15-04-2022, 10:09 AM
Chapitre 8.
"Sortie spéléo"
Ben me signale qu’il est venu avec ses affaires pour, d’une part aller faire de la spéléo, mais d’autre part pour rester quelques jours à la maison. Il me dit aussi qu’il a rapporté mon vélo. Je l’en remercie. Alors que nous discutons ensemble de cette semaine de congé qui débute, on frappe à la porte de la chambre : c’est Jean qui ouvre en me disant que M-A est au téléphone. Je descends dare-dare et je prends le combiné :
Moi : « Bonjour Marc-Antoine, c’est Phil !
M-A : Bonjour Phil, je t’appelle pour te dire que si tout va bien nous partons demain vers dix heures pour deux jours de spéléo.
Moi : Super. Je suis occupé à préparer mes affaires.
M-A : Tes parents sont d’accord et je sais que Ben est avec toi, alors on vous attend demain au local.
Moi : Je préviens Ben. A demain M-A !
M-A : Oui à demain. Bonne soirée les gars !
Moi : À toi aussi ! »
Je fais part des infos à Ben. Il est content de pouvoir refaire de la spéléo. Nous rejoignons le reste de la famille qui est au salon. Je dis bonjour à papa qui vient juste de rentrer. Ben salue aussi papa. Puis Ben remercie maman pour les galettes. Nous discutons alors de cette partie de spéléo. Mes parents nous demandent de faire attention. Ma chère sœur, elle aussi, nous demande de ne prendre aucun risque.
La soirée se passe devant la télévision, en famille, André nous ayant rejoint après le souper. Il est assis à côté d’Anne. Jean est seul, son Amandine l’attend demain après-midi chez elle. Nous décidons d’aller nous coucher car il est déjà plus de vingt-deux heures. Nous saluons toute la famille et nous passons par la salle de bain pour prendre une bonne douche. Nous nous couchons ensuite, nus, dans mon lit.
A peine couchés, nous nous embrassons à pleine bouche, sans retenue, avec avidité et hardiesse. Nos mains sont parties à la rencontre du corps de notre chéri. Les miennes s’attardent au niveau de tétons de Ben, ils gonflent sous l’effet de mes caresses. Puis nos lèvres se séparent, les miennes descendent vers les mamelons dressés de mon Ben d’amour. Puis elles voyagent entre son torse, le lobe de ses oreilles, son cou, sa figure. Ben apprécie que ma langue parcoure ainsi son épiderme. De son côté mon amant n’est pas en reste, il s’attarde lui aussi à mon visage et à mes lobes d’oreille. Je suis très heureux de notre complicité. Nous nous caressons doucement, avec toute la sensibilité qui est la nôtre. Nous avons découvert ce que l’être aimé désirait lors de nos préliminaires, c’est fantastique ! Puis je sens que Ben fait volteface, nous nous retrouvons alors têtes-bêches. Ma bouche est toute proche de l’appendice dressé de mon Ben. Ma langue se pose à la base de sa colonne de chair, elle remonte lentement en direction du gland qui déjà est en partie visible au-dessus du prépuce. Bien entendu Ben s’occupe lui aussi de mon membre qui pointe. Il s’attarde au niveau de mes pommes d’amour. De mon côté je salive en vue de lubrifier le gland qui déjà laisse voir une goutte de « précum » perler. Je commence à passer ma langue autour du méat, je sens que Ben tressaille de plaisir. Puis je place son gland sur ma langue qui se met à tourner autour. Ben râle un peu plus fort tandis qu’il a englouti mon bâton d’amour entre ses lèvres. Je fais de même en laissant son mandarin descendre dans ma bouche. Puis je m’applique à débuter des allers et retours en variant la pression exercée par les lèvres. Ben calque lui aussi ses mouvements sur les miens. Nous nous suçons ainsi un bon moment, nous sommes au septième ciel, dans notre bulle, plus rien ne vient nous distraire, le temps s’est semble-t-il arrêté, nous laissant comme en apesanteur. J’ai de plus en plus chaud, Ben aussi dégage de la chaleur, nous sommes tous les deux balancés dans un même océan de bonheur. Je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir, que je vais devoir me laisser aller pour mon plus grand bonheur. Ben lui aussi râle à force de ressentir tant de plaisir provoqué par la fellation que je lui procure. Puis je sens que Ben se cabre, il va jouir, ça y est, je sens quelques giclées de sperme qui viennent tapisser mon palais. Sentant mon chéri jouir, je me laisse aller et moi aussi je jouis en laissant ma liqueur d’amour s’épandre dans la cavité buccale de Ben. Puis comme à chaque fois, nous nous embrassons pour partager nos semences de vie. Ensuite nous nous affalons, fourbus, mais très heureux de nous être aimés de cette façon.
Nous sommes toujours dans notre bulle, savourant le moment passé à nous aimer. Nous restons ainsi quelques minutes sans mot dire, nous regardant les yeux dans les yeux. J’ai envie que le temps s’arrête et que nous restions ainsi longtemps, longtemps !
Il est temps de se réveiller, c’est Jean qui vient frapper à la porte de la chambre. Je lui réponds que nous nous levons. Je m’assure que Ben a bien compris qu’il faut sortir du lit. Il ouvre les yeux et me sourit immédiatement. Ses yeux bleus regardent les miens. Nous nous embrassons avant de nous extirper du lit. Nous nous rendons à la salle de bain pour prendre une bonne douche tiède pour être bien en forme. Nous nous habillons pour ensuite rejoindre la salle à manger où un excellent petit déjeuner nous attend.
Nos sacs sont bouclés et nous avons tout ce qu’il nous faut pour cette expédition spéléo. Papa nous dépose au local où nous attendent déjà Marc-Antoine, Dominique, John et Grégory les trois moniteurs spéléo. Nous les saluons. C’est ensuite au tour de Gaby, Alex et Philippe d’arriver. Nous sommes donc presque au complet, il ne manque plus que Raphaël. Il arrive cinq bonnes minutes après. Nous nous répartissons dans les trois voitures qui nous mèneront sur les lieux.
Le trajet se passe très bien, en quarante-cinq minutes, nous sommes sur place. Nous nous présentons au permanent du refuge « Norbert Casteret » à Mont-Godinne. Nous déchargeons ensuite le matériel et nos sacs. Nous sommes installés dans un dortoir de plus ou moins dix places. Marc-Antoine et les trois autres animateurs spéléo sont placés dans une autre pièce servant aux animateurs de passage.
Nous sommes ensuite briffés. Nous avons d’abord droit à un entraînement sur la tour de dix mètres. C’est grimper à l’échelle, descendre en rappel, soit directement avec la corde qui passe par la surface du dos et aussi au moyen du descendeur. Il est ensuite temps de manger un bout avant d’aller faire une exploration d’une grotte ou deux.
Une fois prêts, nous nous rendons pour commencer au trou de l’Église pour commencer, trou déjà parcouru pour certains d’entre nous. Je suis très heureux d’y revenir. Mes équipiers sont eux aussi emballés par cette expédition. Tout se passe très bien, nous avons fait le tour de cette grotte en deux heures. Nous sommes un peu fatigués, mais nous avons connu pire.
Nous nous déplaçons ensuite vers le trou de la Corde. Il est situé à l’extérieur du village de Mont. Nous entrons dans cette grotte par une faille verticale et étroite. Heureusement nous ne sommes pas trop corpulents pour y pénétrer. C’est alors une descente en rappel pour arriver au bas de cette cheminée. Nous arrivons ensuite dans une salle où le plafond est assez bas. Pas facile de se tenir debout, surtout pour les plus grands d’entre nous. Il y a environ une quinzaine de mètres de descente. Nous sommes tous en bas et nous crapahutons dans les galeries.
Nous remontons après avoir fait le tour de cette petite grotte. Nous rejoignons alors le refuge alors que l’obscurité a remplacé la lumière du jour. Nous allons nous débarrasser de nos salopettes imprégnées de terre et de boue. Inutile de dire qu’il faut prendre une douche ou tout au moins se laver pour ôter les traces de boue et nous rafraîchir car nous avons néanmoins bien sué. Nous nous dévêtons sans complexe et c’est donc, nus, que nous allons à la salle de douche pendant que certains autres restent devant le point d’eau central dans cette même salle. C’est en fait un grand évier circulaire séparé en quatre petits bassins pour se laver !
Une fois lavés, séchés et habillés, nous allons dans le réfectoire et nous préparons le souper. Ce sera raviolis avec du pain et du beurre, le tout accompagné d’un vin rouge en cubi. Il est hors de question de boire plus de deux verres, nous devons encore faire de la spéléo le lendemain. Nous terminons par une orange et une pomme chacun en guise de dessert.
Marc-Antoine a pris sa guitare et nous commençons alors une veillée avec un autre groupe de spéléos plus âgés, ils sont quatre et disposent d’une chambre à côté du réfectoire. Nous chantons évidemment des chants scouts. Cela nous rappelle bien entendu les soirées autour du feu de camp lors de nos camps scouts. Le groupe des quatre jeunes a apporté une bouteille de rhum, ils nous proposent un verre que nous acceptons. Nous sirotons celui-ci lentement. Nous n’en prenons qu’un car nous n’avons bien entendu pas l’habitude de ce genre de boisson dont le taux d’alcool, entre 40 et 45 degrés, est déjà assez élevé.
"Sortie spéléo"
Ben me signale qu’il est venu avec ses affaires pour, d’une part aller faire de la spéléo, mais d’autre part pour rester quelques jours à la maison. Il me dit aussi qu’il a rapporté mon vélo. Je l’en remercie. Alors que nous discutons ensemble de cette semaine de congé qui débute, on frappe à la porte de la chambre : c’est Jean qui ouvre en me disant que M-A est au téléphone. Je descends dare-dare et je prends le combiné :
Moi : « Bonjour Marc-Antoine, c’est Phil !
M-A : Bonjour Phil, je t’appelle pour te dire que si tout va bien nous partons demain vers dix heures pour deux jours de spéléo.
Moi : Super. Je suis occupé à préparer mes affaires.
M-A : Tes parents sont d’accord et je sais que Ben est avec toi, alors on vous attend demain au local.
Moi : Je préviens Ben. A demain M-A !
M-A : Oui à demain. Bonne soirée les gars !
Moi : À toi aussi ! »
Je fais part des infos à Ben. Il est content de pouvoir refaire de la spéléo. Nous rejoignons le reste de la famille qui est au salon. Je dis bonjour à papa qui vient juste de rentrer. Ben salue aussi papa. Puis Ben remercie maman pour les galettes. Nous discutons alors de cette partie de spéléo. Mes parents nous demandent de faire attention. Ma chère sœur, elle aussi, nous demande de ne prendre aucun risque.
La soirée se passe devant la télévision, en famille, André nous ayant rejoint après le souper. Il est assis à côté d’Anne. Jean est seul, son Amandine l’attend demain après-midi chez elle. Nous décidons d’aller nous coucher car il est déjà plus de vingt-deux heures. Nous saluons toute la famille et nous passons par la salle de bain pour prendre une bonne douche. Nous nous couchons ensuite, nus, dans mon lit.
A peine couchés, nous nous embrassons à pleine bouche, sans retenue, avec avidité et hardiesse. Nos mains sont parties à la rencontre du corps de notre chéri. Les miennes s’attardent au niveau de tétons de Ben, ils gonflent sous l’effet de mes caresses. Puis nos lèvres se séparent, les miennes descendent vers les mamelons dressés de mon Ben d’amour. Puis elles voyagent entre son torse, le lobe de ses oreilles, son cou, sa figure. Ben apprécie que ma langue parcoure ainsi son épiderme. De son côté mon amant n’est pas en reste, il s’attarde lui aussi à mon visage et à mes lobes d’oreille. Je suis très heureux de notre complicité. Nous nous caressons doucement, avec toute la sensibilité qui est la nôtre. Nous avons découvert ce que l’être aimé désirait lors de nos préliminaires, c’est fantastique ! Puis je sens que Ben fait volteface, nous nous retrouvons alors têtes-bêches. Ma bouche est toute proche de l’appendice dressé de mon Ben. Ma langue se pose à la base de sa colonne de chair, elle remonte lentement en direction du gland qui déjà est en partie visible au-dessus du prépuce. Bien entendu Ben s’occupe lui aussi de mon membre qui pointe. Il s’attarde au niveau de mes pommes d’amour. De mon côté je salive en vue de lubrifier le gland qui déjà laisse voir une goutte de « précum » perler. Je commence à passer ma langue autour du méat, je sens que Ben tressaille de plaisir. Puis je place son gland sur ma langue qui se met à tourner autour. Ben râle un peu plus fort tandis qu’il a englouti mon bâton d’amour entre ses lèvres. Je fais de même en laissant son mandarin descendre dans ma bouche. Puis je m’applique à débuter des allers et retours en variant la pression exercée par les lèvres. Ben calque lui aussi ses mouvements sur les miens. Nous nous suçons ainsi un bon moment, nous sommes au septième ciel, dans notre bulle, plus rien ne vient nous distraire, le temps s’est semble-t-il arrêté, nous laissant comme en apesanteur. J’ai de plus en plus chaud, Ben aussi dégage de la chaleur, nous sommes tous les deux balancés dans un même océan de bonheur. Je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir, que je vais devoir me laisser aller pour mon plus grand bonheur. Ben lui aussi râle à force de ressentir tant de plaisir provoqué par la fellation que je lui procure. Puis je sens que Ben se cabre, il va jouir, ça y est, je sens quelques giclées de sperme qui viennent tapisser mon palais. Sentant mon chéri jouir, je me laisse aller et moi aussi je jouis en laissant ma liqueur d’amour s’épandre dans la cavité buccale de Ben. Puis comme à chaque fois, nous nous embrassons pour partager nos semences de vie. Ensuite nous nous affalons, fourbus, mais très heureux de nous être aimés de cette façon.
Nous sommes toujours dans notre bulle, savourant le moment passé à nous aimer. Nous restons ainsi quelques minutes sans mot dire, nous regardant les yeux dans les yeux. J’ai envie que le temps s’arrête et que nous restions ainsi longtemps, longtemps !
Il est temps de se réveiller, c’est Jean qui vient frapper à la porte de la chambre. Je lui réponds que nous nous levons. Je m’assure que Ben a bien compris qu’il faut sortir du lit. Il ouvre les yeux et me sourit immédiatement. Ses yeux bleus regardent les miens. Nous nous embrassons avant de nous extirper du lit. Nous nous rendons à la salle de bain pour prendre une bonne douche tiède pour être bien en forme. Nous nous habillons pour ensuite rejoindre la salle à manger où un excellent petit déjeuner nous attend.
Nos sacs sont bouclés et nous avons tout ce qu’il nous faut pour cette expédition spéléo. Papa nous dépose au local où nous attendent déjà Marc-Antoine, Dominique, John et Grégory les trois moniteurs spéléo. Nous les saluons. C’est ensuite au tour de Gaby, Alex et Philippe d’arriver. Nous sommes donc presque au complet, il ne manque plus que Raphaël. Il arrive cinq bonnes minutes après. Nous nous répartissons dans les trois voitures qui nous mèneront sur les lieux.
Le trajet se passe très bien, en quarante-cinq minutes, nous sommes sur place. Nous nous présentons au permanent du refuge « Norbert Casteret » à Mont-Godinne. Nous déchargeons ensuite le matériel et nos sacs. Nous sommes installés dans un dortoir de plus ou moins dix places. Marc-Antoine et les trois autres animateurs spéléo sont placés dans une autre pièce servant aux animateurs de passage.
Nous sommes ensuite briffés. Nous avons d’abord droit à un entraînement sur la tour de dix mètres. C’est grimper à l’échelle, descendre en rappel, soit directement avec la corde qui passe par la surface du dos et aussi au moyen du descendeur. Il est ensuite temps de manger un bout avant d’aller faire une exploration d’une grotte ou deux.
Une fois prêts, nous nous rendons pour commencer au trou de l’Église pour commencer, trou déjà parcouru pour certains d’entre nous. Je suis très heureux d’y revenir. Mes équipiers sont eux aussi emballés par cette expédition. Tout se passe très bien, nous avons fait le tour de cette grotte en deux heures. Nous sommes un peu fatigués, mais nous avons connu pire.
Nous nous déplaçons ensuite vers le trou de la Corde. Il est situé à l’extérieur du village de Mont. Nous entrons dans cette grotte par une faille verticale et étroite. Heureusement nous ne sommes pas trop corpulents pour y pénétrer. C’est alors une descente en rappel pour arriver au bas de cette cheminée. Nous arrivons ensuite dans une salle où le plafond est assez bas. Pas facile de se tenir debout, surtout pour les plus grands d’entre nous. Il y a environ une quinzaine de mètres de descente. Nous sommes tous en bas et nous crapahutons dans les galeries.
Nous remontons après avoir fait le tour de cette petite grotte. Nous rejoignons alors le refuge alors que l’obscurité a remplacé la lumière du jour. Nous allons nous débarrasser de nos salopettes imprégnées de terre et de boue. Inutile de dire qu’il faut prendre une douche ou tout au moins se laver pour ôter les traces de boue et nous rafraîchir car nous avons néanmoins bien sué. Nous nous dévêtons sans complexe et c’est donc, nus, que nous allons à la salle de douche pendant que certains autres restent devant le point d’eau central dans cette même salle. C’est en fait un grand évier circulaire séparé en quatre petits bassins pour se laver !
Une fois lavés, séchés et habillés, nous allons dans le réfectoire et nous préparons le souper. Ce sera raviolis avec du pain et du beurre, le tout accompagné d’un vin rouge en cubi. Il est hors de question de boire plus de deux verres, nous devons encore faire de la spéléo le lendemain. Nous terminons par une orange et une pomme chacun en guise de dessert.
Marc-Antoine a pris sa guitare et nous commençons alors une veillée avec un autre groupe de spéléos plus âgés, ils sont quatre et disposent d’une chambre à côté du réfectoire. Nous chantons évidemment des chants scouts. Cela nous rappelle bien entendu les soirées autour du feu de camp lors de nos camps scouts. Le groupe des quatre jeunes a apporté une bouteille de rhum, ils nous proposent un verre que nous acceptons. Nous sirotons celui-ci lentement. Nous n’en prenons qu’un car nous n’avons bien entendu pas l’habitude de ce genre de boisson dont le taux d’alcool, entre 40 et 45 degrés, est déjà assez élevé.