22-02-2021, 05:45 PM
- Alors Louise, préfères-tu être prise comme une femme ou comme une chienne ?
- C-comme une chienne.
Il fit le tour de mes hanches pour aller caresser mon clitoris avec ses doigts.
- Alors, femme ou chienne ?
- Chienne !
- C’est très bien.
Et il reprit jusqu’à jouir tout au fond de moi. Je cru m’évanouir : le plaisir était si fort que j’en avais du mal à respirer. Je m’effondrai enfin sur le lit, haletante, épuisée.
- Tu pourra garder le collier quand tu seras à la maison. C’est un cadeau, il est à ton nom. CHAPITRE 9: Les rôles s'inversent
Le plaisir se dissipa lentement, et ce qui était très excitant sur le moment même devint doucement gênant une fois l’extase passée et la situation revenue à la normale. C’est d’une voix timide et mal à l’aise que je m’adressai à Damien qui s’était affalé sur le lit contre moi et dont le souffle commençait seulement à revenir à la normale.
- Je ne sais pas si j’aime ça.
- De quoi parles-tu ?
- De chienne. C’est assez dégradant je trouve.
Il me regarda, interloqué, puis éclata de rire.
- C’est juste un jeu ! Bien sûr que tu n’en es pas une ! Mais sur le moment, qu’as-tu ressenti ?
- C’était plutôt excitant.
- Développe.
- Me sentir possédée, être à toi, je dois bien avouer que ça m’a fait quelque chose.
- C’est un fantasme très commun. Et ce n’est qu’un fantasme : c’est juste un jeu qui augmente le désir quand on a envie de faire l’amour, mais ça reste cantonné à ça. Et surtout rappelle-toi du contrat que tu as signé : si tu n’aimes pas ou que tu ne veux pas, tu me dis non. Un vrai contrat ne sert pas à enfermer les gens, il protège plutôt les deux parties. Donc si jamais tu ne veux pas, tu me dis non et je ne te force pas, ok ?
Je soupirai : j’étais soulagée. J’acquiesçai d’un hochement de tête et vins me blottir contre lui. Il caressa ma tête en me prenant dans ses bras. Ce câlin donné après l’amour, cette douceur après ce moment animal, c’était vraiment ce qu’il y avait de meilleur. Ça dû tellement le relaxer qu’il se mit bien vite à ronfler légèrement. Je m’éclipsai alors pour me nettoyer. Cette partie là était la plus pénible : pourquoi est-ce que je ne pouvais pas tout garder en moi au juste ? Mais je n’y pouvais rien de toutes façons.
- C-comme une chienne.
Il fit le tour de mes hanches pour aller caresser mon clitoris avec ses doigts.
- Alors, femme ou chienne ?
- Chienne !
- C’est très bien.
Et il reprit jusqu’à jouir tout au fond de moi. Je cru m’évanouir : le plaisir était si fort que j’en avais du mal à respirer. Je m’effondrai enfin sur le lit, haletante, épuisée.
- Tu pourra garder le collier quand tu seras à la maison. C’est un cadeau, il est à ton nom. CHAPITRE 9: Les rôles s'inversent
Le plaisir se dissipa lentement, et ce qui était très excitant sur le moment même devint doucement gênant une fois l’extase passée et la situation revenue à la normale. C’est d’une voix timide et mal à l’aise que je m’adressai à Damien qui s’était affalé sur le lit contre moi et dont le souffle commençait seulement à revenir à la normale.
- Je ne sais pas si j’aime ça.
- De quoi parles-tu ?
- De chienne. C’est assez dégradant je trouve.
Il me regarda, interloqué, puis éclata de rire.
- C’est juste un jeu ! Bien sûr que tu n’en es pas une ! Mais sur le moment, qu’as-tu ressenti ?
- C’était plutôt excitant.
- Développe.
- Me sentir possédée, être à toi, je dois bien avouer que ça m’a fait quelque chose.
- C’est un fantasme très commun. Et ce n’est qu’un fantasme : c’est juste un jeu qui augmente le désir quand on a envie de faire l’amour, mais ça reste cantonné à ça. Et surtout rappelle-toi du contrat que tu as signé : si tu n’aimes pas ou que tu ne veux pas, tu me dis non. Un vrai contrat ne sert pas à enfermer les gens, il protège plutôt les deux parties. Donc si jamais tu ne veux pas, tu me dis non et je ne te force pas, ok ?
Je soupirai : j’étais soulagée. J’acquiesçai d’un hochement de tête et vins me blottir contre lui. Il caressa ma tête en me prenant dans ses bras. Ce câlin donné après l’amour, cette douceur après ce moment animal, c’était vraiment ce qu’il y avait de meilleur. Ça dû tellement le relaxer qu’il se mit bien vite à ronfler légèrement. Je m’éclipsai alors pour me nettoyer. Cette partie là était la plus pénible : pourquoi est-ce que je ne pouvais pas tout garder en moi au juste ? Mais je n’y pouvais rien de toutes façons.