18-05-2022, 03:51 PM
On retrouva nos amis et on se alla manger un mac do où on leur expliqua ce qu'on avait prévu de faire l’après-midi.
Et pendant que les cousins continuaient à faire du shopping avec leurs chéri(e)s on retourna à la boutique de fringues de sport et sous-vêtements.
Le patron nous conduisit à quelques blocs de là dans un studio photos.
Le photographe, très professionnel, nous demanda de nous mettre en boxer. Un maquilleur vint et nous conduisit dans une pièce plus petite et nous expliqua ce qu'il allait nous faire.
Pour résumer il allait nous ‘peindre’ intégralement pour harmoniser nos couleurs de peau.
Pour moi, je le vis arriver avec une tondeuse et il me rasa tous les poils qui dépassaient du petit string jetable qu'il m'avait demandé de passer avant de me badigeonner. J’étais presque lisse comme Liam.
Une fois satisfait de son travail, il nous renvoya au photographe.
Celui-ci nous montra un paravent et nous dit de nous changer.
Derrière, sur une table, il y avait pas loin d'une centaine de sous-vêtements. Puis sur un portant une bonne cinquantaine de tenues de sport, shorts et teeshirts. Plus quelques tenues de "ville" bermudas et chemisettes.
- On va commencer par les boxers. Il nous avait dit.
On enfila le premier et on sortit. Au début, il dut nous expliquer comment et quelles poses prendre. Il fit une série de photos et nous redemanda d'aller nous changer.
Les séries suivantes furent de plus en plus rapides, on avait pris le coup !
Bon, on venait de finir les boxers. Maintenant on attaquait les slips et mini slips.
Certains étaient tellement mini que pour tout rentrer dedans on eut quelques problèmes. (surtout que nos sexes gonflaient par moments)
Lors d’un changement, je regardais Liam avec un mini slip qui lui allait plutôt bien. Il était fait d'un tissus si fin et moulant qu'on voyait la cicatrice de son gland circoncis. C’était très érotique !
Et devinez ? Je me mis à bander si bien que ma queue sortit prendre l’air par le haut !
Liam éclata de rire et le photographe lui demanda ce qu'il se passait.
- On a un petit incident technique. Il va falloir attendre un peu.
Sam, le photographe, un mec la vingtaine, guère plus, vint voir ce qu'il se passait.
- Wow ! Pas si petit que ça l'incident technique ! Bon deux solutions. Ça passe vite ou vous faites passer. Il y a encore du travail.
Liam m'entraina dans la pièce où le maquilleur nous avait peint et il me roula une pelle avant de me masser le paquet.
Je lui rendis la pareille et, sortant nos sexes, l'un branla l’autre.
On aurait bien pris plus de temps si le photographe ne nous avait pas crier de nous dépêcher à travers la porte.
On ressortit le rose aux joues et les burnes vides. On continua la séance photo.
Pour les jockstrap, certains avaient le devant en résille à grandes mailles qui laissaient voir nos sexes de façon plus indécente que la nudité.
Il y avait beaucoup moins de tenues de sport mais elle mettaient toutes en valeur les fesses et le paquet de celui qui les portait.
Les tenues de ville étaient variées, ça allait de la coupe slim à la coupe baggy.
Le propriétaire et créateur des fringues que l'on essayait, fut ravi des photos.
Il nous proposa pour 200 dollars de plus de faire une photo de nous nus, de dos, nos corps en entier, avec juste une casquette mise à l'envers où son logo et le site internet apparaissaient.
Il nous fit coller l'un à côté de l’autre.
Il demanda à Liam de passer son bras dans mon dos et de poser sa main au niveau de ma hanche. Et il me demanda de faire de même. Mais, je ne sais pas pourquoi, je posais ma main en plein sur la fesse droite de Liam.
- Ne bougez plus, restez comme ça ! C'est parfait !
Et c'est ainsi que cette photo aguicheuse fit la couverture de son catalogue et de la page d'accueil du site où il vendait ses créations en ligne.
Le patron nous paya et, comme promis, il nous fit cadeau de la nouvelle collection.
Avant de partir le photographe nous fit cadeau à chacun d'une clef USB avec les photos qu'il venait de faire de nous et il nous donna sa carte sur laquelle il inscrivit un site où il stockait les photos artistiques qu'il prenait. Et il nous proposa de nous photographier.
On lui promis d’y réfléchir et qu'on le contacterait.
On rentra qu’il n'était pas loin de vingt et une heures. Et pendant qu'on mangeait, il fallut expliquer, raconter tout ce qu'on avait fait.
Sam, sans exception, nous avait mis toutes les photos qu'il avait fait. Aussi Liam donna sa clef USB à Tony qui alla chercher son ordi et lança le diaporama, pour les quatre curieux.
On mangeait tranquille maintenant et c'est un grand éclat de rire général qui nous tira de notre discussion.
- Pourquoi vous riez ?
- Vous avez eu des raideurs intempestives on dirait !
- Ho merde ! Il a photographié ça aussi ?
- Oui et pas qu'une fois !
- Wow les belles fesses !
Et il y eut encore quelques commentaires grivois.
On les laissa dire. On parlait plutôt de quelle était la tenue qu’on allait mettre demain pour aller à Universal Studios. Maintenant j'avais le choix et Liam aussi.
Les autres partirent se coucher et avec Liam on alla se rafraichir à la piscine. On rapprocha deux transats. On reparlait de la journée du lendemain, de tout ce qu'il y avait à voir ou à faire et pendant qu'il me parlait, il faisait courir ses doigts sur mon torse et, de temps en temps, il caressait mes seins.
Et ce qu'il devait arriver arriva. On fit l'amour, longuement et tendrement, pendant plus d'une heure et Liam se montra plus qu'efficace dans son rôle d'actif puisqu'il me fit jouir sans que je me touche. Il voulut se retirer.
- Non, continue, je veux que tu jouisses en moi.
Il assurait grave ! Il se débrouillait si bien qu'il me fit rebander ! Il se mit à gémir, à ahaner, puis il me donna un coup de rein plus fort que les autres et déversa sa semence bien au fond de mes fesses. Il se pencha pour m'embrasser puis il se mit à quatre pattes et cette position ne laissait aucun doute sur ce qu'il attendait de moi.
Je lui remangeais un peu les fesses, plus par envie que par besoin de lubrification, puis je le pris, tout en douceur pour commencer… Une belle chevauchée et, son éjaculation déclencha la mienne, je lui envoyais moi aussi mon sperme bien au fond de ses fesses.
On replongea dans la piscine pour se rafraichir et rincer la sueur qui nous recouvrait, on se fit sécher grâce à la douce brise qui soufflait et c'est nu qu'on regagna la chambre de Liam.
On se fit quelques doux câlins pour s’endormir.
Je me réveillais blotti contre Liam. Mon érection matinale était bien callée entre ses fesses. Je commençais à faire des vas et viens très lents et très longs. Liam bougea pour que mon gland frotte bien sur sa rondelle. Ses gémissements ressemblaient à un ronronnement. Je cherchais sa bite que je trouvais bien raide et je le masturbais.
Il jouit dans mes doigts et moi entre ses cuisses.
Il se retourna vers moi et m’embrassa.
- Si tu me réveilles comme ça tous les matins et je serai l'homme le plus heureux du monde Bébé.
- J'aime bien quand tu m'appelles Bébé.
- On se lève, c'est bientôt huit heures. On en a pour une bonne heure à aller à Universal Studios. Si on veut arriver à dix heures, ça nous laisse une petite heure pour prendre notre petit déjeuner et nous préparer.
On se doucha et c'est en boxer qu'on alla jusqu'à la cuisine où on retrouva mon cousin et Méli, Tony et Gaële. Les parents étaient déjà parti bosser depuis longtemps.
- Ha, quand même les amoureux vous émergez ! On a failli vous attendre, une fois de plus !
On prit notre petit déjeuner puis on alla s'habiller et les premiers à redescendre, c'était nous !
Avec Liam on avait décidé de leur offrir la journée.
On était arrivé depuis deux bonnes heures déjà. On avait fait tout un tas d'attractions, quand la faim nous tenailla.
Au resto chacun commanda de quoi se sustenter et on s'installa à une table libre.
A côté de nous il y avait un couple avec un enfant de 7 ou 8 ans assis en face d'eux qui, lui, était assis à côté d'un homme qu'il appelait oncle Adam, le gamin s'appelait Jimmy.
On se leva en même temps qu’eux.
- Il y a quoi là-bas Liam ?
- Des vieux jeux comme le fer à cheval, un autre où tu tapes sur un truc qui fait s'envoler un poids sensé faire tinter une cloche. Et à chaque fois que tu gagnes, tu reçois un petit lot.
- On y va ? J'ai toujours eu envie d'essayer le jeu de la masse et de faire tinter la cloche.
On y alla mais la place était déjà prise par l’oncle Adam qui s'y prenait comme un manche. Il avait une masse trop grosse et trop lourde pour lui et en plus il caressait au lieu de frapper la base sur laquelle il fallait taper.
Il abandonna au bout de quelques essais. Il partirent plus loin et je pris une masse plus petite et je frappais. La cloche tinta et Jimmy revint en courant vers nous.
Le gérant du jeu me proposa un quitte ou double. J'acceptais bien sûr. Je n'avais pas tapé très fort. Il rajouta du poids. Je frappais et la cloche tinta à nouveau.
Et Jimmy m’encourageait. Je fis encore sonner la cloche deux fois. Mais la dernière fut de justesse.
Il ne me restait plus qu'une fois pour gagner le gros lot. Un ours gigantesque.
J'allais en faire quoi de cet ours moi ?
- Papa, dis papa, tu crois qu'il va le gagner le monsieur le grand nounours ?
- Je ne sais pas Jimmy, mais c'est lui qui va peut-être le gagner, pas nous. Et puis des ours tu en as déjà !
- Oui mais pas un comme celui-là ! Il est trop beau.
Je me concentrais et je frappais de toutes mes forces en plein centre. Le palet s'éleva et frappa la cloche. Jimmy trépignait de joie.
Le gérant du stand me dit que j'étais le troisième à avoir réussi l’exploit.
- De la journée ?
- Non depuis que l'attraction existe ici.
- Je pourrais avoir votre nom pour l'inscrire à la suite des deux autres avec la date.
Vous voulez quelle couleur ?
- Liam, On prend lequel ?
- Je ne sais pas, c'est toi qui choisit, je n'ai pas de préférences et toi ?
- Je ne sais pas non plus.
Je me tournais vers Jimmy.
- Et toi tu choisirais lequel ?
- Le blanc, c’est sûr ! Il est trop beau !
Je demandais donc le blanc au gérant. Il me le donna.
- Jeff, je peux lui faire un câlin ?
- Oh, mais comment tu connais mon nom Jimmy ?
- Hey et toi comment tu fais pour connaître le mien ?
- Moi c'est quand ton tonton te disait de te calmer et toi ?
- Quand le monsieur t’a demandé pour le marquer sur le mur.
- Dis Jeff, alors, tu me laisses lui faire un câlin ?
Je le posais devant lui et il le serra dans ses petits bras. Liam me dit :
- On va rejoindre les autres Bé ?
Il me prit la main et après avoir dit au revoir on partit.
- Hey mais… Jeff, Jeff, tu oublies ton ours !
- Mais non Jimmy, quand le monsieur me l'a donné, l'ours m'a dit à l'oreille qu'il voulait aller avec toi alors je te le laisse. Enfin, si tu le veux, sinon je trouverais bien un autre petit garçon qui le voudra.
- Hein ! non, non, je le veux bien. Merci, merci, merci !
Ses parents et son oncle nous offrirent un verre à boire pour nous remercier. On était assis et Jimmy me demanda :
- Dis Jeff tu parles de façon bizarre, t'es malade ?
- Jimmy ! Non mais ! s’exclama le père.
- Non Jimmy, je parle ‘bizarre’ parce que je suis français et c'est dur pour moi de parler en anglais.
- Ha c'est pour ça ? Tu me dis quelque chose en français ?
- Jimmy est un gentil garçon.
- T'as dit quoi ?
Liam traduisit. Il rit.
- Dis Jeff pourquoi Liam il t'appelle Bébé. ça veut dire quoi Bébé ? C'est ton amoureux ?
Son oncle réagit en même temps que ses parents.
- Mais Jimmy ne sois pas aussi indiscret, quand même, ça ne se fait pas !
- Mais quoi ? Je demande c'est tout ! Tonton Adam a bien un boy-friend aussi !
- Il m'appelle Bébé comme tous ceux que j'aime et qui m’aiment. Et oui c'est mon amoureux. Voilà, tu es satisfait ?
- Oui ! Dis bébé, demain tu veux bien venir avec chez nous pour mon anniversaire ?
Le téléphone d'Adam sonna. Il s'éloigna pour répondre. Il avait l'air énervé !
Je regardais Liam pour répondre quelque chose quand Jimmy alla vers lui avec un regard de chien battu et lui dit :
- Allez dis oui s'te plait.
Liam ne résista pas et fit oui de la tête. Jimmy lui sauta au cou pour le remercier. Puis il vint vers moi et me fit pareil. Ses parents donnèrent une carte de visite à Liam et nous donnèrent rendez-vous pour midi le lendemain.
Adam revint et parla à l'oreille du père de Jimmy.
- On vous attend demain pour le brunch, c'est pool party alors venez décontractés et avec de quoi vous baigner. Tu dis au revoir Jimmy, on doit y aller.
On rejoignait les autres après leur avoir téléphoné pour demander où ils étaient.
- Tu sais quoi Bébé, on vient de parler à des millionnaires et le tonton Adam est un champion olympique de patinage qui, comme tu l'auras compris, lui aussi est gay.
- Comment tu sais ça toi ?
- Leur adresse, C'est le coin le plus cher de tout Beverly Hills. Et Adam qu’il me semblait connaître + le nom de famille, j’ai fait le rapprochement. L'avantage c'est que ce n'est pas loin de chez nos parents.
- Ok, mais demain matin je dois aller au foot Liam. Je leur ai promis. Et puis je dois aussi aller préparer mes affaires pour partir dans la campagne de ta mère. Toi tu peux déjà faire ton sac.
- Merde ! on n'y a pas pensé aux affaires nous non plus. Mika, tu téléphones aux parents pour leur dire qu'on arrive à six ce soir et qu’on partira de chez nous demain ?
- Et pourquoi tu le fais pas toi Gaële ?
- Moi dire qu’on débarque tous à l’heure du souper, ils vont me tuer si je fais ça !
- Et si on apporte des pizzas ça irait ?
- T'es génial Bé !
Mika téléphona et sa mère répondit. Ils discutèrent un petit moment et il revint vers nous.
- Elle est d'accord mais elle a mis des conditions. Les filles vous couchez ensemble, Les frangins vous prendrez ma chambre et moi je vais coucher avec toi Bé ! Alors tu me confonds pas avec Liam !
On tirait tous la gueule
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Et pendant que les cousins continuaient à faire du shopping avec leurs chéri(e)s on retourna à la boutique de fringues de sport et sous-vêtements.
Le patron nous conduisit à quelques blocs de là dans un studio photos.
Le photographe, très professionnel, nous demanda de nous mettre en boxer. Un maquilleur vint et nous conduisit dans une pièce plus petite et nous expliqua ce qu'il allait nous faire.
Pour résumer il allait nous ‘peindre’ intégralement pour harmoniser nos couleurs de peau.
Pour moi, je le vis arriver avec une tondeuse et il me rasa tous les poils qui dépassaient du petit string jetable qu'il m'avait demandé de passer avant de me badigeonner. J’étais presque lisse comme Liam.
Une fois satisfait de son travail, il nous renvoya au photographe.
Celui-ci nous montra un paravent et nous dit de nous changer.
Derrière, sur une table, il y avait pas loin d'une centaine de sous-vêtements. Puis sur un portant une bonne cinquantaine de tenues de sport, shorts et teeshirts. Plus quelques tenues de "ville" bermudas et chemisettes.
- On va commencer par les boxers. Il nous avait dit.
On enfila le premier et on sortit. Au début, il dut nous expliquer comment et quelles poses prendre. Il fit une série de photos et nous redemanda d'aller nous changer.
Les séries suivantes furent de plus en plus rapides, on avait pris le coup !
Bon, on venait de finir les boxers. Maintenant on attaquait les slips et mini slips.
Certains étaient tellement mini que pour tout rentrer dedans on eut quelques problèmes. (surtout que nos sexes gonflaient par moments)
Lors d’un changement, je regardais Liam avec un mini slip qui lui allait plutôt bien. Il était fait d'un tissus si fin et moulant qu'on voyait la cicatrice de son gland circoncis. C’était très érotique !
Et devinez ? Je me mis à bander si bien que ma queue sortit prendre l’air par le haut !
Liam éclata de rire et le photographe lui demanda ce qu'il se passait.
- On a un petit incident technique. Il va falloir attendre un peu.
Sam, le photographe, un mec la vingtaine, guère plus, vint voir ce qu'il se passait.
- Wow ! Pas si petit que ça l'incident technique ! Bon deux solutions. Ça passe vite ou vous faites passer. Il y a encore du travail.
Liam m'entraina dans la pièce où le maquilleur nous avait peint et il me roula une pelle avant de me masser le paquet.
Je lui rendis la pareille et, sortant nos sexes, l'un branla l’autre.
On aurait bien pris plus de temps si le photographe ne nous avait pas crier de nous dépêcher à travers la porte.
On ressortit le rose aux joues et les burnes vides. On continua la séance photo.
Pour les jockstrap, certains avaient le devant en résille à grandes mailles qui laissaient voir nos sexes de façon plus indécente que la nudité.
Il y avait beaucoup moins de tenues de sport mais elle mettaient toutes en valeur les fesses et le paquet de celui qui les portait.
Les tenues de ville étaient variées, ça allait de la coupe slim à la coupe baggy.
Le propriétaire et créateur des fringues que l'on essayait, fut ravi des photos.
Il nous proposa pour 200 dollars de plus de faire une photo de nous nus, de dos, nos corps en entier, avec juste une casquette mise à l'envers où son logo et le site internet apparaissaient.
Il nous fit coller l'un à côté de l’autre.
Il demanda à Liam de passer son bras dans mon dos et de poser sa main au niveau de ma hanche. Et il me demanda de faire de même. Mais, je ne sais pas pourquoi, je posais ma main en plein sur la fesse droite de Liam.
- Ne bougez plus, restez comme ça ! C'est parfait !
Et c'est ainsi que cette photo aguicheuse fit la couverture de son catalogue et de la page d'accueil du site où il vendait ses créations en ligne.
Le patron nous paya et, comme promis, il nous fit cadeau de la nouvelle collection.
Avant de partir le photographe nous fit cadeau à chacun d'une clef USB avec les photos qu'il venait de faire de nous et il nous donna sa carte sur laquelle il inscrivit un site où il stockait les photos artistiques qu'il prenait. Et il nous proposa de nous photographier.
On lui promis d’y réfléchir et qu'on le contacterait.
On rentra qu’il n'était pas loin de vingt et une heures. Et pendant qu'on mangeait, il fallut expliquer, raconter tout ce qu'on avait fait.
Sam, sans exception, nous avait mis toutes les photos qu'il avait fait. Aussi Liam donna sa clef USB à Tony qui alla chercher son ordi et lança le diaporama, pour les quatre curieux.
On mangeait tranquille maintenant et c'est un grand éclat de rire général qui nous tira de notre discussion.
- Pourquoi vous riez ?
- Vous avez eu des raideurs intempestives on dirait !
- Ho merde ! Il a photographié ça aussi ?
- Oui et pas qu'une fois !
- Wow les belles fesses !
Et il y eut encore quelques commentaires grivois.
On les laissa dire. On parlait plutôt de quelle était la tenue qu’on allait mettre demain pour aller à Universal Studios. Maintenant j'avais le choix et Liam aussi.
Les autres partirent se coucher et avec Liam on alla se rafraichir à la piscine. On rapprocha deux transats. On reparlait de la journée du lendemain, de tout ce qu'il y avait à voir ou à faire et pendant qu'il me parlait, il faisait courir ses doigts sur mon torse et, de temps en temps, il caressait mes seins.
Et ce qu'il devait arriver arriva. On fit l'amour, longuement et tendrement, pendant plus d'une heure et Liam se montra plus qu'efficace dans son rôle d'actif puisqu'il me fit jouir sans que je me touche. Il voulut se retirer.
- Non, continue, je veux que tu jouisses en moi.
Il assurait grave ! Il se débrouillait si bien qu'il me fit rebander ! Il se mit à gémir, à ahaner, puis il me donna un coup de rein plus fort que les autres et déversa sa semence bien au fond de mes fesses. Il se pencha pour m'embrasser puis il se mit à quatre pattes et cette position ne laissait aucun doute sur ce qu'il attendait de moi.
Je lui remangeais un peu les fesses, plus par envie que par besoin de lubrification, puis je le pris, tout en douceur pour commencer… Une belle chevauchée et, son éjaculation déclencha la mienne, je lui envoyais moi aussi mon sperme bien au fond de ses fesses.
On replongea dans la piscine pour se rafraichir et rincer la sueur qui nous recouvrait, on se fit sécher grâce à la douce brise qui soufflait et c'est nu qu'on regagna la chambre de Liam.
On se fit quelques doux câlins pour s’endormir.
Je me réveillais blotti contre Liam. Mon érection matinale était bien callée entre ses fesses. Je commençais à faire des vas et viens très lents et très longs. Liam bougea pour que mon gland frotte bien sur sa rondelle. Ses gémissements ressemblaient à un ronronnement. Je cherchais sa bite que je trouvais bien raide et je le masturbais.
Il jouit dans mes doigts et moi entre ses cuisses.
Il se retourna vers moi et m’embrassa.
- Si tu me réveilles comme ça tous les matins et je serai l'homme le plus heureux du monde Bébé.
- J'aime bien quand tu m'appelles Bébé.
- On se lève, c'est bientôt huit heures. On en a pour une bonne heure à aller à Universal Studios. Si on veut arriver à dix heures, ça nous laisse une petite heure pour prendre notre petit déjeuner et nous préparer.
On se doucha et c'est en boxer qu'on alla jusqu'à la cuisine où on retrouva mon cousin et Méli, Tony et Gaële. Les parents étaient déjà parti bosser depuis longtemps.
- Ha, quand même les amoureux vous émergez ! On a failli vous attendre, une fois de plus !
On prit notre petit déjeuner puis on alla s'habiller et les premiers à redescendre, c'était nous !
Avec Liam on avait décidé de leur offrir la journée.
On était arrivé depuis deux bonnes heures déjà. On avait fait tout un tas d'attractions, quand la faim nous tenailla.
Au resto chacun commanda de quoi se sustenter et on s'installa à une table libre.
A côté de nous il y avait un couple avec un enfant de 7 ou 8 ans assis en face d'eux qui, lui, était assis à côté d'un homme qu'il appelait oncle Adam, le gamin s'appelait Jimmy.
On se leva en même temps qu’eux.
- Il y a quoi là-bas Liam ?
- Des vieux jeux comme le fer à cheval, un autre où tu tapes sur un truc qui fait s'envoler un poids sensé faire tinter une cloche. Et à chaque fois que tu gagnes, tu reçois un petit lot.
- On y va ? J'ai toujours eu envie d'essayer le jeu de la masse et de faire tinter la cloche.
On y alla mais la place était déjà prise par l’oncle Adam qui s'y prenait comme un manche. Il avait une masse trop grosse et trop lourde pour lui et en plus il caressait au lieu de frapper la base sur laquelle il fallait taper.
Il abandonna au bout de quelques essais. Il partirent plus loin et je pris une masse plus petite et je frappais. La cloche tinta et Jimmy revint en courant vers nous.
Le gérant du jeu me proposa un quitte ou double. J'acceptais bien sûr. Je n'avais pas tapé très fort. Il rajouta du poids. Je frappais et la cloche tinta à nouveau.
Et Jimmy m’encourageait. Je fis encore sonner la cloche deux fois. Mais la dernière fut de justesse.
Il ne me restait plus qu'une fois pour gagner le gros lot. Un ours gigantesque.
J'allais en faire quoi de cet ours moi ?
- Papa, dis papa, tu crois qu'il va le gagner le monsieur le grand nounours ?
- Je ne sais pas Jimmy, mais c'est lui qui va peut-être le gagner, pas nous. Et puis des ours tu en as déjà !
- Oui mais pas un comme celui-là ! Il est trop beau.
Je me concentrais et je frappais de toutes mes forces en plein centre. Le palet s'éleva et frappa la cloche. Jimmy trépignait de joie.
Le gérant du stand me dit que j'étais le troisième à avoir réussi l’exploit.
- De la journée ?
- Non depuis que l'attraction existe ici.
- Je pourrais avoir votre nom pour l'inscrire à la suite des deux autres avec la date.
Vous voulez quelle couleur ?
- Liam, On prend lequel ?
- Je ne sais pas, c'est toi qui choisit, je n'ai pas de préférences et toi ?
- Je ne sais pas non plus.
Je me tournais vers Jimmy.
- Et toi tu choisirais lequel ?
- Le blanc, c’est sûr ! Il est trop beau !
Je demandais donc le blanc au gérant. Il me le donna.
- Jeff, je peux lui faire un câlin ?
- Oh, mais comment tu connais mon nom Jimmy ?
- Hey et toi comment tu fais pour connaître le mien ?
- Moi c'est quand ton tonton te disait de te calmer et toi ?
- Quand le monsieur t’a demandé pour le marquer sur le mur.
- Dis Jeff, alors, tu me laisses lui faire un câlin ?
Je le posais devant lui et il le serra dans ses petits bras. Liam me dit :
- On va rejoindre les autres Bé ?
Il me prit la main et après avoir dit au revoir on partit.
- Hey mais… Jeff, Jeff, tu oublies ton ours !
- Mais non Jimmy, quand le monsieur me l'a donné, l'ours m'a dit à l'oreille qu'il voulait aller avec toi alors je te le laisse. Enfin, si tu le veux, sinon je trouverais bien un autre petit garçon qui le voudra.
- Hein ! non, non, je le veux bien. Merci, merci, merci !
Ses parents et son oncle nous offrirent un verre à boire pour nous remercier. On était assis et Jimmy me demanda :
- Dis Jeff tu parles de façon bizarre, t'es malade ?
- Jimmy ! Non mais ! s’exclama le père.
- Non Jimmy, je parle ‘bizarre’ parce que je suis français et c'est dur pour moi de parler en anglais.
- Ha c'est pour ça ? Tu me dis quelque chose en français ?
- Jimmy est un gentil garçon.
- T'as dit quoi ?
Liam traduisit. Il rit.
- Dis Jeff pourquoi Liam il t'appelle Bébé. ça veut dire quoi Bébé ? C'est ton amoureux ?
Son oncle réagit en même temps que ses parents.
- Mais Jimmy ne sois pas aussi indiscret, quand même, ça ne se fait pas !
- Mais quoi ? Je demande c'est tout ! Tonton Adam a bien un boy-friend aussi !
- Il m'appelle Bébé comme tous ceux que j'aime et qui m’aiment. Et oui c'est mon amoureux. Voilà, tu es satisfait ?
- Oui ! Dis bébé, demain tu veux bien venir avec chez nous pour mon anniversaire ?
Le téléphone d'Adam sonna. Il s'éloigna pour répondre. Il avait l'air énervé !
Je regardais Liam pour répondre quelque chose quand Jimmy alla vers lui avec un regard de chien battu et lui dit :
- Allez dis oui s'te plait.
Liam ne résista pas et fit oui de la tête. Jimmy lui sauta au cou pour le remercier. Puis il vint vers moi et me fit pareil. Ses parents donnèrent une carte de visite à Liam et nous donnèrent rendez-vous pour midi le lendemain.
Adam revint et parla à l'oreille du père de Jimmy.
- On vous attend demain pour le brunch, c'est pool party alors venez décontractés et avec de quoi vous baigner. Tu dis au revoir Jimmy, on doit y aller.
On rejoignait les autres après leur avoir téléphoné pour demander où ils étaient.
- Tu sais quoi Bébé, on vient de parler à des millionnaires et le tonton Adam est un champion olympique de patinage qui, comme tu l'auras compris, lui aussi est gay.
- Comment tu sais ça toi ?
- Leur adresse, C'est le coin le plus cher de tout Beverly Hills. Et Adam qu’il me semblait connaître + le nom de famille, j’ai fait le rapprochement. L'avantage c'est que ce n'est pas loin de chez nos parents.
- Ok, mais demain matin je dois aller au foot Liam. Je leur ai promis. Et puis je dois aussi aller préparer mes affaires pour partir dans la campagne de ta mère. Toi tu peux déjà faire ton sac.
- Merde ! on n'y a pas pensé aux affaires nous non plus. Mika, tu téléphones aux parents pour leur dire qu'on arrive à six ce soir et qu’on partira de chez nous demain ?
- Et pourquoi tu le fais pas toi Gaële ?
- Moi dire qu’on débarque tous à l’heure du souper, ils vont me tuer si je fais ça !
- Et si on apporte des pizzas ça irait ?
- T'es génial Bé !
Mika téléphona et sa mère répondit. Ils discutèrent un petit moment et il revint vers nous.
- Elle est d'accord mais elle a mis des conditions. Les filles vous couchez ensemble, Les frangins vous prendrez ma chambre et moi je vais coucher avec toi Bé ! Alors tu me confonds pas avec Liam !
On tirait tous la gueule
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