15-05-2022, 05:59 PM
Bon, pour résumer, On était collé l'un à l’autre, juste en short de bain et ça s’agitait sous le tissu.
Liam me repoussa gentiment et, me reprenant par la main, il me guida jusqu'au lit. Il quitta son short de bain et se révéla à moi dans toute sa splendeur.
Ce mec était juste parfait. Une silhouette en V avec des pecs bien développés, des épaules larges, un pack de 6 abdos bien développés, mais ça je le savais déjà pour l'avoir vu à la piscine , et dessous une belle queue bien bandée, un peu plus courte et sensiblement moins large que la mienne, puis légèrement recourbée vers le haut.
Il était circoncis. Sous son sexe ses belles bourses pendaient et le tout était intégralement rasé de frais.
Et ses fesses, une vraie merveille. Musclées, rebondies, fermes et laiteuses !
Il me quitta le short. Et lui aussi me détailla de la tête aux pieds.
Puis, vite il me tira sur le lit où on s’allongea. On commença à se caresser tout en nous embrassant. Et ça dura longtemps. Un coup c'était lui qui était dessus, un coup c'était moi mais il vit que j'avais peur de l’écraser.
- Je ne suis pas en cristal et j'aime quand tu es sur moi.
Après de très longs préliminaires on passa aux choses sérieuses, fellations, 69, bouffage de cul et Liam me sodomisa le premier, pas très longtemps. Puis ce fut mon tour et il aimait ça le coquin !
On refit l'amour encore une fois et cette fois encore Liam joua le rôle du passif. Il ne se retenait pas de gémir et quand je le prenais les yeux dans les yeux ça décuplait mon plaisir et le sien.
On se câlina un long moment et enfin, après une douche réparatrice - prise à deux, bien sûr - on rejoignit les autres.
Quand on arriva au bord de la piscine on eut droit aux lazzis des garçons, sans compter leurs blagues et insinuations douteuses, tandis que les filles nous applaudissaient.
On leur tira la langue et on plongea en faisant beaucoup d'éclaboussures histoire de bien les mouiller !
Ils sautèrent à leur tour à l'eau et vinrent nous attaquer. On chahuta un grand moment puis on ressortit.
On était allongé tous les six et on discutait du planning de la journée du lundi. Puis de celle du mardi.
La fratrie nous proposa de coucher chez eux le lundi soir pour nous "éviter" un long trajet d’aller/retour. Et c'est Tony qui demanda :
- Vous faites quoi à partir de jeudi ?
- On n'a rien de prévu enfin je ne pense pas. Pourquoi ?
- On a promis à nos parents d'aller bosser pour eux. Notre arrière-grand-père, du côté de notre mère, quand il est arrivé aux Etats Unis a acheté une ferme à deux heures de route d'ici dans les montagnes. Il y a travaillé longtemps avant de mettre ses terres en location.
Mon grand-père les avait louées à un français qui est mort depuis quatre ans.
Depuis personne n'y a rien fait et la végétation envahit tout ! Du coup on doit aller nous en occuper. Nos parents ont demandé des devis pour le faire faire mais c'est juste du vol.
Alors ils nous ont proposé un deal. On fait le boulot et on se partage l'argent du devis le plus bas.
- Quoi, vous osez leur demander ça ? Mais c'est pas normal ! C'est votre famille et tant que ça ne coute que de son temps il ne doit pas y avoir d'histoire d'argent !
- Bienvenu en Amérique Jeff ! Pourquoi on n'a pas des enfants comme lui chérie ?
C'est leur père qui venait de dire ça en arrivant avec sa femme.
- On est rentrés. Je vous laisse à vos discussions instructives.
Mika avait pris son portable et était en train de résumer aux parents la proposition qui nous avait été faite. Mon oncle et ma tante acceptèrent sur le principe mais ils voulaient discuter avec les parents de la fratrie des détails.
Tony cria leur numéro de téléphone. Mika raccrocha et on alla se baigner une dernière fois avant de partir, au grand désespoir de tous.
Mais on se revoyait demain sur le coup des 10 h pour aller faire du shopping. Ça ne m'enchantait guère – je sais comment sont les filles dans un magasin - mais bon j'en profiterai pour acheter un cadeau à tout le monde.
Le lundi matin tôt, je partis courir et jouer au foot. J'avertis que le lendemain je ne serai pas là et qu'à partir du jeudi je serai absent pour une durée indéterminée.
Le coach grimaça mais ne dit rien.
A la fin de l'entrainement Joé me raccompagna et, à l’arrivée, il me donna une clef USB.
- C'est mon mémoire. Tu voudrais bien le lire s'il te plait. ça parle de ton coin pendant la deuxième guerre mondiale. Il y a des photos aussi, dont certaines que je n'ai pas pu situer. Alors si tu pouvais m'aider sur ce coup là, ça serait sympa.
Ma cousine sortit de la maison et me cria :
- Bé ! Dépêche-toi ! On n'attend plus que toi pour partir et je suis sure que tu n'as même pas fait ton sac !
- J'en ai pour cinq minutes chrono… Mais c'est quoi tout ça ?
- Mes sacs pour les deux jours ! Bin quoi, lève pas les yeux au ciel , y'a pas grand-chose. Et arrête de rire !
J'allais prendre mes affaires de toilette que je mis avec un boxer, un short et un teeshirt dans mon sac à dos. Je pris pas mal d'argent liquide pour couvrir mes achats. Et, ayant rejoint les autres, on partit. On s'était donné rendez-vous dans une zone commerciale où ils ne vendaient que des fringues.
On était quatre mecs et venus normalement pour moi, mais les deux filles nous trainèrent une grosse partie du temps dans des boutiques de nanas. J'en avais plein le dos et j’en sortis suivi de Liam.
Je trouvais une boutique où les fringues, des fins de séries, étaient bradées.
J'y trouvais mon bonheur, bermudas, jeans, teeshirts, baskets, le tout de grandes marques bien sûr, mais de l'an dernier. En plus, vu ma carrure, j'avais énormément de choix.
Je choisis avec l'aide de Liam, qui m'entraina ensuite dans une autre boutique du même genre, mais qui ne vendait que des sous-vêtements et des fringues de sport.
Quand on y entra le patron passait l'engueulée du siècle à un employé.
- Je ne peux te laisser aucune initiative. Je t'avais dit de choisir deux mecs NATURELLEMENT musclés ! Et c'est ça que tu appelles NATURELLEMENT ? C'est des bodybuilders hypertrophiés Sam ! Mais ce n'est pas des mecs naturellement musclés. Je les fais comment moi les photos de ma nouvelle collection cet après-midi ? Où c'est que je vais les trouver ces deux mecs ?...
Ils partirent dans le bureau et fermèrent la porte pour continuer leur discussion. Avec Liam on fit nos choix et on alla dans les cabines d’essayage. Chacun essayait à son tour une tenue et l'autre disait ce qu'il en pensait.
Le patron calmé vint s'excuser de ses éclats de voix. Liam venait de quitter un teeshirt qui ne lui allait pas et se trouvait ainsi torse nu. Moi, j’attendais mon tour en débardeur.
Le patron nous regarda de façon bizarre.
- Je m’excuse, jeunes gens , vous avez quelque chose de prévu cet après-midi ?
- Non, mais pourquoi ?
- Je dois impérativement faire des photos de ma nouvelle collection de sous-vêtements aujourd’hui et vous et votre amis êtes exactement les mannequins que je cherche. 1000 dollars chacun pour quatre heures de travail. Et tous les sous-vêtements et vêtements que vous essayerez vous pourrez les garder.
Liam me fit signe de le suivre et me demanda ce que j'en pensais.
- Pour moi, ça serait ok mais je veux pas qu'on voit mon visage.
- Pareil pour moi.
On alla voir le patron et on lui posa nos conditions.
Liam me repoussa gentiment et, me reprenant par la main, il me guida jusqu'au lit. Il quitta son short de bain et se révéla à moi dans toute sa splendeur.
Ce mec était juste parfait. Une silhouette en V avec des pecs bien développés, des épaules larges, un pack de 6 abdos bien développés, mais ça je le savais déjà pour l'avoir vu à la piscine , et dessous une belle queue bien bandée, un peu plus courte et sensiblement moins large que la mienne, puis légèrement recourbée vers le haut.
Il était circoncis. Sous son sexe ses belles bourses pendaient et le tout était intégralement rasé de frais.
Et ses fesses, une vraie merveille. Musclées, rebondies, fermes et laiteuses !
Il me quitta le short. Et lui aussi me détailla de la tête aux pieds.
Puis, vite il me tira sur le lit où on s’allongea. On commença à se caresser tout en nous embrassant. Et ça dura longtemps. Un coup c'était lui qui était dessus, un coup c'était moi mais il vit que j'avais peur de l’écraser.
- Je ne suis pas en cristal et j'aime quand tu es sur moi.
Après de très longs préliminaires on passa aux choses sérieuses, fellations, 69, bouffage de cul et Liam me sodomisa le premier, pas très longtemps. Puis ce fut mon tour et il aimait ça le coquin !
On refit l'amour encore une fois et cette fois encore Liam joua le rôle du passif. Il ne se retenait pas de gémir et quand je le prenais les yeux dans les yeux ça décuplait mon plaisir et le sien.
On se câlina un long moment et enfin, après une douche réparatrice - prise à deux, bien sûr - on rejoignit les autres.
Quand on arriva au bord de la piscine on eut droit aux lazzis des garçons, sans compter leurs blagues et insinuations douteuses, tandis que les filles nous applaudissaient.
On leur tira la langue et on plongea en faisant beaucoup d'éclaboussures histoire de bien les mouiller !
Ils sautèrent à leur tour à l'eau et vinrent nous attaquer. On chahuta un grand moment puis on ressortit.
On était allongé tous les six et on discutait du planning de la journée du lundi. Puis de celle du mardi.
La fratrie nous proposa de coucher chez eux le lundi soir pour nous "éviter" un long trajet d’aller/retour. Et c'est Tony qui demanda :
- Vous faites quoi à partir de jeudi ?
- On n'a rien de prévu enfin je ne pense pas. Pourquoi ?
- On a promis à nos parents d'aller bosser pour eux. Notre arrière-grand-père, du côté de notre mère, quand il est arrivé aux Etats Unis a acheté une ferme à deux heures de route d'ici dans les montagnes. Il y a travaillé longtemps avant de mettre ses terres en location.
Mon grand-père les avait louées à un français qui est mort depuis quatre ans.
Depuis personne n'y a rien fait et la végétation envahit tout ! Du coup on doit aller nous en occuper. Nos parents ont demandé des devis pour le faire faire mais c'est juste du vol.
Alors ils nous ont proposé un deal. On fait le boulot et on se partage l'argent du devis le plus bas.
- Quoi, vous osez leur demander ça ? Mais c'est pas normal ! C'est votre famille et tant que ça ne coute que de son temps il ne doit pas y avoir d'histoire d'argent !
- Bienvenu en Amérique Jeff ! Pourquoi on n'a pas des enfants comme lui chérie ?
C'est leur père qui venait de dire ça en arrivant avec sa femme.
- On est rentrés. Je vous laisse à vos discussions instructives.
Mika avait pris son portable et était en train de résumer aux parents la proposition qui nous avait été faite. Mon oncle et ma tante acceptèrent sur le principe mais ils voulaient discuter avec les parents de la fratrie des détails.
Tony cria leur numéro de téléphone. Mika raccrocha et on alla se baigner une dernière fois avant de partir, au grand désespoir de tous.
Mais on se revoyait demain sur le coup des 10 h pour aller faire du shopping. Ça ne m'enchantait guère – je sais comment sont les filles dans un magasin - mais bon j'en profiterai pour acheter un cadeau à tout le monde.
Le lundi matin tôt, je partis courir et jouer au foot. J'avertis que le lendemain je ne serai pas là et qu'à partir du jeudi je serai absent pour une durée indéterminée.
Le coach grimaça mais ne dit rien.
A la fin de l'entrainement Joé me raccompagna et, à l’arrivée, il me donna une clef USB.
- C'est mon mémoire. Tu voudrais bien le lire s'il te plait. ça parle de ton coin pendant la deuxième guerre mondiale. Il y a des photos aussi, dont certaines que je n'ai pas pu situer. Alors si tu pouvais m'aider sur ce coup là, ça serait sympa.
Ma cousine sortit de la maison et me cria :
- Bé ! Dépêche-toi ! On n'attend plus que toi pour partir et je suis sure que tu n'as même pas fait ton sac !
- J'en ai pour cinq minutes chrono… Mais c'est quoi tout ça ?
- Mes sacs pour les deux jours ! Bin quoi, lève pas les yeux au ciel , y'a pas grand-chose. Et arrête de rire !
J'allais prendre mes affaires de toilette que je mis avec un boxer, un short et un teeshirt dans mon sac à dos. Je pris pas mal d'argent liquide pour couvrir mes achats. Et, ayant rejoint les autres, on partit. On s'était donné rendez-vous dans une zone commerciale où ils ne vendaient que des fringues.
On était quatre mecs et venus normalement pour moi, mais les deux filles nous trainèrent une grosse partie du temps dans des boutiques de nanas. J'en avais plein le dos et j’en sortis suivi de Liam.
Je trouvais une boutique où les fringues, des fins de séries, étaient bradées.
J'y trouvais mon bonheur, bermudas, jeans, teeshirts, baskets, le tout de grandes marques bien sûr, mais de l'an dernier. En plus, vu ma carrure, j'avais énormément de choix.
Je choisis avec l'aide de Liam, qui m'entraina ensuite dans une autre boutique du même genre, mais qui ne vendait que des sous-vêtements et des fringues de sport.
Quand on y entra le patron passait l'engueulée du siècle à un employé.
- Je ne peux te laisser aucune initiative. Je t'avais dit de choisir deux mecs NATURELLEMENT musclés ! Et c'est ça que tu appelles NATURELLEMENT ? C'est des bodybuilders hypertrophiés Sam ! Mais ce n'est pas des mecs naturellement musclés. Je les fais comment moi les photos de ma nouvelle collection cet après-midi ? Où c'est que je vais les trouver ces deux mecs ?...
Ils partirent dans le bureau et fermèrent la porte pour continuer leur discussion. Avec Liam on fit nos choix et on alla dans les cabines d’essayage. Chacun essayait à son tour une tenue et l'autre disait ce qu'il en pensait.
Le patron calmé vint s'excuser de ses éclats de voix. Liam venait de quitter un teeshirt qui ne lui allait pas et se trouvait ainsi torse nu. Moi, j’attendais mon tour en débardeur.
Le patron nous regarda de façon bizarre.
- Je m’excuse, jeunes gens , vous avez quelque chose de prévu cet après-midi ?
- Non, mais pourquoi ?
- Je dois impérativement faire des photos de ma nouvelle collection de sous-vêtements aujourd’hui et vous et votre amis êtes exactement les mannequins que je cherche. 1000 dollars chacun pour quatre heures de travail. Et tous les sous-vêtements et vêtements que vous essayerez vous pourrez les garder.
Liam me fit signe de le suivre et me demanda ce que j'en pensais.
- Pour moi, ça serait ok mais je veux pas qu'on voit mon visage.
- Pareil pour moi.
On alla voir le patron et on lui posa nos conditions.