19-04-2022, 12:04 PM
Nous sommes couchés tous les six dans le dortoir. Nous sommes dans nos sacs de couchage. La lumière est éteinte et nous ne parlons plus, il est temps de rejoindre le pays des rêves. Il ne faut pas plus de cinq minutes avant d’entendre l’un d’entre nous ronfler doucement. Les minutes passent et de petits bruits de frôlement de tissus se font entendre, c’est le bruit caractéristique d’une main dont le dos frôle le tissu du sac de couchage tandis que la paume est en contact avec un pénis ! C’est donc que quelqu’un se masturbe. Je pense que c’est du côté d’Alex ou de Raphaël. Ben est à côté de moi mais cela ne vient pas de lui. J’entends alors Philippe dire tout bas :
Phi : « Je crois que je vais m’y mettre aussi.
Ale : Tu as raison, c’est très bien de se donner du plaisir.
Rap : Oui, n’hésite pas !
Je me rends alors compte que les trois compères se masturbent. Celui qui dors semble être Gaby. Je tourne la tête vers Ben et je lui dis :
Moi : Oh Ben, tu dors ?
Ben : Non, mais les trois autres me donnent aussi envie de me masturber.
Moi : Et moi aussi, j’ai une gaule d’enfer !
Ben : J’y vais aussi, je ne sais plus attendre.
Ale : Allez les gars, pas de honte à avoir !
Moi : Tu as raison Alex. Faites-vous plaisir les gars.
Phi : Vous pouvez même vous faire plaisir mutuellement Ben et Phil.
Ben : Non Philippe, c’est mal nous connaître : nous savons attendre de n’être tous les deux pour nous cajoler !
Rap : Tu sais Philippe, je pense que nos deux amis savent très bien faire la part des choses.
Ben : Merci Raph, tu as raison. Bon la discussion est close ! »
Nous sommes alors à cinq occupés à nous masturber gentiment dans notre sac de couchage. Ayant souvent tout ce qu’il faut, j’ai des mouchoirs en papier pour ceux qui en ont besoin. Je sais que certains aiment rester poisseux et d’autres non. Nous nous donnons donc chacun du plaisir en mode solitaire. Certains laissent passer des râles de indiquant leur degré de satisfaction. Il est évident que chacun a sa façon de procéder et je ne rentre pas dans ces considérations, du moins pour ce soir.
Une fois que les râles de béatitude sont terminés, je propose mes bouts de papiers à mes amis. Finalement je distribue un mouchoir à chacun. C’est ensuite Alex et Raph qui m’en demandent un second. Je pense qu’ils ont chacun une sacrée dose de sperme qui s’est libérée.
Nous nous endormons ensuite, satisfaits et heureux de ce moment partagé. Ce sont donc dans les bras de Morphée, au pays des rêves, que nous nous blottissons pour passer une nuit sereine, heureux d’être là et de participer à cette sortie spéléo !
C’est le réveil, il est sept heures trente. Marc-Antoine a mis une cassette dans le magnétophone. Nous entendons plusieurs musiques d’Ennio Morricone, soit les bandes de films de westerns bien connus, tel que « Le bon, la brute et le truand ».
Après un quart d’heure M-A revient et ouvre la fenêtre en nous disant que ça sent le bouc ! Il n’y a rien d’extraordinaire à ça, six gars de 17 ans qui logent ensemble, ça laisse des traces olfactives certaines. Puis bien entendu la branlette de la fin de soirée y est aussi pour quelque chose aussi !
Notre seconde journée débute par un bon petit déjeuner. Il s’agit de flocon d’avoine (porridge avec du sucre roux parsemé de noix de coco pillée) car ça cale bien l’estomac en fonction des activités sportives que nous allons faire. Nous prenons aussi du café ou du chocolat chaud, c’est selon. Pour finir nous prenons un bon verre de jus d’orange.
Nous préparons nos affaires de spéléo. M-A nous remet à chacun un petit sac étanche contenant des morceaux de « dextro-energen » ainsi que des fruits secs et une pile électrique de réserve. On n’est jamais trop prudent !
Un petit kit-bac supplémentaire a été aussi préparé, il contient le ravitaillement, soit de l’eau, des biscuits secs et quelques fruits secs supplémentaires. Nous sommes ainsi parés pour une descente dans les entrailles de la terre. Nous écoutons les instructions données par les trois moniteurs spéléos. Il est question de faire deux groupes, l’un d’eux commencera par faire le trou d’Aquin et l’autre débutera par le trou Bernard. En effet il semble difficile de se retrouver dans le trou Bernard à une dizaine de spéléos pour être à l’aise. C’est John qui compose les deux équipes : la première est composée de Gaby, Alex et Philippe, accompagnée de Grégory et Marc-Antoine ; la seconde équipe comporte Ben, Raphaël et moi et nous serons accompagnés de Dominique et John.
La première équipe va donc faire le trou d’Aquin tandis que l’autre ira faire le trou Bernard. Nous nous mettons donc en route vers les grottes désignées. Notre groupe traverse le village de Mont-sur-Meuse, nous passons près de l’église et donc près du trou du même nom. Nous poursuivons ainsi notre route vers le dessus du village. Nous bifurquons vers la gauche sur un chemin agricole, puis nous arrivons à l’entrée du « trou Bernard ».
Le « Trou Bernard » c’est une grotte la plus profond de Belgique, elle descend jusqu’à moins cent-vingt mètres de profondeur ! Elle est l’une des les plus prisées des spéléologues.
C’est donc John qui entre le premier. Il progresse suivi par les équipiers. Je suis juste derrière Raphaël et c’est Ben qui me suit. Il est évident que c’est Dominique qui ferme la marche. Il est question à un moment de descendre en rappel. Tout a été posé par John, il nous suffit de fixer le descendeur à la corde et de nous laisser descendre tout en gardant une certaine vitesse de descente, ni trop vive, ni trop lente ! Cette opération avait été mainte fois exécutée sur la tour d’entraînement !
Nous progressons pour enfin arriver au fond de cette cavité naturelle. Raphaël est très heureux d’arrivé au bout du bout de cette descente dans la grotte. Finalement nous sommes tous contents de cette visite souterraine. Au fur et à mesure de cette descente, nous nous sommes rendu compte qu’il fallait faire le chemin en sens inverse ! Comme on dit : « C’est une autre paire de manche » !
Nous buvons un peu d’eau et nous prenons quelques fruits secs pour reprendre des forces ainsi que quelques biscuits secs. Il nous faut faire le chemin en sens inverse. Pour la remontée, c’est Dominique qui prend la tête de notre groupe. Raphaël est toujours devant moi et je suis suivi par Ben et John. Nous progressons doucement vers le haut, soit vers la sortie. Inutile de dire que pour certains passages, c’est plus difficile que de descendre. Il faut tenir compte des prises sur lesquelles nous pouvons prendre appui. Parfois l’aide d’un de nos équipiers est importante, celui qui est derrière nous peut préciser l’emplacement d’une bonne prise pour y mettre un pied ou alors une main, en vue d’avoir un appui sur et convenable. Finalement nous progressons, mètre par mètre en vue d’accéder à la sortie.
Nous nous rendons compte que cela fait déjà plus de deux heures que nous sommes ainsi sous terre. En me repèrent au niveau atteint, nous ne sommes même pas à la moitié de la remontée. Je vois que Raph commence à ralentir, il semble manquer d’énergie. Je lui rappelle qu’il dispose de fruits secs pour qu’il puisse avoir du réconfort au point de vue énergétique ! Dominique comprend pourquoi Raph est plus lent depuis quelques minutes. Il est évident qu’il faut un certain temps avant que les fruits absorbés n’apportent l’énergie sollicitée.
J’encourage Raphaël à faire le moins de mouvements en vue d’éviter de trop se fatiguer. Pour ma part je pense que Raph est arrivé à la limite de ses capacités physiques que pour poursuivre cette remontée en toute sécurité. J’en fait part à Dominique qui lui aussi a très bien compris. De mon côté j’encourage mon ami Raph tant bien que mieux.
Phi : « Je crois que je vais m’y mettre aussi.
Ale : Tu as raison, c’est très bien de se donner du plaisir.
Rap : Oui, n’hésite pas !
Je me rends alors compte que les trois compères se masturbent. Celui qui dors semble être Gaby. Je tourne la tête vers Ben et je lui dis :
Moi : Oh Ben, tu dors ?
Ben : Non, mais les trois autres me donnent aussi envie de me masturber.
Moi : Et moi aussi, j’ai une gaule d’enfer !
Ben : J’y vais aussi, je ne sais plus attendre.
Ale : Allez les gars, pas de honte à avoir !
Moi : Tu as raison Alex. Faites-vous plaisir les gars.
Phi : Vous pouvez même vous faire plaisir mutuellement Ben et Phil.
Ben : Non Philippe, c’est mal nous connaître : nous savons attendre de n’être tous les deux pour nous cajoler !
Rap : Tu sais Philippe, je pense que nos deux amis savent très bien faire la part des choses.
Ben : Merci Raph, tu as raison. Bon la discussion est close ! »
Nous sommes alors à cinq occupés à nous masturber gentiment dans notre sac de couchage. Ayant souvent tout ce qu’il faut, j’ai des mouchoirs en papier pour ceux qui en ont besoin. Je sais que certains aiment rester poisseux et d’autres non. Nous nous donnons donc chacun du plaisir en mode solitaire. Certains laissent passer des râles de indiquant leur degré de satisfaction. Il est évident que chacun a sa façon de procéder et je ne rentre pas dans ces considérations, du moins pour ce soir.
Une fois que les râles de béatitude sont terminés, je propose mes bouts de papiers à mes amis. Finalement je distribue un mouchoir à chacun. C’est ensuite Alex et Raph qui m’en demandent un second. Je pense qu’ils ont chacun une sacrée dose de sperme qui s’est libérée.
Nous nous endormons ensuite, satisfaits et heureux de ce moment partagé. Ce sont donc dans les bras de Morphée, au pays des rêves, que nous nous blottissons pour passer une nuit sereine, heureux d’être là et de participer à cette sortie spéléo !
C’est le réveil, il est sept heures trente. Marc-Antoine a mis une cassette dans le magnétophone. Nous entendons plusieurs musiques d’Ennio Morricone, soit les bandes de films de westerns bien connus, tel que « Le bon, la brute et le truand ».
Après un quart d’heure M-A revient et ouvre la fenêtre en nous disant que ça sent le bouc ! Il n’y a rien d’extraordinaire à ça, six gars de 17 ans qui logent ensemble, ça laisse des traces olfactives certaines. Puis bien entendu la branlette de la fin de soirée y est aussi pour quelque chose aussi !
Notre seconde journée débute par un bon petit déjeuner. Il s’agit de flocon d’avoine (porridge avec du sucre roux parsemé de noix de coco pillée) car ça cale bien l’estomac en fonction des activités sportives que nous allons faire. Nous prenons aussi du café ou du chocolat chaud, c’est selon. Pour finir nous prenons un bon verre de jus d’orange.
Nous préparons nos affaires de spéléo. M-A nous remet à chacun un petit sac étanche contenant des morceaux de « dextro-energen » ainsi que des fruits secs et une pile électrique de réserve. On n’est jamais trop prudent !
Un petit kit-bac supplémentaire a été aussi préparé, il contient le ravitaillement, soit de l’eau, des biscuits secs et quelques fruits secs supplémentaires. Nous sommes ainsi parés pour une descente dans les entrailles de la terre. Nous écoutons les instructions données par les trois moniteurs spéléos. Il est question de faire deux groupes, l’un d’eux commencera par faire le trou d’Aquin et l’autre débutera par le trou Bernard. En effet il semble difficile de se retrouver dans le trou Bernard à une dizaine de spéléos pour être à l’aise. C’est John qui compose les deux équipes : la première est composée de Gaby, Alex et Philippe, accompagnée de Grégory et Marc-Antoine ; la seconde équipe comporte Ben, Raphaël et moi et nous serons accompagnés de Dominique et John.
La première équipe va donc faire le trou d’Aquin tandis que l’autre ira faire le trou Bernard. Nous nous mettons donc en route vers les grottes désignées. Notre groupe traverse le village de Mont-sur-Meuse, nous passons près de l’église et donc près du trou du même nom. Nous poursuivons ainsi notre route vers le dessus du village. Nous bifurquons vers la gauche sur un chemin agricole, puis nous arrivons à l’entrée du « trou Bernard ».
Le « Trou Bernard » c’est une grotte la plus profond de Belgique, elle descend jusqu’à moins cent-vingt mètres de profondeur ! Elle est l’une des les plus prisées des spéléologues.
C’est donc John qui entre le premier. Il progresse suivi par les équipiers. Je suis juste derrière Raphaël et c’est Ben qui me suit. Il est évident que c’est Dominique qui ferme la marche. Il est question à un moment de descendre en rappel. Tout a été posé par John, il nous suffit de fixer le descendeur à la corde et de nous laisser descendre tout en gardant une certaine vitesse de descente, ni trop vive, ni trop lente ! Cette opération avait été mainte fois exécutée sur la tour d’entraînement !
Nous progressons pour enfin arriver au fond de cette cavité naturelle. Raphaël est très heureux d’arrivé au bout du bout de cette descente dans la grotte. Finalement nous sommes tous contents de cette visite souterraine. Au fur et à mesure de cette descente, nous nous sommes rendu compte qu’il fallait faire le chemin en sens inverse ! Comme on dit : « C’est une autre paire de manche » !
Nous buvons un peu d’eau et nous prenons quelques fruits secs pour reprendre des forces ainsi que quelques biscuits secs. Il nous faut faire le chemin en sens inverse. Pour la remontée, c’est Dominique qui prend la tête de notre groupe. Raphaël est toujours devant moi et je suis suivi par Ben et John. Nous progressons doucement vers le haut, soit vers la sortie. Inutile de dire que pour certains passages, c’est plus difficile que de descendre. Il faut tenir compte des prises sur lesquelles nous pouvons prendre appui. Parfois l’aide d’un de nos équipiers est importante, celui qui est derrière nous peut préciser l’emplacement d’une bonne prise pour y mettre un pied ou alors une main, en vue d’avoir un appui sur et convenable. Finalement nous progressons, mètre par mètre en vue d’accéder à la sortie.
Nous nous rendons compte que cela fait déjà plus de deux heures que nous sommes ainsi sous terre. En me repèrent au niveau atteint, nous ne sommes même pas à la moitié de la remontée. Je vois que Raph commence à ralentir, il semble manquer d’énergie. Je lui rappelle qu’il dispose de fruits secs pour qu’il puisse avoir du réconfort au point de vue énergétique ! Dominique comprend pourquoi Raph est plus lent depuis quelques minutes. Il est évident qu’il faut un certain temps avant que les fruits absorbés n’apportent l’énergie sollicitée.
J’encourage Raphaël à faire le moins de mouvements en vue d’éviter de trop se fatiguer. Pour ma part je pense que Raph est arrivé à la limite de ses capacités physiques que pour poursuivre cette remontée en toute sécurité. J’en fait part à Dominique qui lui aussi a très bien compris. De mon côté j’encourage mon ami Raph tant bien que mieux.