08-08-2020, 02:47 PM
2eme ANNEE 1er semestre : (37 / 100) (Séance photos) (fin)
Ensuite c’est à notre tour d’aller prendre une douche, celle-ci nous ayant été gentiment proposée, c’est avec joie que nous l’avons acceptée.
Quand nous retournons auprès des autres, ils sont tous les trois installés devant l’ordinateur et Akira crée plusieurs sous fichiers en triant les photos suivant s’il les trouve bonnes ou mauvaises ou encore visibles pour tous ou plus « intimes ».
Thomas marche bizarrement car il est gêné sans son boxer qu’il n’a pas voulu remettre tant il était poissé par son jus lors de notre fin de séance photo.
Akira est un hôte très sympathique et nous passons encore un bon moment tous ensemble avant que l’heure avancée nous fasse prendre conscience qu’il est temps de partir.
L’eurasien nous tend alors à Thomas et moi, chacun une petite clé USB où il a transféré les centaines de clichés pris dans l’après-midi.
- Tenez les gars ! C’est pour vous ! Je dois dire qu’il y en a de magnifiques et que si vous repassez par ici je serai honoré de pouvoir faire quelques séances avec vous. Commerciales celles-ci car je connais plus d’un magazine qui serait intéressé par votre « présence » et votre « charme ».
- Nous te devons combien ?
- (Akira en souriant) Mais rien du tout ! J’ai pris un immense plaisir avec vous deux et j’ai gardé quelques clichés pour exposer dans une galerie si vous êtes d’accord bien sûr.
Il nous les montre et je dois bien lui concéder qu’il est très bon dans son métier parce que les quelques photos qu’il nous présente sont d’une rare beauté et le rendu des sentiments au moment de la prise force le respect.
- (Thomas) Waouh ! J’adore celle-ci !
Akira en se tournant vers lui.
- C’est la plus belle assurément, vous êtes très photogéniques individuellement mais ensemble il dégage de vous quelque chose de spécial et de sensuel.
Je hoche la tête en guise d’assentiment.
- C’est parce que nous nous aimons, ça se ressent sur l’image.
- (Akira en riant) Que vous vous aimez, j’avais remarqué figurez-vous. Bon ! J’ai envie de vous faire plaisir les gars, donnez-moi votre adresse et je vous ferai parvenir cette magnifique photo en poster.
Je suis agréablement surpris de tant de gentillesse.
- Laisse-les à l’occasion à ton père pour qu’il me les donne.
- (Akira surpris) Tu connais mon père ?
- Bien sûr ! Jordan travaille au CHU et c’est là que je fais ma prépa de médecine, tu n’auras qu’à lui dire que c’est pour « Flo ».
- Ah ! Eh bien d’accord !
Il nous raccompagne jusqu’au pas de la porte et nous lui faisons la bise, il en est plutôt surpris mais comprend très vite que c’est sans arrière-pensée et il referme la porte derrière nous une fois nous avoir fait promettre une nouvelle fois de revenir à l’occasion.
Le retour à l’appartement nous semble extrêmement court tellement nous avons de choses à nous dire, sûr la séance photo évidemment avec les moqueries d’usage quant à la dernière partie.
Mais aussi sur la reprise des cours de fac pour moi dès le lendemain et enfin sur comment nous allions retrouver Chan en rentrant à l’appart.
- (Yuan) Tu repars quand Florian ?
- Demain matin tôt, j’ai mon premier cours à dix heures.
- (Dante en souriant) Nous allons donc passer la soirée tous ensemble ?
- (Thomas) Après ça va falloir que je me coltine l’hôtel, déjà que je ne vais plus voir Florian avant un bon bout de temps.
Je le regarde tristement.
- Tu ne repasses pas à Reims pour le week-end ?
- J’aimerais bien mais je ne voudrais pas déranger, déjà que cette semaine ce n’était pas prévu qu’on se voie.
- Mais ! Ou as-tu vu jouer que tu dérangeais quelqu’un toi ? Au contraire, Annie a le sourire jusqu’aux oreilles quand tu es dans la maison. Je t’attends vendredi soir devant la gare et ce n’est même pas la peine d’essayer de discuter c’est compris ?
Je mets mes poings sur mes hanches.
- Non mais !
Thomas a les yeux qui luisent.
- Si c’est un ordre, je m’y plierai donc.
Il imite mon geste.
- Non mais !!!
Tous deux nous nous regardons et éclatons de rires, Dante et Yuan sont derrière nous et se regardent amusés du spectacle que nous leur donnons en pleine rue.
Une fois à l’appartement, notre première préoccupation c’est d’aller voir comment se porte le cousin Chan.
Nous le trouvons endormi dans la chambre où Yuan et Dante ont passé la nuit, je remarque tout de suite qu’il va beaucoup mieux au teint de sa peau et à sa respiration calme.
Nous ressortons sans faire de bruit et le laissons se reposer en allant nous enfermer dans la cuisine pour pouvoir discuter tranquillement sans prendre le risque de le réveiller et aussi pour préparer le repas par la même occasion.
Yuan en s’adressant à Thomas.
- Dis-moi « Thom » ? C’est quoi cette histoire d’hôtel ? J’espère que tu ne parles pas sérieusement de ça tant que tu es sur Paris sinon on ne va plus être copains crois-moi !
- (Thomas) Mais ! Florian ne sera plus là.
- (Yuan surpris) Et alors ! Tu crois que je t’invite simplement quand il y a Florian ? Je crois bien que tu as raté quelque chose si c’est vraiment ce que tu penses de moi.
- (Thomas) Je me suis mal fait comprendre, ce n’est pas ce que je voulais dire. En fait c’est pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté entre toi et moi, tu sais très bien qu’il ne pourra rien arriver entre nous si « Flo » n’est pas là et donc je me disais qu’il ne serait pas bien de ma part de t’imposer ma présence.
Yuan en élevant la voix.
- Dis donc toi ! Tu insinues quoi en ce moment ? Qu’il n’y a que le cul qui m’attire avec toi ?
Thomas se sentant perdu dans ses explications.
- Mais non ! Ne te fâche pas « Yu ».
Yuan en baissant d’un ton mais en restant crispé.
- Je ne me fâche pas, je suis simplement déçu que tu penses ça de moi. Oui je t’aime beaucoup ! Oui j’ai envie comme je te l’ai déjà dit qu’on soit plus qu’amis ! Et oui j’aime aussi Florian ! Mais non ! Je ne pense pas qu’au cul avec toi et j’aimerais bien que tu te sentes chez toi ici et que tu n’hésites pas à y vivre quand tu seras sur Paris.
Yuan est tellement énervé qu’il en revient à sa langue maternelle, je l’attrape par le bras et j’essaie de le calmer en lui parlant également dans sa langue.
Dante nous écoute et regarde Thomas n’en croyant pas ses oreilles, il s’approche de lui et lui dit tout bas.
- Je ne sais pas si tu comprends quelque chose mais pour moi tout ça c’est du chinois !
- (Thomas amusé) Pour eux aussi Hi ! Hi !
2eme ANNEE 1er semestre : (38 / 100) (Paris) (Reims)
Grégory rentre ce soir-là sans faire de bruit car il est très tard et il ne veut surtout pas réveiller ses chéris qui d’après leurs emplois du temps reprennent tôt ce matin-là.
Il fait un saut dans la cuisine histoire de boire un coup et passe ensuite par la salle de bains prendre une bonne douche malgré qu’il en ait pris une avant de quitter le boulot, mais l’odeur de fumée qui lui imprégnait le corps reste tenace aussi préfère-t-il s’en débarrasser avant de se coucher.
Il se savonne copieusement et se relaxe un moment sous le jet brûlant qui lui fait un bien fou.
En arrivant sur ses parties intimes qu’il nettoie méticuleusement, celles-ci lui envoient un appel qu’il connaît bien en s’érigeant de la plus belle des façons.
Un instant il se pose la question, solo ou trio ? La réponse se lit sur son visage au vu du regard gourmand qu’il lance en direction de la chambre.
Donc la solution retenue sans trop insister d’ailleurs est de rejoindre le petit couple endormi et de les amener dans un état d’excitation tel que quand ils se rendront compte de ce qu’il se passe, ce sera à son tour d’avoir droit au câlin et au reste.
Il n’a pas fait son choix quant au rôle qui sera le sien et laisse la décision à Julien en salivant d’avance du plaisir que de toute façon il va prendre.
Il sort de la douche en soupirant et se positionne devant la glace pour se sécher et s’admirer, le reflet lui renvoie la vue d’un jeune homme aux pectoraux dessinés et au corps bronzé qu’il trouve sans fausse modestie plus que pas mal.
Une petite fausse note qu’il corrige vite fait d’un petit coup de tondeuse qu’il mène avec dextérité et qui raccourcit et délimite le contour de ses poils pubiens en lui dégageant bien le sexe qui donne alors l’impression d’être encore plus volumineux qu’avant.
Il caresse ensuite la peau toute douce libérée de ses poils et d’un sourire satisfait, il sort de la salle d’eau et rentre dans sa chambre ; l’odeur bien fraîche de la chambre lui fait comprendre qu’ou ils n’avaient pas envie de faire des galipettes, ou alors qu’ils ont préféré l’attendre et qu’ils se sont endormis en route.
Son sourire se renforce encore plus parce qu’il est quasiment certain que c’est la deuxième raison la bonne.
Il commence à percevoir les silhouettes endormies sur le lit et un sourire coquin remplace très vite celui de satisfaction qu’il avait précédemment.
Maxime se dirige alors à pas de loup jusqu’au pied du lit et soulève la couette doucement, le couple est endormi sur le dos les jambes semi-écartées ce qui pense-t-il alors va bien lui faciliter la tâche ; il entre alors son corps doucement à l’intérieur du lit et sa tête arrive très vite à la hauteur des deux sous-vêtements, petite culotte en soie pour Émilie et caleçon bien échancré pour Julien.
Sa bouche vient se coller doucement sur la partie soyeuse au-dessous du renflement du pubis de la jeune femme et sa main visite l’échancrure du sous-vêtement de Julien, pendant qu’il respire l’odeur enivrante du sexe féminin ses doigts caressent celui au repos de son ami.
Il arrive à mener ses deux combats de front, sa langue humecte la petite culotte et reçoit en retour les effluves odorants d’Émile pendant qu’il masse langoureusement le sexe et les bourses de Julien qui commence à réagir sous les caresses précises qu’il subit.
Il alterne alors pendant quelques minutes sa bouche et ses mains et finit par arriver à ce qu’il cherche depuis la sortie de la douche en les voyant se tortiller de plus en plus sous l’excitation qui les gagne.
Pendant toute la durée de ce petit exercice, son sexe a pris la dureté d’un morceau de bois et commence à lui demander lui aussi sa ration de plaisir.
Pour le faire patienter encore un peu, Maxime se frotte sur le drap suffisamment fort pour ressentir les frissons de bien-être tout en faisant attention à ne pas déclencher sa jouissance qu’il sent à fleur de peau.
Il écarte d’une main la petite culotte et sa bouche quitte le gland proche de l’orgasme pour aller cette fois-ci butiner le petit bouton de chair qui au contact de ses lèvres s’humidifie instantanément et libère un petit cri de la gorge de la jeune fille qui se réveille enfin et comprend que le rêve érotique qu’elle faisait était en fait bien réel.
Comprenant qu’Émilie ne dort plus, Maxime croche le petit carré de soie et l’ôte rapidement puis remonte avec une lenteur extrême sur le corps de sa chérie en la couvrant de petits bisous qui la font onduler et s’impatienter car elle n’attend plus qu’à le recevoir en elle.
Au moment où les lèvres de Maxime atteignent celle de la jeune fille, son sexe dans un parfait accord entre en elle et la pénètre d’un élan viril qui la fait hoqueter de plaisir.
Commence alors un ballet tout en douceur mélangeant les baisers enfiévrés et les va-et-vient puissants, ce petit jeu les mène vite à moins de discrétion et finit par réveiller Julien qui ressent aussitôt la fraîcheur humide sur son gland décalotté et bandé au maximum sorti du sous-vêtement.
Il ne lui faut pas longtemps pour en comprendre le pourquoi et c’est avec un petit sourire carnassier qu’il se redresse et passe derrière son copain pour lui prendre les hanches et lui faire subir le même plaisir qu’il donne à Émilie.
Un son rauque s’échappe alors de la gorge du garçon quand il se sent investi de la meilleure des façons par son ami, son sexe tressaute d’excitation et il joue avec ses sphincters en se déhanchant nerveusement pour s’amener au point de non-retour en sentant bien qu’ils en sont au même point tous les trois.
Ce regain de virilité achève Émilie qui halète maintenant sous les coups puissants et un immense orgasme lui secoue le corps libérant sa liqueur en lui tétanisant les nerfs.
Les deux garçons jouissent à leur tour, les membres tremblent d’extase et les cerveaux s’embrument sous l’afflux des sensations qui libèrent leurs spermes dans des décharges voluptueuses qui les laissent exsangues, affalés les uns sur les autres à reprendre le contrôle de leurs cœurs et de leurs respirations.
L’odeur de frais que Maxime avait remarquée en entrant dans la chambre est maintenant remplacée par une forte odeur de musc et de transpiration, ils n’en ont cure et se câlinent sensuellement en appréciant à sa juste valeur la chance de s’être rencontré et de vivre aussi intensément leurs amours.
2eme ANNEE 1er semestre : (39 / 100) (Thillois)
Carole aide Fabienne à la cuisine pour la préparation du dîner, la femme et la jeune fille s’entendent à merveille et Fabienne qui avait au début un peu paniqué à l’idée d’avoir des pensionnaires à l’année s’en réjouit maintenant et se demande quel vide ce sera quand ils ne seront plus là.
Carole est toute heureuse car demain c’est la reprise des cours et elle va pouvoir passer encore plus de temps avec Flavien, elle apprécie le grand blond de plus en plus et ne rêve plus que d’une chose, vivre avec lui.
Il lui a fait visiter la veille la nouvelle chambre qu’il a chez Mireille, elle croyait bien qu’il lui aurait demandé de la partager avec lui mais il n’en a rien fait, sans doute trouve-t-il à juste titre que ça fait déjà beaucoup de monde pour la vieille dame qui pourtant lui a paru d’une santé et d’une vivacité exceptionnelle pour son âge.
Un bruit dans le couloir leur fait lever le nez de leur préparation culinaire et son frère apparaît dans l’encadrement de la porte avec un sourire type banane et les yeux pétillants la joie de vivre.
Il lui ressemble beaucoup ce qui parait évidant puisqu’ils sont jumeaux, mêmes tailles, mêmes yeux bleus et mêmes cheveux blonds coupés court.
La grande différence est bien sûr située au niveau de la poitrine que Carole a très pulpeuse et des hanches que Sébastien a plutôt fines alors qu’elle les a plus fortement charpentées au vu du rôle qu’elle aura à jouer d’engendrer une descendance.
Sébastien en humant l’air.
- Hum ! Ça sent bon par ici !
Fabienne avec un petit rire.
- Ce n’est pas encore l’heure de se mettre à table.
Sébastien s’approche de sa sœur et lui glisse à l’oreille.
- Tu me fais goûter ?
Carole se tourne vers son frère et le fixe d’un œil attendri.
- C’est plus fort que toi hein ? Tu ne peux pas attendre.
- S’il te plaît petite sœur ! Juste un petit morceau pour me mettre en appétit.
Carole en lui mettant une petite tape sur la main qu’elle lui voyait tendre vers la table.
- Pas touche ! Tu peux bien attendre comme tout le monde.
- Aïe!!! Moi qui voulais te faire plaisir en t’annonçant une bonne nouvelle !
Carole rit de bon cœur devant la mine faussement contrite de son frère.
- Tss !!! N’essaie pas de m’amadouer avec de belles paroles.
- Ah! Dommage alors, je reviens de chez Flavien et nous avons discuté de toi avec Mireille.
Carole subitement intéressée.
- Et alors ? Vous avez dit quoi ?
Sébastien regarde le talon du pâté croûte avec envie.
- Je ne te dirai rien puisque tu veux me laisser mourir de faim.
Fabienne les écoute depuis tout à l'heure et rit aux éclats.
- Donne le lui sinon il va te laisser mariner jusqu’à ce soir.
Carole hésite entre céder à son frère ou attendre qu’il parle quand même car elle le connaît bien et sait pertinemment que de toute façon il meurt d’envie de le lui dire, seulement le garçon connaît aussi très bien sa sœur et commence à faire mine de s’en aller malgré l’envie qui le démange de lui annoncer ce qu’il sait être pour elle une très bonne surprise.
C’est Sylvain qui lui coupe l’herbe sous le pied en déboulant dans la cuisine et en la prenant par la taille.
- Alors ma grande ? Tu n’as pas encore fait tes valises ?
- (Carole surprise) De quoi ? Quelles valises ?
- Sébastien ne t’a pas encore dit ? Pourtant il était parti en courant pour te l’annoncer avant moi et aussi pour voir la tête que tu ferais
Il voit le plat sur la table et saute sans rien demander sur ce que convoite Sébastien depuis son arrivée et qui lui a fait retarder le fait de tout dire à sa sœur.
- Miam !! C’est toi qui l’as fait m’man ? Il est super-bon
Les deux femmes voient la tête de Sébastien et s’écroulent de rires.
- (Sylvain surpris) Eh bien quoi ? Qu’est-ce que j’ai encore dit de si drôle ?
Fabienne s’essuie les yeux et tourne le plat en montrant l’autre talon à Sébastien.
- Allez ! Prends-le avant que mon goinfre de fils ne s’en charge.
Un sourire de reconnaissance du ventre illumine le visage du blondinet qui ne se le fait pas dire deux fois et qui à son tour saute sur le plat pour y mettre dans sa bouche avec délectation le fruit de son envie.
- Miam ! C’est vrai qu’il est délicieux.
Fabienne revient au sujet précédent.
- C’est quoi cette histoire de valises ? Expliquez-nous ça maintenant.
Sylvain va pour prendre la parole quand il en est empêché par son copain qui lui met la main devant la bouche en l’entraînant hors de la cuisine.
- Chut ! Ne dis plus un mot ! Ma très chère sœur voulait me faire mourir de faim, alors elle attendra après le dîner pour savoir ce qu’il en est Hi ! Hi !
Ensuite c’est à notre tour d’aller prendre une douche, celle-ci nous ayant été gentiment proposée, c’est avec joie que nous l’avons acceptée.
Quand nous retournons auprès des autres, ils sont tous les trois installés devant l’ordinateur et Akira crée plusieurs sous fichiers en triant les photos suivant s’il les trouve bonnes ou mauvaises ou encore visibles pour tous ou plus « intimes ».
Thomas marche bizarrement car il est gêné sans son boxer qu’il n’a pas voulu remettre tant il était poissé par son jus lors de notre fin de séance photo.
Akira est un hôte très sympathique et nous passons encore un bon moment tous ensemble avant que l’heure avancée nous fasse prendre conscience qu’il est temps de partir.
L’eurasien nous tend alors à Thomas et moi, chacun une petite clé USB où il a transféré les centaines de clichés pris dans l’après-midi.
- Tenez les gars ! C’est pour vous ! Je dois dire qu’il y en a de magnifiques et que si vous repassez par ici je serai honoré de pouvoir faire quelques séances avec vous. Commerciales celles-ci car je connais plus d’un magazine qui serait intéressé par votre « présence » et votre « charme ».
- Nous te devons combien ?
- (Akira en souriant) Mais rien du tout ! J’ai pris un immense plaisir avec vous deux et j’ai gardé quelques clichés pour exposer dans une galerie si vous êtes d’accord bien sûr.
Il nous les montre et je dois bien lui concéder qu’il est très bon dans son métier parce que les quelques photos qu’il nous présente sont d’une rare beauté et le rendu des sentiments au moment de la prise force le respect.
- (Thomas) Waouh ! J’adore celle-ci !
Akira en se tournant vers lui.
- C’est la plus belle assurément, vous êtes très photogéniques individuellement mais ensemble il dégage de vous quelque chose de spécial et de sensuel.
Je hoche la tête en guise d’assentiment.
- C’est parce que nous nous aimons, ça se ressent sur l’image.
- (Akira en riant) Que vous vous aimez, j’avais remarqué figurez-vous. Bon ! J’ai envie de vous faire plaisir les gars, donnez-moi votre adresse et je vous ferai parvenir cette magnifique photo en poster.
Je suis agréablement surpris de tant de gentillesse.
- Laisse-les à l’occasion à ton père pour qu’il me les donne.
- (Akira surpris) Tu connais mon père ?
- Bien sûr ! Jordan travaille au CHU et c’est là que je fais ma prépa de médecine, tu n’auras qu’à lui dire que c’est pour « Flo ».
- Ah ! Eh bien d’accord !
Il nous raccompagne jusqu’au pas de la porte et nous lui faisons la bise, il en est plutôt surpris mais comprend très vite que c’est sans arrière-pensée et il referme la porte derrière nous une fois nous avoir fait promettre une nouvelle fois de revenir à l’occasion.
Le retour à l’appartement nous semble extrêmement court tellement nous avons de choses à nous dire, sûr la séance photo évidemment avec les moqueries d’usage quant à la dernière partie.
Mais aussi sur la reprise des cours de fac pour moi dès le lendemain et enfin sur comment nous allions retrouver Chan en rentrant à l’appart.
- (Yuan) Tu repars quand Florian ?
- Demain matin tôt, j’ai mon premier cours à dix heures.
- (Dante en souriant) Nous allons donc passer la soirée tous ensemble ?
- (Thomas) Après ça va falloir que je me coltine l’hôtel, déjà que je ne vais plus voir Florian avant un bon bout de temps.
Je le regarde tristement.
- Tu ne repasses pas à Reims pour le week-end ?
- J’aimerais bien mais je ne voudrais pas déranger, déjà que cette semaine ce n’était pas prévu qu’on se voie.
- Mais ! Ou as-tu vu jouer que tu dérangeais quelqu’un toi ? Au contraire, Annie a le sourire jusqu’aux oreilles quand tu es dans la maison. Je t’attends vendredi soir devant la gare et ce n’est même pas la peine d’essayer de discuter c’est compris ?
Je mets mes poings sur mes hanches.
- Non mais !
Thomas a les yeux qui luisent.
- Si c’est un ordre, je m’y plierai donc.
Il imite mon geste.
- Non mais !!!
Tous deux nous nous regardons et éclatons de rires, Dante et Yuan sont derrière nous et se regardent amusés du spectacle que nous leur donnons en pleine rue.
Une fois à l’appartement, notre première préoccupation c’est d’aller voir comment se porte le cousin Chan.
Nous le trouvons endormi dans la chambre où Yuan et Dante ont passé la nuit, je remarque tout de suite qu’il va beaucoup mieux au teint de sa peau et à sa respiration calme.
Nous ressortons sans faire de bruit et le laissons se reposer en allant nous enfermer dans la cuisine pour pouvoir discuter tranquillement sans prendre le risque de le réveiller et aussi pour préparer le repas par la même occasion.
Yuan en s’adressant à Thomas.
- Dis-moi « Thom » ? C’est quoi cette histoire d’hôtel ? J’espère que tu ne parles pas sérieusement de ça tant que tu es sur Paris sinon on ne va plus être copains crois-moi !
- (Thomas) Mais ! Florian ne sera plus là.
- (Yuan surpris) Et alors ! Tu crois que je t’invite simplement quand il y a Florian ? Je crois bien que tu as raté quelque chose si c’est vraiment ce que tu penses de moi.
- (Thomas) Je me suis mal fait comprendre, ce n’est pas ce que je voulais dire. En fait c’est pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté entre toi et moi, tu sais très bien qu’il ne pourra rien arriver entre nous si « Flo » n’est pas là et donc je me disais qu’il ne serait pas bien de ma part de t’imposer ma présence.
Yuan en élevant la voix.
- Dis donc toi ! Tu insinues quoi en ce moment ? Qu’il n’y a que le cul qui m’attire avec toi ?
Thomas se sentant perdu dans ses explications.
- Mais non ! Ne te fâche pas « Yu ».
Yuan en baissant d’un ton mais en restant crispé.
- Je ne me fâche pas, je suis simplement déçu que tu penses ça de moi. Oui je t’aime beaucoup ! Oui j’ai envie comme je te l’ai déjà dit qu’on soit plus qu’amis ! Et oui j’aime aussi Florian ! Mais non ! Je ne pense pas qu’au cul avec toi et j’aimerais bien que tu te sentes chez toi ici et que tu n’hésites pas à y vivre quand tu seras sur Paris.
Yuan est tellement énervé qu’il en revient à sa langue maternelle, je l’attrape par le bras et j’essaie de le calmer en lui parlant également dans sa langue.
Dante nous écoute et regarde Thomas n’en croyant pas ses oreilles, il s’approche de lui et lui dit tout bas.
- Je ne sais pas si tu comprends quelque chose mais pour moi tout ça c’est du chinois !
- (Thomas amusé) Pour eux aussi Hi ! Hi !
2eme ANNEE 1er semestre : (38 / 100) (Paris) (Reims)
Grégory rentre ce soir-là sans faire de bruit car il est très tard et il ne veut surtout pas réveiller ses chéris qui d’après leurs emplois du temps reprennent tôt ce matin-là.
Il fait un saut dans la cuisine histoire de boire un coup et passe ensuite par la salle de bains prendre une bonne douche malgré qu’il en ait pris une avant de quitter le boulot, mais l’odeur de fumée qui lui imprégnait le corps reste tenace aussi préfère-t-il s’en débarrasser avant de se coucher.
Il se savonne copieusement et se relaxe un moment sous le jet brûlant qui lui fait un bien fou.
En arrivant sur ses parties intimes qu’il nettoie méticuleusement, celles-ci lui envoient un appel qu’il connaît bien en s’érigeant de la plus belle des façons.
Un instant il se pose la question, solo ou trio ? La réponse se lit sur son visage au vu du regard gourmand qu’il lance en direction de la chambre.
Donc la solution retenue sans trop insister d’ailleurs est de rejoindre le petit couple endormi et de les amener dans un état d’excitation tel que quand ils se rendront compte de ce qu’il se passe, ce sera à son tour d’avoir droit au câlin et au reste.
Il n’a pas fait son choix quant au rôle qui sera le sien et laisse la décision à Julien en salivant d’avance du plaisir que de toute façon il va prendre.
Il sort de la douche en soupirant et se positionne devant la glace pour se sécher et s’admirer, le reflet lui renvoie la vue d’un jeune homme aux pectoraux dessinés et au corps bronzé qu’il trouve sans fausse modestie plus que pas mal.
Une petite fausse note qu’il corrige vite fait d’un petit coup de tondeuse qu’il mène avec dextérité et qui raccourcit et délimite le contour de ses poils pubiens en lui dégageant bien le sexe qui donne alors l’impression d’être encore plus volumineux qu’avant.
Il caresse ensuite la peau toute douce libérée de ses poils et d’un sourire satisfait, il sort de la salle d’eau et rentre dans sa chambre ; l’odeur bien fraîche de la chambre lui fait comprendre qu’ou ils n’avaient pas envie de faire des galipettes, ou alors qu’ils ont préféré l’attendre et qu’ils se sont endormis en route.
Son sourire se renforce encore plus parce qu’il est quasiment certain que c’est la deuxième raison la bonne.
Il commence à percevoir les silhouettes endormies sur le lit et un sourire coquin remplace très vite celui de satisfaction qu’il avait précédemment.
Maxime se dirige alors à pas de loup jusqu’au pied du lit et soulève la couette doucement, le couple est endormi sur le dos les jambes semi-écartées ce qui pense-t-il alors va bien lui faciliter la tâche ; il entre alors son corps doucement à l’intérieur du lit et sa tête arrive très vite à la hauteur des deux sous-vêtements, petite culotte en soie pour Émilie et caleçon bien échancré pour Julien.
Sa bouche vient se coller doucement sur la partie soyeuse au-dessous du renflement du pubis de la jeune femme et sa main visite l’échancrure du sous-vêtement de Julien, pendant qu’il respire l’odeur enivrante du sexe féminin ses doigts caressent celui au repos de son ami.
Il arrive à mener ses deux combats de front, sa langue humecte la petite culotte et reçoit en retour les effluves odorants d’Émile pendant qu’il masse langoureusement le sexe et les bourses de Julien qui commence à réagir sous les caresses précises qu’il subit.
Il alterne alors pendant quelques minutes sa bouche et ses mains et finit par arriver à ce qu’il cherche depuis la sortie de la douche en les voyant se tortiller de plus en plus sous l’excitation qui les gagne.
Pendant toute la durée de ce petit exercice, son sexe a pris la dureté d’un morceau de bois et commence à lui demander lui aussi sa ration de plaisir.
Pour le faire patienter encore un peu, Maxime se frotte sur le drap suffisamment fort pour ressentir les frissons de bien-être tout en faisant attention à ne pas déclencher sa jouissance qu’il sent à fleur de peau.
Il écarte d’une main la petite culotte et sa bouche quitte le gland proche de l’orgasme pour aller cette fois-ci butiner le petit bouton de chair qui au contact de ses lèvres s’humidifie instantanément et libère un petit cri de la gorge de la jeune fille qui se réveille enfin et comprend que le rêve érotique qu’elle faisait était en fait bien réel.
Comprenant qu’Émilie ne dort plus, Maxime croche le petit carré de soie et l’ôte rapidement puis remonte avec une lenteur extrême sur le corps de sa chérie en la couvrant de petits bisous qui la font onduler et s’impatienter car elle n’attend plus qu’à le recevoir en elle.
Au moment où les lèvres de Maxime atteignent celle de la jeune fille, son sexe dans un parfait accord entre en elle et la pénètre d’un élan viril qui la fait hoqueter de plaisir.
Commence alors un ballet tout en douceur mélangeant les baisers enfiévrés et les va-et-vient puissants, ce petit jeu les mène vite à moins de discrétion et finit par réveiller Julien qui ressent aussitôt la fraîcheur humide sur son gland décalotté et bandé au maximum sorti du sous-vêtement.
Il ne lui faut pas longtemps pour en comprendre le pourquoi et c’est avec un petit sourire carnassier qu’il se redresse et passe derrière son copain pour lui prendre les hanches et lui faire subir le même plaisir qu’il donne à Émilie.
Un son rauque s’échappe alors de la gorge du garçon quand il se sent investi de la meilleure des façons par son ami, son sexe tressaute d’excitation et il joue avec ses sphincters en se déhanchant nerveusement pour s’amener au point de non-retour en sentant bien qu’ils en sont au même point tous les trois.
Ce regain de virilité achève Émilie qui halète maintenant sous les coups puissants et un immense orgasme lui secoue le corps libérant sa liqueur en lui tétanisant les nerfs.
Les deux garçons jouissent à leur tour, les membres tremblent d’extase et les cerveaux s’embrument sous l’afflux des sensations qui libèrent leurs spermes dans des décharges voluptueuses qui les laissent exsangues, affalés les uns sur les autres à reprendre le contrôle de leurs cœurs et de leurs respirations.
L’odeur de frais que Maxime avait remarquée en entrant dans la chambre est maintenant remplacée par une forte odeur de musc et de transpiration, ils n’en ont cure et se câlinent sensuellement en appréciant à sa juste valeur la chance de s’être rencontré et de vivre aussi intensément leurs amours.
2eme ANNEE 1er semestre : (39 / 100) (Thillois)
Carole aide Fabienne à la cuisine pour la préparation du dîner, la femme et la jeune fille s’entendent à merveille et Fabienne qui avait au début un peu paniqué à l’idée d’avoir des pensionnaires à l’année s’en réjouit maintenant et se demande quel vide ce sera quand ils ne seront plus là.
Carole est toute heureuse car demain c’est la reprise des cours et elle va pouvoir passer encore plus de temps avec Flavien, elle apprécie le grand blond de plus en plus et ne rêve plus que d’une chose, vivre avec lui.
Il lui a fait visiter la veille la nouvelle chambre qu’il a chez Mireille, elle croyait bien qu’il lui aurait demandé de la partager avec lui mais il n’en a rien fait, sans doute trouve-t-il à juste titre que ça fait déjà beaucoup de monde pour la vieille dame qui pourtant lui a paru d’une santé et d’une vivacité exceptionnelle pour son âge.
Un bruit dans le couloir leur fait lever le nez de leur préparation culinaire et son frère apparaît dans l’encadrement de la porte avec un sourire type banane et les yeux pétillants la joie de vivre.
Il lui ressemble beaucoup ce qui parait évidant puisqu’ils sont jumeaux, mêmes tailles, mêmes yeux bleus et mêmes cheveux blonds coupés court.
La grande différence est bien sûr située au niveau de la poitrine que Carole a très pulpeuse et des hanches que Sébastien a plutôt fines alors qu’elle les a plus fortement charpentées au vu du rôle qu’elle aura à jouer d’engendrer une descendance.
Sébastien en humant l’air.
- Hum ! Ça sent bon par ici !
Fabienne avec un petit rire.
- Ce n’est pas encore l’heure de se mettre à table.
Sébastien s’approche de sa sœur et lui glisse à l’oreille.
- Tu me fais goûter ?
Carole se tourne vers son frère et le fixe d’un œil attendri.
- C’est plus fort que toi hein ? Tu ne peux pas attendre.
- S’il te plaît petite sœur ! Juste un petit morceau pour me mettre en appétit.
Carole en lui mettant une petite tape sur la main qu’elle lui voyait tendre vers la table.
- Pas touche ! Tu peux bien attendre comme tout le monde.
- Aïe!!! Moi qui voulais te faire plaisir en t’annonçant une bonne nouvelle !
Carole rit de bon cœur devant la mine faussement contrite de son frère.
- Tss !!! N’essaie pas de m’amadouer avec de belles paroles.
- Ah! Dommage alors, je reviens de chez Flavien et nous avons discuté de toi avec Mireille.
Carole subitement intéressée.
- Et alors ? Vous avez dit quoi ?
Sébastien regarde le talon du pâté croûte avec envie.
- Je ne te dirai rien puisque tu veux me laisser mourir de faim.
Fabienne les écoute depuis tout à l'heure et rit aux éclats.
- Donne le lui sinon il va te laisser mariner jusqu’à ce soir.
Carole hésite entre céder à son frère ou attendre qu’il parle quand même car elle le connaît bien et sait pertinemment que de toute façon il meurt d’envie de le lui dire, seulement le garçon connaît aussi très bien sa sœur et commence à faire mine de s’en aller malgré l’envie qui le démange de lui annoncer ce qu’il sait être pour elle une très bonne surprise.
C’est Sylvain qui lui coupe l’herbe sous le pied en déboulant dans la cuisine et en la prenant par la taille.
- Alors ma grande ? Tu n’as pas encore fait tes valises ?
- (Carole surprise) De quoi ? Quelles valises ?
- Sébastien ne t’a pas encore dit ? Pourtant il était parti en courant pour te l’annoncer avant moi et aussi pour voir la tête que tu ferais
Il voit le plat sur la table et saute sans rien demander sur ce que convoite Sébastien depuis son arrivée et qui lui a fait retarder le fait de tout dire à sa sœur.
- Miam !! C’est toi qui l’as fait m’man ? Il est super-bon
Les deux femmes voient la tête de Sébastien et s’écroulent de rires.
- (Sylvain surpris) Eh bien quoi ? Qu’est-ce que j’ai encore dit de si drôle ?
Fabienne s’essuie les yeux et tourne le plat en montrant l’autre talon à Sébastien.
- Allez ! Prends-le avant que mon goinfre de fils ne s’en charge.
Un sourire de reconnaissance du ventre illumine le visage du blondinet qui ne se le fait pas dire deux fois et qui à son tour saute sur le plat pour y mettre dans sa bouche avec délectation le fruit de son envie.
- Miam ! C’est vrai qu’il est délicieux.
Fabienne revient au sujet précédent.
- C’est quoi cette histoire de valises ? Expliquez-nous ça maintenant.
Sylvain va pour prendre la parole quand il en est empêché par son copain qui lui met la main devant la bouche en l’entraînant hors de la cuisine.
- Chut ! Ne dis plus un mot ! Ma très chère sœur voulait me faire mourir de faim, alors elle attendra après le dîner pour savoir ce qu’il en est Hi ! Hi !
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