NDA Je fais parfois des modifications dans les épisodes précédents en fonction de mes nouvelles idées, ce qui peut provoquer des incohérences avec ce que vous avez lu il y a quelques jours et ce que vous lisez maintenant. Je ne vais signaler que les plus importantes. Je ne concrétise pas non plus tout ce que j’évoque dans les commentaires, j’ai par exemple renoncé à une écriture théâtrale qui aurait rendu le récit confus, après avoir fait un essai. Les personnages auront cependant d’autres noms lorsqu’ils joueront une saynète.
Avertissement : cet épisode fera allusion aux érastes et éromènes. Contrairement aux mœurs antiques, mes éphèbes ont 18 ans ou plus et auront tous l’occasion de vous prouver qu’ils sont pubères (pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, il n’en reste plus beaucoup).
Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (5)
Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay
Les confrères désignés pour la première ronde montèrent les uns après les autres sur l’estrade. Ils nouèrent un bandeau noir sur les yeux des novices dont ils prendraient soin avant de les guider nus dans les caves du château, comme le voulait la tradition. Les jeunes gens ne virent pas les gros tonneaux de bois remplis de vin, ils en sentirent seulement l’odeur. Le dernier était factice, l’avant s’ouvrait comme une porte et menait à une deuxième cave voûtée, plus grande que la première, qui s’enfonçait loin dans le rocher. De chaque côté d’un couloir se trouvaient les alcôves, séparées par des cloisons de bois. Au fond, il y avait une grande pièce avec des lits pour les ébats libres ; un bassin pour se baigner ; des toilettes et une sortie de secours. La cave était éclairée uniquement avec des torches, un système moderne de chauffage et de ventilation assurait une ambiance agréable et un air pur. Il y avait aussi un petit vestiaire à l’entrée, certains s’y arrêtèrent pour que le Culottier pût les vêtir des habits correspondant à l’alcôve, d’autres seraient nus dès le début.
Première alcôve, Grèce Antique
La première alcôve était une pièce d’inspiration grecque : sol en mosaïque usée représentant deux hommes enlacés, le pénis dressé ; une table derrière laquelle était assis Le Gouverneur ; un divan bas ; une vasque remplie d’eau, recouverte d’un tissu qui ressemblait à une courte étole ; la statuette d’un éphèbe nu. Les trois hommes avaient mis des exomides, tuniques ne couvrant que le sein gauche et le bassin. Celle de l’arpète était entièrement blanche, les autres avaient un liseré rouge.
L’Échanson expliqua à François-Xavier, qui avait toujours les yeux bandés, comment se déroulerait le jeu :
— Mon père s’appellera Épaminondas, il est un riche propriétaire terrien et on lui confie souvent des éromènes. Je suis son fils Aphrodise, je désire aussi devenir éraste. Et toi, tu es Antinoüs, l’éromène. Tu as compris ?
— Oui, j’ai compris, dit FX, mais je ne sais pas ce que je devrai dire ou faire.
— Cela n’a pas d’importance, c’est de l’improvisation. Appelle mon père « Maître ». On te dira ce qu’il faut faire, ne t’inquiète pas. Allons-y.
— Quel bon vent t’amène, ô mon fils Aphrodise ?
— Les vents nous ont été favorables, ô mon père Épaminondas, la traversée de Cythère fut calme et rapide.
— Parfait. Quel est ce bel éphèbe qui t’accompagne ?
— Te rappelles-tu de Théophylacte ? Nous le baisâmes souvent aux balnéions.
— Je m’en souviens. Ne s’est-il pas marié ensuite ?
— Comme nous tous, hélas. La nature n’est pas bien faite qui ne permet point aux hommes de procréer sans les femmes. Théophylacte était sur le bateau avec son fils, Antinoüs, que j’ai l’honneur de te présenter.
— Encore plus beau que son père. A-t-il un joli membre ?
— Je n’ai pas pu le voir, hélas, le jeune Antinoüs est très pudique, il se cachait pour pisser dans la mer. Son père m’a glissé à l’oreille qu’il n’est pas très long.
— C’est bien ainsi, les gros membres sont vulgaires.
— Théophylacte aimerait que tu fasses l’éducation de son fils, si tu es d’accord. Il est encore vierge.
— Je ne peux rien refuser à un vieil ami.
Épaminondas se leva et se mit en face d’Antinoüs :
— Bonjour, jeune homme.
— Bonjour, euh… Maître.
— Ne sois pas intimidé, tout se passera bien. Est-ce exact que tu es vierge ?
— Oui, Maître.
— Tu n’as même pas essayé d’enfoncer ta queue dans la chatte d’une esclave ?
— Ou dans le cul d’un esclave ? fit Aphrodise en riant.
— Non, Maître, jamais.
— Mais tu peux laisser échapper ta semence, Antinoüs ? C’est la condition pour devenir éromène chez moi.
— Oui, Maître, je peux et je le fais souvent.
— Nous allons vérifier tout de suite. Mon fils Aphrodise me secondera.
Aphrodise se plaça derrière Antinoüs, enleva la ceinture de l’exomide de l’éromène et dégrafa la fibule sur l’épaule. Le tissu tomba sur le sol.
— Très bel organe, dit Épaminondas, bien proportionné et intact, comme l’aiment les Grecs. Tu pourrais devenir le modèle d’un sculpteur.
L’éraste caressa le pénis jusqu’à ce qu’il prît ses aises. Aphrodise plaqua le sien, également dressé, contre les fesses d’Antinoüs.
Épaminondas s’agenouilla devant son éronème, signe du respect qu’il avait pour lui, sa langue s’approcha du gland décalotté pour titiller le frein, avant de gober le gland.
Les confrères qui n’étaient pas occupés à initier un novice se promenaient dans le couloir de la cave, s’arrêtant un instant lorsque l’un des spectacles les intéressait. Ils n’avaient pas le droit de toucher leurs membres sous leurs capes. Le Conseiller au Trésor était resté à la hauteur de la première alcôve.
Épaminondas sentit qu’Antinoüs allait bientôt jouir, il enleva le membre de sa bouche pour que tous les spectateurs pussent voir les jets de sperme tomber sur la mosaïque. Il prit ensuite l’étole, en trempa un bout dans l’eau puis lava le sexe et l’anus de l’éromène avant de le sécher avec l’autre bout.
— Ô mon fils Aphrodise, fit Épaminondas, tu me semble bien disposé, je devine ton phallus sous ton exomide, voudrais-tu déflorer Antinoüs ?
— Ô mon père Épaminondas, c’est trop d’honneur que tu me fais.
— Es-tu d’accord, Antinoüs ?
— Euh, oui, Maître.
Aphrodise aida l’éromène à monter sur le divan bas, à se mettre à quatre pattes, les avant-bras posés sur un coussin. Pendant qu’Aphrodise se déshabillait, se plaçait à genoux derrière Antinoüs et déroulait un préservatif sur son pénis bandé, Épaminondas prépara la rosette du jeune homme en l’assouplissant avec un lubrifiant.
Le silence était palpable lorsque le phallus força l’ouverture pour entrer dans le corps de l’éromène qui ne put retenir un petit cri, tandis qu’Épaminondas lui massait légèrement le dos. Aphrodise avait des mouvements doux et lents, il ne pensait pas à son propre plaisir et ne jouit pas avant de ressortir son pénis sur un ordre de l’éraste qui aida Antinoüs à se relever.
— C’est déjà fini ? demanda-t-il.
— Oui, c’est suffisant pour la première fois, dit Épaminondas, tu auras bien d’autres occasions. Tu as aimé ?
— Ce n’était pas désagréable, mais c’est une sensation tellement nouvelle pour moi.
L’éraste lava à nouveau les fesses de l’éromène avant de lui enlever le bandeau. Outre la surprise de se trouver dans cette pièce grecque éclairée par des torches, François-Xavier vit son père qui s’avançait vers lui en riant. Celui-ci lui posa les mains sur les épaules en disant :
— Bravo ! Tu es un homme, mon fils !
— Ouais, je ne m’étais pas imaginé que cela se passerait ainsi.
— Comment te l’étais-tu imaginé ?
— Mon zizi qui met une petite graine dans le ventre d’une fille.
— Et on aurait eu un marmot… Ici, pas de risque. Bon, si tu veux nous faire des petits-enfants plus tard, on ne dira pas non. Il y a des bateaux à voile et à vapeur sur le Léman.
Avertissement : cet épisode fera allusion aux érastes et éromènes. Contrairement aux mœurs antiques, mes éphèbes ont 18 ans ou plus et auront tous l’occasion de vous prouver qu’ils sont pubères (pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, il n’en reste plus beaucoup).
Chapitre 13 - La Confrérie de Vincelard (5)
Samedi 12 septembre 1964, château de Vincelard, Blonay
Les confrères désignés pour la première ronde montèrent les uns après les autres sur l’estrade. Ils nouèrent un bandeau noir sur les yeux des novices dont ils prendraient soin avant de les guider nus dans les caves du château, comme le voulait la tradition. Les jeunes gens ne virent pas les gros tonneaux de bois remplis de vin, ils en sentirent seulement l’odeur. Le dernier était factice, l’avant s’ouvrait comme une porte et menait à une deuxième cave voûtée, plus grande que la première, qui s’enfonçait loin dans le rocher. De chaque côté d’un couloir se trouvaient les alcôves, séparées par des cloisons de bois. Au fond, il y avait une grande pièce avec des lits pour les ébats libres ; un bassin pour se baigner ; des toilettes et une sortie de secours. La cave était éclairée uniquement avec des torches, un système moderne de chauffage et de ventilation assurait une ambiance agréable et un air pur. Il y avait aussi un petit vestiaire à l’entrée, certains s’y arrêtèrent pour que le Culottier pût les vêtir des habits correspondant à l’alcôve, d’autres seraient nus dès le début.
Première alcôve, Grèce Antique
La première alcôve était une pièce d’inspiration grecque : sol en mosaïque usée représentant deux hommes enlacés, le pénis dressé ; une table derrière laquelle était assis Le Gouverneur ; un divan bas ; une vasque remplie d’eau, recouverte d’un tissu qui ressemblait à une courte étole ; la statuette d’un éphèbe nu. Les trois hommes avaient mis des exomides, tuniques ne couvrant que le sein gauche et le bassin. Celle de l’arpète était entièrement blanche, les autres avaient un liseré rouge.
L’Échanson expliqua à François-Xavier, qui avait toujours les yeux bandés, comment se déroulerait le jeu :
— Mon père s’appellera Épaminondas, il est un riche propriétaire terrien et on lui confie souvent des éromènes. Je suis son fils Aphrodise, je désire aussi devenir éraste. Et toi, tu es Antinoüs, l’éromène. Tu as compris ?
— Oui, j’ai compris, dit FX, mais je ne sais pas ce que je devrai dire ou faire.
— Cela n’a pas d’importance, c’est de l’improvisation. Appelle mon père « Maître ». On te dira ce qu’il faut faire, ne t’inquiète pas. Allons-y.
— Quel bon vent t’amène, ô mon fils Aphrodise ?
— Les vents nous ont été favorables, ô mon père Épaminondas, la traversée de Cythère fut calme et rapide.
— Parfait. Quel est ce bel éphèbe qui t’accompagne ?
— Te rappelles-tu de Théophylacte ? Nous le baisâmes souvent aux balnéions.
— Je m’en souviens. Ne s’est-il pas marié ensuite ?
— Comme nous tous, hélas. La nature n’est pas bien faite qui ne permet point aux hommes de procréer sans les femmes. Théophylacte était sur le bateau avec son fils, Antinoüs, que j’ai l’honneur de te présenter.
— Encore plus beau que son père. A-t-il un joli membre ?
— Je n’ai pas pu le voir, hélas, le jeune Antinoüs est très pudique, il se cachait pour pisser dans la mer. Son père m’a glissé à l’oreille qu’il n’est pas très long.
— C’est bien ainsi, les gros membres sont vulgaires.
— Théophylacte aimerait que tu fasses l’éducation de son fils, si tu es d’accord. Il est encore vierge.
— Je ne peux rien refuser à un vieil ami.
Épaminondas se leva et se mit en face d’Antinoüs :
— Bonjour, jeune homme.
— Bonjour, euh… Maître.
— Ne sois pas intimidé, tout se passera bien. Est-ce exact que tu es vierge ?
— Oui, Maître.
— Tu n’as même pas essayé d’enfoncer ta queue dans la chatte d’une esclave ?
— Ou dans le cul d’un esclave ? fit Aphrodise en riant.
— Non, Maître, jamais.
— Mais tu peux laisser échapper ta semence, Antinoüs ? C’est la condition pour devenir éromène chez moi.
— Oui, Maître, je peux et je le fais souvent.
— Nous allons vérifier tout de suite. Mon fils Aphrodise me secondera.
Aphrodise se plaça derrière Antinoüs, enleva la ceinture de l’exomide de l’éromène et dégrafa la fibule sur l’épaule. Le tissu tomba sur le sol.
— Très bel organe, dit Épaminondas, bien proportionné et intact, comme l’aiment les Grecs. Tu pourrais devenir le modèle d’un sculpteur.
L’éraste caressa le pénis jusqu’à ce qu’il prît ses aises. Aphrodise plaqua le sien, également dressé, contre les fesses d’Antinoüs.
Épaminondas s’agenouilla devant son éronème, signe du respect qu’il avait pour lui, sa langue s’approcha du gland décalotté pour titiller le frein, avant de gober le gland.
Les confrères qui n’étaient pas occupés à initier un novice se promenaient dans le couloir de la cave, s’arrêtant un instant lorsque l’un des spectacles les intéressait. Ils n’avaient pas le droit de toucher leurs membres sous leurs capes. Le Conseiller au Trésor était resté à la hauteur de la première alcôve.
Épaminondas sentit qu’Antinoüs allait bientôt jouir, il enleva le membre de sa bouche pour que tous les spectateurs pussent voir les jets de sperme tomber sur la mosaïque. Il prit ensuite l’étole, en trempa un bout dans l’eau puis lava le sexe et l’anus de l’éromène avant de le sécher avec l’autre bout.
— Ô mon fils Aphrodise, fit Épaminondas, tu me semble bien disposé, je devine ton phallus sous ton exomide, voudrais-tu déflorer Antinoüs ?
— Ô mon père Épaminondas, c’est trop d’honneur que tu me fais.
— Es-tu d’accord, Antinoüs ?
— Euh, oui, Maître.
Aphrodise aida l’éromène à monter sur le divan bas, à se mettre à quatre pattes, les avant-bras posés sur un coussin. Pendant qu’Aphrodise se déshabillait, se plaçait à genoux derrière Antinoüs et déroulait un préservatif sur son pénis bandé, Épaminondas prépara la rosette du jeune homme en l’assouplissant avec un lubrifiant.
Le silence était palpable lorsque le phallus força l’ouverture pour entrer dans le corps de l’éromène qui ne put retenir un petit cri, tandis qu’Épaminondas lui massait légèrement le dos. Aphrodise avait des mouvements doux et lents, il ne pensait pas à son propre plaisir et ne jouit pas avant de ressortir son pénis sur un ordre de l’éraste qui aida Antinoüs à se relever.
— C’est déjà fini ? demanda-t-il.
— Oui, c’est suffisant pour la première fois, dit Épaminondas, tu auras bien d’autres occasions. Tu as aimé ?
— Ce n’était pas désagréable, mais c’est une sensation tellement nouvelle pour moi.
L’éraste lava à nouveau les fesses de l’éromène avant de lui enlever le bandeau. Outre la surprise de se trouver dans cette pièce grecque éclairée par des torches, François-Xavier vit son père qui s’avançait vers lui en riant. Celui-ci lui posa les mains sur les épaules en disant :
— Bravo ! Tu es un homme, mon fils !
— Ouais, je ne m’étais pas imaginé que cela se passerait ainsi.
— Comment te l’étais-tu imaginé ?
— Mon zizi qui met une petite graine dans le ventre d’une fille.
— Et on aurait eu un marmot… Ici, pas de risque. Bon, si tu veux nous faire des petits-enfants plus tard, on ne dira pas non. Il y a des bateaux à voile et à vapeur sur le Léman.
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