03-05-2022, 10:56 AM
La balade se poursuit par ce bel après-midi. Mes grands-parents sont rayonnants. Nous sommes de retour à la maison pour y prendre le goûter. Maman prépare du café et c’est Anne et Amandine qui s’occupent des deux tartes. Jean et Ben apportent les tasses et les assiettes tandis que je prends le sucre, le lait et la crème fraîche. La table est ainsi apprêtée pour déguster un délicieux « quatre heures » en famille.
Nous discutons encore de notre belle et vivifiante balade et de la rencontre inopinée avec la famille de Marie. Papa se montre quelque peu réservé, car il avait peur d’une ou l’autre réaction en voyant les deux filles et les deux garçons se tenir par la main. Je rassure mon paternel en lui faisant remarquer que les moments plus « intimes » étaient rares et qu’il n’y avait personne à l’horizon.
Le reste de l’après-midi est consacré à écouter de la musique et à jouer aux cartes ou aux dames. André et Jean sont occupés à jouer au jeu « stratégo ». Ils sont l’air de bien s’amuser. Ben et moi nous nous consacrons au jeu de « combat naval » pour deux parties. J’en gagne une et Ben l’autre. Il reste la revanche mais il est temps de songer à mettre la table pour le souper, et donc de ranger les jeux.
Après le repas et la soirée, nous décidons d’aller nous coucher. Un passage par la salle de bain, après Anne et André, s’impose. Entendant qu’ils rentrent dans leur chambre, nous nous rendons dans la salle de bain. Nous nous douchons rapidement pour laisser assez d’eau chaude aux suivants. Une fois séchés nous sortons nus de la salle de bain et nous croisons Mamy et Papy ainsi que Jean et Amandine. Mes grands-parents ne sont pas offusqués de nous voir ainsi « in naturalibus ». Pour Amandine c’est une première, Jean lui a bien expliqué que la famille est naturiste et que nous sommes régulièrement nus dans la maison ainsi que dans le jardin quand il fait bon. Elle ne dit rien mais son regard est attiré par nos anatomies flaccides. Nous les saluons et entrons dans ma chambre.
Ben me dit qu’il est étonné de voir mes aïeux accepter notre nudité. Je lui explique que nous avons régulièrement été nus devant eux et qu’ils sont habitués, car déjà mes parents pratiquaient le naturisme lorsqu’ils se sont connus et ce dans le jardin de leur maison. Nous nous couchons dans le lit et déjà nos lèvres se rejoignent. Nous échangeons de petits bisous en nous regardant. Je suis si heureux d’être avec Ben, il est pour moi source de bonheur et de joie. J’adore sa frimousse surmontée par sa chevelure couleur « champ de blé » ! Nos mains s’activent sur le corps de l’être aimé. Puis nos bouches s’ouvrent pour laisser le passage à nos langues qui se languissaient d’attendre ce moment tant désiré. Inutile de dire qu’elles tourbillonnent entre elles pour notre plus grande satisfaction. Je descends une main sur la poitrine de Ben, mes doigts s’attardent au niveau des mamelons, mon autre main est placée dans son dos, elle monte et descend le long de sa colonne vertébrale. Elle s’arrête parfois juste au niveau du sommet de sa raie fessière. Nos bouches se séparent et la mienne prend la direction des tétons de Ben. Ma langue les titille l’un après l’autre. Ma tête va plus bas, elle se balade jusqu’à son nombril. Déjà mon menton sent une résistance, c’est le phallus gorgé de sang qui fait obstacle. Je lèche donc cet appendice dressé. Ma bouche avale le dessus et ma langue décalotte le gland. Déjà un peu de liquide s’écoule du méat un peu ouvert. Ma langue passe alors le long de cette barre de chair pour aboutir au niveau des deux pommes d’amour. Inutile de dire qu’elles sont léchouillées par ma langue et mes lèvres. Puis je reprends ma position, le visage au niveau de l’objet de mes désirs. Ma bouche engloutit le pénis de Ben et y opère des allers et retours sur toute sa longueur.
Je sens alors que Ben s’attarde au niveau de ma collerette d’amour. Il a pris du gel et il s’occupe de dilater l’entrée de ma grotte. Je sens que son doigt vient titiller ma prostate. Je poursuis ma fellation tout en évitent d’arriver au point de non-retour pour Ben. Il est temps de changer de position. Je me place dos sur le lit pour laisser le loisir à mon chéri d’enfiler un préservatif et ensuite présenter son « boute-joie » à l’entrée de mon anus. C’est donc doucement que mon amant prend possession de mon corps. Je commence à sentir son bâton d’amour pénétrer dans ma cavité anale. Puis une fois installé, les mouvements alternatifs débutent pour notre plus grande joie. Je râle de bonheur de même que Ben. Nous sommes une nouvelle fois sur notre nuage, dans notre bulle. Le temps semble s’être arrêté. La tension monte, Ben râle de plus en plus, signe qu’il va arriver au point de rupture. Il se cabre comme un cheval fougueux, puis dans un effort ultime, il laisse sa semence remplir le réceptacle du condom. Il se retire de ma caverne et se couche, fatigué, mais ivre de bonheur, à mes côtés Il me regarde les yeux dans les yeux pour partager cet instant merveilleux.
Nous restons allongés quelques minutes, nous laissant le temps de récupérer. J’entame alors la préparation de son trou d’amour, je prends du gel et je me concentre pour bien lubrifier l’entrée anale de Ben. Je lui procure par la même occasion un massage du bout de mon majeur au niveau de sa prostate. Ben commence déjà à émettre quelques râles de bonheur. Inutile de dire que mon appendice pénien est bien gorgé de sang, est donc déjà dressé pour la suite de nos galipettes. Après quelques minutes l’orifice envié est bien assoupli et s’ouvre, attendant donc une visite tant espérée. J’encapuche alors mon sexe dressé d’une membrane en latex. Je suis alors prêt à aimer, à conquérir mon amour, mon chéri. Mon bassin se positionne à hauteur des fesses de Ben. Je laisse alors mon pénis se frotter à la raie, passant au-dessus de l’entrée de la grotte d’amour. Après quelques passages, je presse enfin mon appendice au niveau de la rondelle dilatée. Mon gland pénètre alors doucement par cet orifice tant désiré. C’est centimètre après centimètre que je pénètre dans l’antre serré de mon amant. Il ne ressent aucun mal, c’est pour lui comme pour moi quelque chose de magique. Nous sommes dans une autre dimension. Je suis entièrement entré dans l’anus et lentement je commence à faire des allers et retours dans ce réceptacle investi. J’accélère la cadence alors que Ben râle de plus en plus, il émet des sons me disant qu’il se sent heureux et empli de plaisir. Il savoure cet acte d’amour que je lui procure. Je commence à avoir chaud tout comme Ben d’ailleurs, nous transpirons tous les deux. Ben prend alors son sexe en main et se masturbe au même rythme que mes coups de boutoir. Je suis impressionné de voir Ben ainsi profiter pleinement du moment présent. J’alterne les mouvements lents et rapides ce qui a pour effet de mettre Ben dans un état pas possible, ce sont presque des cris qui se font entendre. Je suis quasi certain que toute la maisonnée est au courant de nos activités ! Je sens que je ne vais tarder à jouir, mon bas ventre me fait comprendre que c’est l’instant crucial où le point de non-retour est dépassé. De fait quelques secondes plus tard je sens ma sève monter, traverser mon pénis et s’écouler en jets au fond du préservatif. C’est à ce moment-là que Ben éjacule sur son torse. Inutile de dire que nos râles se sont conjugués comme à l’apothéose d’un morceau de musique lorsque l’orchestre joue le final.
Je me retire de cet étui d’amour et je m’affale à côté de Ben. Je suis épuisé. Je reprends doucement conscience de l’environnement, car j’étais à mille lieu dans un monde d’amour et de volupté. Ben lui aussi reprend sa respiration. Nous sommes trempés de sueur, nous allons devoir reprendre une bonne douche avant d’aller dormir.
Ce n’est que dix bonnes minutes plus tard que nous sortons de la chambre pour nous rendre à la salle de bain. Nous entrons et nous nous douchons. Une fois secs nous sortons dans le hall de nuit où nous croisons Mamy. Elle nous voit et nous fait un large sourire en nous disant : « Alors mes jeunes gens, profitez bien de la vie, on ne vit qu’une fois ! » Nous avons le visage rosi après cette remarque. Je donne alors un bisou à Mamy tout comme Ben. Elle ajoute : « Bonne nuit les amoureux ! ». Nous répondons : « Bonne nuit Mamy ».
Une fois dans la chambre je dis à Ben que demain matin nous allons recevoir des commentaires de toute la famille et que nous n’y échapperons pas ! J’embrasse mon chéri à pleine bouche. Puis nous nous couchons collés l’un à l’autre pour plonger dans le pays des rêves et rejoindre les bras de Morphée !
Nous discutons encore de notre belle et vivifiante balade et de la rencontre inopinée avec la famille de Marie. Papa se montre quelque peu réservé, car il avait peur d’une ou l’autre réaction en voyant les deux filles et les deux garçons se tenir par la main. Je rassure mon paternel en lui faisant remarquer que les moments plus « intimes » étaient rares et qu’il n’y avait personne à l’horizon.
Le reste de l’après-midi est consacré à écouter de la musique et à jouer aux cartes ou aux dames. André et Jean sont occupés à jouer au jeu « stratégo ». Ils sont l’air de bien s’amuser. Ben et moi nous nous consacrons au jeu de « combat naval » pour deux parties. J’en gagne une et Ben l’autre. Il reste la revanche mais il est temps de songer à mettre la table pour le souper, et donc de ranger les jeux.
Après le repas et la soirée, nous décidons d’aller nous coucher. Un passage par la salle de bain, après Anne et André, s’impose. Entendant qu’ils rentrent dans leur chambre, nous nous rendons dans la salle de bain. Nous nous douchons rapidement pour laisser assez d’eau chaude aux suivants. Une fois séchés nous sortons nus de la salle de bain et nous croisons Mamy et Papy ainsi que Jean et Amandine. Mes grands-parents ne sont pas offusqués de nous voir ainsi « in naturalibus ». Pour Amandine c’est une première, Jean lui a bien expliqué que la famille est naturiste et que nous sommes régulièrement nus dans la maison ainsi que dans le jardin quand il fait bon. Elle ne dit rien mais son regard est attiré par nos anatomies flaccides. Nous les saluons et entrons dans ma chambre.
Ben me dit qu’il est étonné de voir mes aïeux accepter notre nudité. Je lui explique que nous avons régulièrement été nus devant eux et qu’ils sont habitués, car déjà mes parents pratiquaient le naturisme lorsqu’ils se sont connus et ce dans le jardin de leur maison. Nous nous couchons dans le lit et déjà nos lèvres se rejoignent. Nous échangeons de petits bisous en nous regardant. Je suis si heureux d’être avec Ben, il est pour moi source de bonheur et de joie. J’adore sa frimousse surmontée par sa chevelure couleur « champ de blé » ! Nos mains s’activent sur le corps de l’être aimé. Puis nos bouches s’ouvrent pour laisser le passage à nos langues qui se languissaient d’attendre ce moment tant désiré. Inutile de dire qu’elles tourbillonnent entre elles pour notre plus grande satisfaction. Je descends une main sur la poitrine de Ben, mes doigts s’attardent au niveau des mamelons, mon autre main est placée dans son dos, elle monte et descend le long de sa colonne vertébrale. Elle s’arrête parfois juste au niveau du sommet de sa raie fessière. Nos bouches se séparent et la mienne prend la direction des tétons de Ben. Ma langue les titille l’un après l’autre. Ma tête va plus bas, elle se balade jusqu’à son nombril. Déjà mon menton sent une résistance, c’est le phallus gorgé de sang qui fait obstacle. Je lèche donc cet appendice dressé. Ma bouche avale le dessus et ma langue décalotte le gland. Déjà un peu de liquide s’écoule du méat un peu ouvert. Ma langue passe alors le long de cette barre de chair pour aboutir au niveau des deux pommes d’amour. Inutile de dire qu’elles sont léchouillées par ma langue et mes lèvres. Puis je reprends ma position, le visage au niveau de l’objet de mes désirs. Ma bouche engloutit le pénis de Ben et y opère des allers et retours sur toute sa longueur.
Je sens alors que Ben s’attarde au niveau de ma collerette d’amour. Il a pris du gel et il s’occupe de dilater l’entrée de ma grotte. Je sens que son doigt vient titiller ma prostate. Je poursuis ma fellation tout en évitent d’arriver au point de non-retour pour Ben. Il est temps de changer de position. Je me place dos sur le lit pour laisser le loisir à mon chéri d’enfiler un préservatif et ensuite présenter son « boute-joie » à l’entrée de mon anus. C’est donc doucement que mon amant prend possession de mon corps. Je commence à sentir son bâton d’amour pénétrer dans ma cavité anale. Puis une fois installé, les mouvements alternatifs débutent pour notre plus grande joie. Je râle de bonheur de même que Ben. Nous sommes une nouvelle fois sur notre nuage, dans notre bulle. Le temps semble s’être arrêté. La tension monte, Ben râle de plus en plus, signe qu’il va arriver au point de rupture. Il se cabre comme un cheval fougueux, puis dans un effort ultime, il laisse sa semence remplir le réceptacle du condom. Il se retire de ma caverne et se couche, fatigué, mais ivre de bonheur, à mes côtés Il me regarde les yeux dans les yeux pour partager cet instant merveilleux.
Nous restons allongés quelques minutes, nous laissant le temps de récupérer. J’entame alors la préparation de son trou d’amour, je prends du gel et je me concentre pour bien lubrifier l’entrée anale de Ben. Je lui procure par la même occasion un massage du bout de mon majeur au niveau de sa prostate. Ben commence déjà à émettre quelques râles de bonheur. Inutile de dire que mon appendice pénien est bien gorgé de sang, est donc déjà dressé pour la suite de nos galipettes. Après quelques minutes l’orifice envié est bien assoupli et s’ouvre, attendant donc une visite tant espérée. J’encapuche alors mon sexe dressé d’une membrane en latex. Je suis alors prêt à aimer, à conquérir mon amour, mon chéri. Mon bassin se positionne à hauteur des fesses de Ben. Je laisse alors mon pénis se frotter à la raie, passant au-dessus de l’entrée de la grotte d’amour. Après quelques passages, je presse enfin mon appendice au niveau de la rondelle dilatée. Mon gland pénètre alors doucement par cet orifice tant désiré. C’est centimètre après centimètre que je pénètre dans l’antre serré de mon amant. Il ne ressent aucun mal, c’est pour lui comme pour moi quelque chose de magique. Nous sommes dans une autre dimension. Je suis entièrement entré dans l’anus et lentement je commence à faire des allers et retours dans ce réceptacle investi. J’accélère la cadence alors que Ben râle de plus en plus, il émet des sons me disant qu’il se sent heureux et empli de plaisir. Il savoure cet acte d’amour que je lui procure. Je commence à avoir chaud tout comme Ben d’ailleurs, nous transpirons tous les deux. Ben prend alors son sexe en main et se masturbe au même rythme que mes coups de boutoir. Je suis impressionné de voir Ben ainsi profiter pleinement du moment présent. J’alterne les mouvements lents et rapides ce qui a pour effet de mettre Ben dans un état pas possible, ce sont presque des cris qui se font entendre. Je suis quasi certain que toute la maisonnée est au courant de nos activités ! Je sens que je ne vais tarder à jouir, mon bas ventre me fait comprendre que c’est l’instant crucial où le point de non-retour est dépassé. De fait quelques secondes plus tard je sens ma sève monter, traverser mon pénis et s’écouler en jets au fond du préservatif. C’est à ce moment-là que Ben éjacule sur son torse. Inutile de dire que nos râles se sont conjugués comme à l’apothéose d’un morceau de musique lorsque l’orchestre joue le final.
Je me retire de cet étui d’amour et je m’affale à côté de Ben. Je suis épuisé. Je reprends doucement conscience de l’environnement, car j’étais à mille lieu dans un monde d’amour et de volupté. Ben lui aussi reprend sa respiration. Nous sommes trempés de sueur, nous allons devoir reprendre une bonne douche avant d’aller dormir.
Ce n’est que dix bonnes minutes plus tard que nous sortons de la chambre pour nous rendre à la salle de bain. Nous entrons et nous nous douchons. Une fois secs nous sortons dans le hall de nuit où nous croisons Mamy. Elle nous voit et nous fait un large sourire en nous disant : « Alors mes jeunes gens, profitez bien de la vie, on ne vit qu’une fois ! » Nous avons le visage rosi après cette remarque. Je donne alors un bisou à Mamy tout comme Ben. Elle ajoute : « Bonne nuit les amoureux ! ». Nous répondons : « Bonne nuit Mamy ».
Une fois dans la chambre je dis à Ben que demain matin nous allons recevoir des commentaires de toute la famille et que nous n’y échapperons pas ! J’embrasse mon chéri à pleine bouche. Puis nous nous couchons collés l’un à l’autre pour plonger dans le pays des rêves et rejoindre les bras de Morphée !