29-04-2022, 02:06 PM
Je demande à maman si je peux inviter Ben à venir dîner demain pour passer du temps avec mes grands-parents. Maman me dit que c’est une excellente idée. Je téléphone alors à Ben. C’est lui qui décroche. Je lui fais part de l’invitation qu’il accepte et qu’il confirme trente secondes plus tard après avoir demandé à Arlette la permission de venir à la maison. Je n’ai pas dit à Ben que ma Mamy et mon Papy sont à la maison, ce sera une surprise !
La nuit a été salvatrice, il est vrai que j’étais fatigué après ces deux jours de spéléologie. C’est à neuf heures que je suis réveillé. J’entends frapper à la porte de la chambre, je dis d’entrer en me doutant que c’est mon petit frère qui vient. De fait, c’est Jean qui ouvre et qui entre dans la chambre. Je l’invite à venir près de moi. Il se couche à mes côtés, comme cela arrive de temps en temps. C’est une occasion de parler ensemble et de dire ce qui va et ce qui ne va pas bien.
Jea : « Alors mon grand frère, tu as l’air bien mieux dans ta peau !
Moi : Merci frérot, oui je me sens mieux. Tu ne dois plus t’inquiéter pour moi, j’ai vu hier à ta tête que tu étais sur des charbons ardents lorsque je suis revenu. Puis quand tu m’as vu tu as été soulagé.
Jea : C’est vrai Phil, tu sais j’ai déjà eu tellement peur, que c’est devenu comme une obsession.
Moi : Je sais Jean, mais tu vois je vais bien mieux. Ben est super et je suis si bien avec lui. Puis tu vois nous avons des amis sur qui nous pouvons compter.
Jea : Je le vois. Tu as raison, je vais être plus à l’aise en sachant que tu vas mieux.
Moi : De toute façon, si j’ai un problème qui se présente, je te promets de t’en parler et aussi de le dire à nos parents.
Jea : Merci Phil, c’est une sage décision.
Je me tourne vers mon jeune frère et je lui donne un bisou sur la joue. J’ajoute alors :
Moi : J’aime bien quand tu viens pour que nous discutions ensemble. Merci Jean !
Jea : Mais de rien Phil, je reviendrai, ne t’inquiète pas !
Nous nous sommes mis à rire. Jean se lève et quitte ma chambre. Je me lève moi aussi, il va être temps de me préparer pour prendre le petit-déjeuner en famille. Je descends et j’embrasse tout le monde. Nous sommes attablés et nous mangeons de bon appétit. Dehors il pleut doucement. Mamy me dit que la pluie devrait s’arrêter et que le soleil devrait faire son apparition pour l’après-midi. Ça tombe bien car nous allons nous balader en famille en forêt de Soignes !
Vu le temps nous restons à l’intérieur. Papy me propose une partie de cartes, le jeu de la « crapette ». Nous nous amusons bien et nous rions de bon cœur. Anne me remplace, puis c’est André qui se mesure à mon aïeul et il est suivi de Jean. Mamy est dans le divan et elle parle avec mes parents.
Il est onze heures trente et on sonne à la porte. Je suis presque certain que c’est Ben. Je vais ouvrir la porte et je vois que c’est Amandine. Je la salue et j’appelle Jean. Mon frère est très heureux de revoir sa dulcinée. Ils s’embrassent et vont rejoindre le reste de la famille au salon. Je sors à peine du hall qu’à nouveau on sonne, je suis maintenant sûr et certain que c’est Ben, personne d’autre n’est supposé arriver. J’ouvre et je vois mon chéri. Je le laisse entrer, il est un peu mouillé, il est venu à vélo malgré le temps !
Je l’invite à aller au salon après l’avoir embrassé bien sûr ! Ben entre et voit qu’il y a du monde. Il reconnaît mes grands-parents. Il va les embrasser. Mamy et Papy sont très heureux de revoir Ben. On sent bien qu’ils l’apprécient beaucoup. Mamy dit alors :
Mamy : « Je suis si heureuse de vous voir tous réunis mes enfants. C’est un très beau cadeau que vous nous faites à Papy et à moi.
Moi : Mamy nous sommes tous très heureux de vous voir à la maison. Cela n’arrive pas si souvent !
Ann : Phil a raison, c’est pour nous aussi un cadeau de vous avoir auprès de nous.
Papy : Allez, assez de pleurnichardes, Jean-Claude apporte nous l’apéritif.
Mamy : Mais Léon, on peut encore parler et dire ce qu’on pense quand même.
Je remarque que Papy a les yeux humides, je suis sûr qu’il est si ému qu’il a réagi de cette façon un peu brutale. Mamy n’a rien vu, mes parents non plus. C’est Ben qui me dit dans l’oreille : « Ton Papy est très émotif » ! Je regarde Anne, elle aussi l’a remarqué. Elle s’approche de lui et vient lui faire un gros câlin. Évidemment cela déclenche les larmes de notre Papy. Maman a alors compris ce qui se passe.
Papa revient avec du mousseux bien frais, André et Amandine déposent les zakouskis tandis que Ben et moi nous apportons les verres. Nous trinquons alors à la santé de notre belle famille. Papy a séché ses larmes et embrasse Mamy. Ils sont adorables et toujours aussi prévenant l’un pour l’autre.
L’après-midi, c’est une superbe balade en forêt de Soignes qui démarre. Nous sommes contents, la pluie a cessé et il y a un rayon de soleil, un peu pâlot, mais il est là. Nous nous promenons dans les allées en discutant. Jean et Amandine se tiennent par la main, tout comme Anne et André. Maman et papa ainsi que mes grands-parents font de même. Avec Ben on fait attention de ne pas trop nous coller l’un à l’autre et nous ne nous donnons pas la main ; pourtant ce n’est pas l’envie qui manque. On ne sait jamais, il est inutile de provoquer une réaction désagréable pour nous.
Alors que nous abordions le Chemin des Deux Montagnes, nous apercevons quatre personnes qui marchent devant nous. Bien qu’elles soient de dos, il me semble reconnaitre Marie avec Isabelle et les parents de ma confidente. Je me tourne vers Ben et je lui fais part de ce que je viens de me rendre compte. Ben me dit d’aller voir si c’est bien Marie qui est là, devant nous.
Avec Ben nous dépassons mes parents et mes aïeuls, je me tourne vers maman et je lui fait un clin d’œil en lui montrant le groupe de marcheurs qui nous précède. Nous accélérons le pas, nous courons pour ainsi dire. Une fois à une dizaine de mètres des quatre personnes, je crie « Marie » ! De de fait, c’est bien elle car elle se retourne à l’appel de son prénom. Elle s’arrête et dit : « Phil ».
Nous nous rejoignons et je lui donne l’accolade, qui est en réalité est comme un câlin. Isabelle nous salue : elle nous reconnaît bien entendu. Henriette et René se rapproche de nous. Henriette nous dit :
Hen : « Alors quelle belle surprise de vous voir !
Moi : Oui, je suis aussi étonné de vous voir et j’ai bien eu raison de vous avoir reconnu de loin.
Mar : C’est super Phil. Alors Ben, comment vas-tu ?
Ben : Ça va très bien, les congés de Toussaint se passent bien. Puis je suis avec Phil, alors c’est le top !
Mar : Ah, je vois Phil, tu es avec ta famille !
Moi : Oui, avec mes grands-parents, mes parents, ma sœur et son copain et ensuite Jean avec Amandine, sa copine.
Hen : C’est l’occasion de faire la connaissance de tes grands-parents. Ils ont l’air encore bien alertes.
Moi : Oui, ils aiment les balades. Nous nous promenons souvent quand nous sommes chez eux lors de vacances ou de congés.
Mam : Bonjour Henriette, bonjour René.
Ren : Bonjour à vous, à toute cette belle famille.
Tous : Bonjour.
Je fais alors les présentations d’usage en commençant par mes grands-parents et ensuite les jeunes, soit les deux couples d’amoureux. Marie les connait tous sauf Amandine, c’est la première fois qu’elles se rencontrent. Isabelle salue elle aussi toute la famille. Marie présente Isabelle à mes aïeuls :
Mar : Voici Isabelle, mon amie.
Mamy : Bonjour Isabelle, c’est un très beau prénom.
Isa : Merci c’est gentil de votre part.
Mar : Oui, moi aussi je trouve que c’est un beau prénom.
Les deux filles se rapprochent l’une de l’autre et se tienne par la taille. Mamy sourit alors en les regardant. Elle a compris, pas besoin de faire un dessin. Elle ajoute alors :
Mamy : Soyez heureuses jeunes filles !
Mam : Vous avez deviné ?
Mamy : Mais oui, il suffit de voir comme elles se regardent !
Hen : Oui, c’est comme ça, elles s’aiment et l’amour est plus fort que tout !
Mamy : Je le sais, il suffit de voir mes trois petits-enfants, ils sont si heureux en couple. Puis, quand bien même Phil et Ben s’aiment et bien je trouve ça beau !
Nous nous sommes tous mis à rire. Les membres des deux familles affichent un large sourire. Puis Mamy sait ce qu’elle veut : c’est le bonheur de ceux qu’elle aime !
Pap ; Je propose que nous poursuivions la balade tous ensemble.
Ren : C’est une excellente idée, Jean-Claude, c’est bien votre prénom ?
Pap : Oui c’est bien cela, je peux vous appeler René ? Puis nous pouvons nous tutoyer !
Ren : Bien entendu ! »
Les mamans se connaissent et s’appellent déjà par leurs prénoms. Nous voilà donc réunis pour profiter de ce bel après-midi au grand air et en très bonne compagnie. Il y a des jours comme ça où le hasard fait bien les choses. Nous les jeunes nous restons ensemble, soit quatre couples, en train de parler d’un tas de choses, derrière nos parents. Je vois que Marie et Isabelle se tiennent par la main. Voyant qu’il n’y a personne dans les environs, je prends celle de Ben. Nous nous regardons et nous nous déposons un baiser furtif sur les lèvres.
La nuit a été salvatrice, il est vrai que j’étais fatigué après ces deux jours de spéléologie. C’est à neuf heures que je suis réveillé. J’entends frapper à la porte de la chambre, je dis d’entrer en me doutant que c’est mon petit frère qui vient. De fait, c’est Jean qui ouvre et qui entre dans la chambre. Je l’invite à venir près de moi. Il se couche à mes côtés, comme cela arrive de temps en temps. C’est une occasion de parler ensemble et de dire ce qui va et ce qui ne va pas bien.
Jea : « Alors mon grand frère, tu as l’air bien mieux dans ta peau !
Moi : Merci frérot, oui je me sens mieux. Tu ne dois plus t’inquiéter pour moi, j’ai vu hier à ta tête que tu étais sur des charbons ardents lorsque je suis revenu. Puis quand tu m’as vu tu as été soulagé.
Jea : C’est vrai Phil, tu sais j’ai déjà eu tellement peur, que c’est devenu comme une obsession.
Moi : Je sais Jean, mais tu vois je vais bien mieux. Ben est super et je suis si bien avec lui. Puis tu vois nous avons des amis sur qui nous pouvons compter.
Jea : Je le vois. Tu as raison, je vais être plus à l’aise en sachant que tu vas mieux.
Moi : De toute façon, si j’ai un problème qui se présente, je te promets de t’en parler et aussi de le dire à nos parents.
Jea : Merci Phil, c’est une sage décision.
Je me tourne vers mon jeune frère et je lui donne un bisou sur la joue. J’ajoute alors :
Moi : J’aime bien quand tu viens pour que nous discutions ensemble. Merci Jean !
Jea : Mais de rien Phil, je reviendrai, ne t’inquiète pas !
Nous nous sommes mis à rire. Jean se lève et quitte ma chambre. Je me lève moi aussi, il va être temps de me préparer pour prendre le petit-déjeuner en famille. Je descends et j’embrasse tout le monde. Nous sommes attablés et nous mangeons de bon appétit. Dehors il pleut doucement. Mamy me dit que la pluie devrait s’arrêter et que le soleil devrait faire son apparition pour l’après-midi. Ça tombe bien car nous allons nous balader en famille en forêt de Soignes !
Vu le temps nous restons à l’intérieur. Papy me propose une partie de cartes, le jeu de la « crapette ». Nous nous amusons bien et nous rions de bon cœur. Anne me remplace, puis c’est André qui se mesure à mon aïeul et il est suivi de Jean. Mamy est dans le divan et elle parle avec mes parents.
Il est onze heures trente et on sonne à la porte. Je suis presque certain que c’est Ben. Je vais ouvrir la porte et je vois que c’est Amandine. Je la salue et j’appelle Jean. Mon frère est très heureux de revoir sa dulcinée. Ils s’embrassent et vont rejoindre le reste de la famille au salon. Je sors à peine du hall qu’à nouveau on sonne, je suis maintenant sûr et certain que c’est Ben, personne d’autre n’est supposé arriver. J’ouvre et je vois mon chéri. Je le laisse entrer, il est un peu mouillé, il est venu à vélo malgré le temps !
Je l’invite à aller au salon après l’avoir embrassé bien sûr ! Ben entre et voit qu’il y a du monde. Il reconnaît mes grands-parents. Il va les embrasser. Mamy et Papy sont très heureux de revoir Ben. On sent bien qu’ils l’apprécient beaucoup. Mamy dit alors :
Mamy : « Je suis si heureuse de vous voir tous réunis mes enfants. C’est un très beau cadeau que vous nous faites à Papy et à moi.
Moi : Mamy nous sommes tous très heureux de vous voir à la maison. Cela n’arrive pas si souvent !
Ann : Phil a raison, c’est pour nous aussi un cadeau de vous avoir auprès de nous.
Papy : Allez, assez de pleurnichardes, Jean-Claude apporte nous l’apéritif.
Mamy : Mais Léon, on peut encore parler et dire ce qu’on pense quand même.
Je remarque que Papy a les yeux humides, je suis sûr qu’il est si ému qu’il a réagi de cette façon un peu brutale. Mamy n’a rien vu, mes parents non plus. C’est Ben qui me dit dans l’oreille : « Ton Papy est très émotif » ! Je regarde Anne, elle aussi l’a remarqué. Elle s’approche de lui et vient lui faire un gros câlin. Évidemment cela déclenche les larmes de notre Papy. Maman a alors compris ce qui se passe.
Papa revient avec du mousseux bien frais, André et Amandine déposent les zakouskis tandis que Ben et moi nous apportons les verres. Nous trinquons alors à la santé de notre belle famille. Papy a séché ses larmes et embrasse Mamy. Ils sont adorables et toujours aussi prévenant l’un pour l’autre.
L’après-midi, c’est une superbe balade en forêt de Soignes qui démarre. Nous sommes contents, la pluie a cessé et il y a un rayon de soleil, un peu pâlot, mais il est là. Nous nous promenons dans les allées en discutant. Jean et Amandine se tiennent par la main, tout comme Anne et André. Maman et papa ainsi que mes grands-parents font de même. Avec Ben on fait attention de ne pas trop nous coller l’un à l’autre et nous ne nous donnons pas la main ; pourtant ce n’est pas l’envie qui manque. On ne sait jamais, il est inutile de provoquer une réaction désagréable pour nous.
Alors que nous abordions le Chemin des Deux Montagnes, nous apercevons quatre personnes qui marchent devant nous. Bien qu’elles soient de dos, il me semble reconnaitre Marie avec Isabelle et les parents de ma confidente. Je me tourne vers Ben et je lui fais part de ce que je viens de me rendre compte. Ben me dit d’aller voir si c’est bien Marie qui est là, devant nous.
Avec Ben nous dépassons mes parents et mes aïeuls, je me tourne vers maman et je lui fait un clin d’œil en lui montrant le groupe de marcheurs qui nous précède. Nous accélérons le pas, nous courons pour ainsi dire. Une fois à une dizaine de mètres des quatre personnes, je crie « Marie » ! De de fait, c’est bien elle car elle se retourne à l’appel de son prénom. Elle s’arrête et dit : « Phil ».
Nous nous rejoignons et je lui donne l’accolade, qui est en réalité est comme un câlin. Isabelle nous salue : elle nous reconnaît bien entendu. Henriette et René se rapproche de nous. Henriette nous dit :
Hen : « Alors quelle belle surprise de vous voir !
Moi : Oui, je suis aussi étonné de vous voir et j’ai bien eu raison de vous avoir reconnu de loin.
Mar : C’est super Phil. Alors Ben, comment vas-tu ?
Ben : Ça va très bien, les congés de Toussaint se passent bien. Puis je suis avec Phil, alors c’est le top !
Mar : Ah, je vois Phil, tu es avec ta famille !
Moi : Oui, avec mes grands-parents, mes parents, ma sœur et son copain et ensuite Jean avec Amandine, sa copine.
Hen : C’est l’occasion de faire la connaissance de tes grands-parents. Ils ont l’air encore bien alertes.
Moi : Oui, ils aiment les balades. Nous nous promenons souvent quand nous sommes chez eux lors de vacances ou de congés.
Mam : Bonjour Henriette, bonjour René.
Ren : Bonjour à vous, à toute cette belle famille.
Tous : Bonjour.
Je fais alors les présentations d’usage en commençant par mes grands-parents et ensuite les jeunes, soit les deux couples d’amoureux. Marie les connait tous sauf Amandine, c’est la première fois qu’elles se rencontrent. Isabelle salue elle aussi toute la famille. Marie présente Isabelle à mes aïeuls :
Mar : Voici Isabelle, mon amie.
Mamy : Bonjour Isabelle, c’est un très beau prénom.
Isa : Merci c’est gentil de votre part.
Mar : Oui, moi aussi je trouve que c’est un beau prénom.
Les deux filles se rapprochent l’une de l’autre et se tienne par la taille. Mamy sourit alors en les regardant. Elle a compris, pas besoin de faire un dessin. Elle ajoute alors :
Mamy : Soyez heureuses jeunes filles !
Mam : Vous avez deviné ?
Mamy : Mais oui, il suffit de voir comme elles se regardent !
Hen : Oui, c’est comme ça, elles s’aiment et l’amour est plus fort que tout !
Mamy : Je le sais, il suffit de voir mes trois petits-enfants, ils sont si heureux en couple. Puis, quand bien même Phil et Ben s’aiment et bien je trouve ça beau !
Nous nous sommes tous mis à rire. Les membres des deux familles affichent un large sourire. Puis Mamy sait ce qu’elle veut : c’est le bonheur de ceux qu’elle aime !
Pap ; Je propose que nous poursuivions la balade tous ensemble.
Ren : C’est une excellente idée, Jean-Claude, c’est bien votre prénom ?
Pap : Oui c’est bien cela, je peux vous appeler René ? Puis nous pouvons nous tutoyer !
Ren : Bien entendu ! »
Les mamans se connaissent et s’appellent déjà par leurs prénoms. Nous voilà donc réunis pour profiter de ce bel après-midi au grand air et en très bonne compagnie. Il y a des jours comme ça où le hasard fait bien les choses. Nous les jeunes nous restons ensemble, soit quatre couples, en train de parler d’un tas de choses, derrière nos parents. Je vois que Marie et Isabelle se tiennent par la main. Voyant qu’il n’y a personne dans les environs, je prends celle de Ben. Nous nous regardons et nous nous déposons un baiser furtif sur les lèvres.