21-07-2020, 10:29 AM
Premier réveil prometteur.
Au matin, j’avais ouvert un œil et j’ai pu voir que Julien dormait encore. Nous étions collés l’un à l’autre. Déjà un rayon de soleil passait au travers des persiennes et éclairait le lit. Je venais alors de me rendre compte que Julien avait le sexe bandé, il avait une érection matinale bien prononcée. Cette vue du sexe bandé de Julien me rendit toutes mes ardeurs, mon sexe s’était redressé en quelques instants. Je bandais bel et bien, j’étais une nouvelle fois excité à la vue de cette queue bandée. Ne pouvant résister, j’avais placé ma main sur cette colonne de chaire qui était là a attendre qu’on s’occupe d’elle. J’avais fait quelques mouvements de va et vient et déjà Julien ouvrait les yeux. Il laissa son regard rencontrer le mien et il esquissa une sourire. Déjà sa main s’était emparée de mon sexe et elle lui appliquait une lente et délicate masturbation. Nos lèvres s’étaient à nouveau trouvées, nos langues s’étaient mêlées et nous avions échangé un long baiser. Nous nous étions alors mis tête bêche et j’avais pour la première fois pu goûter le sexe d’un homme. De son côté Julien avait mis mon sexe dans sa bouche et avec sa langue, il me léchait le gland. Je calquais mes caresses buccales à celles qu’il me procurait. Je sentais ma queue se gonfler encore plus et j’appréciais cette sensation de bien-être et d’humidité à la fois. Je sentais mon bas ventre brûler au plus profond, je m’appliquais à donner à Julien des sensations pareilles à celles qu’il me donnait. Je sentais que Julien était sur le point d’éjaculer, je faisais tout pour qu’il ne sorte pas son sexe de ma bouche, je voulais goûter à sa semence, je voulais connaître le goût de son sperme, ayant déjà testé avec le mien lors d’une de mes branlettes solitaires. Puis j’avais senti des soubresauts et quatre jets de sperme étaient venu s’écraser au fond de ma gorge. J’avais pu me rendre compte que son sperme était plus âcre que le mien, mais il avait bon goût quand même, et j’avais avalé son nectar. Moi de mon côté je sentais que la sève allait monté et j’étais prêt à déverser ma semence dans la bouche de Julien, car Julien lui aussi faisait tout pour garder ma queue dans sa bouche. Puis je m’étais cabré et j’avais laissé jaillir quatre à cinq jets de sperme dans le fond de la gorge de Julien.
Une fois remis de nos émotions, nous nous sommes regardés et nous avons échangé un « merci ». Nos bouches se sont une nouvelle fois unies dans un long baiser fougueux.
Une journée de « découvertes ».
Une fois debout, nous nous sommes rendus dans le jardin pour piquer une tête dans la piscine, nus tous les deux. Nous nous sommes amusés à nous couler l’un l’autre, à nous frotter l’un à l’autre, à mieux nous connaître. Nous étions déjà depuis plus d’une heure dans l’eau lorsque ma sœur Delphine est apparue sur la terrasse près de la piscine ; elle portait un peignoir sur elle. Elle s’adressa à nous en disant : « Alors on s’amuse les mecs ! ». Un peu gêné, Julien avait mis ses mains devant ses attributs. Quant à moi, je suis resté tout à fait naturel, j’avais depuis mon jeune âge pris l’habitude de me montrer parfois nu devant mes parents, mon frère et ma sœur. Delphine s’était approchée de la piscine et avait enlevé son peignoir. Elle était maintenant nue devant nous. Elle s’est alors glissée dans l’eau pour y faire quelques brasses. Julien s’est un peu décontracté et a ôté ses mains qui cachaient son sexe, voyant que ma sœur n’y prêtait pas d’attention. Nous avons alors nagé à trois durant une bonne demi-heure. Puis c’est Stef qui est apparue sur la terrasse. Elle était vêtue de sa robe nuit. Nous lui avons demandé tous les trois de venir nous rejoindre dans la piscine. Delphine, voyant que Stef n’osait pas enlever sa robe de nuit, lui expliquait qu’il n’y avait pas à avoir honte de se montrer nue devant Julien et moi, et que pour elle, elles s’étaient déjà vues nues. Bref au bout de cinq bonnes minutes de palabres, Stef a ôté sa robe de nuit pour venir nous rejoindre nue dans l’eau. Nous avons encore joué ensemble pendant un bon moment dans la piscine.
Une fois séchés et rhabillés, nous avons pris un bon déjeuner ensemble sur la terrasse. Une balade en vélo avait été programmée pour l’après-midi. Alors que Julien et Stef préparaient les vélos, Delphine et moi nous faisions la vaisselle. Durant la vaisselle, Delphine m’a dit : « Ce matin je vous ai vu Julien et toi dans la piscine. Je vous ai vu en train de jouer, en train de vous frôler, de vous caresser ».
Puis elle avait ajouté : « J’ai aussi vu l’état de ton lit à l’issue de la nuit ».
Moi : « Tu es allé voir dans ma chambre ! ».
Elle dit : « Oui, on dirait que vous avez passé du bon temps toi et Julien. »
Moi : « Tu ne diras rien aux parents ! ».
Elle se pressa de dire : « Non je ne dirais rien aux parents, c’est promis. Et toi aussi il faut que ne dise rien sur moi et Stef. »
Moi : « Non c’est promis, juré ».
Elle ajouta : « Je trouve que Julien et toi vous allez bien ensemble ».
Moi : « Tu crois ! »
Ma sœur avait donc découvert que j’étais homo. Elle de son côté elle était lesbienne. De plus c’était avec une fille et un garçon de la même famille.
Delphine lors de cette balade en vélo, m’a aussi confié que son amie Stef ne savait rien pour la relation qui était née entre moi et Julien. Elle ajouta aussi que Stef ne savait pas non plus que j’étais au courant pour sa relation avec elle. Il fallait donc faire attention.
A l’issue de la balade en vélo, nous avions tous les quatre décidé d’aller nous baigner dans la piscine. Pour moi et Julien, ni une ni deux nous voilà nus, et hop dans l’eau. Delphine et Stef nous ont suivi, elle se sont mises nues aussi pour aller dans l’eau.
Nous avions passé encore un bon moment à quatre. Julien était souvent collé à moi mais il en était de même pour Stef et Delphine. Je n’osais pas aller trop loin avec Julien, lui aussi de son côté il se retenait d’avoir des gestes trop voyant. Il semblait qu’il en était de même pour Delphine et Stef, elles faisaient elles aussi attention à leurs gestes.
Nous sommes alors passés à table pour le dîner. Ensuite le temps a changé, il s’était mis à pleuvoir. Plus question d’aller dehors. Nous allions devoir passer la soirée à l’intérieur.
Une bonne soirée.
Nous nous sommes installés dans le salon pour passer un bon film. Delphine passa un dvd avec Louis de Funes, « Le gendarme et les gendarmettes ». Nous avions bien rit tous les quatre. J’étais dans un divan avec Julien et les filles dans un autre divan. Nous étions très près l’un de l’autre, nos mains se frôlaient souvent. Nous avions peur d’aller plus loin devant les filles.
A l’issue du film, Delphine et Stef sont montées pour se coucher. Julien et moi nous sommes restés au salon et nous avons lancé un dvd d’aventure avec des pirates. Nous étions Julien et moi blottis dans le divan devant la télévision. Nous regardions le film en nous tenant par la main, Julien avait mis sa tête au creux de mon épaule. Puis Julien a tourné la tête vers moi en me disant :
« Je suis bien avec toi, je ne savais pas que j’allais aimer un garçon comme toi. »
Je lui ai répondu :
« Moi aussi je suis bien avec toi, mais moi je savais que j’étais porté pour les garçons avant de te rencontrer. »
Julien dit :
« As-tu déjà été plus loin avec un autre garçon ? »
Je lui ai répondu :
« Oui, enfin un peu, il y a quelque temps j’ai essayé de sodomiser un de mes copains, mais je me suis arrêté car il criait de mal. »
Julien dit :
« Tu crois que ça fait mal ? »
Moi :
« Je ne sais pas, je ne me suis pas encore fait sodomiser ! »
Julien ajoute alors :
« J’ai envie d’essayer avec toi ! »
Moi :
« Tu en as vraiment envie, tu veux que je te prenne par derrière ? »
Julien dit :
« Oui, je veux faire cette expérience avec toi, car j’ai confiance en toi. »
Moi :
« Si tu le veux, c’est oui, mais je te rappelle que pour moi, c’est aussi une première fois. »
Pour toute réponse Julien pose ses lèvres sur les miennes et me donne un long et tendre baiser. Je sens déjà mon sexe prendre de la place dans mon slip. Le devant du pantalon de Julien présente une protubérance sur le devant. Nous sommes excités. Nous nous caressons le dos, nous nous embrassons, nous nous cajolons. Julien défait alors les boutons de ma chemise, j’ôte le tee-shirt de Julien. Julien défait la ceinture de mon pantalon et ouvre la braguette, je fais de même avec le pantalon le sien. Nous sommes maintenant en slip tous les deux, assis sur le divan du salon. Julien ôte doucement mon slip et mon sexe est alors libéré, il pointe vers le plafond. J’ôte aussi le slip de Julien et son sexe lui aussi regarde les étoiles. Nous nous embrassons une nouvelle fois. Nos langues se titilles, nos salives se mélangent, nous sommes sur une autre planète. Julien me demande me mettre sur le ventre dans le divan, il crache sur mon anus et il me titille la rondelle avec un doigt. Il enfonce celui-ci dans le rectum, il me branle le cul. Puis je sens que Julien se place derrière moi, je sens son sexe qui se présente à l’entrée de mon anus, il pousse et je ressens d’abord une douleur puis je sens que son sexe est entré. Julien fait que quelques mouvement de va et vient lentement pour prendre la dimension de mon rectum, ensuite Julien me lime le cul, je ressens une grand chaleur dans mon fondement, je sens la bite de Julien s’activer et bande plus fort qu’avant. Puis j’entends que la respiration de Julien s’accélère, je sens qu’il va éjaculer, puis Julien se cabre, il explose dans mon cul, dans mes intestins. Une fois remis de ses émotions, Julien se place dans le divan, dans la même position qui fut la mienne un peu plus tôt. Je mets un peu de salive sur son anus, je passe mon doigt sur sa rondelle, je caresse son trou d’amour, je remets un peu de salive et je fais entrer mon doigt dans son rectum. Julien gémit, je fais un mouvement de va et vient dans son anus. Je vois Julien se détendre, je me place alors contre lui, je présente mon membre bien bandé devant son anus et je le pénètre doucement. Julien pousse de petits cris étouffés. Puis je sens que son anus se détend un peu plus et je pénètre plus profondément mon sexe dans son cul. Je me sens bien, mon sexe est bien au chaud dans le rectum de Julien qui me sert de fourreau. Je lime le cul de Julien, je sens que le jouissance est proche, je sens que je vais exploser dans le cul de mon ami Julien. Julien gémit de plus belle, son sexe est à nouveau bandé, je passe alors ma main et je me saisit de cette hampe dressée. Je branle Julien en même temps que je lui défonce le cul. Julien semble apprécier son sort. Je sens que je suis presque arrivé au point de non-retour, je sens la sève monter en moi, je sens la pression monter, je sens que je vais éjaculer. Je me lâche et je laisse cinq jets de sperme aller dans les intestins de Julien, quand en même temps Julien éjacule sur le divan dans un râle de bonheur. C’est à ce moment-là que j’ai vu dans l’ouverture de la porte du hall Stef qui faisait demi-tour pour remonter vers les chambres à coucher.
Nous restons Julien et moi coucher sur le divan le temps de reprendre nos esprits.
Une dizaine de minutes plus tard nous plongeons dans la piscine avant de monter nous coucher dans ma chambre, ensemble dans mon lit pour une nouvelle nuit.
Une nouvelle journée.
Au matin, je suis encore dans un demi-sommeil, lorsque je sens une main sur mon sexe, une main qui me caresse. Ma bite est semi bandée mais elle retrouve vite de l’ampleur. Je me retourne et je vois Julien qui affiche un large sourire. Je prends le sexe bandé de Julien en main et nous nous masturbons mutuellement.
Après avoir jouis, nous nous levons et allons prendre une bonne douche. C’est une nouvelle fois l’occasion de nous embrasser sous l’eau tiède qui mouille nos corps d’ados.
Pour le petit déjeuner nous nous retrouvons à table avec ma sœur Delphine, Stef n’est pas encore là. Nous commençons sans elle. Quelques minutes après Stef arrive. Elle s’assied à table à côté de Delphine. Delphine se tourne vers elle et pose ses lèvres sur celles de Stef. Je regarde alors la tête de Julien, qui écarquille les yeux.
Delphine prend alors la parole :
« Hier soir Stef vous a vu dans le salon, Philippe tu étais en train de sodomiser Julien. Elle m’en a parlé et je lui ai dit que je savais que vous aviez une liaison. Philippe toi tu sais aussi que j’ai une relation avec Stef. Alors j’ai décidé de le dire à Julien qui n’était au courant de rien. Voilà qui est fait. »
Moi :
« T’inquiètes pas Julien, c’est comme ça, nous n’y changerons rien. Ta sœur sait que nous avons une relation et maintenant tu sais qu’elle aussi qu’elle en a une avec ma sœur. C’est tout, il ne faut pas se prendre la tête. »
Julien dit alors :
« Ok, pas de problèmes, mais que ça reste entre nous alors. »
Julien se tourne vers moi et me donne baiser sur les lèvres. Nous nous sommes alors tous mis à rire.
Nous n’étions plus sur la défensive car la situation était bien claire.
Nous avions terminé le séjour en couples ; d’un côté Delphine et Stef et de l’autre côté Julien et moi. Nous pouvions nous embrasser et nous caresser les uns devant les autres sans que cela n’entraîne de problème. Nous étions très heureux comme ça.
Au matin, j’avais ouvert un œil et j’ai pu voir que Julien dormait encore. Nous étions collés l’un à l’autre. Déjà un rayon de soleil passait au travers des persiennes et éclairait le lit. Je venais alors de me rendre compte que Julien avait le sexe bandé, il avait une érection matinale bien prononcée. Cette vue du sexe bandé de Julien me rendit toutes mes ardeurs, mon sexe s’était redressé en quelques instants. Je bandais bel et bien, j’étais une nouvelle fois excité à la vue de cette queue bandée. Ne pouvant résister, j’avais placé ma main sur cette colonne de chaire qui était là a attendre qu’on s’occupe d’elle. J’avais fait quelques mouvements de va et vient et déjà Julien ouvrait les yeux. Il laissa son regard rencontrer le mien et il esquissa une sourire. Déjà sa main s’était emparée de mon sexe et elle lui appliquait une lente et délicate masturbation. Nos lèvres s’étaient à nouveau trouvées, nos langues s’étaient mêlées et nous avions échangé un long baiser. Nous nous étions alors mis tête bêche et j’avais pour la première fois pu goûter le sexe d’un homme. De son côté Julien avait mis mon sexe dans sa bouche et avec sa langue, il me léchait le gland. Je calquais mes caresses buccales à celles qu’il me procurait. Je sentais ma queue se gonfler encore plus et j’appréciais cette sensation de bien-être et d’humidité à la fois. Je sentais mon bas ventre brûler au plus profond, je m’appliquais à donner à Julien des sensations pareilles à celles qu’il me donnait. Je sentais que Julien était sur le point d’éjaculer, je faisais tout pour qu’il ne sorte pas son sexe de ma bouche, je voulais goûter à sa semence, je voulais connaître le goût de son sperme, ayant déjà testé avec le mien lors d’une de mes branlettes solitaires. Puis j’avais senti des soubresauts et quatre jets de sperme étaient venu s’écraser au fond de ma gorge. J’avais pu me rendre compte que son sperme était plus âcre que le mien, mais il avait bon goût quand même, et j’avais avalé son nectar. Moi de mon côté je sentais que la sève allait monté et j’étais prêt à déverser ma semence dans la bouche de Julien, car Julien lui aussi faisait tout pour garder ma queue dans sa bouche. Puis je m’étais cabré et j’avais laissé jaillir quatre à cinq jets de sperme dans le fond de la gorge de Julien.
Une fois remis de nos émotions, nous nous sommes regardés et nous avons échangé un « merci ». Nos bouches se sont une nouvelle fois unies dans un long baiser fougueux.
Une journée de « découvertes ».
Une fois debout, nous nous sommes rendus dans le jardin pour piquer une tête dans la piscine, nus tous les deux. Nous nous sommes amusés à nous couler l’un l’autre, à nous frotter l’un à l’autre, à mieux nous connaître. Nous étions déjà depuis plus d’une heure dans l’eau lorsque ma sœur Delphine est apparue sur la terrasse près de la piscine ; elle portait un peignoir sur elle. Elle s’adressa à nous en disant : « Alors on s’amuse les mecs ! ». Un peu gêné, Julien avait mis ses mains devant ses attributs. Quant à moi, je suis resté tout à fait naturel, j’avais depuis mon jeune âge pris l’habitude de me montrer parfois nu devant mes parents, mon frère et ma sœur. Delphine s’était approchée de la piscine et avait enlevé son peignoir. Elle était maintenant nue devant nous. Elle s’est alors glissée dans l’eau pour y faire quelques brasses. Julien s’est un peu décontracté et a ôté ses mains qui cachaient son sexe, voyant que ma sœur n’y prêtait pas d’attention. Nous avons alors nagé à trois durant une bonne demi-heure. Puis c’est Stef qui est apparue sur la terrasse. Elle était vêtue de sa robe nuit. Nous lui avons demandé tous les trois de venir nous rejoindre dans la piscine. Delphine, voyant que Stef n’osait pas enlever sa robe de nuit, lui expliquait qu’il n’y avait pas à avoir honte de se montrer nue devant Julien et moi, et que pour elle, elles s’étaient déjà vues nues. Bref au bout de cinq bonnes minutes de palabres, Stef a ôté sa robe de nuit pour venir nous rejoindre nue dans l’eau. Nous avons encore joué ensemble pendant un bon moment dans la piscine.
Une fois séchés et rhabillés, nous avons pris un bon déjeuner ensemble sur la terrasse. Une balade en vélo avait été programmée pour l’après-midi. Alors que Julien et Stef préparaient les vélos, Delphine et moi nous faisions la vaisselle. Durant la vaisselle, Delphine m’a dit : « Ce matin je vous ai vu Julien et toi dans la piscine. Je vous ai vu en train de jouer, en train de vous frôler, de vous caresser ».
Puis elle avait ajouté : « J’ai aussi vu l’état de ton lit à l’issue de la nuit ».
Moi : « Tu es allé voir dans ma chambre ! ».
Elle dit : « Oui, on dirait que vous avez passé du bon temps toi et Julien. »
Moi : « Tu ne diras rien aux parents ! ».
Elle se pressa de dire : « Non je ne dirais rien aux parents, c’est promis. Et toi aussi il faut que ne dise rien sur moi et Stef. »
Moi : « Non c’est promis, juré ».
Elle ajouta : « Je trouve que Julien et toi vous allez bien ensemble ».
Moi : « Tu crois ! »
Ma sœur avait donc découvert que j’étais homo. Elle de son côté elle était lesbienne. De plus c’était avec une fille et un garçon de la même famille.
Delphine lors de cette balade en vélo, m’a aussi confié que son amie Stef ne savait rien pour la relation qui était née entre moi et Julien. Elle ajouta aussi que Stef ne savait pas non plus que j’étais au courant pour sa relation avec elle. Il fallait donc faire attention.
A l’issue de la balade en vélo, nous avions tous les quatre décidé d’aller nous baigner dans la piscine. Pour moi et Julien, ni une ni deux nous voilà nus, et hop dans l’eau. Delphine et Stef nous ont suivi, elle se sont mises nues aussi pour aller dans l’eau.
Nous avions passé encore un bon moment à quatre. Julien était souvent collé à moi mais il en était de même pour Stef et Delphine. Je n’osais pas aller trop loin avec Julien, lui aussi de son côté il se retenait d’avoir des gestes trop voyant. Il semblait qu’il en était de même pour Delphine et Stef, elles faisaient elles aussi attention à leurs gestes.
Nous sommes alors passés à table pour le dîner. Ensuite le temps a changé, il s’était mis à pleuvoir. Plus question d’aller dehors. Nous allions devoir passer la soirée à l’intérieur.
Une bonne soirée.
Nous nous sommes installés dans le salon pour passer un bon film. Delphine passa un dvd avec Louis de Funes, « Le gendarme et les gendarmettes ». Nous avions bien rit tous les quatre. J’étais dans un divan avec Julien et les filles dans un autre divan. Nous étions très près l’un de l’autre, nos mains se frôlaient souvent. Nous avions peur d’aller plus loin devant les filles.
A l’issue du film, Delphine et Stef sont montées pour se coucher. Julien et moi nous sommes restés au salon et nous avons lancé un dvd d’aventure avec des pirates. Nous étions Julien et moi blottis dans le divan devant la télévision. Nous regardions le film en nous tenant par la main, Julien avait mis sa tête au creux de mon épaule. Puis Julien a tourné la tête vers moi en me disant :
« Je suis bien avec toi, je ne savais pas que j’allais aimer un garçon comme toi. »
Je lui ai répondu :
« Moi aussi je suis bien avec toi, mais moi je savais que j’étais porté pour les garçons avant de te rencontrer. »
Julien dit :
« As-tu déjà été plus loin avec un autre garçon ? »
Je lui ai répondu :
« Oui, enfin un peu, il y a quelque temps j’ai essayé de sodomiser un de mes copains, mais je me suis arrêté car il criait de mal. »
Julien dit :
« Tu crois que ça fait mal ? »
Moi :
« Je ne sais pas, je ne me suis pas encore fait sodomiser ! »
Julien ajoute alors :
« J’ai envie d’essayer avec toi ! »
Moi :
« Tu en as vraiment envie, tu veux que je te prenne par derrière ? »
Julien dit :
« Oui, je veux faire cette expérience avec toi, car j’ai confiance en toi. »
Moi :
« Si tu le veux, c’est oui, mais je te rappelle que pour moi, c’est aussi une première fois. »
Pour toute réponse Julien pose ses lèvres sur les miennes et me donne un long et tendre baiser. Je sens déjà mon sexe prendre de la place dans mon slip. Le devant du pantalon de Julien présente une protubérance sur le devant. Nous sommes excités. Nous nous caressons le dos, nous nous embrassons, nous nous cajolons. Julien défait alors les boutons de ma chemise, j’ôte le tee-shirt de Julien. Julien défait la ceinture de mon pantalon et ouvre la braguette, je fais de même avec le pantalon le sien. Nous sommes maintenant en slip tous les deux, assis sur le divan du salon. Julien ôte doucement mon slip et mon sexe est alors libéré, il pointe vers le plafond. J’ôte aussi le slip de Julien et son sexe lui aussi regarde les étoiles. Nous nous embrassons une nouvelle fois. Nos langues se titilles, nos salives se mélangent, nous sommes sur une autre planète. Julien me demande me mettre sur le ventre dans le divan, il crache sur mon anus et il me titille la rondelle avec un doigt. Il enfonce celui-ci dans le rectum, il me branle le cul. Puis je sens que Julien se place derrière moi, je sens son sexe qui se présente à l’entrée de mon anus, il pousse et je ressens d’abord une douleur puis je sens que son sexe est entré. Julien fait que quelques mouvement de va et vient lentement pour prendre la dimension de mon rectum, ensuite Julien me lime le cul, je ressens une grand chaleur dans mon fondement, je sens la bite de Julien s’activer et bande plus fort qu’avant. Puis j’entends que la respiration de Julien s’accélère, je sens qu’il va éjaculer, puis Julien se cabre, il explose dans mon cul, dans mes intestins. Une fois remis de ses émotions, Julien se place dans le divan, dans la même position qui fut la mienne un peu plus tôt. Je mets un peu de salive sur son anus, je passe mon doigt sur sa rondelle, je caresse son trou d’amour, je remets un peu de salive et je fais entrer mon doigt dans son rectum. Julien gémit, je fais un mouvement de va et vient dans son anus. Je vois Julien se détendre, je me place alors contre lui, je présente mon membre bien bandé devant son anus et je le pénètre doucement. Julien pousse de petits cris étouffés. Puis je sens que son anus se détend un peu plus et je pénètre plus profondément mon sexe dans son cul. Je me sens bien, mon sexe est bien au chaud dans le rectum de Julien qui me sert de fourreau. Je lime le cul de Julien, je sens que le jouissance est proche, je sens que je vais exploser dans le cul de mon ami Julien. Julien gémit de plus belle, son sexe est à nouveau bandé, je passe alors ma main et je me saisit de cette hampe dressée. Je branle Julien en même temps que je lui défonce le cul. Julien semble apprécier son sort. Je sens que je suis presque arrivé au point de non-retour, je sens la sève monter en moi, je sens la pression monter, je sens que je vais éjaculer. Je me lâche et je laisse cinq jets de sperme aller dans les intestins de Julien, quand en même temps Julien éjacule sur le divan dans un râle de bonheur. C’est à ce moment-là que j’ai vu dans l’ouverture de la porte du hall Stef qui faisait demi-tour pour remonter vers les chambres à coucher.
Nous restons Julien et moi coucher sur le divan le temps de reprendre nos esprits.
Une dizaine de minutes plus tard nous plongeons dans la piscine avant de monter nous coucher dans ma chambre, ensemble dans mon lit pour une nouvelle nuit.
Une nouvelle journée.
Au matin, je suis encore dans un demi-sommeil, lorsque je sens une main sur mon sexe, une main qui me caresse. Ma bite est semi bandée mais elle retrouve vite de l’ampleur. Je me retourne et je vois Julien qui affiche un large sourire. Je prends le sexe bandé de Julien en main et nous nous masturbons mutuellement.
Après avoir jouis, nous nous levons et allons prendre une bonne douche. C’est une nouvelle fois l’occasion de nous embrasser sous l’eau tiède qui mouille nos corps d’ados.
Pour le petit déjeuner nous nous retrouvons à table avec ma sœur Delphine, Stef n’est pas encore là. Nous commençons sans elle. Quelques minutes après Stef arrive. Elle s’assied à table à côté de Delphine. Delphine se tourne vers elle et pose ses lèvres sur celles de Stef. Je regarde alors la tête de Julien, qui écarquille les yeux.
Delphine prend alors la parole :
« Hier soir Stef vous a vu dans le salon, Philippe tu étais en train de sodomiser Julien. Elle m’en a parlé et je lui ai dit que je savais que vous aviez une liaison. Philippe toi tu sais aussi que j’ai une relation avec Stef. Alors j’ai décidé de le dire à Julien qui n’était au courant de rien. Voilà qui est fait. »
Moi :
« T’inquiètes pas Julien, c’est comme ça, nous n’y changerons rien. Ta sœur sait que nous avons une relation et maintenant tu sais qu’elle aussi qu’elle en a une avec ma sœur. C’est tout, il ne faut pas se prendre la tête. »
Julien dit alors :
« Ok, pas de problèmes, mais que ça reste entre nous alors. »
Julien se tourne vers moi et me donne baiser sur les lèvres. Nous nous sommes alors tous mis à rire.
Nous n’étions plus sur la défensive car la situation était bien claire.
Nous avions terminé le séjour en couples ; d’un côté Delphine et Stef et de l’autre côté Julien et moi. Nous pouvions nous embrasser et nous caresser les uns devant les autres sans que cela n’entraîne de problème. Nous étions très heureux comme ça.