06-05-2022, 10:41 AM
Ben me réveille, il fait déjà clair. Je regarde le réveil, il est neuf heures treize. Tout en nous embrassant, je passe ma main dans la toison blonde de mon chéri. C’est incroyable comme ses cheveux bouclent. Il est à croquer avec ses yeux bleus et sa belle frimousse. Une fois notre baiser humide terminé, je dis à mon chou : « Je t’aime ». Ben se penche et me dit doucement au creux de l’oreille : « Moi aussi je t’aime Phil ». Nous reprenons alors notre baiser appuyé !
Nous passons par la salle de bain pour nous rafraîchir. Nous nous habillons et nous descendons calmement les escaliers. Nous entendons des bribes de conversations. J’entends aussi Mamy dire à ceux qui sont à table :
Mamy : « Je vous demande de ne pas mettre Ben et Phil dans l’embarras par vos réflexions. Ils n’ont pas été discrets, mais laisser-les tranquilles !
Mam : Je vous approuve Mamy, ce n’est pas la peine, cela peut vous arriver à vous aussi plus tard.
Jea : Pour moi c’est OK. Puis c’est compréhensible, ils s’aiment !
Mam : Oui ils s’aiment et ils en profitent durant ces quelques jours de congé, ce n’est pas la même chose quand c’est la période scolaire !
Ben et moi entrons dans la salle à manger. Je m’arrête et je dis :
Moi : Je suis désolé pour hier soir, je sais que nous avons fait du bruit ! Nous avons entendu votre conversation depuis deux minutes. Franchement nous sommes désolés !
Mamy : Ne soyez pas désolés, je sais que vous vous aimez et que dans certaines circonstances on oublie qu’il y a peut-être quelqu’un qui peut entendre le bruit des ébats. Pour ma part, je trouve que c’est normal et en plus je sais que vous vous aimez.
Ben : Merci Mamy. »
Ben va près de ma Mamy et va lui donner un bisou sur la joue. Il fait alors le tour de la tablée. Je le suis et j’embrasse la famille au grand complet. Nous nous asseyons à notre place, heureux de la tournure des choses. Nous sourions tous, chacun sachant qu’en amour rien n’est pareil dans les couples. Je suis très heureux de la réaction de Mamy et des autres, qui finalement ont compris qu’il ne servait à rien d’en parler plus qu’il ne faut.
La matinée se passe bien, nous faisons une nouvelle fois une petite balade aux abords de la forêt de Soignes. Ensuite nous dînons en famille. Mes grands-parents quittent ensuite la maison pour rentrer chez eux. Les aurevoirs sont très chaleureux, Mamy et Papy sont très émus après leur séjour à la maison.
Le soir, je pars avec Ben pour aller passer les deux derniers jours de congé chez lui. Nous avons d’ailleurs rendez-vous à la piscine avec Gaby et Christophe demain après-midi. C’est donc à vélo que nous nous déplaçons pour rentrer. En arrivant nous trouvons Arlette et Christine dans la cuisine, elles s’affairent pour préparer le souper. Après les avoir embrassées, nous rejoignons Yves et Denis qui sont assis devant la télévision, ils regardent un reportage sur les baleines.
Yves se charge de l’apéritif, Denis et Ben s’occupent des zakouskis. Je vais dans la cuisine pour donner un coup de main. Arlette me demande comment vont mes grands-parents et le reste de la famille. Je raconte en résumé les activités que nous avons faites avec eux. Christine me donne un petit plat contenant des cubes de fromage pour le déposer sur la table de l’apéro.
C’est lors de l’apéro que Ben et moi racontons ce que nous avons fait avec mes grands-parents durant trois jours. C’est principalement la balade en forêt de Soignes et notre rencontre avec la famille de Marie qui était le point d’orgue de leur visite. Puis sans que je ne puisse réagir, Ben raconte notre petit déjeuner de ce matin en insistant sur les propos de ma Mamy, de son acceptation de notre amour relativement exubérant niveau sonore ! Arlette intervient alors :
Arl : « Eh bien je suis agréablement surprise de voir l’ouverture d’esprit de ta Mamy mon cher Phil. C’est une personne qui compte surement beaucoup pour toi !
Moi : Oui, j’ai des grands-parents en or !
Ben : Tu sais maman, ils sont étonnants et remplis de bienveillance à l’égard de toute la famille et surtout envers leurs petits enfants et leurs compagnons.
Arl : Je pense que nous devrions une fois les inviter à l’une ou l’autre occasion, pour une fête de famille par exemple. J’ai un très bon souvenir lorsque je les ai rencontrés durant les vacances de Noël.
Moi : Je suis certain qu’ils accepteraient volontiers.
Arl : Je te demande de les saluer de notre part la prochaine fois que tu les rencontres !
Moi : Je n’y manquerai pas ! »
Le souper se passe sous les rires et les blagues racontées par les uns et les autres. L’ambiance est franchement à la détente la plus complète. Je sais que je suis à ma place dans la famille de Ben, tout comme il est à la sienne lorsqu’il est chez nous. C’est à nous que revient de débarrasser la table et de mettre le tout dans le lave-vaisselle. Une fois que tout est rangé, nous rejoignons les autres dans le salon. Yves se dirige vers le bar et il nous propose un petit verre de liqueur de poire en guise de pousse-café ! Nous ne déclinons pas cette offre et nous trinquons tous ensemble à l’avenir.
Bien entendu nous ne nous sommes pas limités à un verre, mais trois ou quatre verres de liqueur de poire. Inutile de dire que nous avons assez bu ! Après les salutations d’usage avant d’aller rejoindre la chambre de mon chéri, nous passons par la salle de bain. Nous prenons une bonne douche pour nous remettre de la soirée et en vue de passer une bonne nuit. Une fois dans le lit de Ben, nous nous sommes endormis comme des masses !
Il commence à faire clair lorsque j’ouvre les yeux. Je me souviens d’avoir passé la soirée avec Ben et sa famille, puis c’est le trou noir. Je me souviens alors de cette liqueur de poire qu’Yves nous a proposée. Je sais que nous en avons pris plusieurs verres mais je ne peux dire combien. C’est donc pour cette raison que je me sens vaseux ! Je regarde Ben qui dort toujours. Ses cheveux blonds comme les blés sont étalés sur son oreiller. Je tente alors de le réveiller. Je caresse du bout des doigts ses joues un peu rosies. J’entends alors quelques râles mentionnant qu’il apprécie ce réveil assez câlin ! Ben ouvre alors les yeux, ils sont toujours aussi bleu-océan, mais ils ne sont pas comme d’habitude. Je pense que l’alcool que nous avons bu hier soir y est pour quelque chose.
Ben ouvre la bouche pour dire quelque chose, mais rien ne sort, il lui faut une dizaine de secondes pour me dire :
Ben : « Bonjour Phil.
Moi : Bonjour Ben, mais tu pues du bec !
Ben : Et toi alors, tu as mangé quoi ?
Nous nous rendons compte que nous avons abusé de la dive bouteille. Il va falloir, du moins c’est ce que je pense, dire « merci » à Yves pour ce qu’il nous a proposé hier soir comme boisson !
Ben : Oh là, je comprends mieux. Je pense que nous avons exagéré avec la liqueur !
Moi : Oui Ben, je pense que nous devrions faire attention, on prend un verre ou deux, pas plus la prochaine fois !
Ben : Je ne sais pas ce que papa va nous dire, mais je pense qu’il aurait dû nous dire « stop » !
Moi : Je sais Ben, mais nous n’avons jamais refusé les verres qui nous ont été offerts !
Ben : Oui, c’est aussi un peu notre faute, mais je n’aime pas me faire avoir comme ça, surtout de la part de mon paternel !
Moi : Je suis d’accord avec toi Ben. Je pense que nous devons lui en toucher un mot !
Ben : Bon, je pense qu’il est temps de se lever et d’aller dans la salle de bain pour bien nous laver et nous rafraîchir !
Moi : C’est une excellente chose Ben, on y va ! »
Nous nous rendons dans la salle de bain. Nous nous séparons, je me mets sous la douche alors que Ben se lave les dents. Puis c’est à mon tour de m’occuper de ma dentition. Je retrouve ensuite Ben sous le jet de la douche. Nous nous embrassons, sachant que nous avons une haleine bien fraîche. Nos mains ne restent pas sans rien faire, elles s’occupent de caresser nos corps alanguis par cette nuit particulière où nous avons cuvé. Inutile de dire que nos attributs sont dressés vers le ciel comme des mats de chapiteau de cirque peuvent l’être !
Nous nous préoccupons de l’appendice de notre amoureux, puis étant face à face, je prends nos deux phallus et je les masturbe de concert. Ben prend alors lui aussi le relais. Nous changeons alors plusieurs fois le rôle de « branleur » et c’est alors que Ben ayant nos pénis entre ses doigts, que nous jouissons ensemble dans un râle commun bien sonore ! L’eau de la douche efface alors les traces de notre jouissance !
Nous nous embrassons une nouvelle fois, heureux de nous être donné du plaisir partagé. Nous nous apprêtons pour rejoindre le reste de la famille pour le petit déjeuner. Inutile de dire que nous sommes dans nos petits souliers en fonction de ce qui s’est passé hier soir lorsque nous avons dépassé le seuil au point de vue alcool. Mais contre toute attente, nous n’entendons rien nous concernant !
Nous passons par la salle de bain pour nous rafraîchir. Nous nous habillons et nous descendons calmement les escaliers. Nous entendons des bribes de conversations. J’entends aussi Mamy dire à ceux qui sont à table :
Mamy : « Je vous demande de ne pas mettre Ben et Phil dans l’embarras par vos réflexions. Ils n’ont pas été discrets, mais laisser-les tranquilles !
Mam : Je vous approuve Mamy, ce n’est pas la peine, cela peut vous arriver à vous aussi plus tard.
Jea : Pour moi c’est OK. Puis c’est compréhensible, ils s’aiment !
Mam : Oui ils s’aiment et ils en profitent durant ces quelques jours de congé, ce n’est pas la même chose quand c’est la période scolaire !
Ben et moi entrons dans la salle à manger. Je m’arrête et je dis :
Moi : Je suis désolé pour hier soir, je sais que nous avons fait du bruit ! Nous avons entendu votre conversation depuis deux minutes. Franchement nous sommes désolés !
Mamy : Ne soyez pas désolés, je sais que vous vous aimez et que dans certaines circonstances on oublie qu’il y a peut-être quelqu’un qui peut entendre le bruit des ébats. Pour ma part, je trouve que c’est normal et en plus je sais que vous vous aimez.
Ben : Merci Mamy. »
Ben va près de ma Mamy et va lui donner un bisou sur la joue. Il fait alors le tour de la tablée. Je le suis et j’embrasse la famille au grand complet. Nous nous asseyons à notre place, heureux de la tournure des choses. Nous sourions tous, chacun sachant qu’en amour rien n’est pareil dans les couples. Je suis très heureux de la réaction de Mamy et des autres, qui finalement ont compris qu’il ne servait à rien d’en parler plus qu’il ne faut.
La matinée se passe bien, nous faisons une nouvelle fois une petite balade aux abords de la forêt de Soignes. Ensuite nous dînons en famille. Mes grands-parents quittent ensuite la maison pour rentrer chez eux. Les aurevoirs sont très chaleureux, Mamy et Papy sont très émus après leur séjour à la maison.
Le soir, je pars avec Ben pour aller passer les deux derniers jours de congé chez lui. Nous avons d’ailleurs rendez-vous à la piscine avec Gaby et Christophe demain après-midi. C’est donc à vélo que nous nous déplaçons pour rentrer. En arrivant nous trouvons Arlette et Christine dans la cuisine, elles s’affairent pour préparer le souper. Après les avoir embrassées, nous rejoignons Yves et Denis qui sont assis devant la télévision, ils regardent un reportage sur les baleines.
Yves se charge de l’apéritif, Denis et Ben s’occupent des zakouskis. Je vais dans la cuisine pour donner un coup de main. Arlette me demande comment vont mes grands-parents et le reste de la famille. Je raconte en résumé les activités que nous avons faites avec eux. Christine me donne un petit plat contenant des cubes de fromage pour le déposer sur la table de l’apéro.
C’est lors de l’apéro que Ben et moi racontons ce que nous avons fait avec mes grands-parents durant trois jours. C’est principalement la balade en forêt de Soignes et notre rencontre avec la famille de Marie qui était le point d’orgue de leur visite. Puis sans que je ne puisse réagir, Ben raconte notre petit déjeuner de ce matin en insistant sur les propos de ma Mamy, de son acceptation de notre amour relativement exubérant niveau sonore ! Arlette intervient alors :
Arl : « Eh bien je suis agréablement surprise de voir l’ouverture d’esprit de ta Mamy mon cher Phil. C’est une personne qui compte surement beaucoup pour toi !
Moi : Oui, j’ai des grands-parents en or !
Ben : Tu sais maman, ils sont étonnants et remplis de bienveillance à l’égard de toute la famille et surtout envers leurs petits enfants et leurs compagnons.
Arl : Je pense que nous devrions une fois les inviter à l’une ou l’autre occasion, pour une fête de famille par exemple. J’ai un très bon souvenir lorsque je les ai rencontrés durant les vacances de Noël.
Moi : Je suis certain qu’ils accepteraient volontiers.
Arl : Je te demande de les saluer de notre part la prochaine fois que tu les rencontres !
Moi : Je n’y manquerai pas ! »
Le souper se passe sous les rires et les blagues racontées par les uns et les autres. L’ambiance est franchement à la détente la plus complète. Je sais que je suis à ma place dans la famille de Ben, tout comme il est à la sienne lorsqu’il est chez nous. C’est à nous que revient de débarrasser la table et de mettre le tout dans le lave-vaisselle. Une fois que tout est rangé, nous rejoignons les autres dans le salon. Yves se dirige vers le bar et il nous propose un petit verre de liqueur de poire en guise de pousse-café ! Nous ne déclinons pas cette offre et nous trinquons tous ensemble à l’avenir.
Bien entendu nous ne nous sommes pas limités à un verre, mais trois ou quatre verres de liqueur de poire. Inutile de dire que nous avons assez bu ! Après les salutations d’usage avant d’aller rejoindre la chambre de mon chéri, nous passons par la salle de bain. Nous prenons une bonne douche pour nous remettre de la soirée et en vue de passer une bonne nuit. Une fois dans le lit de Ben, nous nous sommes endormis comme des masses !
Il commence à faire clair lorsque j’ouvre les yeux. Je me souviens d’avoir passé la soirée avec Ben et sa famille, puis c’est le trou noir. Je me souviens alors de cette liqueur de poire qu’Yves nous a proposée. Je sais que nous en avons pris plusieurs verres mais je ne peux dire combien. C’est donc pour cette raison que je me sens vaseux ! Je regarde Ben qui dort toujours. Ses cheveux blonds comme les blés sont étalés sur son oreiller. Je tente alors de le réveiller. Je caresse du bout des doigts ses joues un peu rosies. J’entends alors quelques râles mentionnant qu’il apprécie ce réveil assez câlin ! Ben ouvre alors les yeux, ils sont toujours aussi bleu-océan, mais ils ne sont pas comme d’habitude. Je pense que l’alcool que nous avons bu hier soir y est pour quelque chose.
Ben ouvre la bouche pour dire quelque chose, mais rien ne sort, il lui faut une dizaine de secondes pour me dire :
Ben : « Bonjour Phil.
Moi : Bonjour Ben, mais tu pues du bec !
Ben : Et toi alors, tu as mangé quoi ?
Nous nous rendons compte que nous avons abusé de la dive bouteille. Il va falloir, du moins c’est ce que je pense, dire « merci » à Yves pour ce qu’il nous a proposé hier soir comme boisson !
Ben : Oh là, je comprends mieux. Je pense que nous avons exagéré avec la liqueur !
Moi : Oui Ben, je pense que nous devrions faire attention, on prend un verre ou deux, pas plus la prochaine fois !
Ben : Je ne sais pas ce que papa va nous dire, mais je pense qu’il aurait dû nous dire « stop » !
Moi : Je sais Ben, mais nous n’avons jamais refusé les verres qui nous ont été offerts !
Ben : Oui, c’est aussi un peu notre faute, mais je n’aime pas me faire avoir comme ça, surtout de la part de mon paternel !
Moi : Je suis d’accord avec toi Ben. Je pense que nous devons lui en toucher un mot !
Ben : Bon, je pense qu’il est temps de se lever et d’aller dans la salle de bain pour bien nous laver et nous rafraîchir !
Moi : C’est une excellente chose Ben, on y va ! »
Nous nous rendons dans la salle de bain. Nous nous séparons, je me mets sous la douche alors que Ben se lave les dents. Puis c’est à mon tour de m’occuper de ma dentition. Je retrouve ensuite Ben sous le jet de la douche. Nous nous embrassons, sachant que nous avons une haleine bien fraîche. Nos mains ne restent pas sans rien faire, elles s’occupent de caresser nos corps alanguis par cette nuit particulière où nous avons cuvé. Inutile de dire que nos attributs sont dressés vers le ciel comme des mats de chapiteau de cirque peuvent l’être !
Nous nous préoccupons de l’appendice de notre amoureux, puis étant face à face, je prends nos deux phallus et je les masturbe de concert. Ben prend alors lui aussi le relais. Nous changeons alors plusieurs fois le rôle de « branleur » et c’est alors que Ben ayant nos pénis entre ses doigts, que nous jouissons ensemble dans un râle commun bien sonore ! L’eau de la douche efface alors les traces de notre jouissance !
Nous nous embrassons une nouvelle fois, heureux de nous être donné du plaisir partagé. Nous nous apprêtons pour rejoindre le reste de la famille pour le petit déjeuner. Inutile de dire que nous sommes dans nos petits souliers en fonction de ce qui s’est passé hier soir lorsque nous avons dépassé le seuil au point de vue alcool. Mais contre toute attente, nous n’entendons rien nous concernant !