12-04-2022, 09:19 AM
Un buffet a été préparé et tous les convives se servent de mets délicieux. Le tout étant accompagné de vin rouge et de vin rosé, de limonades et autres boissons softs. Décidément nos parents ont mis les petits plats dans les grands ! Nous sommes tous heureux de passer un moment ensemble. Véronique et Joseph discutent avec mes parents. André et Anne se tiennent par la main. Je me rends alors compte qu’ils parlent tous les six de fiançailles. Je suis très content de voir que Anne et André se projettent dans l’avenir. Dans quelques mois André aura fini ses études tout comme Anne dans un peu plus d’un an. Ils pourront alors songer à fonder un foyer et avoir des enfants !
Marie et Isabelle discutent avec Ben et ses parents. Christine et Denis passent d’un groupe à l’autre. Ils s’occupent de resservir ceux qui le souhaitent. Je suis maintenant auprès de Jean et d’Amandine. Je remercie encore mon frère de tout ce qu’il a fait pour moi et Ben. Je me souviens de son soutien dans les moments délicats par lesquels je suis passé. Je dis à Amandine qu’elle a devant elle une personne merveilleuse, un ange ! Jean rosit un peu, Amandine me sourit. J’ajoute que je suis très heureux de les voir ensemble. Je fais la bise à mon frère et ensuite à Amandine.
Je sais que Jean lui a expliqué ce que j’ai traversé comme épreuves et que ma rencontre avec Ben a été salvatrice. Un an c’est long et court à la fois. Cette année s’est passée à la vitesse d’un TGV, mais nos moments de bonheur ont laissé comme une impression de plénitude, de lenteur agréable et de supers souvenirs.
La soirée touche à sa fin. J’ai fait attention, tout comme Ben, de ne pas trop abuser de la dive bouteille ! Nous avons aussi mangé modérément. Je pense qu’il reste encore de quoi manger pour toute la famille demain midi. Il ne reste plus que les parents de Ben, Christine, Denis et nous deux. Malgré les rouspétances d’Arlette, nous rangeons le living, il n’est pas question pour nous de laisser tout en plan comme ça. D’autant plus que nous savons très bien que « ma belle- maman » est capable de se lever à six heures du matin pour tout remettre en ordre.
Il est déjà vingt-trois heures quarante, il ne reste plus aucune trace de cette fête improvisée. Finalement Arlette nous remercie d’avoir pris cette initiative. Yves nous propose de boire un dernier verre, pas question de laisser une bouteille de champagne à moitié vide. Christine et Arlette n’en prennent pas, seuls les « hommes » ont droit à ce dernier verre. J’en profite pour encore remercier Arlette et Yves pour cette très belle fête à notre honneur, Ben et moi. J’ai été tellement surpris par tant d’amour et d’amitiés partagés. Ben est lui aussi sur la même longueur d’onde, il est très heureux d’avoir partagé de très beaux moments avec ceux que nous aimons et qui nous aiment.
Après une bonne douche nous nous glissons sous les draps dans le lit de Ben. Nous nous embrassons encore une fois. Nos mains s’attardent sur nos corps, nous nous caressons doucement. Je sens que Ben commence à s’endormir. Je le laisse se lover dans les bras de Morphée. Je sais qu’à mon tour moi aussi je vais plonger dans le pays des rêves. Je me remémore cette journée qui s’est achevée en apothéose, une fête pour notre premier anniversaire !
Je m’endors en pensant que je vais envisager de rejoindre les scouts éclaireurs comme jeune animateur. Il va falloir que nous en parlions Ben et moi, mais nous avons encore bien le temps d’y penser.
Après le réveil et un très bon petit déjeuner, nous allons nous balader à vélo en forêt de Soignes. Il fait un peu frisquet mais en roulant nous avons vite chaud. Nous rencontrons des promeneurs et des joggeurs. Le soleil est voilé et il fait humide. Je me demande si nous n’allons pas avoir de la pluie en fin de journée. J’en fais part à Ben qui lui aussi sent bien que le temps est à la pluie !
Nous rentrons peu avant midi. Yves prépare l’apéro, Ben va chercher ce qu’il faut pour aider son papa. De mon côté je vais voir auprès d’Arlette si je ne peux pas l’aider pour le repas. Elle me demande de sortir ce qui reste du repas de la veille en vue de vérifier s’il reste assez pour le dîner. Finalement nous avons assez de viande et de légumes. Passons aux féculents, il y a trois possibilités, soit du riz, des frites ou des pâtes. C’est le riz qui a la préférence. Arlette prévoit alors de faire une sauce au curry pour changer de la piperade habituelle.
Nous avons très bien mangé, même les restes sont finalement meilleurs réchauffés. Quelques tranches de tomates « stationnent » encore dans le plat. Elles pourront être mangées avec du fromage pour le souper. Nous voilà au dessert. Nous optons tous pour un fruit, soit une orange bien juteuse. Ben s’écrie alors, après avoir regardé par la baie vitrée du living : « Voilà, il pleut ! » Nous prenons ensuite un petit café tous ensemble.
Pour le reste de l’après-midi, il est préférable de revoir ses cours, car nous arrivons dans une période de tests qui seront comptabilisés pour la moyenne du bulletin de Noël. Je demande à Yves s’il est possible qu’il me reconduise à la maison vu la pluie qui tombe sans discontinuer. Je laisse mon vélo chez Ben, je viendrai le récupérer dans la semaine. Yves accepte et je rentre à la maison.
Papa ayant vu que mon « beau-père » me dépose devant l’entrée de l’allée, sort et lui fait signe de venir. Yves arrête le moteur de la voiture et rejoint papa. Les deux pères discutent entre eux. Papa offre un verre de cognac à Yves. Maman est dans la cuisine, je sens une bonne odeur de galette. J’embrasse maman en lui disant que c’est Yves qui m’a ramené et qu’il est avec Papa dans le salon.
Maman salue Yves et retourne à ses galettes. Pour ma part je signale maman que je vais revoir mes cours pour les tests à venir. Elle me félicite pour mon envie d’étudier et de réussir ma dernière année secondaire. Je lui demande si elle est d’accord de donner quelques galettes à Yves pour qu’il les rapporte à Ben et la famille. Maman me dit qu’elle y avait déjà songé ! Je la remercie en lui donnant un bisou sur la joue. Maman me fait alors un gros câlin. Je lui susurre à l’oreille : « Je t’aime Maman ». Maman me répond : « Moi aussi je t’aime mon grand ».
Le reste de cette journée de dimanche est consacrée à étudier. La semaine qui suit et qui est ponctuée de tests, de révisions, d’étude en profondeur de certains cours sachant que nous arrivons bientôt à la période des examens. Je ne suis pas allé rechercher mon vélo chez Ben et nous ne nous sommes pas vus depuis une semaine.
Nous voilà vendredi fin d’après-midi. Je sais que Ben va passer le week-end avec ma famille. Puis je me rends compte que nous sommes au début du congé de la Toussaint, j’ai fait l’impasse sur cette information. Je me souviens que nous devons faire de la spéléo en équipe mais je n’ai pas plus d’info. Je me décide à téléphoner à Marc-Antoine pour en savoir plus. Je suis en contact avec son papa, il me dit qu’il est absent. Son papa me demande de le rappeler vers dix-neuf heures.
Alors que je suis dans ma chambre, occupé à ranger mes affaires dans un sac pour partir deux jours en spéléo, j’entends frapper à la porte. C’est en fait Ben qui est arrivé et qui vient me retrouver dans mon antre ! Inutile de dire qu’il n’a fallu que quelques secondes pour que je lui saute au cou et que mes lèvres retrouvent les siennes. Nous nous embrassons sans retenue, une semaine c’est bien long quand on aime quelqu’un ! Il était impératif de rester chacun concentré sur ses cours pour être certain de réussir cette année très importante !
Nos mains parcourent le dos et le torse de l’être aimé. Nous langues dansent une nouvelle farandole, heureuses, une nouvelle fois, de se titiller dans nos bouches. Une fois cette effusion terminée, nous nous regardons, yeux dans les yeux. Pas besoin de mot, juste le regard nous permet de nous faire comprendre. Ben, mon ange blond aux yeux bleus est là, devant moi. Il le sait, oui il sait très bien que je l’aime, tout comme moi je vois au travers de son regard que c’est la même chose pour lui !
Marie et Isabelle discutent avec Ben et ses parents. Christine et Denis passent d’un groupe à l’autre. Ils s’occupent de resservir ceux qui le souhaitent. Je suis maintenant auprès de Jean et d’Amandine. Je remercie encore mon frère de tout ce qu’il a fait pour moi et Ben. Je me souviens de son soutien dans les moments délicats par lesquels je suis passé. Je dis à Amandine qu’elle a devant elle une personne merveilleuse, un ange ! Jean rosit un peu, Amandine me sourit. J’ajoute que je suis très heureux de les voir ensemble. Je fais la bise à mon frère et ensuite à Amandine.
Je sais que Jean lui a expliqué ce que j’ai traversé comme épreuves et que ma rencontre avec Ben a été salvatrice. Un an c’est long et court à la fois. Cette année s’est passée à la vitesse d’un TGV, mais nos moments de bonheur ont laissé comme une impression de plénitude, de lenteur agréable et de supers souvenirs.
La soirée touche à sa fin. J’ai fait attention, tout comme Ben, de ne pas trop abuser de la dive bouteille ! Nous avons aussi mangé modérément. Je pense qu’il reste encore de quoi manger pour toute la famille demain midi. Il ne reste plus que les parents de Ben, Christine, Denis et nous deux. Malgré les rouspétances d’Arlette, nous rangeons le living, il n’est pas question pour nous de laisser tout en plan comme ça. D’autant plus que nous savons très bien que « ma belle- maman » est capable de se lever à six heures du matin pour tout remettre en ordre.
Il est déjà vingt-trois heures quarante, il ne reste plus aucune trace de cette fête improvisée. Finalement Arlette nous remercie d’avoir pris cette initiative. Yves nous propose de boire un dernier verre, pas question de laisser une bouteille de champagne à moitié vide. Christine et Arlette n’en prennent pas, seuls les « hommes » ont droit à ce dernier verre. J’en profite pour encore remercier Arlette et Yves pour cette très belle fête à notre honneur, Ben et moi. J’ai été tellement surpris par tant d’amour et d’amitiés partagés. Ben est lui aussi sur la même longueur d’onde, il est très heureux d’avoir partagé de très beaux moments avec ceux que nous aimons et qui nous aiment.
Après une bonne douche nous nous glissons sous les draps dans le lit de Ben. Nous nous embrassons encore une fois. Nos mains s’attardent sur nos corps, nous nous caressons doucement. Je sens que Ben commence à s’endormir. Je le laisse se lover dans les bras de Morphée. Je sais qu’à mon tour moi aussi je vais plonger dans le pays des rêves. Je me remémore cette journée qui s’est achevée en apothéose, une fête pour notre premier anniversaire !
Je m’endors en pensant que je vais envisager de rejoindre les scouts éclaireurs comme jeune animateur. Il va falloir que nous en parlions Ben et moi, mais nous avons encore bien le temps d’y penser.
Après le réveil et un très bon petit déjeuner, nous allons nous balader à vélo en forêt de Soignes. Il fait un peu frisquet mais en roulant nous avons vite chaud. Nous rencontrons des promeneurs et des joggeurs. Le soleil est voilé et il fait humide. Je me demande si nous n’allons pas avoir de la pluie en fin de journée. J’en fais part à Ben qui lui aussi sent bien que le temps est à la pluie !
Nous rentrons peu avant midi. Yves prépare l’apéro, Ben va chercher ce qu’il faut pour aider son papa. De mon côté je vais voir auprès d’Arlette si je ne peux pas l’aider pour le repas. Elle me demande de sortir ce qui reste du repas de la veille en vue de vérifier s’il reste assez pour le dîner. Finalement nous avons assez de viande et de légumes. Passons aux féculents, il y a trois possibilités, soit du riz, des frites ou des pâtes. C’est le riz qui a la préférence. Arlette prévoit alors de faire une sauce au curry pour changer de la piperade habituelle.
Nous avons très bien mangé, même les restes sont finalement meilleurs réchauffés. Quelques tranches de tomates « stationnent » encore dans le plat. Elles pourront être mangées avec du fromage pour le souper. Nous voilà au dessert. Nous optons tous pour un fruit, soit une orange bien juteuse. Ben s’écrie alors, après avoir regardé par la baie vitrée du living : « Voilà, il pleut ! » Nous prenons ensuite un petit café tous ensemble.
Pour le reste de l’après-midi, il est préférable de revoir ses cours, car nous arrivons dans une période de tests qui seront comptabilisés pour la moyenne du bulletin de Noël. Je demande à Yves s’il est possible qu’il me reconduise à la maison vu la pluie qui tombe sans discontinuer. Je laisse mon vélo chez Ben, je viendrai le récupérer dans la semaine. Yves accepte et je rentre à la maison.
Papa ayant vu que mon « beau-père » me dépose devant l’entrée de l’allée, sort et lui fait signe de venir. Yves arrête le moteur de la voiture et rejoint papa. Les deux pères discutent entre eux. Papa offre un verre de cognac à Yves. Maman est dans la cuisine, je sens une bonne odeur de galette. J’embrasse maman en lui disant que c’est Yves qui m’a ramené et qu’il est avec Papa dans le salon.
Maman salue Yves et retourne à ses galettes. Pour ma part je signale maman que je vais revoir mes cours pour les tests à venir. Elle me félicite pour mon envie d’étudier et de réussir ma dernière année secondaire. Je lui demande si elle est d’accord de donner quelques galettes à Yves pour qu’il les rapporte à Ben et la famille. Maman me dit qu’elle y avait déjà songé ! Je la remercie en lui donnant un bisou sur la joue. Maman me fait alors un gros câlin. Je lui susurre à l’oreille : « Je t’aime Maman ». Maman me répond : « Moi aussi je t’aime mon grand ».
Le reste de cette journée de dimanche est consacrée à étudier. La semaine qui suit et qui est ponctuée de tests, de révisions, d’étude en profondeur de certains cours sachant que nous arrivons bientôt à la période des examens. Je ne suis pas allé rechercher mon vélo chez Ben et nous ne nous sommes pas vus depuis une semaine.
Nous voilà vendredi fin d’après-midi. Je sais que Ben va passer le week-end avec ma famille. Puis je me rends compte que nous sommes au début du congé de la Toussaint, j’ai fait l’impasse sur cette information. Je me souviens que nous devons faire de la spéléo en équipe mais je n’ai pas plus d’info. Je me décide à téléphoner à Marc-Antoine pour en savoir plus. Je suis en contact avec son papa, il me dit qu’il est absent. Son papa me demande de le rappeler vers dix-neuf heures.
Alors que je suis dans ma chambre, occupé à ranger mes affaires dans un sac pour partir deux jours en spéléo, j’entends frapper à la porte. C’est en fait Ben qui est arrivé et qui vient me retrouver dans mon antre ! Inutile de dire qu’il n’a fallu que quelques secondes pour que je lui saute au cou et que mes lèvres retrouvent les siennes. Nous nous embrassons sans retenue, une semaine c’est bien long quand on aime quelqu’un ! Il était impératif de rester chacun concentré sur ses cours pour être certain de réussir cette année très importante !
Nos mains parcourent le dos et le torse de l’être aimé. Nous langues dansent une nouvelle farandole, heureuses, une nouvelle fois, de se titiller dans nos bouches. Une fois cette effusion terminée, nous nous regardons, yeux dans les yeux. Pas besoin de mot, juste le regard nous permet de nous faire comprendre. Ben, mon ange blond aux yeux bleus est là, devant moi. Il le sait, oui il sait très bien que je l’aime, tout comme moi je vois au travers de son regard que c’est la même chose pour lui !