03-05-2022, 01:07 PM
J'avais beau réfléchir vite, tout s'embrouillait dans ma tête.
Marie s'approcha de moi et me fit un bisou vite fait sur la bouche, avant de retourner discuter avec Ava.
Tim me fit un signe discret de le suivre dans la chambre et très vite il me débita :
- Je crois qu'Ava t'a grillé vis à vis de Frantz ! Elles discutaient en allemand, j'ai rien compris mais Marie m'a demandé si c'était vrai que tu avais couché avec Frantz. Je lui ai dit que tu avais dormi chez Frantz pour nous laisser la chambre. Elle n'a pas insisté. Alors, tu as couché avec lui ou pas ?
- Oui, on a fait l'amour et putain, c'était aussi bon qu'avec Marie.
- Et vous vous êtes fait quoi ? Tu l’as enculé ? Et lui, il t’a…
- Non, il n'est que passif mais moi je l'ai niqué et c'est vachement plus serré qu'un vagin ! Et je te dis pas les pipes de ouf qu'il m'a fait !
- Du coup tu préfères quoi les filles ou les garçons ?
- Les deux et je sais pas qui choisir. Bon on y va avant qu'ils se demandent ce qu'on fait.
On prit nos serviettes sur l'étendage et on partit récupérer Marie chez elle avant de partir à la plage. On s'allongea tous les cinq et je m'installais entre Marie et Frantz.
Ils me firent allonger sur le ventre et ils me le tartinèrent, tous les deux s'attardèrent longuement sur mes fesses. Bien sûr je bandais à moitié !
Puis ce fut Frantz qui y passa. De m'avoir tartiné le dos il bandait aussi. ça fit sourire Marie.
Elle tartina le dos de Frantz avec autant de passion que le mien et elle lui dit quelque chose en allemand qu'elle me traduisit
- Il a la peau très douce pas vrai ?
- Oui j'avoue mais moins que la tienne.
- Quel flatteur tu fais ! Et il a les fesses bien dures aussi je trouve. Il est mignon dommage qu'il soit gay et pas bi.
- Comment tu sais ça toi ?
- Tu crois quoi toi ? Avec sa sœur on discute !
Frantz nous demanda en anglais de quoi on parlait.
- De toi et de ton beau corps. Marie te trouve très doux et très mignon et elle a craqué sur tes fesses !
Il dit quelque chose en allemand qui fit éclater de rire Marie qui mit un temps fou à s'en remettre. Elle finit par me traduire avant d'éclater de rire à nouveau.
- Il m'a proposé qu'on joue avec nos sextoys respectifs et il m'a dit qu'il en avait des aussi gros que ta bite.
- Il est con ce mec. Bon à ton tour Marie.
Marie se mit au milieu de nous et on lui tartina le dos. Frantz n'hésita pas à s'occuper de ses fesses aussi et nous dit :
- J'aime mieux les fesses des garçons c'est plus ferme ! Je ne trouve vraiment pas ce que les mecs trouvent aux culs des filles !
Il avait dit ça tellement naturellement qu'on éclata de rire avec Marie. Une Marie pourtant vexée qui se retourna et qui le mit au défi de faire le devant aussi.
Loin de se dégonfler, il commença à mettre de la crème sur tout le haut de son corps et il commença à la caresser. Je le voyais rouler les pointes des seins de Marie entre ses doigts qui dû retenir un gémissement.
Il me regarda et me dit :
- Tu m'aides Jeff ?
Je m'occupais de l’autre. Marie nous enleva les mains de ses seins et nous dit :
- Vous avez assez joué avec ça, allez esclaves le reste du corps et vite !
On passa à son ventre plat puis à ses jambes. Je bandais comme un âne ! Frantz, lui, restait de marbre.
Vers midi on rentra et chacun regagna son chez soi. On mangea vite fait un bout et j'allais m'allonger sur le lit pour faire une sieste réparatrice. C'est un "chuuut" peu discret qui me réveilla.
Marie, Frantz, mais aussi Tim et Ava prenaient des poses grotesques à côté de moi et faisaient des photos avec leurs portables. Tim se pencha sur mon sexe pour faire comme s'il me suçait. Je lui appuyais sur la tête et son visage se plaqua contre mon service trois pièces.
- Humm tu le veux pas vrai mon Titou ? Oh oui ! Vas y suce moi bien ! Oh oui, c'est trop bon !
Je le relâchais.
Il se releva, fit semblant de s'essuyer délicatement la bouche et dit :
- ça fait du bien de se curer les dents.
Marie traduisit et ça fit rire les autres. Je m'étirais et je me levais.
- On fait quoi ? On va à la plage ?
- On t'attendait justement et comme le beau au bois dormant ne se décidait pas à se réveiller on est venu le faire.
- Oui bon pour le baiser tu t'es un peu trompé d'endroit mais j'ai bien aimé aussi.
On prit nos sacs à dos, des bouteilles d’eau et on partit. On s'installa à côté de nos potes qui eux aussi s'étaient trouvé des moitié(e)s sauf un mec, sympa, mais zarbi. Il avait soi-disant une copine et lui était fidèle ! Après tout pourquoi pas.
Ce que je trouvais bizarre chez lui c'est qu'il partait une partie de l'après-midi avec son téléphone et quand il revenait il semblait tout bizarre.
On recommença le tartinage sensuel tous les trois, à la grande surprise des autres. Je vis certains des garçons se mettre sur le ventre pour cause de mi molle qui n'allait pas tarder à devenir une vraie dure et certaines filles gloussaient.
Fred le mec que je trouvais bizarre prit son téléphone et se mit à jouer avec.
Bon, mon tour était fini. J'avais eu droit au-devant et au derrière et bien sûr je bandais.
Puis ce fut au tour de Frantz qui lui aussi banda. Et, quand ce fut le tour de Marie, je fus le seul à continuer de bander. Mais tous les couples firent comme nous et plusieurs papys, peu discrets, qui ne faisaient que passer et repasser devant nous, finirent pas se sauver sous nos quolibets.
On alla se baigner puis on se mit à sécher en s'allongeant au soleil. Comme ce matin, j'étais coincé entre Marie et Frantz qui s'amusaient à me caresser et Marie me fit même un bisou sur la bouche.
Frantz lui demanda quelque chose en allemand et elle lui répondit. Il se pencha sur moi et me fit un bisou aussi.
Puis Frantz et Marie discutèrent un grand moment entre eux. Je ne comprenais pas un mot de ce qu'ils disaient et Ava était trop occupée à embrasser Tim pour suivre ce qu'ils disaient.
C'est Marie qui me résuma la conversation.
- Bé, On vient de discuter avec Frantz et on a conclu un arrangement entre nous qui t'éviterait d'avoir à choisir entre lui et moi. ça te convient ?
- Heu je pourrais en savoir un peu plus avant de dire oui ou non ?
- Déjà est-ce que la solution de nous garder tous les deux te convient ou pas?
Je rougis avant de dire oui.
- Bon comme tu sais mes parents ne sont pas si tolérants que ceux de Frantz et d’Ava. Alors pour nous ça serait, le jour avec moi et toi et Frantz le soir. ça te convient ?
- Plus ou moins oui, mais pourquoi ne pas faire comme chacun a envie ? Tes parents sont si stricts que ça ?
- Un peu oui, ils savent qu'un jour ou l'autre j'aurai un copain mais ils me prennent encore pour une petite fille. Et ça m'énerve !
S'ils savaient que je ne suis plus vierge, ils en feraient une maladie.
- Ah oui ça craint grave ! Bon alors sur le principe je suis ok. Tu traduis avant qu'il nous fasse une entorse au cerveau à essayer de comprendre ce qu'on dit ?
Elle pouffa avant de traduire et Frantz parla.
- Il propose qu'on aille sceller notre accord dans un coin discret qu'il connaît. ça te dit ?
- Mais le jour c'est prévu pour toi, non ?
- C'est bien toi qui as dit que tu voulais des plannings aménageables non ? Alors on y va ?
Je me levais et je leur dis :
- Bon on y va ou quoi ? Vous avez changé d'avis ?
Ils se levèrent à leur tour. On ramassa nos affaires sous les allusions grivoises de nos amis qui se doutaient du pourquoi de notre départ soudain.
Je leur proposais d'aller à la tente mais ils préférèrent le plein air.
On suivit Frantz qui nous conduisit dans un endroit discret. On commença par s'embrasser tous les trois et Frantz embrassa bien volontiers Marie.
Une Marie que je trouvais très, très chaude parce qu'elle s'agenouilla et commença à nous sucer tous les deux. Mais Frantz débanda et lui dit quelque chose en allemand que Marie me traduisit.
- Il dit qu'il est gay et que ça ne lui fait aucun effet quand je le suce.
Je lui appuyais sur la tête et il rejoignit Marie. Et c'est vrai qu'il n'y avait pas photo ! Il suçait 100 fois mieux que Marie qui pourtant se montrait très volontaire.
Devant tant de bonne volonté, il lui prodiguait des conseils, n'hésitant pas à lui "montrer" comment s'y prendre !
Mais il fallut que je les stoppe car j'allais jouir et je ne le voulais pas. Je les fis se redresser et j'alternais entre cunni et pipe.
Pendant que je suçais Frantz je branlais et je doigtais Marie et je branlais Frantz pendant que je m'occupais de Marie. Et Frantz et Marie se roulaient des pelles. Et Frantz jouait même avec les seins de Marie qui faisait de même avec les siens.
Frantz me repoussa avant le non-retour. Marie gémissait, elle serrait les cuisses et m'appuyait sur l'arrière de la tête pour accentuer ma caresse.
Elle se mit à gémir plus fort, Frantz lui mordillait les tétons. Elle se crispa et se mis à haleter son bonheur.
- Wow, c'était trop bon ! Vous m'avez bien fait jouir tous les deux !
Et vous, vous voulez prendre votre pied aussi ?
Marie avait parlé en anglais pour qu'on comprenne.
Frantz s'appuya contre un arbre en cambrant ses fesses. Message compris ! Marie fut surprise quand elle me vit m'accroupir derrière lui, lui écarter les fesses et commencer à jouer avec ma langue sur la rondelle de Frantz qui de suite commença à gémir.
- Tu veux essayer de lui faire ?
Elle hésita un moment puis se pencha et commença à lui bouffer les fesses pendant que je le suçais. Frantz repoussa ma tête.
Je remplaçais Marie et je mis un doigt qui entra sans problème et vite je trouvais sa prostate. Je montrais ça à Marie qui trouva ça drôle, parce que cela faisait gémir Frantz comme un dingue rien qu'en jouant avec.
Un bruit me fit tourner la tête et je vis au sol une ombre qui bougeait. Un voyeur ! Grand bien lui fasse !
Mais Frantz en voulait plus et Marie m'enfila une capote. Elle fut surprise de voir ma queue entrer si facilement en lui. Frantz gémit et Marie se glissa sous lui et commença à le sucer. Frantz me disait ce qu'il voulait en Anglais et maintenant je le bourrais bien, vite et fort. Il lâcha une sorte de couinement et Marie reçut plusieurs jets qu'elle recracha.
Je me retirais, Frantz changea ma capote. Et c'est Marie que je pris en levrette.
Elle aussi était chaude. Mais j'étais moins excité par son vagin que par le cul de Frantz.
On réussit quand même à jouir tous les deux.
Frantz avait repris de la vigueur et se branlait en nous regardant faire. Mais pas que lui. Notre voyeur s'était fait moins discret et je reconnus Fred qui nous filmait avec son portable en se branlant.
Marie se mit à me sucer, Elle fit signe à Frantz d'approcher et elle lui enfila un doigt directement dans les fesses. Le coquin il aimait ça et il bandait fort !
Marie lui enfila une capote et elle lui demanda de la prendre. Il essaya mais très vite je vis qu'il débandait.
J'enfilais une capote à mon tour et me collais derrière lui. Il comprit mon intention, il me laissa m'enfoncer en lui et après quelques mouvements sa queue se redressa et c'est presque comme si je le conduisais à l'abattoir qu'il remit son sexe dans le vagin de Marie qui lui roulait des pelles pour le motiver.
Ils recommencèrent à gémir tous les deux et Marie poussa un petit cri de jouissance. Je sentis les muscles intimes de Frantz se contracter et le soupir qu'il poussa me firent comprendre que lui aussi jouissait.
Je fis quelques mouvements supplémentaires et je jouis à mon tour dans la capote.
Je me retirais et on s'embrassa tous les trois.
Fred était parti. On rentra en discutant de ce qu'on venait de faire. Frantz n'en revenait toujours pas d'avoir joui dans le vagin d'une fille. Mais Il ne recommencerait jamais plus !
- Et il est hors de question que je te bouffe la chatte à moins que tu veuilles que je vomisse !
On rejoignit les autres et peu de temps après Fred revint. Je lui arrachais son téléphone des mains. ça surprit tout le monde
- Hé ça va pas non ?
Il n'était pas verrouillé. Aussi je trouvais très vite le film de nos exploits. Tout le monde me hurlait dessus puis je montrais à Marie et à Frantz les images qui défilaient et je les montrais ensuite aux autres.
- Voilà c'est nous il y a une demie heure. Vous trouvez normal vous qu'il ait fait ça ?
Du coup je fouillais un peu plus dans ses fichiers et je vis une vidéo de Tim et d'Ava prise par la fenêtre de la chambre. Mais j'en trouvais aussi certaines de nos amis qui se branlaient sous la douche et d'autres d'illustres inconnus qui faisaient l'amour dans les bois.
Je m'envoyais notre vidéo et j'envoyais celle de Tim sur son portable.
Et Je les effaçais toutes. Puis je lui rendis son téléphone.
- Dégage connard !
C'est sous nos sifflets et nos insultes qu'il partit la queue entre les jambes. On ne le revit plus durant tout le séjour.
Tim qui avait senti son portable vibrer, avait regardé ce que c'était et il me fit un grand sourire.
- Dommage que tu aies détruit les vidéos. Jamais mes amis ne vont me croire quand je leur dirai que j'ai baisé une fille.
- Non mais comment tu parles de moi toi ! Un peu de respect Frantz, quand même !
- Ho dit, la violeuse de gay, ça va oui !
Ils se chamaillèrent en allemand, encore un grand moment. Ce qui fit rire les germanophones qui, pour ceux qui parlaient anglais ou français, nous traduisaient les répliques quand ils ne riaient pas trop.
Nos plus proches voisins riaient rien qu'à nous entendre rire. Et finalement on alla se baigner. ça nous calma !
Les jeux dans l'eau se transformèrent vite en joutes et les frottements contre certains de nos amis ne nous laissaient pas de marbre tous autant qu'on était. Mais personne ne s'en offusquait. Et c'est vrai que nous, les garçons, on sortait généralement après les filles, sous prétexte de nager encore un peu.
La première semaine se termina trop vite. Marie partit. La veille de son départ je lui avais envoyé la vidéo de nos galipettes. Avec un petit mot. " En souvenir de nos exploits "
On savait tous les deux que surement on ne se reverrait jamais de notre vie mais elle resterait pour moi la première et je serai son premier !
Pareil pour Frantz et Ava qui changeaient chaque année de camping naturiste.
Ils avaient été pour nous un moment spécial de nos vies et ils le resteraient à jamais.
Cette découverte de notre sexualité nous marqua et elle nous fit faire pas mal de kilomètres en vélos, quand on rentra chez nous, pour aller courir la gueuse comme disait mon père !
L'année suivante on retourna au camping avec mon frère et Léa mais on ne retrouva pas nos amis.
On s'en fit d'autres mais ce n'était plus pareil. L'ambiance n'y était plus.
Bien sûr, beaux gosses comme on était Tim et moi on baisa tous les jours mais plus pour se prouver l'un à l'autre qu'on était des tombeurs que par gout des sentiments.
Cette année je n'irai pas au camping avec mon frère…
Marie s'approcha de moi et me fit un bisou vite fait sur la bouche, avant de retourner discuter avec Ava.
Tim me fit un signe discret de le suivre dans la chambre et très vite il me débita :
- Je crois qu'Ava t'a grillé vis à vis de Frantz ! Elles discutaient en allemand, j'ai rien compris mais Marie m'a demandé si c'était vrai que tu avais couché avec Frantz. Je lui ai dit que tu avais dormi chez Frantz pour nous laisser la chambre. Elle n'a pas insisté. Alors, tu as couché avec lui ou pas ?
- Oui, on a fait l'amour et putain, c'était aussi bon qu'avec Marie.
- Et vous vous êtes fait quoi ? Tu l’as enculé ? Et lui, il t’a…
- Non, il n'est que passif mais moi je l'ai niqué et c'est vachement plus serré qu'un vagin ! Et je te dis pas les pipes de ouf qu'il m'a fait !
- Du coup tu préfères quoi les filles ou les garçons ?
- Les deux et je sais pas qui choisir. Bon on y va avant qu'ils se demandent ce qu'on fait.
On prit nos serviettes sur l'étendage et on partit récupérer Marie chez elle avant de partir à la plage. On s'allongea tous les cinq et je m'installais entre Marie et Frantz.
Ils me firent allonger sur le ventre et ils me le tartinèrent, tous les deux s'attardèrent longuement sur mes fesses. Bien sûr je bandais à moitié !
Puis ce fut Frantz qui y passa. De m'avoir tartiné le dos il bandait aussi. ça fit sourire Marie.
Elle tartina le dos de Frantz avec autant de passion que le mien et elle lui dit quelque chose en allemand qu'elle me traduisit
- Il a la peau très douce pas vrai ?
- Oui j'avoue mais moins que la tienne.
- Quel flatteur tu fais ! Et il a les fesses bien dures aussi je trouve. Il est mignon dommage qu'il soit gay et pas bi.
- Comment tu sais ça toi ?
- Tu crois quoi toi ? Avec sa sœur on discute !
Frantz nous demanda en anglais de quoi on parlait.
- De toi et de ton beau corps. Marie te trouve très doux et très mignon et elle a craqué sur tes fesses !
Il dit quelque chose en allemand qui fit éclater de rire Marie qui mit un temps fou à s'en remettre. Elle finit par me traduire avant d'éclater de rire à nouveau.
- Il m'a proposé qu'on joue avec nos sextoys respectifs et il m'a dit qu'il en avait des aussi gros que ta bite.
- Il est con ce mec. Bon à ton tour Marie.
Marie se mit au milieu de nous et on lui tartina le dos. Frantz n'hésita pas à s'occuper de ses fesses aussi et nous dit :
- J'aime mieux les fesses des garçons c'est plus ferme ! Je ne trouve vraiment pas ce que les mecs trouvent aux culs des filles !
Il avait dit ça tellement naturellement qu'on éclata de rire avec Marie. Une Marie pourtant vexée qui se retourna et qui le mit au défi de faire le devant aussi.
Loin de se dégonfler, il commença à mettre de la crème sur tout le haut de son corps et il commença à la caresser. Je le voyais rouler les pointes des seins de Marie entre ses doigts qui dû retenir un gémissement.
Il me regarda et me dit :
- Tu m'aides Jeff ?
Je m'occupais de l’autre. Marie nous enleva les mains de ses seins et nous dit :
- Vous avez assez joué avec ça, allez esclaves le reste du corps et vite !
On passa à son ventre plat puis à ses jambes. Je bandais comme un âne ! Frantz, lui, restait de marbre.
Vers midi on rentra et chacun regagna son chez soi. On mangea vite fait un bout et j'allais m'allonger sur le lit pour faire une sieste réparatrice. C'est un "chuuut" peu discret qui me réveilla.
Marie, Frantz, mais aussi Tim et Ava prenaient des poses grotesques à côté de moi et faisaient des photos avec leurs portables. Tim se pencha sur mon sexe pour faire comme s'il me suçait. Je lui appuyais sur la tête et son visage se plaqua contre mon service trois pièces.
- Humm tu le veux pas vrai mon Titou ? Oh oui ! Vas y suce moi bien ! Oh oui, c'est trop bon !
Je le relâchais.
Il se releva, fit semblant de s'essuyer délicatement la bouche et dit :
- ça fait du bien de se curer les dents.
Marie traduisit et ça fit rire les autres. Je m'étirais et je me levais.
- On fait quoi ? On va à la plage ?
- On t'attendait justement et comme le beau au bois dormant ne se décidait pas à se réveiller on est venu le faire.
- Oui bon pour le baiser tu t'es un peu trompé d'endroit mais j'ai bien aimé aussi.
On prit nos sacs à dos, des bouteilles d’eau et on partit. On s'installa à côté de nos potes qui eux aussi s'étaient trouvé des moitié(e)s sauf un mec, sympa, mais zarbi. Il avait soi-disant une copine et lui était fidèle ! Après tout pourquoi pas.
Ce que je trouvais bizarre chez lui c'est qu'il partait une partie de l'après-midi avec son téléphone et quand il revenait il semblait tout bizarre.
On recommença le tartinage sensuel tous les trois, à la grande surprise des autres. Je vis certains des garçons se mettre sur le ventre pour cause de mi molle qui n'allait pas tarder à devenir une vraie dure et certaines filles gloussaient.
Fred le mec que je trouvais bizarre prit son téléphone et se mit à jouer avec.
Bon, mon tour était fini. J'avais eu droit au-devant et au derrière et bien sûr je bandais.
Puis ce fut au tour de Frantz qui lui aussi banda. Et, quand ce fut le tour de Marie, je fus le seul à continuer de bander. Mais tous les couples firent comme nous et plusieurs papys, peu discrets, qui ne faisaient que passer et repasser devant nous, finirent pas se sauver sous nos quolibets.
On alla se baigner puis on se mit à sécher en s'allongeant au soleil. Comme ce matin, j'étais coincé entre Marie et Frantz qui s'amusaient à me caresser et Marie me fit même un bisou sur la bouche.
Frantz lui demanda quelque chose en allemand et elle lui répondit. Il se pencha sur moi et me fit un bisou aussi.
Puis Frantz et Marie discutèrent un grand moment entre eux. Je ne comprenais pas un mot de ce qu'ils disaient et Ava était trop occupée à embrasser Tim pour suivre ce qu'ils disaient.
C'est Marie qui me résuma la conversation.
- Bé, On vient de discuter avec Frantz et on a conclu un arrangement entre nous qui t'éviterait d'avoir à choisir entre lui et moi. ça te convient ?
- Heu je pourrais en savoir un peu plus avant de dire oui ou non ?
- Déjà est-ce que la solution de nous garder tous les deux te convient ou pas?
Je rougis avant de dire oui.
- Bon comme tu sais mes parents ne sont pas si tolérants que ceux de Frantz et d’Ava. Alors pour nous ça serait, le jour avec moi et toi et Frantz le soir. ça te convient ?
- Plus ou moins oui, mais pourquoi ne pas faire comme chacun a envie ? Tes parents sont si stricts que ça ?
- Un peu oui, ils savent qu'un jour ou l'autre j'aurai un copain mais ils me prennent encore pour une petite fille. Et ça m'énerve !
S'ils savaient que je ne suis plus vierge, ils en feraient une maladie.
- Ah oui ça craint grave ! Bon alors sur le principe je suis ok. Tu traduis avant qu'il nous fasse une entorse au cerveau à essayer de comprendre ce qu'on dit ?
Elle pouffa avant de traduire et Frantz parla.
- Il propose qu'on aille sceller notre accord dans un coin discret qu'il connaît. ça te dit ?
- Mais le jour c'est prévu pour toi, non ?
- C'est bien toi qui as dit que tu voulais des plannings aménageables non ? Alors on y va ?
Je me levais et je leur dis :
- Bon on y va ou quoi ? Vous avez changé d'avis ?
Ils se levèrent à leur tour. On ramassa nos affaires sous les allusions grivoises de nos amis qui se doutaient du pourquoi de notre départ soudain.
Je leur proposais d'aller à la tente mais ils préférèrent le plein air.
On suivit Frantz qui nous conduisit dans un endroit discret. On commença par s'embrasser tous les trois et Frantz embrassa bien volontiers Marie.
Une Marie que je trouvais très, très chaude parce qu'elle s'agenouilla et commença à nous sucer tous les deux. Mais Frantz débanda et lui dit quelque chose en allemand que Marie me traduisit.
- Il dit qu'il est gay et que ça ne lui fait aucun effet quand je le suce.
Je lui appuyais sur la tête et il rejoignit Marie. Et c'est vrai qu'il n'y avait pas photo ! Il suçait 100 fois mieux que Marie qui pourtant se montrait très volontaire.
Devant tant de bonne volonté, il lui prodiguait des conseils, n'hésitant pas à lui "montrer" comment s'y prendre !
Mais il fallut que je les stoppe car j'allais jouir et je ne le voulais pas. Je les fis se redresser et j'alternais entre cunni et pipe.
Pendant que je suçais Frantz je branlais et je doigtais Marie et je branlais Frantz pendant que je m'occupais de Marie. Et Frantz et Marie se roulaient des pelles. Et Frantz jouait même avec les seins de Marie qui faisait de même avec les siens.
Frantz me repoussa avant le non-retour. Marie gémissait, elle serrait les cuisses et m'appuyait sur l'arrière de la tête pour accentuer ma caresse.
Elle se mit à gémir plus fort, Frantz lui mordillait les tétons. Elle se crispa et se mis à haleter son bonheur.
- Wow, c'était trop bon ! Vous m'avez bien fait jouir tous les deux !
Et vous, vous voulez prendre votre pied aussi ?
Marie avait parlé en anglais pour qu'on comprenne.
Frantz s'appuya contre un arbre en cambrant ses fesses. Message compris ! Marie fut surprise quand elle me vit m'accroupir derrière lui, lui écarter les fesses et commencer à jouer avec ma langue sur la rondelle de Frantz qui de suite commença à gémir.
- Tu veux essayer de lui faire ?
Elle hésita un moment puis se pencha et commença à lui bouffer les fesses pendant que je le suçais. Frantz repoussa ma tête.
Je remplaçais Marie et je mis un doigt qui entra sans problème et vite je trouvais sa prostate. Je montrais ça à Marie qui trouva ça drôle, parce que cela faisait gémir Frantz comme un dingue rien qu'en jouant avec.
Un bruit me fit tourner la tête et je vis au sol une ombre qui bougeait. Un voyeur ! Grand bien lui fasse !
Mais Frantz en voulait plus et Marie m'enfila une capote. Elle fut surprise de voir ma queue entrer si facilement en lui. Frantz gémit et Marie se glissa sous lui et commença à le sucer. Frantz me disait ce qu'il voulait en Anglais et maintenant je le bourrais bien, vite et fort. Il lâcha une sorte de couinement et Marie reçut plusieurs jets qu'elle recracha.
Je me retirais, Frantz changea ma capote. Et c'est Marie que je pris en levrette.
Elle aussi était chaude. Mais j'étais moins excité par son vagin que par le cul de Frantz.
On réussit quand même à jouir tous les deux.
Frantz avait repris de la vigueur et se branlait en nous regardant faire. Mais pas que lui. Notre voyeur s'était fait moins discret et je reconnus Fred qui nous filmait avec son portable en se branlant.
Marie se mit à me sucer, Elle fit signe à Frantz d'approcher et elle lui enfila un doigt directement dans les fesses. Le coquin il aimait ça et il bandait fort !
Marie lui enfila une capote et elle lui demanda de la prendre. Il essaya mais très vite je vis qu'il débandait.
J'enfilais une capote à mon tour et me collais derrière lui. Il comprit mon intention, il me laissa m'enfoncer en lui et après quelques mouvements sa queue se redressa et c'est presque comme si je le conduisais à l'abattoir qu'il remit son sexe dans le vagin de Marie qui lui roulait des pelles pour le motiver.
Ils recommencèrent à gémir tous les deux et Marie poussa un petit cri de jouissance. Je sentis les muscles intimes de Frantz se contracter et le soupir qu'il poussa me firent comprendre que lui aussi jouissait.
Je fis quelques mouvements supplémentaires et je jouis à mon tour dans la capote.
Je me retirais et on s'embrassa tous les trois.
Fred était parti. On rentra en discutant de ce qu'on venait de faire. Frantz n'en revenait toujours pas d'avoir joui dans le vagin d'une fille. Mais Il ne recommencerait jamais plus !
- Et il est hors de question que je te bouffe la chatte à moins que tu veuilles que je vomisse !
On rejoignit les autres et peu de temps après Fred revint. Je lui arrachais son téléphone des mains. ça surprit tout le monde
- Hé ça va pas non ?
Il n'était pas verrouillé. Aussi je trouvais très vite le film de nos exploits. Tout le monde me hurlait dessus puis je montrais à Marie et à Frantz les images qui défilaient et je les montrais ensuite aux autres.
- Voilà c'est nous il y a une demie heure. Vous trouvez normal vous qu'il ait fait ça ?
Du coup je fouillais un peu plus dans ses fichiers et je vis une vidéo de Tim et d'Ava prise par la fenêtre de la chambre. Mais j'en trouvais aussi certaines de nos amis qui se branlaient sous la douche et d'autres d'illustres inconnus qui faisaient l'amour dans les bois.
Je m'envoyais notre vidéo et j'envoyais celle de Tim sur son portable.
Et Je les effaçais toutes. Puis je lui rendis son téléphone.
- Dégage connard !
C'est sous nos sifflets et nos insultes qu'il partit la queue entre les jambes. On ne le revit plus durant tout le séjour.
Tim qui avait senti son portable vibrer, avait regardé ce que c'était et il me fit un grand sourire.
- Dommage que tu aies détruit les vidéos. Jamais mes amis ne vont me croire quand je leur dirai que j'ai baisé une fille.
- Non mais comment tu parles de moi toi ! Un peu de respect Frantz, quand même !
- Ho dit, la violeuse de gay, ça va oui !
Ils se chamaillèrent en allemand, encore un grand moment. Ce qui fit rire les germanophones qui, pour ceux qui parlaient anglais ou français, nous traduisaient les répliques quand ils ne riaient pas trop.
Nos plus proches voisins riaient rien qu'à nous entendre rire. Et finalement on alla se baigner. ça nous calma !
Les jeux dans l'eau se transformèrent vite en joutes et les frottements contre certains de nos amis ne nous laissaient pas de marbre tous autant qu'on était. Mais personne ne s'en offusquait. Et c'est vrai que nous, les garçons, on sortait généralement après les filles, sous prétexte de nager encore un peu.
La première semaine se termina trop vite. Marie partit. La veille de son départ je lui avais envoyé la vidéo de nos galipettes. Avec un petit mot. " En souvenir de nos exploits "
On savait tous les deux que surement on ne se reverrait jamais de notre vie mais elle resterait pour moi la première et je serai son premier !
Pareil pour Frantz et Ava qui changeaient chaque année de camping naturiste.
Ils avaient été pour nous un moment spécial de nos vies et ils le resteraient à jamais.
Cette découverte de notre sexualité nous marqua et elle nous fit faire pas mal de kilomètres en vélos, quand on rentra chez nous, pour aller courir la gueuse comme disait mon père !
L'année suivante on retourna au camping avec mon frère et Léa mais on ne retrouva pas nos amis.
On s'en fit d'autres mais ce n'était plus pareil. L'ambiance n'y était plus.
Bien sûr, beaux gosses comme on était Tim et moi on baisa tous les jours mais plus pour se prouver l'un à l'autre qu'on était des tombeurs que par gout des sentiments.
Cette année je n'irai pas au camping avec mon frère…