CHAPITRE IX
Je suis content. Le projet avance bien et l’équipe est soudée, l’ambiance de travail est au beau fixe. Jean et Sarah complotent souvent ensemble. Marion se joint parfois à eux et si ça bosse bien, ça rigole aussi.
La journée a encore été bien chaude. La climatisation des bureaux a été suspendue pour cause de covid-19. Il fait une chaleur accablante, 37 degrés Celsius. Le moindre geste génère une transpiration excessive. C’est pénible. Les vêtements collent au corps. Les filles ont les seins libres sous leur décolleté largement aéré. Elles sont belles, sexy et désirables.
Toute l’équipe est réunie dans mon bureau pour le dernier point de la semaine. Sarah, en robe blanche légère, Marion dans un ensemble chemisier, mini-jupe dont elle a le secret. A l’issue de la réunion, Marion lance :
- Je propose une soirée baignade à la maison demain. Qui vient ?
Sarah et Jean ne se font pas prier. Marion me sourit avec une certaine connivence dans le regard.
- Désolé Marion, ça va être compliqué pour moi. Je te confirme ce soir. Et si je peux venir, je serais accompagné si ça ne dérange pas évidemment.
- Non pas du tout Pascal, viens avec qui tu veux. Ce serait juste dommage que tu ne puisses pas te joindre à nous.
Je lis une déception certaine dans le timbre de sa voix.
Il est à peine quinze heures lorsque je rejoins la station. Un petit détour chez mon caviste préféré qui me propose un champagne de bonne facture. Je profite aussi de cet arrêt inopiné pour investir le fleuriste du coin.
Arrivé à l’appartement, j’ouvre ma porte discrètement pour ne pas me faire repérer. Je dépose mes affaires et direction ma jolie voisine, le bouquet de roses blanches et la bouteille de champagne à la main. Je sonne. Pas âme qui vive. Je réitère, un coup, deux coups. La clé tourne dans la serrure et Alice passe la tête dans l’encablure de la porte, les yeux tout endormis.
- Ah, c’est toi ? Tu as fini tôt. Je m’étais assoupie. Rentre.
- Bon anniversaire lui dis-je en lui tendant le bouquet de roses blanches.
- Mais ce n’est pas mon anniversaire !!!
- Mécréante, ça fait quinze jours qu’on se connaît. Ça se fête, Non ?
- Tu es fou mon chéri.
- Les fleurs c’est pour tout de suite et le champagne à mettre au frais pour tout à l'heure. Je t’aime à la folie et ça vaut bien tout ça.
- Elles sont magnifiques. Mais fallait pas. Ton amour me suffit amplement. Je ne demande rien de plus.
- Incorrigible. Viens ici prendre ta première fessée.
Alice s’échappe autour de la table basse du séjour. Je la poursuis. Elle rit de bon cœur.
- Tu ne m’attraperas pas et de toutes façons, je ne me laisserai pas faire.
- Oh toi tu ne perds rien pour attendre. Prends garde à tes petites fesses.
Après trois tours au pas de course autour de tous les meubles de la pièce, Alice abandonne la partie et s’affale sur le canapé, essoufflée mais rieuse. Je la rejoins. Elle me saisit par le cou et m’embrasse goulûment, comme une sauvageonne sevrée depuis une éternité.
- Pour le programme de ce soir...
- Oui mon cœur.
- Ben tu dis oui alors que j’ai encore rien proposé !
- Je t’écoute Alice.
- Cette nuit, c’est la nuit des étoiles et le ciel sera dégagé. Si ça te dit, on ira dans les dunes, c’est le meilleur endroit pour observer la voûte céleste. On pourra même repérer la planète Venus. A cette période avec un peu de chance, c’est le moment où Mars sera le plus proche de la lune mais c’est en deuxième partie de nuit. Je te montrerai.
- Va pour les dunes ma chérie.
- Super mon cœur. Toute seule, j’évite mais dans tes bras je crois que je vais adorer. J'ai déjà préparé le plaid, les jumelles et une couverture s'il faisait un peu froid.
- Waouh quelle organisation. Je suis éberlué. On prend une douche en attendant ?
- Tu veux dire ensemble ?
- Oui évidemment.
- Mais tu sais que …
- Oui je sais … Viens.
- Non !
- Si ... vient ... dans le noir.
- Tu es sûr ?
- Oui, viens.
Je suis content. Le projet avance bien et l’équipe est soudée, l’ambiance de travail est au beau fixe. Jean et Sarah complotent souvent ensemble. Marion se joint parfois à eux et si ça bosse bien, ça rigole aussi.
La journée a encore été bien chaude. La climatisation des bureaux a été suspendue pour cause de covid-19. Il fait une chaleur accablante, 37 degrés Celsius. Le moindre geste génère une transpiration excessive. C’est pénible. Les vêtements collent au corps. Les filles ont les seins libres sous leur décolleté largement aéré. Elles sont belles, sexy et désirables.
Toute l’équipe est réunie dans mon bureau pour le dernier point de la semaine. Sarah, en robe blanche légère, Marion dans un ensemble chemisier, mini-jupe dont elle a le secret. A l’issue de la réunion, Marion lance :
- Je propose une soirée baignade à la maison demain. Qui vient ?
Sarah et Jean ne se font pas prier. Marion me sourit avec une certaine connivence dans le regard.
- Désolé Marion, ça va être compliqué pour moi. Je te confirme ce soir. Et si je peux venir, je serais accompagné si ça ne dérange pas évidemment.
- Non pas du tout Pascal, viens avec qui tu veux. Ce serait juste dommage que tu ne puisses pas te joindre à nous.
Je lis une déception certaine dans le timbre de sa voix.
- °° -
Il est à peine quinze heures lorsque je rejoins la station. Un petit détour chez mon caviste préféré qui me propose un champagne de bonne facture. Je profite aussi de cet arrêt inopiné pour investir le fleuriste du coin.
Arrivé à l’appartement, j’ouvre ma porte discrètement pour ne pas me faire repérer. Je dépose mes affaires et direction ma jolie voisine, le bouquet de roses blanches et la bouteille de champagne à la main. Je sonne. Pas âme qui vive. Je réitère, un coup, deux coups. La clé tourne dans la serrure et Alice passe la tête dans l’encablure de la porte, les yeux tout endormis.
- Ah, c’est toi ? Tu as fini tôt. Je m’étais assoupie. Rentre.
- Bon anniversaire lui dis-je en lui tendant le bouquet de roses blanches.
- Mais ce n’est pas mon anniversaire !!!
- Mécréante, ça fait quinze jours qu’on se connaît. Ça se fête, Non ?
- Tu es fou mon chéri.
- Les fleurs c’est pour tout de suite et le champagne à mettre au frais pour tout à l'heure. Je t’aime à la folie et ça vaut bien tout ça.
- Elles sont magnifiques. Mais fallait pas. Ton amour me suffit amplement. Je ne demande rien de plus.
- Incorrigible. Viens ici prendre ta première fessée.
Alice s’échappe autour de la table basse du séjour. Je la poursuis. Elle rit de bon cœur.
- Tu ne m’attraperas pas et de toutes façons, je ne me laisserai pas faire.
- Oh toi tu ne perds rien pour attendre. Prends garde à tes petites fesses.
Après trois tours au pas de course autour de tous les meubles de la pièce, Alice abandonne la partie et s’affale sur le canapé, essoufflée mais rieuse. Je la rejoins. Elle me saisit par le cou et m’embrasse goulûment, comme une sauvageonne sevrée depuis une éternité.
- Pour le programme de ce soir...
- Oui mon cœur.
- Ben tu dis oui alors que j’ai encore rien proposé !
- Je t’écoute Alice.
- Cette nuit, c’est la nuit des étoiles et le ciel sera dégagé. Si ça te dit, on ira dans les dunes, c’est le meilleur endroit pour observer la voûte céleste. On pourra même repérer la planète Venus. A cette période avec un peu de chance, c’est le moment où Mars sera le plus proche de la lune mais c’est en deuxième partie de nuit. Je te montrerai.
- Va pour les dunes ma chérie.
- Super mon cœur. Toute seule, j’évite mais dans tes bras je crois que je vais adorer. J'ai déjà préparé le plaid, les jumelles et une couverture s'il faisait un peu froid.
- Waouh quelle organisation. Je suis éberlué. On prend une douche en attendant ?
- Tu veux dire ensemble ?
- Oui évidemment.
- Mais tu sais que …
- Oui je sais … Viens.
- Non !
- Si ... vient ... dans le noir.
- Tu es sûr ?
- Oui, viens.
- °° -