29-03-2022, 10:51 AM
Après le repas et la soirée, nous montons dans ma chambre. J’aide Ben à ôter sa blouse. Son bras est plâtré. Nous sommes nus et nous allons dans la salle de bain pour nous rafraîchir avant la nuit. Ben place une protection au niveau de son bras et nous prenons notre douche ensemble.
Nos attributs se sont réveillés, ils sont droits et indiquent le firmament. Je glisse à l’oreille de mon amoureux, d’attendre que nous soyons dans mon lit pour enfin nous donner du plaisir ou de nous aimer autrement.
Bref nous terminons notre toilette avant de retourner dans notre havre de paix, ma chambre. Nous nous mettons immédiatement sous la couette et sans attendre, nous nous embrassons, nos mains se baladent sur nos corps alanguis. Nos langues sont entrées dans une folle farandole, nous venons d’entrer dans notre bulle, dans notre monde. Plus rien ne vient nous perturber. Ben a un peu gêné avec son bras plâtré, je m’arrange pour lui laisser assez d’espace afin qu’il puisse se mouvoir. Nos bouches se séparent et c’est alors que nos regards se croisent, se noyant pour notre plus grand bonheur dans celui de l’autre. Je commence alors à embrasser le lobe de l’oreille droite de Ben. Je descends vers ses pectoraux que je titille amoureusement. Je vais voir si son nombril est réceptif à mes caresses buccales. Je sens déjà son phallus qui pointe vers mon menton, il n’en faut pas plus pour que je dépose de petits bisous sur son gland déjà très humide. Ma langue vient alors lécher son méat lubrifié par sa sécrétion pré-éjaculatoire. Finalement je me retire et je laisse Ben prendre l’initiative. Il fait presque comme moi, il me titille les oreilles, les mamelons, ses mains sont attardées sur mes flancs. Puis sans attendre Ben prends ma verge dans sa bouche et sa langue s’occupe de mon gland. Au bout de quelques minutes, Ben se redresse et laisse mon membre dressé, comme ça, dressé vers le plafond. Je remarque qu’il tente de se mettre à l’envers, soit tête bêche. J’ai compris qu’il veut savourer une belle sucette partagée. Nous nous plaçons en vue de nous goûter mutuellement. Je sais que Ben aime que nous nous sucions de concert. Inutile de dire que je suis enchanté par cette perspective. Nous nous occupons de la tige dressée de notre amoureux. Le gland du sexe de Ben est très humide. J’aime goûter cet élixir, je m’occupe de caresser avec ma langue le bout rose de son bâton d’amour. Puis je prends son attribut dans ma bouche, j’entame alors des mouvements de va et vient. Je sens que Ben lui aussi parcourt avec ses lèvres ma colonne de chair. Il calque ses mouvements sur ceux que je lui prodigue. Nous sommes en communion tant au niveau activité buccale mais aussi mentalement, sachant très bien ce que l’être aimé apprécie de ressentir. C’est comme dans un orchestre où tous les musiciens font partie d’un ensemble harmonique. Je sais que nous sommes sur un nuage, un nuage de bonheur, de communion entre deux êtres qui s’aiment. Puis je sens que Ben commence à arriver à un stade où il est difficile de résister, c’est à ce moment qu’il ressent tout le bonheur de la jouissance très proche, du moment de la libération de toutes ses hormones, là où dans un instant il va déverser sa semence au fond ma gorge. Moi-même j’arrive à l’étape du « non-retour », ce moment particulier où tout le bas-ventre est en chaleur et où les sensations les plus belles s’expriment. Puis c’est le moment d’extase, celui au le corps exulte, où il va se libérer de toute la tension due à l’amour ressenti envers son aimé, son chéri, sa moitié ! Je sens que Ben jouit enfin au fond de ma cavité buccale, moi de mon côté, je me laisse enfin aller pour inonder le palais de mon chéri de ma semence chaude. Nous avalons une partie du sperme de l’être tant désiré pour enfin de retrouver en tête à tête pour nous embrasser et échanger nos liqueurs d’amour. Notre baiser devient de plus en plus langoureux. C’est le moment suprême de notre relation, c’est le partage de nos sentiments, de nos jouissances, de nos spermes mélangés pour notre plus grand plaisir !
Nous nous affalons, fatigués mais heureux, côte à côte. Nous sommes toujours dans notre monde, sur notre planète d’amour, dans notre jardin d’Éden. C’est ainsi que sans dire un mot nous nous endormons, au-dessus de la couette, nus, apaisés et en parfaite communion.
Je ne sais pas quelle heure il peut être, mais j’entends que l’on frappe à la porte de la chambre. Je dis : « entrez » ! Je vois alors la tête de papa apparaitre. Il me dit qu’il est déjà neuf heures quinze. Je me rends compte que Ben et moi sommes nus, au-dessus de la couette. Puis je me rends compte que j’ai la gaule du matin, tout comme Ben. Je vois que papa sourit en nous voyant. Je dis alors :
Moi : « Désolé, mais …
Pap : Pas de souci Phil, je sais ce que c’est !
Moi : Mais bon, c’est quand même gênant !
Pap : J’en ai déjà vu d’autres. Bon je sors.
Moi : Désolé !
Pap : Tu n’as pas à être désolé Phil. Puis c’est tout à fait naturel.
Moi : Je sais papa, bon on va se lever. »
Papa referme la porte. Je réveille doucement Ben. Il ouvre enfin les yeux. Je remarque immédiatement le bleu océan de ceux-ci, sa tignasse blonde est étalée sur l’oreiller. Puis c’est un large sourire qui apparait en laissant voir ses dents blanches. Je dépose alors un baiser sur les lèvres de mon chéri. Nous nous embrassons à pleine bouche, laissant une nouvelle fois nos langues s’en donner à cœur joie. Ensuite nous nous levons.
Nous sommes tous à table pour le petit déjeuner. Le reste de la famille nous a attendu pour ce moment convivial. C’est curieux de voir que certaines choses sont devenues des rituels au sein de notre famille, ce sont des moments de partage importants. Jean est très souriant, je sais qui le rend si heureux, c’est qu’Amandine vient passer le week-end chez nous. Anne aussi est souriante, c’est la même chose pour elle, je sais que son amoureux lui aussi vient passer le week-end à la maison.
Ayant juste fini notre repas, nous entendons la sonnerie du téléphone. C’est Anne qui va répondre. Elle revient en disant que c’est Marc-Antoine qui veut nous parler, à Ben et à moi. Je vais avec Ben dans le hall et je dis à M-A :
Moi : « Bonjour M-A, que nous vaut cet appel téléphonique ?
M-A : Bonjour Phil, je suppose que Ben est avec toi ?
Ben : Oui, je suis là aussi ! (Un peu plus fort pour que M-A l’entende.)
Moi : Je mets le haut-parleur.
M-A : Parfais, comme ça vous entendrez ce que je vous propose.
Ben et moi : On t’écoute !
M-A : Voilà, j’ai eu deux contacts téléphoniques hier soir, de certains de vos équipiers JER qui souhaitent présenter le montage à leur famille. Je vous propose donc de venir cet après-midi vers quinze heures à la salle commune pour une présentation à vos familles !
Moi : C’est super, je vais demander à mes parents !
Je vais rejoindre la famille et j’explique ce qui est proposé. Tous sont emballés par l’idée. Ben lui est resté au téléphone avec M-A. Il lui a certainement dit qu’il devait prévenir ses parents. Je rejoins Ben et je dis à M-A :
Moi : C’est OK pour moi, je ne sais pas combien de personnes seront avec moi, cela dépend de ma sœur et de mon frère.
M-A : Pas de souci Phil, la salle est assez grande. J’attends la réponse de Ben, mais je suis certain que ce sera également « oui » !
Ben : Je contacte mes parents et je te resonne !
M-A : Parfait pour moi. Je suis heureux de voir que cela vous plaise aussi !
Moi et Ben : À tantôt M-A !
M-A : OK, à cet après-midi ! »
Sans attendre, Ben téléphone à ses parents. C’est Arlette qui décroche. Ben explique à sa maman ce qui est proposé par Marc-Antoine. Dans les deux minutes Ben sait que ses parents seront présents ainsi que sa sœur Christine et Denis son copain. Ben ne perd pas de temps et recontacte M-A. Celui-ci semble très content d’avoir tant de personnes qui adhèrent à cette proposition.
Nos attributs se sont réveillés, ils sont droits et indiquent le firmament. Je glisse à l’oreille de mon amoureux, d’attendre que nous soyons dans mon lit pour enfin nous donner du plaisir ou de nous aimer autrement.
Bref nous terminons notre toilette avant de retourner dans notre havre de paix, ma chambre. Nous nous mettons immédiatement sous la couette et sans attendre, nous nous embrassons, nos mains se baladent sur nos corps alanguis. Nos langues sont entrées dans une folle farandole, nous venons d’entrer dans notre bulle, dans notre monde. Plus rien ne vient nous perturber. Ben a un peu gêné avec son bras plâtré, je m’arrange pour lui laisser assez d’espace afin qu’il puisse se mouvoir. Nos bouches se séparent et c’est alors que nos regards se croisent, se noyant pour notre plus grand bonheur dans celui de l’autre. Je commence alors à embrasser le lobe de l’oreille droite de Ben. Je descends vers ses pectoraux que je titille amoureusement. Je vais voir si son nombril est réceptif à mes caresses buccales. Je sens déjà son phallus qui pointe vers mon menton, il n’en faut pas plus pour que je dépose de petits bisous sur son gland déjà très humide. Ma langue vient alors lécher son méat lubrifié par sa sécrétion pré-éjaculatoire. Finalement je me retire et je laisse Ben prendre l’initiative. Il fait presque comme moi, il me titille les oreilles, les mamelons, ses mains sont attardées sur mes flancs. Puis sans attendre Ben prends ma verge dans sa bouche et sa langue s’occupe de mon gland. Au bout de quelques minutes, Ben se redresse et laisse mon membre dressé, comme ça, dressé vers le plafond. Je remarque qu’il tente de se mettre à l’envers, soit tête bêche. J’ai compris qu’il veut savourer une belle sucette partagée. Nous nous plaçons en vue de nous goûter mutuellement. Je sais que Ben aime que nous nous sucions de concert. Inutile de dire que je suis enchanté par cette perspective. Nous nous occupons de la tige dressée de notre amoureux. Le gland du sexe de Ben est très humide. J’aime goûter cet élixir, je m’occupe de caresser avec ma langue le bout rose de son bâton d’amour. Puis je prends son attribut dans ma bouche, j’entame alors des mouvements de va et vient. Je sens que Ben lui aussi parcourt avec ses lèvres ma colonne de chair. Il calque ses mouvements sur ceux que je lui prodigue. Nous sommes en communion tant au niveau activité buccale mais aussi mentalement, sachant très bien ce que l’être aimé apprécie de ressentir. C’est comme dans un orchestre où tous les musiciens font partie d’un ensemble harmonique. Je sais que nous sommes sur un nuage, un nuage de bonheur, de communion entre deux êtres qui s’aiment. Puis je sens que Ben commence à arriver à un stade où il est difficile de résister, c’est à ce moment qu’il ressent tout le bonheur de la jouissance très proche, du moment de la libération de toutes ses hormones, là où dans un instant il va déverser sa semence au fond ma gorge. Moi-même j’arrive à l’étape du « non-retour », ce moment particulier où tout le bas-ventre est en chaleur et où les sensations les plus belles s’expriment. Puis c’est le moment d’extase, celui au le corps exulte, où il va se libérer de toute la tension due à l’amour ressenti envers son aimé, son chéri, sa moitié ! Je sens que Ben jouit enfin au fond de ma cavité buccale, moi de mon côté, je me laisse enfin aller pour inonder le palais de mon chéri de ma semence chaude. Nous avalons une partie du sperme de l’être tant désiré pour enfin de retrouver en tête à tête pour nous embrasser et échanger nos liqueurs d’amour. Notre baiser devient de plus en plus langoureux. C’est le moment suprême de notre relation, c’est le partage de nos sentiments, de nos jouissances, de nos spermes mélangés pour notre plus grand plaisir !
Nous nous affalons, fatigués mais heureux, côte à côte. Nous sommes toujours dans notre monde, sur notre planète d’amour, dans notre jardin d’Éden. C’est ainsi que sans dire un mot nous nous endormons, au-dessus de la couette, nus, apaisés et en parfaite communion.
Je ne sais pas quelle heure il peut être, mais j’entends que l’on frappe à la porte de la chambre. Je dis : « entrez » ! Je vois alors la tête de papa apparaitre. Il me dit qu’il est déjà neuf heures quinze. Je me rends compte que Ben et moi sommes nus, au-dessus de la couette. Puis je me rends compte que j’ai la gaule du matin, tout comme Ben. Je vois que papa sourit en nous voyant. Je dis alors :
Moi : « Désolé, mais …
Pap : Pas de souci Phil, je sais ce que c’est !
Moi : Mais bon, c’est quand même gênant !
Pap : J’en ai déjà vu d’autres. Bon je sors.
Moi : Désolé !
Pap : Tu n’as pas à être désolé Phil. Puis c’est tout à fait naturel.
Moi : Je sais papa, bon on va se lever. »
Papa referme la porte. Je réveille doucement Ben. Il ouvre enfin les yeux. Je remarque immédiatement le bleu océan de ceux-ci, sa tignasse blonde est étalée sur l’oreiller. Puis c’est un large sourire qui apparait en laissant voir ses dents blanches. Je dépose alors un baiser sur les lèvres de mon chéri. Nous nous embrassons à pleine bouche, laissant une nouvelle fois nos langues s’en donner à cœur joie. Ensuite nous nous levons.
Nous sommes tous à table pour le petit déjeuner. Le reste de la famille nous a attendu pour ce moment convivial. C’est curieux de voir que certaines choses sont devenues des rituels au sein de notre famille, ce sont des moments de partage importants. Jean est très souriant, je sais qui le rend si heureux, c’est qu’Amandine vient passer le week-end chez nous. Anne aussi est souriante, c’est la même chose pour elle, je sais que son amoureux lui aussi vient passer le week-end à la maison.
Ayant juste fini notre repas, nous entendons la sonnerie du téléphone. C’est Anne qui va répondre. Elle revient en disant que c’est Marc-Antoine qui veut nous parler, à Ben et à moi. Je vais avec Ben dans le hall et je dis à M-A :
Moi : « Bonjour M-A, que nous vaut cet appel téléphonique ?
M-A : Bonjour Phil, je suppose que Ben est avec toi ?
Ben : Oui, je suis là aussi ! (Un peu plus fort pour que M-A l’entende.)
Moi : Je mets le haut-parleur.
M-A : Parfais, comme ça vous entendrez ce que je vous propose.
Ben et moi : On t’écoute !
M-A : Voilà, j’ai eu deux contacts téléphoniques hier soir, de certains de vos équipiers JER qui souhaitent présenter le montage à leur famille. Je vous propose donc de venir cet après-midi vers quinze heures à la salle commune pour une présentation à vos familles !
Moi : C’est super, je vais demander à mes parents !
Je vais rejoindre la famille et j’explique ce qui est proposé. Tous sont emballés par l’idée. Ben lui est resté au téléphone avec M-A. Il lui a certainement dit qu’il devait prévenir ses parents. Je rejoins Ben et je dis à M-A :
Moi : C’est OK pour moi, je ne sais pas combien de personnes seront avec moi, cela dépend de ma sœur et de mon frère.
M-A : Pas de souci Phil, la salle est assez grande. J’attends la réponse de Ben, mais je suis certain que ce sera également « oui » !
Ben : Je contacte mes parents et je te resonne !
M-A : Parfait pour moi. Je suis heureux de voir que cela vous plaise aussi !
Moi et Ben : À tantôt M-A !
M-A : OK, à cet après-midi ! »
Sans attendre, Ben téléphone à ses parents. C’est Arlette qui décroche. Ben explique à sa maman ce qui est proposé par Marc-Antoine. Dans les deux minutes Ben sait que ses parents seront présents ainsi que sa sœur Christine et Denis son copain. Ben ne perd pas de temps et recontacte M-A. Celui-ci semble très content d’avoir tant de personnes qui adhèrent à cette proposition.