fasses du mouron !
Moi : Merci mon amour. Je sais que j’ai déjà pas mal encaissé, mais ce qui s’est passé aujourd’hui n’est rien en comparaison de ce que j’ai vécu avec Henri. Alors sache que j’ai comme une carapace qui s’est forgée au fur et à mesure des attaques que j’ai déjà subies !
Ben : Mais quand même c’était assez stressant.
Moi : Je sais Ben, mais j’ai appris qu’il faut parfois montrer qu’on n’accepte pas tout !
Ben : Oui, je veux bien, mais tu aurais pu recevoir des coups !
Moi : Je le sais Ben, mais je n’allais pas me laisser faire car c’est nous quatre qui en aurions pris plein la gueule.
Ben : C’est de ça que j’avais peur. Tu as su nous défendre en usant comme il le fallait du judo.
Moi : C’est ça ma force, c’est que je sais maintenant me défendre.
Ben : Je n’aime pas me battre, tu le sais, mais si c’est pour me défendre, il faut que je fasse quelque chose !
Moi : Tu sais Ben, je pense que tu pourrais prendre de cours de self-défense.
Ben : Tu peux m’en dire plus ?
Moi : Oui Ben, mais on en parle demain, je suis fatigué.
Ben : Moi aussi, nous devons nous reposer.
Moi : Bonne nuit mon amour.
Ben : A toi aussi, bonne nuit. »
Je me love contre le corps de mon chéri. Je sens sa chaleur corporelle m’envahir. Inutile de dire que mon attribut viril prend de plus en plus d’ampleur. Je bande de plus en plus. Je pense que Ben doit s’en rendre compte. Il se retourne vers moi. Il avance sa tête vers la mienne. Nos lèvres se touchent et se posent les unes contre les autres. Nous restons un moment sans bouger. Puis nos lèvres s’ouvrent pour notre plus grand plaisir. Nos langues se fraient un chemin pour se retrouver, pour se titiller, pour danser entre elles une nouvelle danse endiablée. Que j’aime embrasser à pleine bouche mon Ben d’amour !
Ben avance alors sa main vers mon sexe bandé. Inutile de dire que je suis envahi de bonheur. Je ne reste pas sans réaction, mes mains partent à l’assaut du corps de mon Ben. L’une d’entre elles se pose sur son sexe dressé et l’autre parcourt sa tignasse blonde, sa nuque, ses joues, ses mamelons qui durcissent de plus en plus. Ben lui s’occupe de mes fesses qu’il pétrit avec ses mains. Nous nous regardons et sans dire un mot nous nous plaçons têtes bêches pour nous sucer mutuellement.
Quel très beau moment passé à nous délecter de la colonne de chair de l’être aimé. Nous nous donnons du plaisir à en faire pâlir plus d’un. Nous nous connaissons si bien que nous savons user de notre langue pour apporter mille sensations à notre partenaire. Inutile de dire que nos râles résonnent dans la chambre et peut-être au-delà de la porte qui est belle et bien fermée. Je tourne autour du gland de Ben avec ma langue, passant sur le méat et le frein, tour à tour. Ben s’arrange pour me rendre lèche pour lèche, suçons pour suçons. Nous sommes sur notre planète, dans notre monde rien qu’à nous. C’est l’endroit où nous sommes en parfaite communion. Nous nous délectons du pré-nectar de l’amour de notre vie. Nous savons que rien ne pourra nous arrêter, nous allons arriver chacun au point de non-retour. Il suffit d’attendre quelques minutes pour que le feu d’artifice se déclenche. Je m’attache à bien appliquer diverses pressions buccales sur le phallus de Ben. À Chaque fois il émet des râles de satisfaction.
Je me demande si les autres ne vont pas entendre que nous nous donnons du plaisir. Bref, nous verrons bien demain matin lors du petit déjeuner.
Nous poursuivons notre rodéo partagé, nos lèvres sont en pleine action et nos langues ne sont pas en reste. Ben râle de plus en plus. Pour ma part je ne peux retenir des borborygmes qui annonce que je suis au bord de la jouissance. Je sais qu’il ne va pas falloir une minute avant que je ne passe en phase de non-retour. Pour Ben c’est la même chose, ses râles sont de plus en plus sonores. Nous poursuivons notre fellation mutuelle sachant que nous allons nous délecter chacun du nectar de notre amour. Il n’a suffi que de peu de temps pour jouir. Je sens ma sève de vie monter dans ma colonne de chair et se déverser au fond de la gorge de Ben. Puis en même temps je reçois l’élixir d’amour de mon chéri. Nous sommes bien entendu parcourus de spasmes liés à l’orgasme ressenti. Nous nous embrassons alors en mélangeant nos spermes. Puis, fourbus, vannés, nous nous laissons choir chacun sur un côté du lit. Seules nos mains restent unies après notre relation d’amour.
C’est dans notre nuage, dans notre domaine que nous restons, nageant dans un bonheur particulier, dans une parfaite harmonie, là où les anges sont témoins de mille belles choses ! Nous nous endormons dans cette atmosphère ouatée, là où il fait bon vivre notre amour !
Il est temps de redescendre et de rejoindre le reste de la famille de Ben. Nous saluons Yves qui nous demande comment nous nous sentons après cette mésaventure. Nous lui répondons que ça va, que c’est passé. Christophe est bien moins loquace, il dit quand même que ça va mieux, mais qu’il y pense encore. Yves nous invite à passer au salon pour prendre l’apéro.
Christine et Denis sont déjà installés. Gaby et Chris vont les saluer. Christine regarde son frère et lui demande :
Ch.ne : « Ben, maman nous a expliqué ce qui s’est passé à la piscine. Comment vas-tu ?
Ben : Ça va, mais je ne te cache pas que j’ai eu peur !
Ch.ne : Je m’en doute.
Ben : Nous avons eu de la chance que Phil ait réagi avec rapidité et que les maîtres-nageurs arrivaient !
Gab : C’est exact, Phil a réagi promptement et efficacement.
Chr : Je sais une chose c’est que nous devons nous méfier de tout le monde. Je suis très heureux que ce soit bien terminé !
Ch.ne : Je vois que tu es toujours sous le choc Christophe.
Chr : Oui, j’ai eu la trouille de ma vie !
Moi : Nous sommes avec toi Chris. Tu sais que tu pourras compter sur nous.
Chr : Merci Phil, je le sais. Merci de m’avoir si bien accepté.
Yve : Je propose que nous prenions le verre de l’amitié.
Yves et Denis s’occupent de servir les verres tandis que Ben apporte les zakouskis. Il y a des softs et des bières spéciales comme boissons, ainsi que des chips, des cubes de fromage et des rondelles de saucisson. Nous trinquons à l’amitié et Yves en profite pour dire que Gaby et Christophe sont les bienvenus à la maison et que la porte de la maison leur sera toujours ouverte. Les visages sont déjà plus détendus, des sourires éclaircissent l’ensemble de même que les yeux commencent à pétiller !
Nous passons alors à table. L’ambiance est chaleureuse. Je vois que Christophe semble moins stressé. Je suis certain qu’il commence à reprendre le dessus. Il est entouré de personnes qui sont présentes pour le soutenir et l’une d’entre elles, c’est Gaby, son chéri.
Après ce bon repas, nous nous retrouvons dans le salon. Nous allons regarder la télévision, il y justement un beau film de Gérard Oury avec Louis de Funes et Bourvil qui est au programme : « La Grande Vadrouille » ! Nous sommes installés dans les fauteuils et les deux divans. Je suis à côté de Ben ainsi que Gaby et Chris, dans le même divan. Nous sommes un peu serrés, mais l’important c’est d’être ensemble, par couple. Le film commence et nous savons que nous allons passer une très bonne soirée. Nous sommes détendus, heureux d’être ensemble, dans la famille de Ben. Gaby et Christophe ont été très bien accueillis, ce sont deux amis, tant pour Ben que pour moi !
Le film s’achève et je peux constater que Christophe est entièrement détendu, il ne pense plus à ce qui s’est passé. Je suis très heureux de le voir comme ça. Il va être temps de rejoindre les chambres à coucher. Les invités remercient Arlette et Yves de les avoir acceptés pour la soirée et la nuit. Arlette les embrasse en leur souhaitant une très bonne nuit, c’est la même chose pour chaque ado qui se trouve dans sa maison.
Nous montons tous les quatre pour aller dormir. Christine et Denis ayant pris les devants en allant se doucher il y a plus d’un quart d’heure. Ben montre à Gaby et à Chris où se trouvent les draps de bain, car c’est leur tour de prendre une bonne douche. En attendant, Ben et moi allons dans notre chambre. Je fais alors part à Ben de mes inquiétudes vis-à-vis de Christophe, il se peut qu’il ne soit pas bien en cours de nuit, qu’il fasse un cauchemar ! Ben me dit que nous aviserons le moment venu, il ajoute que sa maman, Arlette, lui en a touché un mot ainsi qu’à Gaby, qui sera le premier à réagir. Il est primordial que Chris soit soutenu même pendant la nuit. Il ne faut pas oublier que Jean-Pierre sait de quoi il retourne et que son jeune frère est très sensible.
Nous entendons nos deux amis sortir de la salle d’eau et intégrer la chambre d’amis. Nous nous dirigeons alors vers la salle de bain. Ben me signale, une fois que nous y sommes rentrés, que nous pouvons nous doucher ensemble car il ne doit plus y avoir beaucoup d’eau chaude. Nous nous lavons donc mutuellement sans pour autant bander ou si peu !
Une fois secs, nous sortons de la salle de bain, nus comme c’est souvent le cas. Dans le hall de nuit, nous croisons Arlette que nous embrassons au passage et nous regagnons la chambre de Ben.
Une fois seuls, nous nous embrassons. Il nous faut reprendre nos marques, nous poser après ce qui s’est passé. Notre baiser ne dure guère, nous allons nous étendre sous la couette. Ben me regarde avec ses yeux bleus. Il plonge son regard dans le mien et me dit :
Ben : « Phil, tu dois être assez anxieux après ce qui s’est passé. Je sais que tu as déjà vécu quelques épisodes négatifs et je ne veux pas que tu te fasses du mouron !
Moi : Merci mon amour. Je sais que j’ai déjà pas mal encaissé, mais ce qui s’est passé aujourd’hui n’est rien en comparaison de ce que j’ai vécu avec Henri. Alors sache que j’ai comme une carapace qui s’est forgée au fur et à mesure des attaques que j’ai déjà subies !
Ben : Mais quand même c’était assez stressant.
Moi : Je sais Ben, mais j’ai appris qu’il faut parfois montrer qu’on n’accepte pas tout !
Ben : Oui, je veux bien, mais tu aurais pu recevoir des coups !
Moi : Je le sais Ben, mais je n’allais pas me laisser faire car c’est nous quatre qui en aurions pris plein la gueule.
Ben : C’est de ça que j’avais peur. Tu as su nous défendre en usant comme il le fallait du judo.
Moi : C’est ça ma force, c’est que je sais maintenant me défendre.
Ben : Je n’aime pas me battre, tu le sais, mais si c’est pour me défendre, il faut que je fasse quelque chose !
Moi : Tu sais Ben, je pense que tu pourrais prendre de cours de self-défense.
Ben : Tu peux m’en dire plus ?
Moi : Oui Ben, mais on en parle demain, je suis fatigué.
Ben : Moi aussi, nous devons nous reposer.
Moi : Bonne nuit mon amour.
Ben : A toi aussi, bonne nuit. »
Je me love contre le corps de mon chéri. Je sens sa chaleur corporelle m’envahir. Inutile de dire que mon attribut viril prend de plus en plus d’ampleur. Je bande de plus en plus. Je pense que Ben doit s’en rendre compte. Il se retourne vers moi. Il avance sa tête vers la mienne. Nos lèvres se touchent et se posent les unes contre les autres. Nous restons un moment sans bouger. Puis nos lèvres s’ouvrent pour notre plus grand plaisir. Nos langues se fraient un chemin pour se retrouver, pour se titiller, pour danser entre elles une nouvelle danse endiablée. Que j’aime embrasser à pleine bouche mon Ben d’amour !
Ben avance alors sa main vers mon sexe bandé. Inutile de dire que je suis envahi de bonheur. Je ne reste pas sans réaction, mes mains partent à l’assaut du corps de mon Ben. L’une d’entre elles se pose sur son sexe dressé et l’autre parcourt sa tignasse blonde, sa nuque, ses joues, ses mamelons qui durcissent de plus en plus. Ben lui s’occupe de mes fesses qu’il pétrit avec ses mains. Nous nous regardons et sans dire un mot nous nous plaçons têtes bêches pour nous sucer mutuellement.
Quel très beau moment passé à nous délecter de la colonne de chair de l’être aimé. Nous nous donnons du plaisir à en faire pâlir plus d’un. Nous nous connaissons si bien que nous savons user de notre langue pour apporter mille sensations à notre partenaire. Inutile de dire que nos râles résonnent dans la chambre et peut-être au-delà de la porte qui est belle et bien fermée. Je tourne autour du gland de Ben avec ma langue, passant sur le méat et le frein, tour à tour. Ben s’arrange pour me rendre lèche pour lèche, suçons pour suçons. Nous sommes sur notre planète, dans notre monde rien qu’à nous. C’est l’endroit où nous sommes en parfaite communion. Nous nous délectons du pré-nectar de l’amour de notre vie. Nous savons que rien ne pourra nous arrêter, nous allons arriver chacun au point de non-retour. Il suffit d’attendre quelques minutes pour que le feu d’artifice se déclenche. Je m’attache à bien appliquer diverses pressions buccales sur le phallus de Ben. À Chaque fois il émet des râles de satisfaction.
Je me demande si les autres ne vont pas entendre que nous nous donnons du plaisir. Bref, nous verrons bien demain matin lors du petit déjeuner.
Nous poursuivons notre rodéo partagé, nos lèvres sont en pleine action et nos langues ne sont pas en reste. Ben râle de plus en plus. Pour ma part je ne peux retenir des borborygmes qui annonce que je suis au bord de la jouissance. Je sais qu’il ne va pas falloir une minute avant que je ne passe en phase de non-retour. Pour Ben c’est la même chose, ses râles sont de plus en plus sonores. Nous poursuivons notre fellation mutuelle sachant que nous allons nous délecter chacun du nectar de notre amour. Il n’a suffi que de peu de temps pour jouir. Je sens ma sève de vie monter dans ma colonne de chair et se déverser au fond de la gorge de Ben. Puis en même temps je reçois l’élixir d’amour de mon chéri. Nous sommes bien entendu parcourus de spasmes liés à l’orgasme ressenti. Nous nous embrassons alors en mélangeant nos spermes. Puis, fourbus, vannés, nous nous laissons choir chacun sur un côté du lit. Seules nos mains restent unies après notre relation d’amour.
C’est dans notre nuage, dans notre domaine que nous restons, nageant dans un bonheur particulier, dans une parfaite harmonie, là où les anges sont témoins de mille belles choses ! Nous nous endormons dans cette atmosphère ouatée, là où il fait bon vivre notre amour !