22-03-2022, 12:23 PM
(Modification du message : 22-03-2022, 12:41 PM par Philou0033.)
Chapitre 6.
"La vie reprend en mode mineur"
Nous rejoignons ensuite le local de réunion de l’unité scoute afin de préparer le matériel pour la présentation de la semaine prochaine. Nous plaçons les chaises, l’écran et la sono. Une fois que tout est prêt, nous répétons deux fois notre texte pour être bien certains que tout se passe bien. J’ai l’occasion de présenter le montage avec Gaby. Ben, quant à lui, le fait avec Alex. Tout semble aller comme sur des roulettes, c’est aussi le cas pour Raphaël et Philippe !
Nous sommes contents de ce qui a été présenté, Marc-André est enchanté. Il est déjà treize heures, soit le moment de manger un bout. Nous retournons dans notre petit local. Chacun déballe ses tartines ou ses sandwichs. Certains ont aussi des fruits, des bâtons de chocolat, quelques friandises et même un demi-saucisson. Je remarque que certains n’ont pas grand-chose. Je propose que nous mettions toute cette nourriture au milieu de la table et que nous partagions celle-ci. Nous essayons de ne pas prendre ce que chacun a apporté.
M-A semble conquis par cette proposition qui est alors soumise aux autres membres de l’équipe. Personne ne rouspète, nous sommes tous emballés par l’idée de partager. M-A de son côté dépose trois bouteilles de limonade sur la table et aussi des verres.
Nous disons alors le « benedicite » avant de commencer à manger. Bien qu’ayant apporté des sandwichs, je prends une tartine de fromage. C’est un gouda mi-vieux qui est très agréable aux papilles. Je demande qui l’a préparé, c’est Raphaël qui me répond. Les autres gars de l’équipe font la même chose. C’est Alex qui demande qui a fait les sandwichs à l’américain préparé, je réponds que c’est moi. Bref, nous avons l’occasion de découvrir d’autres saveurs que celles auxquelles nous sommes habitués. Finalement nous en retirons un très bon enseignement.
Je vois que Ben commence à tirer la tête. Je lui demande ce qu’il a. Il me répond qu’il a mal au bras. Marc-Antoine ayant entendu signale qu’il a des antidouleurs dans sa musette. Je vois que Ben affiche un large sourire, il est rassuré et très content de pouvoir atténuer ce qu’il ressent.
Le reste de la réunion est consacré à la mise en petits paquets des folders et autres documents relatifs à la lutte contre la lèpre et la tuberculose, émanant de l’action « Père Damien ». Un de ces petits paquets sera remis à chaque jeunes des sections. Il y a également un bulletin de virement-versement qui y est joint et qui est destiné aux parents en vue d’une participation à la récolte de fonds nécessaires pour sauver les populations malades.
Ben est ravi, l’antidouleur a fait « son travail ». Il va être temps de nous quitter. Nous savons que la présentation sera faite dans une semaine, soit dimanche prochain. Il ne faut pas oublier que samedi après-midi ce sont les staffs des sections qui verront le montage avant les jeunes. Nous avons chacun le texte complet en vue de répéter chez nous durant la semaine pour bien intégrer toutes les notions qui seront évoquées.
Nous saluons tout le monde et nous rejoignons la voiture d’Yves, c’est le papa de Ben qui nous reprend comme convenu. Durant le trajet, Ben explique le déroulement de la journée à son paternel. Il parle du repas partagé à midi, Yves est agréablement surpris. Bref nous voilà devant la maison. J’embrasse Ben et je lui souhaite une bonne soirée et une bonne semaine. Nous nous donnons rendez-vous chez lui vendredi soir.
Une fois à la maison, Jean et Anne me posent un tas de questions, sur l’état de Ben, sur ce que nous avons fait, etc. En guise de réponse je leur dit qu’ils doivent attendre que nos parents soient eux aussi près de nous. Maman termine ses préparations pour le souper et papa apporte l’apéro. Nous sommes installés dans le salon et tout le monde assis, avec un verre à la main, je raconte alors la journée.
Ma famille étant sensible aux problèmes des pays en voie de développement, mes parents sont contents d’apprendre notre démarche auprès des autres jeunes de l’unité et aussi de ce petit fascicule de renseignements remis à chacun d’eux. Je remets alors le bulletin de versement à papa qui me dit qu’il va en faire bon usage. Ma sœur et mon frère sont eux aussi très impressionnés par ce que j’ai expliqué. Je leur soumets les textes qui serviront à expliquer les diapositives qui seront présentées.
A l’issue de ce moment de partage, nous aidons maman à terminer la préparation du repas. Nous mangeons en famille, chacun peut s’exprimer et parler de ses idées. Après ce succulent souper, Jean et moi nous débarrassons la table. Anne range avec maman le reste de nourriture et la place dans le réfrigérateur. Papa s’occupe de la nappe et de la remise en place. Je souhaite ensuite une bonne nuit à ma famille et je monte dans ma chambre pour revoir mes cours pour le lendemain.
Je suis certain que nous allons avoir une ou deux interros en début de semaine. Je revois mes cours. Je remarque qu’il est déjà vingt-deux heures quinze. Il est temps de prendre ma douche et d’aller dormir. Je suis sous la douche, l’eau est chaude, mais pas trop. Je repense encore à Ben. Je sais qu’il va bien et que cet épisode de l’accident est à oublier. Mon pénis prend de plus en plus de volume. Je commence à me caresser doucement. Mon membre est maintenant dur comme tout. Je me masturbe allégrement en pensant à mon amoureux. Il ne faut pas attendre longtemps pour que je sente que je suis sur le point de jouir. Je ralentis mes mouvements le long de ma colonne de chair. Puis inexorablement ma semence se fraie un chemin pour enfin s’étaler sur mes doigts et la paroi de la douche. J’imagine que Ben a fait la même chose chez lui, dans sa chambre. Je rince les traces de ma jouissance avant de quitter la douche. Je m’essuie et je me couche, nu, sous la couette.
Le début de la semaine se passe très bien. J’ai bien fait de réviser mes cours après notre réunion d’équipe, car nous avons eu une interro en math et une autre en histoire. Nous avons assez bien de travail, dissertation de la semaine à remettre jeudi, interro prévue en chimie, … etc.
Mardi soir je vais au cours de judo. J’arrive juste à l’heure, Raphaël est déjà là, sur le tatami en judogi. Je vais me changer rapidement dans le vestiaire et je rejoins les autres juste avant le salut. Nous avons été très bien intégrés, Raphaël et moi, au sein du club. Raphaël est content et s’est ouvert un peu plus aux autres. Je remarque qu’il regarde de temps à autre vers la salle d’accueil qui sert de cafétéria et de salle d’attente pour les parents qui restent et qui regardent les judokas se donner à fond. Il y a souvent trois au quatre parents et cette fois je vois une jeune-fille cheveux bruns, portant des lunettes, d’un mètre septante-cinq environ, vêtue d’une robe et d’un chandail bleu marine qui lui sied bien et qui met en valeur son teint un peu mat. Elle regarde dans la direction de mon copain. Mais qui est cette fille ?
Le cours se poursuit et nous nous efforçons de bien intégrer les mouvements des trois groupes pour le kata du premier dan. Effectivement le cours d’aujourd’hui est un cours technique. Nous nous devons de connaître les mouvements à effectuer mais aussi le fait de bien se positionner pour exécuter ceux-ci, dans la limite des quatre mètres, en nous plaçant à l’endroit prévu pour soit débuter la progression, mais aussi à la fin de celle-ci, soit après la chute de uke (partenaire d’entraînement), chute contrôlée par son coéquipier, tori, (celui qui exécute le mouvement). Le cours se termine par un randori en vue de s’affronter entre partenaires et de placer l’une ou l’autre prise.
Comme à chaque fois nous sommes en nage. Il est donc question de prendre une douche après le cours. J’en profite pour demander à Raphaël s’il est accompagné :
Moi : « Raph, tu es accompagné ce soir ?
Rap : (Il me regarde) Oui Phil, c’est ma voisine qui voulait venir me voir pratiquer le judo.
Moi : C’est la jeune-fille brune avec sa robe et son chandail bleu ?
Rap : Oui, c’est elle !
Moi : Elle est belle, il y a quelque chose de plus, car elle te regardait avec attention et toi de ton côté tu cherchais son regard.
Rap : Oh Phil, tu es très observateur. Oui, j’aime bien être avec elle, cela fait quinze jours que nous nous fréquentons.
Moi : Et comment s’appelle cette voisine ?
Rap : C’est Martine.
Moi : Félicitations Raph.
Rap : Merci Phil. Tu sais, je tiens à elle, elle est super et très belle !
Moi : Je crois que tu es amoureux !
Rap : Oh oui Phil, je l’aime. Nous nous sommes déjà embrassés.
Moi : Je suis très heureux pour toi. Je vois que tu es beaucoup mieux dans tes baskets.
Rap : Oui Phil, j’ai osé l’aborder et depuis c’est le bonheur. C’est un peu grâce à toi, tu m’as boosté et forcé à me dépasser et à aller de l’avant.
Moi : J’en suis ravi. Bon, je pense qu’il est temps d’aller nous sécher. »
Je suis vraiment ravi pour Raphaël, il mérite d’être heureux. Je suis certain qu’il se sent bien mieux dans sa peau. Puis le fait d’avoir quelqu’un à qui parler, échanger et aimer va encore l’aider. Nous nous rhabillons et ensuite nous saluons Tony. Raphaël va retrouver Martine. Je l’accompagne et je suis suivi de Timothée. Raph nous présente sa petite-amie. Elle est très belle, et on voit dans ses yeux des étoiles quand ils se regardent. Nous nous faisons la bise. Timothée fait de même, il félicite Raphaël et il me fait un clin d’œil.
Nous sortons du dojo et je laisse les deux amoureux bras dessus bras dessous rentrer chez eux, ils habitent le même immeuble. Timothée fait quelques pas avec moi. Il me dit qu’il a compris que j’étais sincère en disant que Raphaël est un copain scout et non mon petit-ami !
"La vie reprend en mode mineur"
Nous rejoignons ensuite le local de réunion de l’unité scoute afin de préparer le matériel pour la présentation de la semaine prochaine. Nous plaçons les chaises, l’écran et la sono. Une fois que tout est prêt, nous répétons deux fois notre texte pour être bien certains que tout se passe bien. J’ai l’occasion de présenter le montage avec Gaby. Ben, quant à lui, le fait avec Alex. Tout semble aller comme sur des roulettes, c’est aussi le cas pour Raphaël et Philippe !
Nous sommes contents de ce qui a été présenté, Marc-André est enchanté. Il est déjà treize heures, soit le moment de manger un bout. Nous retournons dans notre petit local. Chacun déballe ses tartines ou ses sandwichs. Certains ont aussi des fruits, des bâtons de chocolat, quelques friandises et même un demi-saucisson. Je remarque que certains n’ont pas grand-chose. Je propose que nous mettions toute cette nourriture au milieu de la table et que nous partagions celle-ci. Nous essayons de ne pas prendre ce que chacun a apporté.
M-A semble conquis par cette proposition qui est alors soumise aux autres membres de l’équipe. Personne ne rouspète, nous sommes tous emballés par l’idée de partager. M-A de son côté dépose trois bouteilles de limonade sur la table et aussi des verres.
Nous disons alors le « benedicite » avant de commencer à manger. Bien qu’ayant apporté des sandwichs, je prends une tartine de fromage. C’est un gouda mi-vieux qui est très agréable aux papilles. Je demande qui l’a préparé, c’est Raphaël qui me répond. Les autres gars de l’équipe font la même chose. C’est Alex qui demande qui a fait les sandwichs à l’américain préparé, je réponds que c’est moi. Bref, nous avons l’occasion de découvrir d’autres saveurs que celles auxquelles nous sommes habitués. Finalement nous en retirons un très bon enseignement.
Je vois que Ben commence à tirer la tête. Je lui demande ce qu’il a. Il me répond qu’il a mal au bras. Marc-Antoine ayant entendu signale qu’il a des antidouleurs dans sa musette. Je vois que Ben affiche un large sourire, il est rassuré et très content de pouvoir atténuer ce qu’il ressent.
Le reste de la réunion est consacré à la mise en petits paquets des folders et autres documents relatifs à la lutte contre la lèpre et la tuberculose, émanant de l’action « Père Damien ». Un de ces petits paquets sera remis à chaque jeunes des sections. Il y a également un bulletin de virement-versement qui y est joint et qui est destiné aux parents en vue d’une participation à la récolte de fonds nécessaires pour sauver les populations malades.
Ben est ravi, l’antidouleur a fait « son travail ». Il va être temps de nous quitter. Nous savons que la présentation sera faite dans une semaine, soit dimanche prochain. Il ne faut pas oublier que samedi après-midi ce sont les staffs des sections qui verront le montage avant les jeunes. Nous avons chacun le texte complet en vue de répéter chez nous durant la semaine pour bien intégrer toutes les notions qui seront évoquées.
Nous saluons tout le monde et nous rejoignons la voiture d’Yves, c’est le papa de Ben qui nous reprend comme convenu. Durant le trajet, Ben explique le déroulement de la journée à son paternel. Il parle du repas partagé à midi, Yves est agréablement surpris. Bref nous voilà devant la maison. J’embrasse Ben et je lui souhaite une bonne soirée et une bonne semaine. Nous nous donnons rendez-vous chez lui vendredi soir.
Une fois à la maison, Jean et Anne me posent un tas de questions, sur l’état de Ben, sur ce que nous avons fait, etc. En guise de réponse je leur dit qu’ils doivent attendre que nos parents soient eux aussi près de nous. Maman termine ses préparations pour le souper et papa apporte l’apéro. Nous sommes installés dans le salon et tout le monde assis, avec un verre à la main, je raconte alors la journée.
Ma famille étant sensible aux problèmes des pays en voie de développement, mes parents sont contents d’apprendre notre démarche auprès des autres jeunes de l’unité et aussi de ce petit fascicule de renseignements remis à chacun d’eux. Je remets alors le bulletin de versement à papa qui me dit qu’il va en faire bon usage. Ma sœur et mon frère sont eux aussi très impressionnés par ce que j’ai expliqué. Je leur soumets les textes qui serviront à expliquer les diapositives qui seront présentées.
A l’issue de ce moment de partage, nous aidons maman à terminer la préparation du repas. Nous mangeons en famille, chacun peut s’exprimer et parler de ses idées. Après ce succulent souper, Jean et moi nous débarrassons la table. Anne range avec maman le reste de nourriture et la place dans le réfrigérateur. Papa s’occupe de la nappe et de la remise en place. Je souhaite ensuite une bonne nuit à ma famille et je monte dans ma chambre pour revoir mes cours pour le lendemain.
Je suis certain que nous allons avoir une ou deux interros en début de semaine. Je revois mes cours. Je remarque qu’il est déjà vingt-deux heures quinze. Il est temps de prendre ma douche et d’aller dormir. Je suis sous la douche, l’eau est chaude, mais pas trop. Je repense encore à Ben. Je sais qu’il va bien et que cet épisode de l’accident est à oublier. Mon pénis prend de plus en plus de volume. Je commence à me caresser doucement. Mon membre est maintenant dur comme tout. Je me masturbe allégrement en pensant à mon amoureux. Il ne faut pas attendre longtemps pour que je sente que je suis sur le point de jouir. Je ralentis mes mouvements le long de ma colonne de chair. Puis inexorablement ma semence se fraie un chemin pour enfin s’étaler sur mes doigts et la paroi de la douche. J’imagine que Ben a fait la même chose chez lui, dans sa chambre. Je rince les traces de ma jouissance avant de quitter la douche. Je m’essuie et je me couche, nu, sous la couette.
Le début de la semaine se passe très bien. J’ai bien fait de réviser mes cours après notre réunion d’équipe, car nous avons eu une interro en math et une autre en histoire. Nous avons assez bien de travail, dissertation de la semaine à remettre jeudi, interro prévue en chimie, … etc.
Mardi soir je vais au cours de judo. J’arrive juste à l’heure, Raphaël est déjà là, sur le tatami en judogi. Je vais me changer rapidement dans le vestiaire et je rejoins les autres juste avant le salut. Nous avons été très bien intégrés, Raphaël et moi, au sein du club. Raphaël est content et s’est ouvert un peu plus aux autres. Je remarque qu’il regarde de temps à autre vers la salle d’accueil qui sert de cafétéria et de salle d’attente pour les parents qui restent et qui regardent les judokas se donner à fond. Il y a souvent trois au quatre parents et cette fois je vois une jeune-fille cheveux bruns, portant des lunettes, d’un mètre septante-cinq environ, vêtue d’une robe et d’un chandail bleu marine qui lui sied bien et qui met en valeur son teint un peu mat. Elle regarde dans la direction de mon copain. Mais qui est cette fille ?
Le cours se poursuit et nous nous efforçons de bien intégrer les mouvements des trois groupes pour le kata du premier dan. Effectivement le cours d’aujourd’hui est un cours technique. Nous nous devons de connaître les mouvements à effectuer mais aussi le fait de bien se positionner pour exécuter ceux-ci, dans la limite des quatre mètres, en nous plaçant à l’endroit prévu pour soit débuter la progression, mais aussi à la fin de celle-ci, soit après la chute de uke (partenaire d’entraînement), chute contrôlée par son coéquipier, tori, (celui qui exécute le mouvement). Le cours se termine par un randori en vue de s’affronter entre partenaires et de placer l’une ou l’autre prise.
Comme à chaque fois nous sommes en nage. Il est donc question de prendre une douche après le cours. J’en profite pour demander à Raphaël s’il est accompagné :
Moi : « Raph, tu es accompagné ce soir ?
Rap : (Il me regarde) Oui Phil, c’est ma voisine qui voulait venir me voir pratiquer le judo.
Moi : C’est la jeune-fille brune avec sa robe et son chandail bleu ?
Rap : Oui, c’est elle !
Moi : Elle est belle, il y a quelque chose de plus, car elle te regardait avec attention et toi de ton côté tu cherchais son regard.
Rap : Oh Phil, tu es très observateur. Oui, j’aime bien être avec elle, cela fait quinze jours que nous nous fréquentons.
Moi : Et comment s’appelle cette voisine ?
Rap : C’est Martine.
Moi : Félicitations Raph.
Rap : Merci Phil. Tu sais, je tiens à elle, elle est super et très belle !
Moi : Je crois que tu es amoureux !
Rap : Oh oui Phil, je l’aime. Nous nous sommes déjà embrassés.
Moi : Je suis très heureux pour toi. Je vois que tu es beaucoup mieux dans tes baskets.
Rap : Oui Phil, j’ai osé l’aborder et depuis c’est le bonheur. C’est un peu grâce à toi, tu m’as boosté et forcé à me dépasser et à aller de l’avant.
Moi : J’en suis ravi. Bon, je pense qu’il est temps d’aller nous sécher. »
Je suis vraiment ravi pour Raphaël, il mérite d’être heureux. Je suis certain qu’il se sent bien mieux dans sa peau. Puis le fait d’avoir quelqu’un à qui parler, échanger et aimer va encore l’aider. Nous nous rhabillons et ensuite nous saluons Tony. Raphaël va retrouver Martine. Je l’accompagne et je suis suivi de Timothée. Raph nous présente sa petite-amie. Elle est très belle, et on voit dans ses yeux des étoiles quand ils se regardent. Nous nous faisons la bise. Timothée fait de même, il félicite Raphaël et il me fait un clin d’œil.
Nous sortons du dojo et je laisse les deux amoureux bras dessus bras dessous rentrer chez eux, ils habitent le même immeuble. Timothée fait quelques pas avec moi. Il me dit qu’il a compris que j’étais sincère en disant que Raphaël est un copain scout et non mon petit-ami !