11-02-2022, 08:12 PM
Bonjour à ceux qui ont la curiosité de venir lire mon récit.
Je n'envisage pas de faire un long récit (quelques épisodes) pour être sûr de le terminer et pour me remettre en jambe. En effet, je n'ai rien poster depuis plusieurs années.
N'hésitez pas à être critique, cela ne pourra que me faire avancer.
Merci à vous et bonne lecture.
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Épisode 1
A peine le baccalauréat obtenu, je vais poursuivre mes études à Caen. Les bourses et mes parents vont participer au frais de la vie étudiante, mais nous ne roulons pas sur l’or. C’est pourquoi, j’ai décidé de trouver un job d’été.
Je ne m’y suis pris un peu tardivement, c’est vrai. Et tous les emplois saisonniers ont déjà été pourvus dans ma région. Mon dernier recours, m’inscrire dans une agence intérimaire pour travailler dans le tertiaire.
La première mission obtenue fut le déchargement d’un camion. Mission assez physique à en croire l’agence intérimaire. Mais cela ne m’effrayait pas car je faisais du rugby sept heures par semaine et j’étais par conséquent taillé en V et tout en muscles.
Le premier jour de travail, j’arrive à 06h00 dans un entrepôt ne payant pas de mine et disposant de cinq quais de chargement. Deux d’entre eux avaient un camion. Un peu perdu dans cet environnement non familier, je me présente à l’accueil.
- Bonjour. Je m’appelle Eliot. J’ai été contacté par l’agence intérim pour une mission.
Stéphane, le cadre me prend en charge en me faisant visiter les locaux.
- A gauche du hangar, tu trouveras l’accès sur les quais de chargement. Au fond, l’espace de stockage et de triage, mais toi tu n’y as pas le droit d’accès. Tu dois rester au niveau des quais de chargement. Et à droite, les bureaux, la machine à café et un coin repas. Tu as le droit à un pause de 5 minutes toutes les 2 heures. Interdiction de fumer dans le hangar. Tu dois porter des gants et chaussures de sécurité obligatoirement. Tu les as bien apportés ?
- Oui, je porte déjà les chaussures, et j’ai des gants en cuir, montrais-je en les sortant de ma poche.
- Parfait !
Il m’amène ensuite à une porte située à proximité de l’entrée du bâtiment.
- Ici, tu as le vestiaire et la douche.
En rentrant dedans, je fus surpris par sa toute petite taille. Cela me changeait des vestiaires du stade de rugby ou du lycée. A l’intérieure, il y avait une dizaine de casiers bleus, un banc de deux mètres, surmonté de patères et une douche en coin de pièce munie d’un rideau rouge fermant la douche en formant un quart de cercle. Ce vestiaire était petit mais il avait tout le nécessaire.
En rentrant, un garçon de mon âge était en train de lasser ses chaussures. Stéphane nous présenta.
- Salut Rudy. Tu vas bien ? Aujourd’hui, on a Eliot qui vient travailler pour la première fois avec nous. Je te charge de lui expliquer ce qu’il doit faire. Ça va pour toi Eliot ?
-Oui, merci.
- Ok, bon courage les garçons. Et Eliot, si tu travailles bien, tu pourras revenir demain.
Il reparti du vestiaire en direction des bureaux.
La suite pour bientôt.
Je n'envisage pas de faire un long récit (quelques épisodes) pour être sûr de le terminer et pour me remettre en jambe. En effet, je n'ai rien poster depuis plusieurs années.
N'hésitez pas à être critique, cela ne pourra que me faire avancer.
Merci à vous et bonne lecture.
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Épisode 1
A peine le baccalauréat obtenu, je vais poursuivre mes études à Caen. Les bourses et mes parents vont participer au frais de la vie étudiante, mais nous ne roulons pas sur l’or. C’est pourquoi, j’ai décidé de trouver un job d’été.
Je ne m’y suis pris un peu tardivement, c’est vrai. Et tous les emplois saisonniers ont déjà été pourvus dans ma région. Mon dernier recours, m’inscrire dans une agence intérimaire pour travailler dans le tertiaire.
La première mission obtenue fut le déchargement d’un camion. Mission assez physique à en croire l’agence intérimaire. Mais cela ne m’effrayait pas car je faisais du rugby sept heures par semaine et j’étais par conséquent taillé en V et tout en muscles.
Le premier jour de travail, j’arrive à 06h00 dans un entrepôt ne payant pas de mine et disposant de cinq quais de chargement. Deux d’entre eux avaient un camion. Un peu perdu dans cet environnement non familier, je me présente à l’accueil.
- Bonjour. Je m’appelle Eliot. J’ai été contacté par l’agence intérim pour une mission.
Stéphane, le cadre me prend en charge en me faisant visiter les locaux.
- A gauche du hangar, tu trouveras l’accès sur les quais de chargement. Au fond, l’espace de stockage et de triage, mais toi tu n’y as pas le droit d’accès. Tu dois rester au niveau des quais de chargement. Et à droite, les bureaux, la machine à café et un coin repas. Tu as le droit à un pause de 5 minutes toutes les 2 heures. Interdiction de fumer dans le hangar. Tu dois porter des gants et chaussures de sécurité obligatoirement. Tu les as bien apportés ?
- Oui, je porte déjà les chaussures, et j’ai des gants en cuir, montrais-je en les sortant de ma poche.
- Parfait !
Il m’amène ensuite à une porte située à proximité de l’entrée du bâtiment.
- Ici, tu as le vestiaire et la douche.
En rentrant dedans, je fus surpris par sa toute petite taille. Cela me changeait des vestiaires du stade de rugby ou du lycée. A l’intérieure, il y avait une dizaine de casiers bleus, un banc de deux mètres, surmonté de patères et une douche en coin de pièce munie d’un rideau rouge fermant la douche en formant un quart de cercle. Ce vestiaire était petit mais il avait tout le nécessaire.
En rentrant, un garçon de mon âge était en train de lasser ses chaussures. Stéphane nous présenta.
- Salut Rudy. Tu vas bien ? Aujourd’hui, on a Eliot qui vient travailler pour la première fois avec nous. Je te charge de lui expliquer ce qu’il doit faire. Ça va pour toi Eliot ?
-Oui, merci.
- Ok, bon courage les garçons. Et Eliot, si tu travailles bien, tu pourras revenir demain.
Il reparti du vestiaire en direction des bureaux.
La suite pour bientôt.
) et suite prévisible (pour la mm raison, mais déjà, perso, ça me va 8) 
On le sait généralement bien plus tôt... Perso, je marche moyen aux mecs qui se 'découvrent gay' sur le tard, ceux que j'ai connus étaient juste des grosses honteuses, au mieux, total dans le déni :