26-04-2022, 05:46 PM
Léa sortit de sa chambre à poil et vint devant la nôtre restée ouverte.
Avec Tim on avala notre salive et nos queues commencèrent à grossir.
La vue des fesses poilues de mon frère ne nous fit pas débander.
Malgré tout on quitta notre dernier rempart et Antho et Léa virent qu'on bandoullait. ça fit sourire mon frère et Léa nous remercia pour l'hommage qu'on lui rendait mais elle nous précisa que seul mon frère comptait pour elle. Et en entendant ça mon frère lui roula une fameuse longue pelle et, là, c'est nous qui avons éclaté de rire… sa bite n’était plus au repos !
- Bin quoi ! ça arrive à tout le monde de bander ! On fait le tour du propriétaire pour vous montrer les lieux et on finit par la plage. ça vous va ?
- Ok, on vous suit. Par contre moi je prends ma serviette.
- Ce n'est pas la peine Jeff, on va repasser ici pour aller à la plage.
En rougissant je dis :
- Oui mais c'est au cas. tu vois… où j'en aurais besoin, tu devrais faire pareil Titou.
- Ho putain oui, génial comme idée ça !
Et on partit la serviette sur l'épaule visiter une partie du camping. Autant Tim que moi on reluquait tout ce qui avait deux jambes et qui était de notre âge. On matait même les vieilles de 25 ans. Notre serviette nous servit !
On était à la piscine quand Tim me donna un coup de coude et me montra de la tête une famille qui arrivait en face de nous.
- C'est pas le mec qui pissait à côté de nous ?
- On dirait bien oui.
Et, là, ma bite fit un bon derrière ma serviette. Celle de Tim aussi mais pour la fille qui était avec eux.
En nous croisant les deux jeunes nous firent un grand sourire ce qui n'échappa pas à mon frère, ni à sa copine.
- Vous voyez, je vous l'avais dit, déjà deux qui vous font des sourires ! Vous allez pécho je vous dis ! Ils sont mignons en plus.
Sa réponse me laissa sur le cul. Il faudra que j'en parle avec lui de ça.
- Mais Antho tu vas les laisser tranquille oui ! Est-ce qu'ils se mêlent de ta sexualité eux ?
On continuait de visiter quand on croisa un autre groupe d'ado qui se dirigeait vers la piscine. De les voir comme ça à poil raviva nos érections !
- Putain Tim, on est mal barré là ! ça va être la honte grave de se balader toujours avec la serviette sur l’épaule.
- Surtout que la tienne pointe juste où il faut ! ça fait plus chapiteau de cirque que serviette servant à cacher ton émoi !
- Ha parce que toi tu bandes pas peut-être ?
- Si mais moi j'ai un sexe normal pas une trompe !
Léa surprise d'entendre ça, leva sournoisement le coin de ma serviette, elle gloussa et dit :
- C'est de famille on dirait mais Antho je crois que d'ici quelques années Bébé sera plus gros et plus long que toi ! C'est sa copine qui va se régaler !
- Ou son copain. Qu'est-ce que tu en sais de ses gouts ?
Tout en disant ça, mon frère s'était approché de moi et à son tour avait soulevé ma serviette.
- Putain mon cochon ! ça promet ! Il va falloir apprendre à t'en servir maintenant !
- Ho mais ça va oui ! Vous voulez pas en faire une photo aussi ?
- Moi je veux bien pour mes archives secrètes !
- Ho ! Titou, tu vas pas t'y mettre aussi !
Les trois éclatèrent de rire !
- Antho, Léa, il me semblait bien vous avoir reconnu de dos.
- Ah, salut Jules, vous êtes arrivés aussi. Sophie n'est pas avec toi ? Je te présente mon frangin Jean-François et son pote Timéo.
Ils se firent la bise et le mec nous serra la main.
- Non Sophie se fait une beauté, elle n'a pas eu le temps de passer chez son esthéticienne avant de venir alors elle s'occupe de ses jambes en ce moment. Et d’une épilation de maillot aussi.
- On se voit à l'apéro tout à l'heure, Jules ? Vous venez chez nous, ça sera plus simple. On est au 108.
- D'accord à tout à l’heure. Nous on est au 70.
…
- Bé pourquoi tu as souri bêtement quand tu as entendu le numéro de son emplacement ?
- C'est une blague bête que m'a raconté Tim il y a quelques jours. Tu sais ce que c'est un 70 ?
- Non, vas-y, dis-nous.
- C'est un 69 avec un doigt dans le cul !
- Pff elle est nulle ta blague !
On continua notre visite et on finit par le bloc sanitaire pas loin de notre marabout. (un marabout est une grande tente)
On rentra et on but un coup. Léa et Antho allèrent dans leur chambre et on les entendait discuter à voix basse. Ils en ressortirent et Antho nous dit :
- Asseyez-vous on a des choses à vous dire mais je compte sur vous pour ne pas ébruiter ce qu'on va vous dire.
En fait Léa et moi on est bisexuels et on vient ici pour satisfaire nos fantasmes. On a rencontré Jules et Sophie quand on est venu ici en Mai et on s'est donné rendez-vous pour les vacances d’été.
On vous a malgré tout invité, car on peut compter sur votre discrétion, du moins j’espère.
- Tu nous connais non ! Et à qui on va raconter ça ? Aux parents ? La mère nous passerait une engueulée en nous disant de nous occuper de nos fesses et le père il dirait que ça le regarde pas. Non mais sérieux vous êtes bi ? Tu fais des trucs avec Jules et Léa avec Sophie aussi ?
- Oui c'est ça être bi Bé ! mais j'en fais avec Sophie aussi et Léa aussi bien sûr.
- Mais, mais, … oh, puis laisse tomber !
- Qu'est-ce qu'il y a qui ne va pas Bé ? C'est le fait que je couche avec un mec qui te chiffonne ?
- Non, ça je m'en fous, mais j'ai cru que vous vous aimiez tous les deux.
C'est Léa qui répondit
- Mais on s'aime Jeff, c'est juste que ton frère ne peut pas me donner tout ce que je veux sexuellement et moi non plus.
- Mais, maiiis…
- Tu as fini de te prendre pour une chèvre Bébé ! Bon, au point où on en est autant tout vous dire. Vous connaissez Marie, la petite fille des Martin, celle qui a mon âge ?
- Oui de vue, elle vient de temps en temps au village, elle est plutôt mignonne et bien roulée. D'ailleurs les parents regrettent que tu ne te sois pas mis avec elle.
- Ça ne se fera jamais ! Elle est lesbienne ! Je l'ai rencontré un soir dans une boite branchée gay et on a discuté beaucoup. On a été surpris autant l'un que l'autre de se retrouver là. Et c'est là qu'elle m'a dit qu'elle était lesbienne et que je lui ai dit que j'étais bi.
Du coup le weekend suivant on est allé sur Marseille. Elle connaissait un club échangiste et on y est allé. Et c'est là que j'ai rencontré Léa.
- ÇA existe ça les clubs échangistes ? il s'y passe quoi ?
- Oui, Tim, ça existe ! Et comme leur nom le dit, les couples s'y rendent et les partenaires s’échangent.
- Mais comment Léa et toi vous avez su que vous étiez bi ?
- Tu leur racontes Léa ou je le fais ?
- Je vais le faire. Alors la soirée était bien avancée et je me faisais faire un cunni par une belle rousse qui, elle, se faisait prendre par un beau gosse. Antho est arrivé, il nous matait et le mec qui prenait la fille lui a fait un sourire, il s'est approché et il lui a caressé les fesses, le gars lui a tendu une capote et ton frère l'a enfilé, avant de prendre le mec qu'il a vite fait jouir. Du coup il est parti et la fille qui me faisait un cunni l'a suivi. Ton frère a quitté son préservatif et m'a demandé s'il pouvait prendre la suite de la dame.
Hum ! bon, vous bandez assez comme ça les jeunes, et toi aussi mon cochon, alors pour faire court, je vous dirai simplement qu'on s'est revu plusieurs fois chez lui ou chez moi, qu'au début on n'était que des sexfriends puis les sentiments sont venus. Mais comme on n'était pas complètement satisfaits sexuellement on a décidé de retourner de temps en temps au club. Et au mois de mai on a rencontré ici Jules et Sophie qui sont comme nous et qui n'habitent pas loin alors on a décidé de nous rencontrer régulièrement.
Voilà vous savez tout.
Antho se leva, la queue raide. Il prit Léa par la main et la conduisit vers leur chambre.
- Si vous entendez gémir, on n'est pas malade si vous voyez ce que je veux dire.
Il ponctua sa phrase d'un clin d’œil.
Avant de fermer la porte il nous dit :
- La plage c'est à droite après le bloc sanitaire à 500 m. On vous attend vers 20 h pour l’apéro.
Il referma la porte. Avec Tim on avait la queue toute raide. Je le vis se lever et se diriger vers la chambre.
- Tu vas faire quoi ?
Il me mima une branlette et précisa :
- On peut pas sortir comme ça et ça ne va pas passer seul, excité comme on l’est alors autant se faire du bien vite fait non ? Tu viens ou pas ?
Tim et moi on s'était souvent branlé ensemble. On avait échangé nos mains de temps en temps aussi mais rien de plus.
Je le rejoignis et chacun allongé sur son lit on se branla. Tim jouit en premier.
- Putain fait chier je m'en suis foutu de partout !
Je me tournais vers lui et j’en rigolais. Moi aussi je jouis… jusque sur mon menton et, là, c'est Tim qui rigola !
On s'essuya avec nos serviettes et on alla à la plage après avoir pris une douche vite fait au bloc sanitaire.
- Putain c'est cool Bé ! Y'a des grosses vagues ! On y va ?
- Grave oui ! Le dernier à l'eau est une chochotte !
On joua un grand moment avec les vagues qui nous roulaient dans tous les sens et nous poussaient vers d’autres baigneurs. A un moment je me retrouvais avec le mec qui pissait avec nous assis sur moi et Tim se retrouva la tête coincé entre les cuisses d'une fille plutôt mignonne.
Plusieurs jeunes de notre âge vinrent nous rejoindre et on fut vite une dizaine à faire les cons.
Au gré des vague, on se touchait, on se frôlait, on se roulait les uns sur les autres et je n'étais pas le seul garçon à avoir une mi molle qui durcissait parfois bien plus. Au bout d'une heure on décida de sortir et les jeunes avec qui on avait fait les cons nous invitèrent à nous joindre à eux.
On se présenta, et ils se présentèrent, c'était une vraie tour de Babel ! Il y avait des Allemands, des Suisses, des Hollandais, des Belges et, forcément, des Français. On parlait un mélange de toutes les langues respectives même si l'anglais prédominait.
Pendant qu'on parlait je matais mes nouveaux amis le plus discrètement possible parce que j'avais énormément de mal à contrôler ma queue.
Certains d'eux me plaisaient bien. Et je me surpris à trouver des mecs mignons ! Avant j'aurais dit bien bâtis, ou musclés mais là c'était mignon ! Et en particulier Frantz, nul autre que l'allemand qui avait pissé avec nous. Oups ! il fallait que je m'allonge sur le ventre et vite !
Les filles papotaient entre elles et je les regardais en coin.
Certaines étaient rasées "intégral", d'autres avaient le "ticket de métro", je passais aux seins et aux fesses.
Bon allez, il fallait que je pense à autre chose sinon je n'arriverai jamais à débander !
Je matais mes "potes". Certains étaient couchés sur le ventre et j'avais une belle vue sur leurs fesses rebondies tandis que d'autres allongés sur le dos montraient leurs attributs masculins dont Frantz. D'où j'étais je voyais sa toison blonde taillée court sur son pubis et il avait le gland qui dépassait un peu de son prépuce. Ses couilles étaient rasées comme toutes celles que je pouvais voir. D'ailleurs en y repensant mon frère aussi était rasé de ce côté-là ! En fait dans le groupe il n'y avait que Tim et moi à être nature. Frantz s'allongea sur le ventre et écarta légèrement les jambes. Je pus apercevoir que là aussi il était rasé.
Je somnolais un peu quand une voix me dit :
- Jeff, fais gaffe tu es en train de chopper un coup de soleil. Tu devrais te retourner un peu de temps en temps.
- Je voudrais bien me retourner mais je peux pas.
- Tu peux pas, mais pourquoi ?
Discrètement je montrais mon érection à mon voisin qui pouffa et qui me montra la sienne.
- On va se baigner ?
Je me tournais vers Tim et je lui posais la question. Il me montra sa queue raide.
- Ho, et puis merde !
C'est mon voisin de droite qui venait de dire ça. Il se leva et partit en courant vers les vagues dans lesquelles il plongea.
On avait tous vu sa queue raide. Les filles pouffèrent et à notre tour Tim et moi on le rejoignit au pas de course. Ça devait être contagieux la bandaison car au fur et à mesure que les autres garçons arrivaient, ils avaient la queue raide ou mi molle.
On refit les cons encore un grand moment dans les vagues avant de ressortir. Puis l'heure avançant notre groupe diminua pour finir il ne restait plus que Frantz, Ava - sa sœur jumelle -, Marie une belle brune bien roulée, Tim et moi.
- On se retrouve là ce soir vers 22 h ?
Il était presque 20 h et la plage était progressivement désertée. Il ne restait que quelques couples, ou groupe, par ci par là.
- Putain Bé ! T'as grave morflé dans le dos ! T'as le cul tellement rouge qu'on dirait une lanterne !
- Tu peux parler ! le tien est tellement rouge que cette nuit on va même pas avoir besoin d'éclairer pour rentrer tellement il va briller !
Marie traduisait au fur et à mesure ce qu'on disait aux deux allemands. Ava parla à Marie qui nous traduisit :
- Si vous voulez, son père peut vous enlever le soleil. Il est magnétiseur ou quelque chose du genre, j'ai pas trop compris le mot qu'elle a utilisé. Vous aurez plus mal.
On passa par les douches pour se dessaler et c'est vrai que rien que la pression de l'eau sur nos épaules et notre dos ça cuisait. On accepta. Les jumeaux nous conduisirent jusqu'à leur emplacement et leur père voyant notre état nous engueula… en français ! Puis il nous fit nous allonger chacun notre tour sur le canapé. Je l'observais quand il le faisait à Tim. Il passait les mains sur notre corps à quelques centimètres de notre peau sans nous toucher et il transpirait beaucoup. Je voyais Tim se détendre. Il le fit se retourner et fit pareil pour le devant.
- C'est bon j'en ai fini avec toi, je bois une bière et je m'occupe de toi après.
Il prit une serviette et s’épongea. Il coulait l'eau ! Il but sa bière cul sec et s'occupa de moi. C'était bizarre. Quand il passait ses mains je sentais des picotements puis du frais de suite après.
Quand il eut fini avec moi, il en but une autre cul sec et il me dit :
- Tu es comme moi toi, tu as un don, je l'ai senti, c'est lequel ?
Alors là, j'étais sur le cul ! Un don, moi ?
- Heu non je crois pas, enfin j'en sais rien.
- Tu ne fais rien de médical ou des choses du genre ?
- Non je vois pas.
- Mais si Bé ! Au karaté quand y'en a un qui se fait mal qui se fait sauter un nerf tu le remets en place vite fait mieux que le rhabilleur !
- Ha ça oui, je sais pas pourquoi.
- Tu voudrais pas regarder l'épaule de mon épouse ?
- Je veux bien essayer mais je ne vous promets rien.
Il parla à sa femme en allemand. Elle lui répondit sèchement avant de venir s'assoir sur un tabouret devant moi. Son mari me montra où elle avait mal et c'est vrai que c'était un sac de nœuds là dessous. Doucement je faisais glisser mes doigts pour suivre les nerfs.
- Vous auriez une crème chauffante ? ça m’aiderait.
Il m'apporta un tube d’arnica, je lui en passais un peu et tout doucement je remis tout en place. Elle remua son épaule et me sourit et me dit quelque chose que son mari traduisit en riant.
- Elle veut t’adopter, tu as des doigts de fée. Elle n'a plus mal à son épaule et elle voulait savoir si demain tu pourrais t'occuper de son dos et de son cul, pardon de son cou.
Elle souffre beaucoup, elle est tombée en faisant du sport et depuis elle a mal tout le temps.
- Ok demain matin si vous voulez vers 9 h. Et encore merci pour nos coups de soleil, je ne sens plus le mien.
Quand on partit le père nous donna un flacon de crème de sa composition qu'on devra mettre ce soir avant de nous coucher et demain, d’après lui, on serait guéri.
On le remercia et on partit.
On arriva juste à temps pour l'apéro en même temps que Jules et Sophie.
Mon frère pendant l'apéro nous demanda comment c'était passée notre première journée.
- Mais elle n'est pas encore finie ! On te dira ça demain, ce soir on doit rejoindre des potes à la plage.
Jules et Sophie restèrent manger avec nous et quand on voulut partir nus et les mains vides pour la plage mon frère nous dit :
- Soyez sage et attention suivant ce que vous faites soyez couverts ! Vous avez de quoi au cas où vous en auriez besoin ?
- Mais de quoi tu parles ?
- Des capotes bien sûr ! de quoi tu veux que je te parle d'autre.
- Bin non, on n'a pas prévu.
- Jules tu peux en passer deux des tiennes à Tim, Je vais en chercher des miennes pour toi, Bé. Et le soir, sur la plage mettez au moins un short et une chemisette, on sait jamais si vous voulez remonter vous balader au club !
Tim rougit et bredouilla un merci quand Jules lui tendit les préservatifs et je fis de même quand mon frangin me donna deux des siens.
Du coup on alla enfiler un short et un teeshirt surtout pour mettre nos capotes dedans. Et on partit pour la plage non sans avoir fait une halte aux toilettes pour pisser.
Quand on arriva sur la plage il n'y avait que Marie et Ava. Frantz n'était pas là.
D'office Tim alla s’assoir avec Ava du coup j'allais avec Marie.
On discutait de tout et de rien quand la question copain ou copine vint sur le tapis. On était tous les quatre célibataires. Et quand vint la question relations sexuelles, on piqua un fard tous les deux !
Je ne sus jamais ce que les filles s'étaient dit, mais le rapprochement franco-allemand commença. Et ce soir-là, on faillit perdre notre pucelage, si Frantz n'était pas arrivé en courant poursuivit par quatre mecs qui le traitaient de pédale, de salope, de dégénéré ....
Il s'arrêta à notre niveau et parla vite. Les gars étaient arrivés aussi.
- Vous mêlez pas de ça tous les deux ! ça ne vous regarde pas, c'est une histoire entre lui et nous !
Un mec avança. Tim s’interposa.
- Si, ça nous regarde justement, c'est notre pote alors foutez lui la paix.
- Putain vous défendez les tafioles vous ?
- Non, on défend notre pote ! Alors dégagez avant que ça dégénère !
Le mec voulut le pousser pour passer mais Tim le repoussa et ça partit en couille !
Ils ne faisaient pas le poids contre nous et on les aligna sans problème. Si bien que les flics, avertis par des gens qui avaient vu ce qu'il s'était passé, arrivèrent alors que je déboitais l'épaule de celui qui devait être leur chef.
Ils nous séparèrent et les enfoirés dirent qu'on les avait agressé sans raison. Heureusement que les gens qui avaient téléphoné aux flics avaient aussi tout filmé !
Les flics nous convoquèrent pour le lendemain, puis les embarquèrent. Mais avant je me fis un malin plaisir à remettre en place l'épaule du gars.
J'aurais pu le faire en douceur mais je n'étais pas d'humeur… Ce con là venait de me faire perdre mon dépucelage !
Avec Tim on avala notre salive et nos queues commencèrent à grossir.
La vue des fesses poilues de mon frère ne nous fit pas débander.
Malgré tout on quitta notre dernier rempart et Antho et Léa virent qu'on bandoullait. ça fit sourire mon frère et Léa nous remercia pour l'hommage qu'on lui rendait mais elle nous précisa que seul mon frère comptait pour elle. Et en entendant ça mon frère lui roula une fameuse longue pelle et, là, c'est nous qui avons éclaté de rire… sa bite n’était plus au repos !
- Bin quoi ! ça arrive à tout le monde de bander ! On fait le tour du propriétaire pour vous montrer les lieux et on finit par la plage. ça vous va ?
- Ok, on vous suit. Par contre moi je prends ma serviette.
- Ce n'est pas la peine Jeff, on va repasser ici pour aller à la plage.
En rougissant je dis :
- Oui mais c'est au cas. tu vois… où j'en aurais besoin, tu devrais faire pareil Titou.
- Ho putain oui, génial comme idée ça !
Et on partit la serviette sur l'épaule visiter une partie du camping. Autant Tim que moi on reluquait tout ce qui avait deux jambes et qui était de notre âge. On matait même les vieilles de 25 ans. Notre serviette nous servit !
On était à la piscine quand Tim me donna un coup de coude et me montra de la tête une famille qui arrivait en face de nous.
- C'est pas le mec qui pissait à côté de nous ?
- On dirait bien oui.
Et, là, ma bite fit un bon derrière ma serviette. Celle de Tim aussi mais pour la fille qui était avec eux.
En nous croisant les deux jeunes nous firent un grand sourire ce qui n'échappa pas à mon frère, ni à sa copine.
- Vous voyez, je vous l'avais dit, déjà deux qui vous font des sourires ! Vous allez pécho je vous dis ! Ils sont mignons en plus.
Sa réponse me laissa sur le cul. Il faudra que j'en parle avec lui de ça.
- Mais Antho tu vas les laisser tranquille oui ! Est-ce qu'ils se mêlent de ta sexualité eux ?
On continuait de visiter quand on croisa un autre groupe d'ado qui se dirigeait vers la piscine. De les voir comme ça à poil raviva nos érections !
- Putain Tim, on est mal barré là ! ça va être la honte grave de se balader toujours avec la serviette sur l’épaule.
- Surtout que la tienne pointe juste où il faut ! ça fait plus chapiteau de cirque que serviette servant à cacher ton émoi !
- Ha parce que toi tu bandes pas peut-être ?
- Si mais moi j'ai un sexe normal pas une trompe !
Léa surprise d'entendre ça, leva sournoisement le coin de ma serviette, elle gloussa et dit :
- C'est de famille on dirait mais Antho je crois que d'ici quelques années Bébé sera plus gros et plus long que toi ! C'est sa copine qui va se régaler !
- Ou son copain. Qu'est-ce que tu en sais de ses gouts ?
Tout en disant ça, mon frère s'était approché de moi et à son tour avait soulevé ma serviette.
- Putain mon cochon ! ça promet ! Il va falloir apprendre à t'en servir maintenant !
- Ho mais ça va oui ! Vous voulez pas en faire une photo aussi ?
- Moi je veux bien pour mes archives secrètes !
- Ho ! Titou, tu vas pas t'y mettre aussi !
Les trois éclatèrent de rire !
- Antho, Léa, il me semblait bien vous avoir reconnu de dos.
- Ah, salut Jules, vous êtes arrivés aussi. Sophie n'est pas avec toi ? Je te présente mon frangin Jean-François et son pote Timéo.
Ils se firent la bise et le mec nous serra la main.
- Non Sophie se fait une beauté, elle n'a pas eu le temps de passer chez son esthéticienne avant de venir alors elle s'occupe de ses jambes en ce moment. Et d’une épilation de maillot aussi.
- On se voit à l'apéro tout à l'heure, Jules ? Vous venez chez nous, ça sera plus simple. On est au 108.
- D'accord à tout à l’heure. Nous on est au 70.
…
- Bé pourquoi tu as souri bêtement quand tu as entendu le numéro de son emplacement ?
- C'est une blague bête que m'a raconté Tim il y a quelques jours. Tu sais ce que c'est un 70 ?
- Non, vas-y, dis-nous.
- C'est un 69 avec un doigt dans le cul !
- Pff elle est nulle ta blague !
On continua notre visite et on finit par le bloc sanitaire pas loin de notre marabout. (un marabout est une grande tente)
On rentra et on but un coup. Léa et Antho allèrent dans leur chambre et on les entendait discuter à voix basse. Ils en ressortirent et Antho nous dit :
- Asseyez-vous on a des choses à vous dire mais je compte sur vous pour ne pas ébruiter ce qu'on va vous dire.
En fait Léa et moi on est bisexuels et on vient ici pour satisfaire nos fantasmes. On a rencontré Jules et Sophie quand on est venu ici en Mai et on s'est donné rendez-vous pour les vacances d’été.
On vous a malgré tout invité, car on peut compter sur votre discrétion, du moins j’espère.
- Tu nous connais non ! Et à qui on va raconter ça ? Aux parents ? La mère nous passerait une engueulée en nous disant de nous occuper de nos fesses et le père il dirait que ça le regarde pas. Non mais sérieux vous êtes bi ? Tu fais des trucs avec Jules et Léa avec Sophie aussi ?
- Oui c'est ça être bi Bé ! mais j'en fais avec Sophie aussi et Léa aussi bien sûr.
- Mais, mais, … oh, puis laisse tomber !
- Qu'est-ce qu'il y a qui ne va pas Bé ? C'est le fait que je couche avec un mec qui te chiffonne ?
- Non, ça je m'en fous, mais j'ai cru que vous vous aimiez tous les deux.
C'est Léa qui répondit
- Mais on s'aime Jeff, c'est juste que ton frère ne peut pas me donner tout ce que je veux sexuellement et moi non plus.
- Mais, maiiis…
- Tu as fini de te prendre pour une chèvre Bébé ! Bon, au point où on en est autant tout vous dire. Vous connaissez Marie, la petite fille des Martin, celle qui a mon âge ?
- Oui de vue, elle vient de temps en temps au village, elle est plutôt mignonne et bien roulée. D'ailleurs les parents regrettent que tu ne te sois pas mis avec elle.
- Ça ne se fera jamais ! Elle est lesbienne ! Je l'ai rencontré un soir dans une boite branchée gay et on a discuté beaucoup. On a été surpris autant l'un que l'autre de se retrouver là. Et c'est là qu'elle m'a dit qu'elle était lesbienne et que je lui ai dit que j'étais bi.
Du coup le weekend suivant on est allé sur Marseille. Elle connaissait un club échangiste et on y est allé. Et c'est là que j'ai rencontré Léa.
- ÇA existe ça les clubs échangistes ? il s'y passe quoi ?
- Oui, Tim, ça existe ! Et comme leur nom le dit, les couples s'y rendent et les partenaires s’échangent.
- Mais comment Léa et toi vous avez su que vous étiez bi ?
- Tu leur racontes Léa ou je le fais ?
- Je vais le faire. Alors la soirée était bien avancée et je me faisais faire un cunni par une belle rousse qui, elle, se faisait prendre par un beau gosse. Antho est arrivé, il nous matait et le mec qui prenait la fille lui a fait un sourire, il s'est approché et il lui a caressé les fesses, le gars lui a tendu une capote et ton frère l'a enfilé, avant de prendre le mec qu'il a vite fait jouir. Du coup il est parti et la fille qui me faisait un cunni l'a suivi. Ton frère a quitté son préservatif et m'a demandé s'il pouvait prendre la suite de la dame.
Hum ! bon, vous bandez assez comme ça les jeunes, et toi aussi mon cochon, alors pour faire court, je vous dirai simplement qu'on s'est revu plusieurs fois chez lui ou chez moi, qu'au début on n'était que des sexfriends puis les sentiments sont venus. Mais comme on n'était pas complètement satisfaits sexuellement on a décidé de retourner de temps en temps au club. Et au mois de mai on a rencontré ici Jules et Sophie qui sont comme nous et qui n'habitent pas loin alors on a décidé de nous rencontrer régulièrement.
Voilà vous savez tout.
Antho se leva, la queue raide. Il prit Léa par la main et la conduisit vers leur chambre.
- Si vous entendez gémir, on n'est pas malade si vous voyez ce que je veux dire.
Il ponctua sa phrase d'un clin d’œil.
Avant de fermer la porte il nous dit :
- La plage c'est à droite après le bloc sanitaire à 500 m. On vous attend vers 20 h pour l’apéro.
Il referma la porte. Avec Tim on avait la queue toute raide. Je le vis se lever et se diriger vers la chambre.
- Tu vas faire quoi ?
Il me mima une branlette et précisa :
- On peut pas sortir comme ça et ça ne va pas passer seul, excité comme on l’est alors autant se faire du bien vite fait non ? Tu viens ou pas ?
Tim et moi on s'était souvent branlé ensemble. On avait échangé nos mains de temps en temps aussi mais rien de plus.
Je le rejoignis et chacun allongé sur son lit on se branla. Tim jouit en premier.
- Putain fait chier je m'en suis foutu de partout !
Je me tournais vers lui et j’en rigolais. Moi aussi je jouis… jusque sur mon menton et, là, c'est Tim qui rigola !
On s'essuya avec nos serviettes et on alla à la plage après avoir pris une douche vite fait au bloc sanitaire.
- Putain c'est cool Bé ! Y'a des grosses vagues ! On y va ?
- Grave oui ! Le dernier à l'eau est une chochotte !
On joua un grand moment avec les vagues qui nous roulaient dans tous les sens et nous poussaient vers d’autres baigneurs. A un moment je me retrouvais avec le mec qui pissait avec nous assis sur moi et Tim se retrouva la tête coincé entre les cuisses d'une fille plutôt mignonne.
Plusieurs jeunes de notre âge vinrent nous rejoindre et on fut vite une dizaine à faire les cons.
Au gré des vague, on se touchait, on se frôlait, on se roulait les uns sur les autres et je n'étais pas le seul garçon à avoir une mi molle qui durcissait parfois bien plus. Au bout d'une heure on décida de sortir et les jeunes avec qui on avait fait les cons nous invitèrent à nous joindre à eux.
On se présenta, et ils se présentèrent, c'était une vraie tour de Babel ! Il y avait des Allemands, des Suisses, des Hollandais, des Belges et, forcément, des Français. On parlait un mélange de toutes les langues respectives même si l'anglais prédominait.
Pendant qu'on parlait je matais mes nouveaux amis le plus discrètement possible parce que j'avais énormément de mal à contrôler ma queue.
Certains d'eux me plaisaient bien. Et je me surpris à trouver des mecs mignons ! Avant j'aurais dit bien bâtis, ou musclés mais là c'était mignon ! Et en particulier Frantz, nul autre que l'allemand qui avait pissé avec nous. Oups ! il fallait que je m'allonge sur le ventre et vite !
Les filles papotaient entre elles et je les regardais en coin.
Certaines étaient rasées "intégral", d'autres avaient le "ticket de métro", je passais aux seins et aux fesses.
Bon allez, il fallait que je pense à autre chose sinon je n'arriverai jamais à débander !
Je matais mes "potes". Certains étaient couchés sur le ventre et j'avais une belle vue sur leurs fesses rebondies tandis que d'autres allongés sur le dos montraient leurs attributs masculins dont Frantz. D'où j'étais je voyais sa toison blonde taillée court sur son pubis et il avait le gland qui dépassait un peu de son prépuce. Ses couilles étaient rasées comme toutes celles que je pouvais voir. D'ailleurs en y repensant mon frère aussi était rasé de ce côté-là ! En fait dans le groupe il n'y avait que Tim et moi à être nature. Frantz s'allongea sur le ventre et écarta légèrement les jambes. Je pus apercevoir que là aussi il était rasé.
Je somnolais un peu quand une voix me dit :
- Jeff, fais gaffe tu es en train de chopper un coup de soleil. Tu devrais te retourner un peu de temps en temps.
- Je voudrais bien me retourner mais je peux pas.
- Tu peux pas, mais pourquoi ?
Discrètement je montrais mon érection à mon voisin qui pouffa et qui me montra la sienne.
- On va se baigner ?
Je me tournais vers Tim et je lui posais la question. Il me montra sa queue raide.
- Ho, et puis merde !
C'est mon voisin de droite qui venait de dire ça. Il se leva et partit en courant vers les vagues dans lesquelles il plongea.
On avait tous vu sa queue raide. Les filles pouffèrent et à notre tour Tim et moi on le rejoignit au pas de course. Ça devait être contagieux la bandaison car au fur et à mesure que les autres garçons arrivaient, ils avaient la queue raide ou mi molle.
On refit les cons encore un grand moment dans les vagues avant de ressortir. Puis l'heure avançant notre groupe diminua pour finir il ne restait plus que Frantz, Ava - sa sœur jumelle -, Marie une belle brune bien roulée, Tim et moi.
- On se retrouve là ce soir vers 22 h ?
Il était presque 20 h et la plage était progressivement désertée. Il ne restait que quelques couples, ou groupe, par ci par là.
- Putain Bé ! T'as grave morflé dans le dos ! T'as le cul tellement rouge qu'on dirait une lanterne !
- Tu peux parler ! le tien est tellement rouge que cette nuit on va même pas avoir besoin d'éclairer pour rentrer tellement il va briller !
Marie traduisait au fur et à mesure ce qu'on disait aux deux allemands. Ava parla à Marie qui nous traduisit :
- Si vous voulez, son père peut vous enlever le soleil. Il est magnétiseur ou quelque chose du genre, j'ai pas trop compris le mot qu'elle a utilisé. Vous aurez plus mal.
On passa par les douches pour se dessaler et c'est vrai que rien que la pression de l'eau sur nos épaules et notre dos ça cuisait. On accepta. Les jumeaux nous conduisirent jusqu'à leur emplacement et leur père voyant notre état nous engueula… en français ! Puis il nous fit nous allonger chacun notre tour sur le canapé. Je l'observais quand il le faisait à Tim. Il passait les mains sur notre corps à quelques centimètres de notre peau sans nous toucher et il transpirait beaucoup. Je voyais Tim se détendre. Il le fit se retourner et fit pareil pour le devant.
- C'est bon j'en ai fini avec toi, je bois une bière et je m'occupe de toi après.
Il prit une serviette et s’épongea. Il coulait l'eau ! Il but sa bière cul sec et s'occupa de moi. C'était bizarre. Quand il passait ses mains je sentais des picotements puis du frais de suite après.
Quand il eut fini avec moi, il en but une autre cul sec et il me dit :
- Tu es comme moi toi, tu as un don, je l'ai senti, c'est lequel ?
Alors là, j'étais sur le cul ! Un don, moi ?
- Heu non je crois pas, enfin j'en sais rien.
- Tu ne fais rien de médical ou des choses du genre ?
- Non je vois pas.
- Mais si Bé ! Au karaté quand y'en a un qui se fait mal qui se fait sauter un nerf tu le remets en place vite fait mieux que le rhabilleur !
- Ha ça oui, je sais pas pourquoi.
- Tu voudrais pas regarder l'épaule de mon épouse ?
- Je veux bien essayer mais je ne vous promets rien.
Il parla à sa femme en allemand. Elle lui répondit sèchement avant de venir s'assoir sur un tabouret devant moi. Son mari me montra où elle avait mal et c'est vrai que c'était un sac de nœuds là dessous. Doucement je faisais glisser mes doigts pour suivre les nerfs.
- Vous auriez une crème chauffante ? ça m’aiderait.
Il m'apporta un tube d’arnica, je lui en passais un peu et tout doucement je remis tout en place. Elle remua son épaule et me sourit et me dit quelque chose que son mari traduisit en riant.
- Elle veut t’adopter, tu as des doigts de fée. Elle n'a plus mal à son épaule et elle voulait savoir si demain tu pourrais t'occuper de son dos et de son cul, pardon de son cou.
Elle souffre beaucoup, elle est tombée en faisant du sport et depuis elle a mal tout le temps.
- Ok demain matin si vous voulez vers 9 h. Et encore merci pour nos coups de soleil, je ne sens plus le mien.
Quand on partit le père nous donna un flacon de crème de sa composition qu'on devra mettre ce soir avant de nous coucher et demain, d’après lui, on serait guéri.
On le remercia et on partit.
On arriva juste à temps pour l'apéro en même temps que Jules et Sophie.
Mon frère pendant l'apéro nous demanda comment c'était passée notre première journée.
- Mais elle n'est pas encore finie ! On te dira ça demain, ce soir on doit rejoindre des potes à la plage.
Jules et Sophie restèrent manger avec nous et quand on voulut partir nus et les mains vides pour la plage mon frère nous dit :
- Soyez sage et attention suivant ce que vous faites soyez couverts ! Vous avez de quoi au cas où vous en auriez besoin ?
- Mais de quoi tu parles ?
- Des capotes bien sûr ! de quoi tu veux que je te parle d'autre.
- Bin non, on n'a pas prévu.
- Jules tu peux en passer deux des tiennes à Tim, Je vais en chercher des miennes pour toi, Bé. Et le soir, sur la plage mettez au moins un short et une chemisette, on sait jamais si vous voulez remonter vous balader au club !
Tim rougit et bredouilla un merci quand Jules lui tendit les préservatifs et je fis de même quand mon frangin me donna deux des siens.
Du coup on alla enfiler un short et un teeshirt surtout pour mettre nos capotes dedans. Et on partit pour la plage non sans avoir fait une halte aux toilettes pour pisser.
Quand on arriva sur la plage il n'y avait que Marie et Ava. Frantz n'était pas là.
D'office Tim alla s’assoir avec Ava du coup j'allais avec Marie.
On discutait de tout et de rien quand la question copain ou copine vint sur le tapis. On était tous les quatre célibataires. Et quand vint la question relations sexuelles, on piqua un fard tous les deux !
Je ne sus jamais ce que les filles s'étaient dit, mais le rapprochement franco-allemand commença. Et ce soir-là, on faillit perdre notre pucelage, si Frantz n'était pas arrivé en courant poursuivit par quatre mecs qui le traitaient de pédale, de salope, de dégénéré ....
Il s'arrêta à notre niveau et parla vite. Les gars étaient arrivés aussi.
- Vous mêlez pas de ça tous les deux ! ça ne vous regarde pas, c'est une histoire entre lui et nous !
Un mec avança. Tim s’interposa.
- Si, ça nous regarde justement, c'est notre pote alors foutez lui la paix.
- Putain vous défendez les tafioles vous ?
- Non, on défend notre pote ! Alors dégagez avant que ça dégénère !
Le mec voulut le pousser pour passer mais Tim le repoussa et ça partit en couille !
Ils ne faisaient pas le poids contre nous et on les aligna sans problème. Si bien que les flics, avertis par des gens qui avaient vu ce qu'il s'était passé, arrivèrent alors que je déboitais l'épaule de celui qui devait être leur chef.
Ils nous séparèrent et les enfoirés dirent qu'on les avait agressé sans raison. Heureusement que les gens qui avaient téléphoné aux flics avaient aussi tout filmé !
Les flics nous convoquèrent pour le lendemain, puis les embarquèrent. Mais avant je me fis un malin plaisir à remettre en place l'épaule du gars.
J'aurais pu le faire en douceur mais je n'étais pas d'humeur… Ce con là venait de me faire perdre mon dépucelage !